Cours 1 Bac Francais Élève Final Final

Cours, activités et
exercices
PHYSIQUE-CHIMIE
Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 1

Plan de cours de 1BAC SEX option français
 Partie 1 : Le travail mécanique et l’énergie

 Chapitre 1 : Mouvement de rotation d’un solide indéformable autour d’un axe fixe
 Chapitre 2: Travail et puissance d’une force
 Chapitre 3: Travail et énergie cinétique
 Chapitre 4: Travail et énergie potentielle de pesanteur - énergie mécanique
 Partie 2 : Electricité-magnétisme
 Chapitre 5 : Transfert d’énergie dans un circuit électrique - Comportement globale
d’un circuit électrique
 Chapitre 6: Le champ magnétique
 Chapitre 7: Le champ magnétique crée par un courant électrique
 Chapitre 8: Les forces électromagnétiques – loi de Laplace
 Partie 3 : Optique
 Chapitre 9: Visibilité d'un objet
 Chapitre 10 : Les images formées par un miroir plan
 Chapitre 11: Les images formées par une lentille mince convergente
 Partie 1 : La mesure en chimie

 Chapitre 1: Importance de la mesure en chimie
 Chapitre 2: Les grandeurs physiques liées à la quantité de matière
 Chapitre 3: Solutions électrolytiques et concentrations
 Chapitre 4: Suivi d’une transformation chimique
 Chapitre 5: Mesure de la conductance
 Chapitre 6: Les réactions acido-basiques
 Chapitre 7: Les réactions d’oxydo-réduction
 Chapitre 8: Dosages directs
 Partie 2 : Chimie organique

 Chapitre 9: Expansion de la chimie organique
 Chapitre 10 : Les molécules organiques
 Chapitre 11: Modification du squelette carboné
 Chapitre 12: Groupements caractéristiques -Réactivité des alcools

Partie 1 Chapitre 1 Mouvement de rotation d’un
solide autour d’un axe fixe
 Situation problème :
Les deux photos montrent une porte et la Grande Roue. Ces deux systèmes sont constitués par des corps
solides qui ont un mouvement de rotation autour d’un axe fixe.
Qu’est-ce qu’un mouvement de rotation ?
Et quelles sont les caractéristiques d’un mouvement de rotation uniforme ?
1- Définition du mouvement de rotation
Le corps (S) est en mouvement autour de l’axe fixe (∆).

1- Quel est le mouvement des points A et B ?
…………………………………………………………………………………………………...
……………………………………………………………………………………………………
2- Quel est le mouvement des points M et N ?
…………………………………………………………………………………………………...
……………………………………………………………………………………………………
 Définition :
Un solide tourne autour d’un axe fixe (∆) si :
……………………………………………………………………………………………………...
…………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………..
2- repérage d’un point du solide

Soit M un point quelconque choisi sur la trajectoire circulaire. On oriente la trajectoire dans un sens
arbitraire. La position du point M est repérée par :
2.1- Abscisse angulaire :
On appelle abscisse angulaire d’un point mobile M à un instant t donné,
La valeur algébrique de l’angle 𝑡 .
Son unité dans (S.I) …………………………………………………………………………………

 Remarques :
 …………………………………………..
 Relation entre et nombre de tours: …………………………………………..

2.2- Abscisse curviligne:
C’est la mesure algébrique de ……………………………………………………………………………………………
L’unité de mesure de l’abscisse curviligne …………………………

2.3- Relation entre abscisse curviligne et abscisse angulaire
 La relation entre les deux abscisses…… et…… est : …………………….
 Telque R est le rayon de la trajectoire circulaire du point M.
 Application 1 :
Une éolienne est un dispositif qui transforme l’énergie cinétique du vent en
énergie électrique.
Une éolienne prototype produit pas Siemens érigé au Danemark se compose d’un
rotor solidaire de trois pales, la longueur de chaque une est 𝑟 .
Calculer la distance parcourue par un point qui se trouve à l’extrémité
de la pale après une tour complète.
..............................................................................................................................................
.............................................................................................................................................
............................................................................................................................................
............................................................................................................................................
............................................................................................................................................
3-La Vitesse angulaire

3.1- Vitesse angulaire moyenne :
 Lorsqu’on un corps est en mouvement autour d’un axe fixe (Δ). Le point A occupe la position A1 à
l’instant 𝑡1 et la position A2 à l’instant 𝑡2, les deux positions étant repérées par des abscisses angulaires 1 et 2.
 La vitesse angulaire moyenne 𝜔 du point A entre 𝑡1 𝑒𝑡 𝑡2
est donnée par la relation suivante :
Δ …………………………………………………….du solide pendant la durée Δ𝑡.

Unité de la vitesse angulaire dans (S I) est le radian par seconde, noté 𝑟 𝑠 .
3.2- La vitesse angulaire instantanée :
En considérant 𝑡1 et 𝑡3 deux instants très proches et qui encadrent l’instant 𝑡2.
La vitesse angulaire instantanée à l’instant 𝑡2 est la vitesse angulaire moyenne
entre les instants 𝑡1et 𝑡3 :
En générale :
3.3- Relation entre vitesse angulaire et vitesse d’un point.

a) La vitesse linéaire (rappel) :
Les caractéristiques de vecteur Vitesse ⃗ :
- L’origine : ……………………………………………………………………
- La direction : ……………………………………………………………………
- Le sens : ……………………………………………………………………
- La norme : …………………………………………………………………… 𝒗𝟐 ⋯

…………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………..…...
 Remarque :
Tous les points du solide ont à chaque instant …………………………………..……………., mais ils n’ont pas
généralement la même ……………………………………..
b) Étude expérimentale : vérification expérimentale de la relation
On attache , grâce à un fil inextensible , un mobile autoporteur à un point fixe O . On lance ce mobile sur la
table à coussin d’air horizontale pour avoir un mouvement de rotation du mobile autour du point O et on
enregistre la position du point A confondue avec le centre d’inertie de l’autoporteur à des intervalles de
temps successifs et égaux τ = 40ms .
On obtient l’enregistrement suivant avec un échelle réelle :
 Exploitation :
1- Quelle est la nature du mouvement du point mobile A ? Justifier votre réponse.
☞La nature du mouvement du point mobile A :………………………………………………………………………….
…………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………..…...
2- Mesurer le rayon R de la trajectoire en cm puis l’exprimer en m.
☞ Le rayon de la trajectoire : …………………………………
3- Compléter le tableau suivant :
- A0 origine d’angle - A2 origine de temps t=0
Position A A2 A3 A4 A5 A6 A7 A8
ti(ms) 0 40 80 120 160 200 240
θi(rad)
ω (rad/s) 4,36
vi(m/s)

4- Vérifier la relation V = R.ω
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
……………………………………………………………………………………………………..……………………………………
……………………………………………………………………………………………………………..…………………………
 Application 2 :
Le tambour d’une machine à laver le linge est un cylindre de 46 cm de
diamètre. Au moment de l’essorage, il tourne autour de son axe
à 800 tr / min.
1- Calculer sa vitesse angulaire ω de rotation en tr/s puis en rad/s.
2- Calculer la vitesse v d’un point A de la périphérie du tambour.
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
……………………………………………………………………………………………………..……………………………………
……………………………………………………………………………………………………………..……………………………
…………………………………………………………………………………………..………………………………………………
………………………………………………………………………..…………………………………………………………………
……………………………………………………..……………………………………………………………………………………
4- Movement de rotation uniforme :

4.1- Définition :
 Le mouvement d’un corps solide autour d’un axe fixe est uniforme ; si………………..………………………….
……………………………………………………………………………………………………………………..…………….
4.2- Caractéristiques du mouvement de rotation
a- La période
La période 𝑇 d’un mouvement de rotation uniforme est
………………………………….……………………………..
On : Δ = 𝜔. Δ𝑡 pour un tour …………………………….…………………..
Donc : avec 𝑇 en seconde (s) et 𝜔 en radian par seconde (𝑟 ⁄𝑠).
b- La fréquence :
La fréquence 𝑓 d’un mouvement de rotation uniforme est …………………………….…………………………..…..
Avec f en ………………………..……………. pour T en…………………………….. .

 Remarque :
La vitesse angulaire 𝜔 peut être exprimée en 𝑡𝑟. 𝑠−1 ou 𝑡𝑟. 𝑖𝑛−1 avec : {
 Application3 :
Un disque de rayon R = 10cm tourne à 30 tours/min, autour d’un axe passant par son centre d’inertie.
1. Calculer la période et la fréquence de ce disque .
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
2. Calculer la vitesse angulaire du disque. En déduire la vitesse d’un point M situé sur la circonférence d’un
disque.
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………

………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
3. Calculer la vitesse d’un pont N situé sur une circonférence de rayon r = 5cm.
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
5- L’équation horaire du mouvement de rotation uniforme.

a) Activité expérimentale : (On exploite les résultats de l’activité 1).
Sur un papier millimétrique et en choisissant une échelle convenable tracer la fonction θ = f(t).
En déduire l’équation mathématique de cette fonction. Donner la signification physique de son coefficient
directeur
 Exploitation :
………………………………….………………………………………
…………………………………………….…………………………….
…………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………..
……………………………………………………..……………………
………………………………………………..………………………
La signification physique de cette grandeur ……………………
……………………………………………..
Pour le paramètre b …………………………………………………
……………………………………………………………….………..
………………………………………………………………………….
Donc l’équation horaire du mouvement de rotation est : …………………………….
b) Conclusion :
L’équation horaire de l’abscisse angulaire du mouvement de rotation uniforme est :
……………………..……………………
-𝜽 𝒕 :l’abscisse angulaire à l’instant t en rad.

-𝝎 : vitesse angulaire en rad.s-1
-𝜽𝟎 : est l'angle initial à t=0 en rad.
 Remarque
L’équation horaire de l’abscisse curviligne du mouvement de rotation uniforme est :
……………………..……………………
- s(t) l’abscisse curviligne de A à l’instant t

- V la vitesse linéaire du point A
-s0 l’abscisse curviligne à l’origine des dates

 EXERCICE 1 :
Un disque de rayon R=10cm tourne à 30 tr/min, autour d’un axe passant par son centre d’inertie.
1. Calculer la période et la fréquence de ce disque.
2. Calculer la vitesse angulaire du disque. En déduire la vitesse d’un point M situé sur la circonférence du disque.
3. Calculer la vitesse d’un point N situé sur une circonférence de rayon r = 5cm
 EXERCICE 2 :
Le plateau d'un manège de chevaux de bois effectue 60 tr/min. Il est animé d'un mouvement de rotation uniforme.
1. Quelle est la vitesse angulaire du plateau, exprimée en rad.s-1?
2. Calculer les vitesses de deux chevaux de bois situés à 3,0m et 5,0m du centre de rotation.
3. Calculer les distances qu'ils parcourent en 5,0 minutes.
 EXERCICE 3:
L’équation horaire du mouvement d’un point d’un corps solide en rotation autour d’un axe fixe est :
1- Quelle est la nature du mouvement ?

2- Déterminer les valeurs de l’abscisse curviligne du point à l’instant et sa vitesse linéaire.
3- Sachant que le diamètre de la trajectoire circulaire est , déterminer l’expression de l’abscisse
angulaire en fonction du temps
4- Déduire la valeur de l’abscisse angulaire du point à l’instant
 EXERCICE 4 :
Un disque de rayon R = 10 cm tourne autour d’un axe fixe (∆), passe par son axe de symétrie.
Le graphe ci-contre montre les changements des abscisses angulaires du disque en fonction de temps.
1. Quel est la nature du mouvement du disque. Justifier votre réponse.
2. Montrer que : ω = 5 rad/s.
3. Déterminer la valeur de 0.
4. Déduire l'équation horaire (t) du mouvement de disque.
5. Déterminer la période et la fréquence de ce mouvement.
6. Déterminer l'équation horaire s (t).
7. Pendant la durée ∆𝑡, le disque effectue 10 tours autour de l’axe fixe
(∆). Calculer ∆𝑡.

Partie 1 Chapitre 2 travail et puissance d’une force
Au cours des constructions les travailleurs fournissent des efforts par habitude on les appelle travail et
puissance, mais en physique ces notions ont des significations bien déterminer.
 Qu’est - ce que le travail mécanique ?  Qu’est - ce que la puissance mécanique ?
 Quelle relation existe- t - il entre travail et puissance ?
1- Notion de travail d’une force constante
1.1-Effets possibles d’une force dont le point d’application se déplace

 Activité 1 :
Déterminer l’effet des actions mécaniques dans les cas suivants :
………………….. ………………………… …………. ………………… ……………………

……………………..
1.2-Conclusion :
Une force appliquée à un solide peut avoir deux effets :
 Effet dynamique : …………………………… ……………………………………………………...
 Effet statique : …………………………… ……………………………………………………...……
*Dans ces conditions, on dit que la force ………………..………*
 Complémentaire :
Un homme tire un wagonnet sur une distance donnée en exerçant une force constante.
………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………
2- Travail d’une force constante
2.1- Définition d’une force constante

On dit qu’une force 𝐹 est constante ; si son vecteur garde :
 ………………………………………
 ………………………………….……
 …………………………………………
 Exemple :
………………………………………………………………………………………………….
2.2 - Translation rectiligne
En physique, le travail est une notion liée aux forces et aux déplacements de leurs points d’application.

→
Le travail d’une force constante 𝐹 pour un déplacement rectiligne de son point d’application est le produit
→
scalaire du vecteur force 𝐹 et du vecteur déplacement , son expression est……………………………..
C.a. d :………………………….
 𝑾𝑨→𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑭 : ……………………………………………………………………
 𝑭 :………………………………………………………………………………
 𝑨𝑩 : ………………………………………………………………………………
 𝜶 : ………………………………………………………………………………
 Remarque
 Le travail est une grandeur algébrique
 Correspond au travail d’une force de sur une distance de c-à-d que …………………………
 Application :
Calculer le travail de la force 𝐹 sachant que : 𝐹 = 10𝑁 ; 𝐿 = 10 𝑐 et 𝛼 = 60°.
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
2.3 -Travail moteur et travail résistant
On sait que l’intensité de la force F et le déplacement AB sont positifs, donc le signe du travail dépend de
…………………………………………….
𝛼 𝛼 𝛼 𝛼 𝛼
𝐹 𝐹 𝐹 𝐹 𝐹 
  
A B A B A B A B A B
𝑊 (𝐹 ) 𝑊 (𝐹 ) 𝑊 (𝐹 ) 𝑊 (𝐹 ) 𝑊 (𝐹 )
………………………………… …………………… ………………………..
2 .4- translation curviligne

On divise la trajectoire en petit segment infiniment petit. On note par 𝑊
le travail élémentaire correspondant au déplacement :
Le travail total de la force est égal à la somme des travaux élémentaire
Donc:
 Conclusion :
Le travail d’une force ⃗ constante ……………………………………………
…………………………………………………………………………………………
2 .5 - travail du poids d’un corps solide :
 Soit (S) un corps de masse m son centre d’inertie G se déplace d’un point M d’altitude 𝑧M à un point N
d’altitude 𝑧N.
 L’expression du travail du poids au cours du déplacement de centre de gravité de M à N s’écrit alors :
 Dans un repère 𝑅 𝑂 ⃗ les coordonnées du poids 𝑃⃗ et du vecteur déplacement sont :
⃗⃗ | →
𝑒𝑡 |

z
Donc: ………………………………………………………………………………… M
ZM
……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………….……………
𝑃⃗
…………………………………………………………………………………………
La différence d’altitude entre le point d’arrivée et le point de départ peut ZN N
s’écrire : ……………….. O
Par la suite
 Conclusion: ……………………………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………
Si le corps descend, alors ⃗⃗
→ ( ) Si le corps monte, alors ⃗⃗
→ ( )
1er cas : MN plan horizontal

……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………….……………
2éme cas : plan incliné
……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………….……………
……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………….……………
3éme cas : trajectoire circulaire

……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………….……………
……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………….……………
……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………….……………
……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………….……………
 Application 2 : Soit un corps solide de masse m=500g au mouvement sur une piste ABCD tel que
AB est un plan incliné d’un angle 𝛼 par rapport à l’horizontale tel que AB=2m

BC est un plan horizontal tel que BC=5m et CD est circulaire de rayon r=0,5m
1- Calculer le travail en chaque portion de la trajectoire du poids : 𝑊 𝑃⃗ ,𝑊 𝑃⃗ ,𝑊 𝑃⃗

………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
2- Calculer le travail de A à D 𝑊 𝑃⃗ , Conclure.
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
2.6 - Le travail de la réaction du plan⃗⃗
a- sans frottement :
⃗⃗ est normale au plan de contact : ⃗⃗ ⃗⃗
⃗⃗ ⃗⃗
b- avec frottement :
⃗⃗ est inclinée d’un angle (angle de frottement) par rapport à la normale dans le sens opposé du
mouvement : ⃗⃗ ⃗⃗ ⃗
……………………………….……………………………
……………………………………….……………………

……………………………………………..……………...
………………………………………………….………..
…………………………………………………………….
……………………………………………………………
……………………………………………………………..
……………………………………….………….………..
……………………………………….…………………..
: Coefficient de frottement
: Angle de frottement
: force de frottement
3- Travail d’une force de moment constant exercé sur un solide en rotation :

3.1-Travail d’une force de moment constant
Rappel : Moment d’une force.
Le moment 𝑀Δ d’une force ⃗⃗⃗𝐹 par rapport à l’axe de rotation (Δ)
orthogonal à sa droite d’action est :
- 𝐹∶
- :
- ±
Pour une faible rotation δθ, le point d’application de la force 𝐹 parcourt un petit arc ………. peut être assimilé
à un segment de longueur . Au cours de ce déplacement, la force ⃗ peut être aussi considérée comme
constante.
Le travail effectue sur ce petit déplacement est dit travail élémentaire et s’écrit
Puisque le point M décrit une trajectoire circulaire :

………………………………………………………………………………………………………………………..…………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………
Le Travail totale de la force ⃗ est la somme des travaux élémentaires :
Le moment est constant et ∑ donc
(⃗ ) ⋯
 Conclusion :
Le travail des forces de moment constant dans le cas d'un solide en rotation autour d’un axe fixe est :
: ……………………………………………………………
3.2-Travail d’un couple de moment constant
 Rappel : moment d’un couple de force.
 Le moment d’un couple de force définie par la relation :
…………………………….………………………….
- : La distance entre les directions des deux forces
- 𝐹: L’intensité commune des deux forces (𝐹 𝐹 𝐹)

 Pour un couple de forces de moment constant l’expression du travail s’écrit :
4- Puissance d’une force

4.1- Puissance moyenne :
La puissance moyenne Pm d’une force est le quotient du travail qu’elle effectue entre les
points A et B par la durée ∆t correspondante :
L’unité de la puissance dans SI est le …………………………..
 Remarque : Unité de puissance encore utilisée le cheval-vapeur, ………………
4.2- Puissance instantanée
Si la force 𝐹 réalise un travail élémentaire 𝑊 pendant une durée très petite 𝑡 donc la
puissance instantanée de cette force :
a- Cas de translation
……………………………………………………………………………………………………………………….……………
……………………………………………………………………………………………………………..……………………..
La puissance instantanée de la force 𝐹 est : …………………………
→ est le vecteur vitesse instantanée du point d’application de la force ⃗

b- Cas de rotation
………………………………………………………………………………….…..………………
…………………………………………………………………………………………..………….
.…………………………………………………………………………………….………………
……………………………………………………………………………………..………………
 Application 3 :
Un moteur effectue un travail de puissance P=1500KW.
1- Trouver le travail du moteur durant une demi –heure sachant qu'il effectue 1500tours /mn.
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
2- Trouver la valeur du moment constant exercé sur le moteur.
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..………………
……………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
3- Calculer l'a valeur de l'angle de rotation pendant cette durée.
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………

………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………………
 Exercice 1 :
Le "water jump" est une activité en plein essor. Le principe en est simple : un skieur de masse m = 70kg glisse
sur un toboggan préalablement mouillé et terminé par un tremplin, puis à la sortie de ce dernier, il effectue un
saut avant de terminer sa course dans un plan d’eau.
Le tremplin est composé de 3 parties :
 La partie (AB) est rectiligne de longueur AB = 20m et inclinée par l’angle α = 30.
 La partie (BC) est rectiligne de longueur BC = 5m
 La partie (CD) est circulaire de rayon OC = OD = r = 14m. On donne : θ = 20.
On considère que le mouvement de skieur sur le tremplin (ABCD) se fait sans frottement.
 Etude du mouvement du skieur dans la partie (AB) :

a. Faire l’inventaire des forces appliquées au skieur sur la partie AB, et les représenter.
b. Exprimer le travail du poids du skieur →
⃗⃗ en fonction de m, g, AB, et α. Calculer sa valeur et déduire sa
nature.
c. Calculer le travail de la réaction →
⃗⃗ . Déduire sa nature.
 Etude du mouvement du skieur dans la partie (BC) :
Montrer que le mouvement du skieur dans la partie BC est rectiligne uniforme.
 Etude du mouvement du skieur dans la partie (CD) :
Montrer que le travail du poids du skieur →
⃗⃗ dans la partie CD s’écrit sous la forme :
⃗⃗
→ ( )
 Etude du mouvement du skieur après avoir quitté le tremplin (ABCD) :
Le skieur quitte le tremplin (ABCD) au point D de hauteur h = 2m par rapport au niveau de l’eau, et atteint une
hauteur maximale H = 8 m au point S, puis il tombe dans l’eau au point K.
a. Calculer le travail du poids du skieur au cours du déplacement DS. Déduire sa nature.
b. Calculer le travail du poids du skieur au cours du déplacement SK. Déduire sa nature.
c. Sachant que la durée de saut est t = 3s, calculer la puissance moyenne du poids du skieur au cours du
déplacement DK.
 Exercice2:
Un solide (S) de masse m = 30 kg est
tracté par un mobile développant une
force motrice ⃗ d’intensité F = 100N à
l’aide d’un câble formant un angle
constant α = 20° avec le plan de
mouvement.
Le solide passe sur un tremplin BC incliné

d’un angle β = 15° par rapport à l’horizontale. Il arrive jusqu’en C et effectue un saut et retombe au point D.
Sur le trajet ABC, on considère que la force de traction du câble est constante et l’ensemble des forces de
frottement est équivalent à une force unique constante notée ⃗ .
 Etude du mouvement du solide (S) sur la partie (AB) :
a. Faire l’inventaire des forces exercées sur le solide (S) dans la partie AB. Représenter ces forces.
b. Calculer les travaux de ces forces en indiquant la nature de chaque travail.
c. Sachant que la vitesse du solide (S) est constante et de valeur V = 1,2 m.s-1. Calculer la puissance de chaque
force exercée sur le solide (S).
 Etude du mouvement du solide (S) sur la partie (BC) :
a. Faire l’inventaire des forces exercées sur le solide (S) dans la partie BC. Représenter ces forces.
b. Calculer le travail du poids ⃗⃗ du solide (S), et de la force motrice ⃗ en indiquant la nature de chaque travail.
c. Sachant que la vitesse du solide (S) dans la partie BC reste constante. En utilisant le principe d’inertie,
calculer l’intensité de la force de frottement ⃗ dans cette partie.
 Etude du mouvement du solide (S) sur la partie (CD) :
Calculer le travail du poids du solide (S) au cours du déplacement CD. Déduire sa nature.
Données : L’intensité de force de frottement dans la partie AB : f = 94N ; AB = 20m ; BC = 5m
 Exercice 3 :
Un moteur permet de soulever une charge de masse m = 250kg avec une vitesse constante V = 0,5m.s-1 sur un
plan AB incliné par l’angle α = 30° et de longueur AB = 30m, à l’aide d’un cylindre de rayon r = 10cm enroulé
avec une corde non extensible de masse négligeable.
On néglige tous les frottements.
 Faire l’inventaire des forces appliquées à la charge.
Représenter ces forces sur le schéma ci-contre.
 En utilisant le principe d’inertie, calculer la tension
de la corde T.
 Calculer les travaux de toutes les forces qui
s’exercent sur la corde. Déduire la nature de chaque
travail.
 D’autre part, la corde exerce une force ⃗ sur le
cylindre du moteur au cours du mouvement de la
charge.
a. Déterminer l’intensité de la force ⃗ .
b. Calculer le moment de la force ⃗ par rapport à l’axe () passant par le centre du cylindre.
c. Calculer le travail de la force ⃗ lorsque le cylindre effectue 5 tours.
d. Calculer la durée t nécessaire pour effectuer ces tours.
e. En utilisant le théorème des moments, Déterminer le moment Mm du couple de moteur.
f. Déduire la puissance Pm du moteur.
travail et énergie cinétique

Partie 1 Chapitre 3
Immédiatement après son décollage, la navette spatiale reçoit une énergie cinétique croissante. Cette
énergie dépend aussi de la masse de la navette.
Qu’est - ce que l’énergie cinétique d’un corps solide ?

Quelle est la relation existe entre le travail des forces exercées et l’énergie cinétique ?
1- Energie cinétique d’un solide en translation :
1.1- Notion de l’énergie cinétique :

 Activité 1:
 On fait tomber 3 boules de pétanque de même masse sur l'argile mais à
des hauteurs différentes.
 On fait tomber 3 boules de pétanque de masses différentes sur l'argile.
1- Pourquoi les impacts sur l'argile sont-ils différents ?
………………………………………………………………………………
……………………………………….……………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
2- L’énergie acquise par la boule est liée par deux grandeurs quelles sont ?
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
 Activité 2:
v2(m2/s2) v(ms-1) h(m)
Une bille d’acier de masse m, est maintenue par un électroaimant ; quand on 1.40 0.1
ouvre le circuit d’alimentation, la bille tombe d’un mouvement rectiligne 1.98 0.2
vertical. 2.80 0.4
Grace à un dispositif convenable on a obtenu les résultats indiqués dans le 3.43 0.6
3.96 0.8
tableau suivant :
4.42 1.0
1- Compléter le tableau. 4.46 1.1
2- Tracer la courbe V2= 𝑓(𝑕) représentant la variation V2 en fonction de 𝑕. 4.85 1.2
Que pouvons-nous en déduire.
3- Trouver le coefficient directeur de la courbe obtenu en précisant son unité.
On donne 𝑔 = 9,8 𝑁⁄ 𝑔 et 1𝑁⁄ 𝑔 = 1 ⁄𝑠2
→
4- comparer la grandeur 𝑣 et 𝑃 . Que peut-on en conclure ?
 Exploitation :
1- voir tableau :
2- Voir courbe v =f (𝒉) :
3-……………………………..………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………..
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
4- Comparaison des 2 grandeurs :
On remarque que : ……………………………………………………………………………………….
Donc l’équation de la droite est : ……………………………………………………………………
Donc …………………………………………………………………………………………………….
Un corps en mouvement possède une énergie de mouvement………………………………….……………
1.2- expression de l’énergie cinétique :
a- cas d’un solide en translation :
L’énergie cinétique EC d’un solide en mouvement de translation est donnée par la relation :

EC : …………………………………………
m : …………………………………………
V : …………………………………………
 Application1 :
Un véhicule de masse m= 4tonnes roule à
vitesse constante V, son énergie cinétique a
pour valeur Ec=1250kJ
Déterminer la valeur de sa vitesse en km/h.
b- cas d’un solide en rotation :

On considère un corps solide en mouvement de rotation autour d'un axe fixe (Δ) avec une vitesse angulaire ω.
En considère le point Mi du corps solide, sa masse mi et situé à une distance ri=OMi de l’axe (Δ) et tourné par
une vitesse Vi ou Vi=ri.ω Alors, ce point possède une énergie cinétique :
On déduit que l'énergie cinétique du corps solide est : ……………………………………………………………….
On pose elle s’appelle moment d’inertie du corps par rapport l’axe (Δ), et il dépend de la
masse mi et de rayon ri et de la distribution de sa matière autour de l'axe(Δ), son unité en (S.I) est ……………..
Donc:
EC : ……………………………………….…………………
ω : ……………………………………………………………………
: …………………………………………………….………………
c- Les expressions des moments d’inertie de quelques solides homogènes :

Sphère Tige Tige Cylindre Disque Cerceau
 Application 2 :
Le tambour d’une machine à laver est un cylindre de masse m=1,2kg et de rayon r=40cm.
Son moment d’inertie s’exprime par la relation 𝐽 𝑟 .
1- Calculer la valeur de 𝐽 .
……………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………..
2- calculer la valeur de l’énergie cinétique du tombeur lorsqu’il à raison de 120tr /min
……………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………

……………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………
2- Théorème de l’énergie cinétique :

 Activité 3:
On libère un autoporteur de masse = 700 , sans vitesse initiale, sur
une table à coussin d’air inclinée d’un angle 𝛼 = 10° par rapport à
l’horizontale, il glisse sans frottement.
On enregistre les positions du centre d’inertie toutes les τ=60 𝑠, on
obtient l’enregistrement :
𝐺0𝐺1 = 3m , 𝐺1𝐺2 = 9 , 𝐺2𝐺3 = 15 , 𝐺3𝐺4 = 21 , 𝐺4𝐺5 = 27 , 𝐺5𝐺6 = 33 , 𝐺6𝐺7 = 39

On prend : 𝑔 = 9,8𝑁⁄ 𝑔
1- Faire le bilan des forces extérieures agissant sur le mobile.
→
2- calculer ∑ 𝑊 𝐹 : la somme des travaux des forces modélisant les actions appliquées à l’autoporteur entre
les deux points G3 et G5.
3- calculer la valeur de la vitesse instantanée aux points G3 et G5. Et déduire 𝐸 𝐸 𝐸 la variation
de l’énergie cinétique de l’autoporteur entre ces deux points.
→
4- comparer 𝐸 et ∑ 𝑊 𝐹 .
 Exploitation :
1- L’autoporteur est soumis à deux forces :
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
2- la somme des travaux :
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
3- la variation de l’énergie cinétique 𝐸 .
Vitesse instantanée en 𝐺3 ………………………………………………………………………………
donc : Énergie cinétique 𝐸𝐶3 ………………………………………………………………………………
Vitesse instantanée en 𝐺5 : ………………………………………………………………………………
donc : Énergie cinétique 𝐸𝐶5 ………………………………………………………………………………
Variation de l’énergie cinétique Δ𝐸𝐶 : 𝐸 ⋯
4- …………………………………………………………
 Enoncé du théorème de l’énergie cinétique :
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………

………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………….
 Exercice -1-
On considère un corps solide (S) de masse m = 50 Kg peut se déplacer sur un rail ABCD, formé d’une partie AB de
forme circulaire de rayon R, d’une partie BC rectiligne horizontale et d’une
partie CD inclinée d’un angle 𝛼 =30° par rapport au plan horizontal.
Le solide (S) part du point A sans vitesse initiale (VA = 0) et il passe par le
point B avec une vitesse VB = 10 m/s. On prend : g = 10 N/Kg.
1. Le mouvement de (S) sur la partie AB : les frottements sont négligeables.
a. Enoncer le théorème d’énergie cinétique.
b. En appliquant ce théorème, montré que l’expression du rayon de la partie AB est : R = 𝑉𝐵 2 /2.Calculer sa valeur
2. Le mouvement de (S) sur la partie BC : les frottements ne sont pas négligeables
Le solide (S) aborde la piste BC et arrive au point C avec une vitesse VC = 6 m/s..
a. En appliquant le théorème d’énergie cinétique, Trouver la valeur de WB C ( 𝑅)
b. En déduire la valeur de f l’intensité de la force de frottement. On donne BC = 80 m.
3- Le mouvement de (S) sur la partie CD : les frottements sont négligeables.
Le solide (S) aborde la piste CD et s’arrête au point D .
a. Exprimer le travail du poids en fonction de m, g et h.
b. En appliquant le théorème d’énergie cinétique entre C et D, montrer que l’expression de l’altitude h du point C
par rapport au plan horizontal est : h = 𝑉𝐶 2 /2.𝑔 .calculer sa valeur.
c. Exprimer h en fonction de CD et sin𝛼 en déduire la valeur de CD.
 Exercice -2-
Une machine tournante a une fréquence de rotation égale à 200 tr/min. Son moment d'inertie par rapport à son
axe de rotation est égal à 50 kg. m2. On prendra g = 10 N/ kg.
Pour l'arrêter on exerce une force tangentielle constante de 150 N.
1. Calculer la variation d'énergie cinétique au cours du freinage.
2. Calculer le moment de la force de freinage sachant que la machine peut être assimilée à un disque de diamètre
80 cm.
3. Calculer le nombre de tours effectués par la machine avant l'arrêt.
*
Partie 1 Chapitre 4
Travail et énergie potentielle de
pesanteur-Energie mécanique
L’eau du barrage stocke une énergie énorme qui est utilisée pour produire de l’électricité, appelée
énergie potentielle de pesanteur.
 Qu’est-ce que l’énergie potentielle de pesanteur d’un corps ? et quelle est son expression ?
 Comment cette énergie varie-t-elle ?
 Que représente la somme de l’énergie potentielle de pesanteur et l’énergie cinétique ?
1- Energie potentielle de pesanteur

1-1-Notion de l’énergie potentielle de pesanteur
a- Activité 1:
 Une grue soulève lentement un collie de masse m initialement au repos sur le sol (position A),
pour le poser sur le toit d’une construction (position B).
 Les vitesses : initiale et finale, sont supposées nulles. vA=0 et vB=0
1- Faire l’inventaire des forces exerçées sur le collie, et les représenter sur la figure.
→
2- Montrer que l’expression du travail fourni par le câble est : 𝑊 ( 𝑇 ) 𝑔𝑧 𝑔𝑧
3- S’assurer que la quantité « m .g.z » est homogène à une énergie.
Exploitation :
1-……………………………..………………………………………………………………………………………………….
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
2- on applique le théorème d’énergie cinétique entre A et B :
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
……………………………..………………………………………………………………………………………………….
3-……………………………..………………………………………………………………………………………………….
 conclusion:
………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………….
b- Definition
L’énergie potentielle de pesanteur d’un solide est l’énergie …………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………...
…………………………………………………………………………………………………………………………………...
1.2- L’expression de l’énergie potentielle de pesanteur
L’énergie potentielle de pesanteur Epp d’un corps est définie par la relation suivante :………………...
: ……………………………………………………….………………….
: …………………………………………………….………………………
: …………………………………………………………………………………..……………………
: …………………………………………………………………………………………….……………………………..
………………………………………………………………………………………………………………………………
 Détermination de la constante de référence :

On considère un corps de centre d’inertie G situe à une altitude . On choisi
l’état de référence en .
………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………
……………………………………….
 Remarque :
Si : → z-z0=h Si : → z0-z = h

Donc: …………………………………………………… Donc: ………………………………………..……………
 Conclusion : ……………………………………………………………………………………………
......................................................................................................................................................................
......................................................................................................................................................................
...................................................................................................................................................................
…………………………………………………………………………………………………………………
 Application 2 :
Un corps ponctuel de masse m= 2g, posé sur une table de hauteur h=0,8m comme l'indique la figure suivante :
Calculer l'énergie potentielle de pesanteur du corps dans chacun des cas suivants :
a) Etat de référence z1=0,8m
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………..
d) Etat de référence z3= -0,2m.
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………
1.3- Variation de l’énergie potentielle de pesanteur:
Lorsqu'un corps se déplace de la position (1) à la position (2)
Alors :
La variation de son énergie de potentielle :
Donc ……………………………………………………………… (1)

ne dépend pas de ……………………………………
Or nous savons que le travail du poids d'un corps durant le déplacement de (1) à (2) :
(2)
D’après (1) et (2) on déduit que : ……………………………………………………… ;
 Conclusion : …………………………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………………… ………………………………….
………………………………………………………………………………………………………………………………..
 Application 3 :
Un wagon de masse = 65 𝑔 se déplace sur des rails dont le profil est donné sur le schéma ci-dessous.
Les hauteurs des différents points A, B, C, D et E sont repérées par rapport au sol et ont pour valeurs :
𝑕𝐴 = 20 ; 𝑕𝐵 = 10 ; 𝑕𝐶 = 15 ; 𝑕𝐷 = 5 ; 𝑕𝐴 = 18
Calculer la variation d’énergie potentielle de pesanteur de wagon passant :
1- de 𝐴 à 𝐵

2- de 𝐵à 𝐶
3- de 𝐴 à 𝐷
4- de 𝐴 à 𝐸
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
2- Energie mécanique
2.1- Définition
L’énergie mécanique d’un corps solide à toute instante dans un référentiel donné est …………………….
………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………
L’unité de dans est ……………………..
ENERGIE MECANIQUE 𝑬𝒎
CAS DE TRANSLATION CAS DE ROTATION

…………………………………….......... ………………………………………
…
2.2- Conservation de l’énergie mécanique:
a- Le chute libre
On considère un corps solide de masse m en chute libre sous l'action de son poids.
D’après le théorème de l'énergie cinétique entre les positions A et B :
……………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………….
…………………………………………………………………………………………………
 Conclusion :
 L’énergie mécanique du solide en chute libre ……………….., …………………………..…………………………
 Le poids est une force ……………………, son travail ne varie pas …………………………………………………
b- Cas de glissement d'un corps solide sans frottement sur un plan incliné :
En appliquant le théorème de l'énergie cinétique sur le corps entre les positions A et B :

⋯
Sans frottement :
……………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………….…………
Donc il y'a conservation de
…………………………………………………………………
 Conclusion :
Principe de conservation de l’énergie mécanique :
……………………………………………………………….……………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………….
…………………………………………………………………………………………………………………………………….
Interprétation graphique pour un système conservatif
2.2- Non-conservation de l’énergie mécanique :

Le mouvement d'un corps solide avec frottement sur un plan incliné
D’après le théorème de l’énergie cinétique :
……………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………..……………………………………………………
…………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………
 Conclusion :
La variation de l’énergie mécanique …………………………………………
…………………………………………………..………………..…………..……
 Rmarque :
Par convention : tout système mécanique reçoit de l’énergie (W) du
milieu extérieur alors W > 0
Lorsqu’il libère de l’énergie vers l’extérieur alors W < 0
 Interprétation :
Au cours de glissement avec frottement d’un corps solide sur un plan incliné, l’énergie mécanique .……………
……………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………..
 Exercice -1-
Un solide 𝑆 de petite dimension assimilable à un petit point matériel de masse 𝑔 peut glisser à l’intérieure
d’une demi sphère de centre 𝑂 et rayon 𝑟 . On prendra 𝑔 𝑁 𝐾𝑔

On le lâche au point 𝐴 sans vitesse initiale, sa position à l’intérieure de la demi-sphère est repère par l’angle
1- En admettant que le solide glisse sans frottement, exprimer littéralement sa
vitesse au point 𝑀 en fonction de 𝑔 𝑟 𝑒𝑡
2- La calculer au point 𝐵.
3- En réalité, le solide arrive au point 𝐵 avec une vitesse 𝑣 𝑠
Quelle conclusion pouvons-nous tirer ?
4- Le solide est soumis à une force de frottement 𝑓 dont on admettra qu’elle est de
même direction de la vitesse 𝑣 du mobile mais de sens opposé et d’intensité
constante. Calculer l’intensité de 𝑓.
 Exercice -2-
Le saut à ski (Ski jumping) est discipline assez ancienne, elle fait l’objet de nombreuses compétitions dont les jeux
olympiques. Le principe de ce sport est assez simple : Un skieur skie sur un tremplin, et essaie enfin de sauter le plus loin
possible tout en gardant un style esthétique pour le vol.
On considère un skieur de masse m = 70kg skie sur un tremplin (ABC) qui se
compose de deux parties :
 La partie (AB) est rectiligne de longueur AB = 50m et inclinée par l’angle α = 45.
 La partie (BC) est circulaire de rayon OB = OC = r = 40m. On donne : θ = 20.
Le skieur part du point A sans vitesse initiale (vA = 0 m.s-1).
On considère que son mouvement sur la partie (AB) se fait avec frottement, tel que la
force de frottement sur cette partie est f = 60 N, et sans frottement sur la partie (BC).
 Etude du mouvement du skieur sur la partie (AB) :
d. Faire l’inventaire des forces appliquées au skieur sur la partie (AB), et les représenter.
e. Exprimer le travail du poids du skieur 𝑊 → 𝑃⃗ en fonction de m, g, AB, et α. Calculer sa valeur et déduire sa nature.
f. Calculer le travail de la réaction 𝑊 → 𝑅⃗ . Déduire sa nature.
g. En utilisant le théorème de l’énergie cinétique, déterminer la vitesse vB du skieur au point B.
 Etude du mouvement du skieur sur la partie (BC) :
a. Montrer que le travail du poids du skieur 𝑊 → 𝑃⃗ sur la partie (BC) s’écrit sous la forme :
𝑊 → (𝑃⃗) 𝑔𝑟
b. En utilisant le théorème de l’énergie cinétique, déterminer la vitesse vC du skieur au point C.
 Etude du mouvement du skieur après avoir quitté le tremplin (ABC) :
Le skieur quitte le tremplin (ABC) au point C, et atteint une hauteur maximale H = 2 m (par rapport à C) au point S,
puis il arrive au nuage au point K.
d. Calculer le travail du poids du skieur au cours du déplacement CS. Déduire sa vitesse vS au point S.
e. Monter que le travail du poids du skieur au cours du déplacement SK s’écrit sous la forme :
𝑊 → (𝑃⃗) 𝑔 𝐻 𝐶𝐾
f. Déduire sa vitesse vK immédiatement avant d’arriver au nuage.
Données : 𝐶𝐾 (le record du monde), et
 Etude énergétique du skieur au cours de son mouvement :
On prend l’état de référence de l’énergie potentielle de pesanteur est à z = 0 (confondu avec le plan horizontal
passant par C).
a. Calculer la variation de l’énergie cinétique 𝐸 du skieur et de son énergie potentielle de pesanteur 𝐸 entre
les positions A et B.
b. Déduire la variation de son énergie mécanique 𝐸 entre les positions A et B. Que concluez-vous ? Expliquer la
diminution de l’énergie mécanique 𝐸 entre ces deux positions.
c. Calculer l’énergie perdue par le skieur sous forme de chaleur 𝑄 pendant le déplacement AB.
d. Est-ce que l’énergie mécanique 𝐸 du skieur se conserve dans la partie (BC) ? justifier (sans calcul).

Partie 2 Chapitre Transfert d’énergie dans un circuit
Électricité 3 électrique - Puissance électrique.
Les appareils électriques reçoivent de l’énergie électrique et la transformer en d’autres formes utiles en
s’échauffant au cours du fonctionnement.
Quels sont les différentes transferts ou transmissions d’énergies qui se font au niveau des récepteurs ?
Comment se répartie l’énergie électrique dans un circuit ? et pourquoi les appareils s’échauffant-ils ?
1- Transfert Énergie électrique

1.1- Introduction:
Il est possible de classer les dipôles électriques en deux catégories : les récepteurs et les générateurs. Ce
sont tous des convertisseurs d’énergie, mais ils se différencient par la nature des formes d’énergie qui
entrent et qui sortent.
 Activité :
Matériel :
Générateur, lampe, moteur, électrolyseur, résistance, fils de connexion, interrupteur.
 Manipulation :
- Associer les dipôles en série.
- Mettre le générateur en marche et fermer l’interrupteur.
1- Que se passe-t-il au niveau de chaque dipôle ?
Lorsqu’on ferme le circuit on observe :
* ………………………………………………………………………..
* ………………………………………………………………………..
* ………………………………………………………………………
* ………………………………………………………………………
2- Quel est le dipôle qui fournit l’énergie au reste du circuit ?
…………………………………………………………………………..
3- Noter sur le document ci-dessous, les conversions d’énergie électrique Ee (fournie par le générateur) se
produisant au niveau de chaque dipôle ?
………………………………...………
…………..
………………………………...………
.
………………………………...………
.
………………………………...………
.
………………………………...………
………………………………...………
.
………………………………...………
..

4- Quelle est l’énergie qui apparait dans tous les éléments du circuit ?
……………………………………………………………………...……
 Définition :
Un récepteur est un dipôle qui reçoit ……………………………………………………………………………...……
……………………………………………………………………………………………………..………………...……
Exemples : ………………………………………………………………………………………..……………...…………..
……………………………………………………………… ………………………………………………………………..
Un générateur électrique est un dipôle qui ………………………………………………………………..................
……………………………………………………………………………………………………………………………….…
Exemples : …………………………………………………………………………………….………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………….
1-2- Convention récepteur et générateur :
 Sens du courant électrique :
Le courant électrique parcours un circuit du pôle positif vers le pôle négatif
Convention
Récepteur Générateur
Le courant et la tension positive …………………… Le courant et la tension positive …………………

……………………… … ………………………
1.3-Puissance et énergie électrique :

Soit un dipôle D quelconque, traversé par un courant d'intensité I et soumis à la tension U
CONVENTION
RÉCEPTEUR GÉNÉRATEUR
La puissance électrique RECUE par En régime pèrmanent La puissance électrique FOURNIE par :
: La puissance en Watt
⋯
: La tension en Volt
: L’intensité en Ampère
L’énergie électrique RECUE par L’énergie électrique FOURNIE par
: L’énergie en Joule
pendant la durée pendant la durée :
: La durée en seconde
……………………………………… ………………………………………
 Remarque :
La puissance électrique…… d’un appareil permet d’évaluer ……………………………………………………….
……………………………………………………….………………………………………………………………………...
Pour les fortes quantités d'énergie, on utilise une autre unité, le Wattheure 𝒉
Application 1: ………………………………………………………………
Un moteur fonctionnant sous une tension ………………………………………………………………
UAB=12V, reçoit une énergie électrique We=360J. ………………………………………………………………
Quand il tourne pendant Δt=2min. …………………………………………..…………………
1- Calculer la puissance électrique reçue par le
………………………………………………………………
moteur.
………………………………………………………………
2- 2-En déduire l’intensité du courant qui le traverse.
………………………………………………………………
…………………………………………..…………………
Application 2: ………………………………………………………………
Un générateur produit un courant électrique ………………………………………………………………
d’intensité I=3,41A ………………………………………………………………
1- Calculer l’énergie électrique fournie par ce …………………………………………..…………………
générateur durant 1 heure, La tension entre ses
………………………………………………………………
bornes es UPN=12,3V
………………………………………………………………
2- 2- Quelle est la puissance électrique fournie au
reste du circuit ? ………………………………………………………………
3- …………………………………………..…………………
2- Effet Joule
2.1- définition :
……………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………..
Exemples : ………………………………………………………………………………………………………………….…
…………………………………………………………………………………………………………………………………….
2 .2- Cas de conducteur ohmique : loi de Joule
Un conducteur ohmique est un conducteur qui vérifie la loi d’Ohm :
…………………..
a- La Puissance dissipée par effet Joule :
……………………………………………………………………………………………………………………..
b- L’énergie dissipée par effet Joule ou la loi de Joule :
……………………………………………………………………………………………………………………..
c- Énoncé de la loi de Joule :
……………………………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………………….……………………
………………………………………………………………
2.3- Conséquences de l’effet Joule :
 Applications :
 Appareil de chauffage : ………………………………………………………….
 L’éclairage par incandescence : ………………………………………………………….
 Les dispositifs de sécurité : ………………………………………………………….

 Inconvénients :
Dans tous les dipôles actifs, l’effet Joule représente ………………………………………………………….
Il y a pertes quand il s’agit du transport de l’énergie électrique : …………………………………………………….
…………………………………………………………………………………………………………………………………..
………………………………………………………………………………………..
Application 3: ……………………………………..……………………………
On considère un conducteur ohmique de ………………………………………….…………………………
résistance : R=8,50Ω.
……………………………………………….……………………
1- Calculer l’intensité du courant …………………………………………..………………………
électrique qui doit traverser ce conducteur
……………………………………………………………..……
ohmique pour que la puissance dissipée
……………………………………………………………………
par effet Joule soit P=20W
2- En déduire la tension à ses bornes. ……………………………………………………………………
3-Calculer l’énergie perdue par effet Joule …………………………………………..………………………
durant 2min ……………………………………………………………………
……………………………………………………………………
4- ……………………………………………………………………
…………………………………………..………………………
……………………………………………………………………
3- Comportement global d’un circuit.

3.1- Distribution de l’énergie électrique pendant une durée Δt : Au niveau du récepteur
a- Loi d’ohm pour un récepteur :
Le récepteur électrique est un dipôle qui reçoit l’énergie électrique et ………………………………………………
………………………………………………………………….…
La caractéristique d’un récepteur est la représentation graphique UAB = f(I), c’est une ……………………………
…………………………
La tension électrique 𝑈 aux bornes d’un récepteur est :………………………
′: ………………………………………………………
′: ………………………………………………………
Caractéristique d’un récepteur : La courbe qui représente UAB en fonction de I est

…………………………………………………………..…
……………………………………………………..………
………………………
b- Bilan énergétique d’un récepteur :

Lorsqu’un récepteur, soumis à une tension électrique 𝑈 , est parcouru par un courant électrique I,
l’énergie électrique We qu’il reçoit pendant la durée Δt est :
…………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………

……………………………………..……………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
Tel que :
𝑊 𝑈 𝐼 𝑡 : ……………………………………………………………………………………………………
𝑊 𝐸 𝐼 𝑡 : ……………………………………………………………………………………….….……………
𝑊 𝑟 𝐼 𝑡 : …………………………………………………………………………………………………………
 Bilan de puissance du récepteur :
En divisant les deux membres de l’égalité par Δt, on obtient :
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
Tel que :
𝑃 𝑈 𝐼 : ……………………………………………………………………………
𝑃 𝐸 𝐼 : ……………………………………………………………………………
𝑃 𝑟 𝐼 : ……………………………………………………………………………
c- Rendement d’un récepteur :
Le rendement d’un récepteur est le rapport ………………………………………………………………………………..
………………………………………………………………….
⋯ ⋯ ⋯
 Application 4 :
L’étude modélisée d’un électrolyseur a ……………………………………..……………………………………
donné la courbe ci-contre : ………………………………………….………………………………
……………………………………………….…………………………
…………………………………………..……………………………….
……………………………………………………………..……………
……………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………..
…………………………………………..……………………………….
…………………………………………………………………………..
1-Déterminer les caractéristique E’ et r’
de l’électrolyseur. ………………………………………………………………………….
2- Calculer la puissance électrique …………………………………………………………………………..
transformée en puissance chimique et …………………………………………..………………………………
celle dissipée par effet Joule pour le ……………………………………………………………………………
point de fonctionnement (4,1V ; 0,5A)
3.2- Distribution de l’énergie électrique pendant une durée Δt : Au niveau du générateur

a- Loi d’ohm pour un générateur :
La caractéristique d’un générateur est la représentation graphique UPN = f(I), c’est une fonction ………….
………………………………………….
La tension électrique 𝑈 aux bornes d’un générateur est :………………………..
: ………………………………………….
∶ ………………………………………….

Caractéristique d’un générateur: La courbe qui représente UPN en fonction de I ……….
……………………………………………………………..
……………………………………………………………….
……………………………………………………….…………….
……………………………………………………………
b- Bilan énergétique d’un générateur :

La tension électrique UPN aux bornes d’un générateur s’écrit : ………………………………………………
En multipliant les deux membres de cette égalité par I. Δt, on obtient :
……………………………………..……………………………………
………………………………………….………………………………
……………………………………………….…………………………
Tel que :
𝑊 𝐸 𝐼 𝑡: ……………………………………..………………………………………..…………………
𝑊 𝑟𝐼 𝑡 : ……………………………………..…………………………………….…………………………
𝑊 𝑈 𝐼 𝑡: …………………………………………….……..…………………………………………………
b-Bilan de puissance du générateur :
En divisant les deux membres de l’égalité par Δt, on obtient :
……………………………………..……………………………………
………………………………………….………………………………
Tel que :
𝑃 𝐸 𝐼: ……………………………………..………………………………………..…………………
𝑃 𝑟 𝐼 : ……………………………………..………………………………………..…………………
𝑃 𝑈 𝐼: ……………………………………..………………………………………..…………………
c- Rendement d’un générateur:
Le rendement d’un générateur est le rapport ……………………………………..………………………………………
……………..……………………………………………………..……………………………………………………..………
………………………………………………..………………………………………..…………………
⋯ ⋯ ⋯
Application 5 : solution :
On considère un générateur de force ……………………………………..…………………………
électromotrice E=15V et de résistance interne ………………………………………….……………………
r=50Ω. ……………………………………………….………………
1- Calculer l’intensité I du courant électrique qu’il …………………………………………..……………………
débite, sachant que la tension entre ses bornes est
……………………………………………………………..…
UPN=10V.
…………………………………………………………………
2- Calculer la puissance PJ dissipée par effet
Joule. …………………………………………………………………
3- Calculer la puissance totale du générateur. …………………………………………..………………………

4- en déduire le rendement du générateur …………………………………………………………………
…………………………………………..………………………
3 .3- Bilan énergétique d’un circuit simple :

Considérons un circuit simple composé d’un générateur (E, r) et d’un récepteur (E’, r’)
On définit le rendement global de ce circuit électrique par la relation :
………………………………………………………………………
 Remarque:
- Rendement du récepteur : ⋯
- Rendement du générateur : ⋯
- Le rendement global : ⋯
4- Facteurs influençant sur l’énergie fournit par un générateur au reste d’un circuit
résistif :
4.1- Intensité du courant électrique dans un circuit résistif :
Considérons un générateur de force électromotrice E et de résistance
interne r, connecté à un dipôle résistif AB.
Le dipôle AB est formé d’une seule résistance, ou d’une association de
résistance équivalente Req.
Pour le générateur : ………………………………………
Pour le dipôle AB : ………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………
La généralisation de cette loi conduit à l’expression suivante : …………………………………………
4.2- Influence de la force électromotrice E et de la résistance équivalence Req:
L’énergie électrique fournie par un générateur pendant la durée Δt est : ………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………
 L’énergie électrique fournie par un générateur ………………. …………………………………………………
………………………………………….……………………………………………………………………………
 Pour un générateur idéal de tension on obtient : ……………………………………
 L’énergie électrique fournie par un générateur est ……………………………… ………………………………..
………………………………………….……
 Remarque : Quelle est l’énergie électrique maximale cédée par un générateur ?
L’expression de la puissance électrique fournie par le générateur :
…………………………………………
La représentation graphique de la courbe Pe=f(Req) est :
On remarque que …………………………………………………..…..
………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………..…………
………………………………………………………………………

………………………………………………
Application 6 : ………………………………………..……………..…………………
On considère un générateur de f.e.m E=12V …………………………..……….…………………………………
et de résistance interne en série avec un …………………………………….………………..…….…………
conducteur ohmique de résistance R .
……………………………………..…………………….……………
1- Quelle est la valeur que doit prendre R
……………………………………………………………………….
pour tirer le maximum de puissance
électrique du générateur ? …………………………………………………………..……………
2- Calculer dans ce cas : ………………………………………………………….……………..
a- L’intensité du courant électrique I. …………………………………….…………………..……………….
b- La puissance PJ dissipée par effet Joule ………………………………………………………….…..………….
dans le générateur. ……………………………………………………………………….
c- La puissance électrique Pe reçue par le ………………………………………………………………………..
conducteur ohmique. ………………………………..………………………..………………
3- Calculer le rapport PJ/Pe. Que peut-on en ………………………………………………………………………..
déduire ? ……………………………………………………..…………………
4.3- limites de fonctionnement des générateurs et des récepteurs :

Chaque conducteur ohmique est caractérisé par sa résistance 𝑅 et sa puissance maximale 𝑃 𝑥 qu’il peut
dissipée par effet Joule : ………………………………………….………….
D’où ……………………………………… et ………………………………………

 Application 7 :
Un conducteur ohmique porte
l’indication (18Ω,0,25W). …………………………………….………………………………….
Calculer l’intensité Imax et la tension …………………………………….………………………………….
Umax que peut supporter ce conducteur …………………………………….………………………………….
ohmique. …………………………………….………………………………….
…………………………………….………………………………….
…………………………………….………………………………….
…………………………………….………………………………….
 Exercice -1-
Un générateur de f.é.m. E = 12 V et de résistance interne r=1 Ω alimente un moteur électrique de force contre-
électromotrice E’ = 10 V et de résistance interne r’=2 Ω.
1. Déterminer l’intensité du courant dans le circuit.
2. Déterminer la tension aux bornes du générateur.
3. Déterminer la puissance utile fournie par le moteur.
4. Déterminer le rendement du moteur
 Exercice -2-
On réalise le montage suivant ci-contre. Donnée : UPN = 22-20.I ; I=0.5A ; R=2 Ω
1. Recopier la figure et représenter l’intensité I et les tensions UPN, UPA, UAB.

2. Calculer UPN, UPA, et déduire UAB. 3. Calculer la puissance électrique fournie par le générateur au reste de circuit.
4. Calculer la puissance calorifique (thermique) dans le conducteur ohmique Pj.
5. Calculer la puissance électrique reçue par l’électrolyseur.
6. Sachant que le rendement de l’électrolyseur est 76 %, calculer sa puissance utile.
7. En déduire la valeur de la force contre-électromotrice E’ de l’électrolyseur.
 Exercice -3-
Un générateur électrique de force électromotrice E et de résistance interne r alimente le circuit électrique
représenté sur la figure ci-contre :
Données : E’1=6V , r’1=4Ω , E’2=4,5V , r’2=2,5Ω , R=31Ω , r =4Ω , I =0,57A
1. Montrer que la puissance dissipée par effet joule dans le circuit électrique est : Pj=13,5w
2. Calculer les puissances Pe1 et Pe2 et Pe3 reçues respectivement par le moteur M1, le
moteur M2 et le conducteur ohmique.
3. Quelle la puissance électrique fournie par le générateur au reste du circuit.
4. En déduire la tension aux bornes du générateur.
5. Retrouver la tension aux bornes du générateur en utilisant la loi d’additivité des tensions.
6. Montrer que la force électromotrice du générateur est : E =34V
7. Calculer le rendement du générateur et le rendement du Moteur M1.
Partie 2 Chapitre Champ magnétique

5 ‫انـمـجــــــبل انـمـغـنـطـيــــــسـي‬
Les savants pensent que la migration collective des oiseaux se fait grâce au champ magnétique terrestre.
- Qu’est-ce qu’un champ magnétique ?
- Quelles sont ses caractéristiques et comment mesurer son intensité ?
1- Les aimants :
1-1. Définition :
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………
On distingue les aimants en U, les barreaux aimantés et l’aiguille aimantée :
N S
N
N S
S
…………………………… ………………………………. …………………………

.
- Un aimant comporte toujours deux ………. appelés ………………………………. et …………………..…………..
situés, en général, à deux extrémités.
- Les pôles d’un aimant sont …………………………………….
-Lorsqu’on approche deux pôles similaires ils
…………...…………… et lorsqu’on approche deux pôles
différents ils …………...……………
- Un aimant exerce …………...……………………………………………..
………………………………………………………………………..

1-2- L’aiguille aimantée :
La boussole est …………………………………………..
………………………………..pivotant autour d'un axe vertical.
L'aiguille aimantée possède un pôle nord N et un pôle sud S
2- Mise en évidence du champ magnétique :
2-1- Activités
a) Activité1 : Le champ magnétique terrestre
On place les aiguilles aimantées sur une table horizontale éloignée les unes aux autres.
a. Qu’observez-vous sur l'orientation de l'aiguille aimantées ?
……………………….………………………………….…………………………………
……………………….………………………………….………………………………………………………………………...
……………………….………………………………….………………………………………………………………………..
b. Déplacent on décale les aiguilles aimantées de sa position d’équilibre et attendent ensuite qu'elles soient à
nouveau équilibrées. Qu’observez-vous ?
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
c. Les aiguilles aimantées sont-elles soumises à un champ magnétique ?Quel est son nomQuelle est sa source ?
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
Une aiguille aimantée détecte ………………………………………..
 Remarque :
Par convention, on appelle pole Nord de l’aiguille aimantée, l’extrémité qui pointe ………………………………
……………………………………… (proche du nord géographique) et pole Sud, l’autre …………………………….
b) Activité2 : de champ magnétique.
On approche un aimant droit d’une aiguille aimantée.
a. Qu’observez-vous ? …………………………………………………………..
………………………………………………………………………………….…..
b. Que peut-on déduire ? ………………………………………………………..
………………………………………………………………………………….…..
Un aimant est source ………………………………
c) Activité :le Champ magnétique créé par un courant
-Disposer un fil conducteur rectiligne parallèlement à
une aiguille aimantée, le fil étant placé au-dessus de
l’aiguille.
-Faire passer un courant de forte intensité dans le fil.
- Changer le sens du courant.
Qu’observez-vous ? que peut-on déduire ?
…………………………………………………………….……
…………………………………………………………….……
…………………………………………………………….……

…………………………………………………………….……
…………………………………………………………….……
…………………………………………………………….……
…………………………………………………………….……
…………………………………………………………….……
2-2- Conclusion :
Le champ magnétique se crée par trois sources :
- Le champ magnétique créé …………………………………… (le champ ……………………………………).
- Le champ magnétique créé par ……………………………………
- Le champ magnétique créé par ……………………………………
3- Champ magnétique et spectres magnétiques

3.1- Vecteur champ magnétique :
Le champ magnétique qui règne en un point de l’espace peut être caractérisé par …………………………….
………………………………………………………………..
- Origine : ………………………………………………………………….………………
- Direction : ………………………………………………………………………………………………………..
- Sens : ………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………….
- Valeur : ……………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………….
3.2- Les spectres magnétiques et lignes de champs magnétiques
La limaille de fer permet de visualiser le spectre du champ créé par aimant car les grains de la limaille se
comportent comme des aiguilles aimantées qui s’orientent sous l’action du champ magnétique en
dessinant les lignes de champ.
…………………………………………. ………………………………………… ………………………………………

…………………………………………. …………………………………………. ……………………………………..
……………………………………….. …………………………………………. ……………………………………..
 Exploitation
 Les lignes de champ d’un aimant sont des lignes qui joignent ses pôles ; elles sont orientées …….………..…..
……………………………………………………………………….…
 En tout point de l’espace, le vecteur champ magnétique est ……………………………………………………
3.3- Champ magnétique uniforme :
Un champ magnétique est dit « uniforme » quand le vecteur champ magnétique est. ……………………………
………………………………………….………..Les lignes de champ sont …………………………... C’est le cas dans
…………………………………………………………………………….
3.4- Superposition de deux champs magnétiques (addition vectorielle)
S’il y a plusieurs champs magnétiques (créés par plusieurs sources distinctes), le vecteur champ
magnétique résultant en un point est égal à la somme vectorielle des champs créés par chacune des sources
en ce point. ……………………………………………………………………………………………………
 Application :
Deux aimants droits sont placés perpendiculairement l’un à l’autre à
la même distance du point M, comme l’indique la figure ci-contre.
1. Sachant que B1 = 4 mT et B2 = 3 mT, représenter à l’échelle : 2 mT
→ 1 cm.
→
a. 𝐵 Le vecteur champ magnétique crée par l’aimant A1 au point M
…………………………………………………………
………………………………………………………….
→
b. 𝐵 Le vecteur champ magnétique crée par l’aimant A2 au point M
…………………………………………………………………………
→ → → →
2. a. Exprimer le vecteur champ magnétique résultant𝐵 en fonction de 𝐵 et𝐵 er représenter 𝐵
b. Schématiser l’aiguille aimantée placée au point M.

c. Déterminer graphiquement et par calcul la valeur du champ magnétique B résultant
……………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………….
→ →
d. Déterminer la valeur de l’angle α = (
……………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………….
4- Champ magnétique terrestre :

-Le champ magnétique terrestre peut-être considéré comme le champ créé par ……………………………………
…………………………………….. …………………………………….. ……………………………………..
-Le pôle magnétique sud se trouve à proximité…………………………………………………………
- De même le pôle magnétique nord se trouve près……………… …………………………….
…………………………..……………

→
-Le vecteur champ magnétique terrestre possède deux composantes :
………………………………………
⃗⃗⃗⃗⃗ :………………………………………………………………………
………………………………………………………………………….
⃗⃗⃗⃗⃗ : ……………………………………………………………………
…………………………………………………………….……………….
̂ : ………………………………..……………….
̂ : …………………………………….…………….
̑ ⋯
 Exercice -1-
→ →
En un point M de l'espace, se superposent deux champs magnétiques 𝐵 et𝐵 créés par deux aimants dont les
directions sont orthogonales. Leurs intensités sont respectivement B1 = 5.10–3 T et B2 = 2.10–3 T.
1. Déterminer le pôle Nord de chaque aimant
→
2. Représenter graphiquement le champ résultant 𝐵 .
→ → →
3. Calculer l’intensité de𝐵 et α = ( 𝐵 𝐵
……………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………
……………….……………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………
Exercice -2-
On considère deux aimants droits A1 et A2.
L'aimant 1 crée au point A un champ magnétique d'intensité B1 = 0,4 T.
L'aimant 2 crée au point A un champ magnétique d'intensité B2 = 0,3 T.
→ →
1.Représenter pour chaque aimant, les vecteurs champs magnétiques𝐵 et𝐵 au point A. Echelle : 1 T ↔ 10 cm.
→
2. Déterminer graphiquement la résultante𝐵 du champ magnétique au point A. Calculer son intensité B
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………..……………
…………………………………………………………………………………………………………………………….
3. Dessiner l'orientation d'une boussole qu'on placerait au point A

Partie 2 Chapitre Le champ magnétique créé par
6 un courant électrique
En 1814, le physicien Danois Oersted observe que le courant électrique produit par une pile et circulant dans un fil
conducteur dévie l’aiguille d’une boussole dans une direction perpendiculaire à celle du courant, cette observation
constitue une découverte de l’électro- aimant. Donc le courant électrique crée un champ magnétique dans l’espace qui
l’entoure.
Quelles sont les caractéristiques de ce champ magnétique dans un conducteur (fil conducteur, bobine et solénoïde)?
1- Champ magnétique créé un fil rectiligne
1.1- spectre du champ magnétique :

On réalise le circuit électrique représenté ci-contre, où on branche le
générateur, le rhéostat, l’ampèremètre, le conducteur rectiligne et
l’interrupteur en série. On disperse la limaille de fer sur une plaque
transparente perpendiculaire au conducteur rectiligne, puis on place
des aiguilles aimantées autour de lui et on ferme l’interrupteur. Et on
obtient le spectre du conducteur rectiligne représenté ci-contre.
a. Pourquoi la distribution des grains de limaille de fer change-t-elle lorsque le courant électrique traverse le
conducteur ?
………………………………………………………………………………………………………………………………
b. Décrire les lignes de champ magnétique d’un conducteur rectiligne.
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
c. On change le sens du courant électrique traversant le conducteur. Qu’observez-vous ?
…………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………
1.2- Sens et direction du vecteur champ magnétique :
Le sens et la direction du vecteur champ magnétique créé par un conducteur rectiligne est donnée par une
aiguille aimantée ou l’une des règles suivantes :
 Direction : …………………………………………………………………………..………………..
 Sens : Donné à l’aide de l’une des règles suivantes
Règle du bonhomme d’Ampère Règle de la main droite Règle de tire-bouchon
Lorsqu'un bonhomme d'Ampère En plaçant la main droite le long du fil Lorsque le tire-bouchon
placé sur le fil, le courant entrant de façon que les doigts soient dirigés progresse dans le sens du
par ses pieds et sortant par sa tête dans le sens du courant électrique, la courant, il tourne dans le
regarde le point M, son bras paume de la main orientée vers le point sens du champ 𝐵 ⃗
gauche indique le sens du champ𝐵 ⃗ M, le pouce tendu indique le sens du
vecteur champ magnétique au point M.
 Convention :
Un vecteur perpendiculaire au plan de la feuille est représenté comme suit :
1.3- Intensité du champ magnétique d'un conducteur rectiligne:

L'intensité du champ magnétique d'un conducteur rectiligne parcouru par un courant d'intensité I en un
point M est donnée par la relation suivante : …………………………………………………………………
… : ………………………………………………………………………………………………………
…: …………………………………………………………………………………………………………
… :……………………………………………………………………………………………………………
… : ………………………………………………………………………………………………
… : ………………………………………………………………………………………………
 Application 1 :
On considère un long conducteur rectiligne parcouru par un courant électrique d'intensité I =12A
1. Représenter le vecteur champ magnétique créé par le conducteur au point M.
…………………………………………………………………………………………………
2. Calculer B l'intensité du champ magnétique créé par le conducteur au point M. On donne
d=3cm
.…………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………
2- Champ magnétique créé par une bobine plate

2.1- Définition :
………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………….…………
2.2- Spectre du champ magnétique :
Une bobine plate circulaire est constitué d’un fil conducteur
enroulé autour d’une cylindre isolante. Elle se caractérise par
son nombre de spires N et sa épaisseur e qui est très petit devant
le rayon R de la bobine e≪ .
Le spectre de champ magnétique d’une bobine plate :
On réalise le circuit électrique représenté ci-contre, où on branche le générateur, le rhéostat, l’ampèremètre,
le conducteur rectiligne et l’interrupteur en série. On disperse la limaille de fer sur une plaque transparente
perpendiculaire à la bobine plate, puis on ferme l’interrupteur. On obtient donc le spectre de la bobine plate
représentée ci-contre.
a. Pourquoi la distribution des grains de limaille de fer change-t-elle lorsque le courant électrique
traverse la bobine ?
…………………………………………………………………………………………………………………..………………
b. Décrire les lignes de champ magnétique d’une bobine plate.
…………………………………………………………………………………………………………………..………………
…………………………………………………………………………………………………………………..………………
…………………………………………………………………………………………………………………..………………
…………………………………………………………………………………………………………………..………………

c. On change le sens du courant électrique traversant la
bobine. Qu’observez-vous ?
……………………………………………………………………
……………………………………………..……..……………
2.3- sens du vecteur champ magnétique :
Le sens du vecteur champ magnétique est déterminé par la règle du bonhomme d’Ampère ou de la main droite.
La face nord de la bobine est la face par laquelle …………………………………………………………..
La face sud de la bobine est la face par laquelle …………………………………………………………..
 Remarque :
On peut aussi déterminer la face nord et la face sud de la bobine de la manière suivante :
- Dans le cas de la face sud le courant dessine ………………….………..
- Dans le cas de la face nord le courant dessine …………………………..
 Exemple :
2.4- Intensité :
L'intensité du champ magnétique créé par une bobine en son centre est donnée par la relation suivante :
………………………………………………
: ……………………………………………………………………
: ……………………………………………………………………
: ……………………………………………………………………
: ……………………………………………………………………
: ……………………………………………………………………
3- Champ magnétique créé par un solénoïde

3.1- Définition :
Un solénoïde est une ………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
3.1- spectre du champ magnétique :

 Activité :
Sur une plaque de verre transparente constituant un plan de symétrie pour le solénoïde,
on saupoudre de la limaille de fer et alimente le solénoïde par un courant continu.
1- Décrire les lignes du champ magnétique à l’extérieur du solénoïde. Quel aimant au
même spectre.
2- Quel est la nature du champ magnétique à l’intérieur du solénoïde. Justifier
3- Schématiser un solénoïde , et représenter le sens du vecteur champ magnétique en M1 situe à l’intérieur
du solénoïde. Verifier que les reglues Qu ‘on vu précédemment.
 Exploitation :

1-.……………………………………………………………………………………………………………..………………
………………………………………………………………………………………………………………..………………
………………………………………………………………………………………………………………..………………
2-.………………………………………………………………………………………………………………..………………
…………………………………………………………………………………………………………………..………………
3-.………………………………………………………………………………………………………………..………………
…………………………………………………………………………………………………………………..………………
.………………………………………………………………………… ……………………………………..………………
…………………………………………………………………………………………………………………..………………
3.3- Intensité du champ magnétique :
 Activité :
On considère le montage de la figure suivante : Les propriétés de la bobine sont : longueur ℓ = 50 cm et N = 500
ou 1000 spires sont :
A l’aide d’un teslamètre, nous allons mesurer la valeur du champ

magnétique à l’intérieur du solénoïde. Mesurons B pour différentes
valeurs de l'intensité du courant I :
 Exploitation :
On tracer les courbes des fonctions : B=f(I)
 La courbe qui caractérise B=f(I) est…………..……………..
……………………………………………………………….……..
………………………………………………………………………
………………………………………………..……………………
……………………………………………………..…………….
………………………………………………………………
 Le coefficient de proportionnalité……………………..
………………………………………………………………..
 Donc…………………………………………
 B est proportionnel à …………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………
 B est proportionnel à ……………………………………………………………………………………
et en déduit ……………………………………………………………………………………………
On peut montrer que k = µo = S.I. (perméabilité magnétique du vide), d’où : ……………………………………
3.4- Les caractéristiques du champ magnétique à l’intérieur d’un solénoïde :
A l’intérieur du solénoïde le champ magnétique est uniforme d’intensité :
 Origine : …………………………………………………………………………………
 Direction : …………………………………………………………………………………
 Sens :
- expérimentalement : …………………………………………………………………………………
- Théoriquement : …………………………………………………………………………………
 Intensité: ………………………………………………………………………………

: …………………………………………………………………………………
: …………………………………………………………………………………
: …………………………………………………………………………………
: …………………………………………………………………………………
: …………………………………………………………………………………
: …………………………………………………………………………………
 Exercice -1-
On considère une bobine de longueur L = 60 cm, de rayon R = 4 cm, parcourue par un courant d’intensité i = 0,6 A.
1) La formule du champ dans une bobine infinie est-elle valable pour déterminer le champ dans cette bobine?
2) Déterminer le nombre de spires nécessaires pour obtenir un champ magnétique de 0,001 T.
3) La bobine est réalisée en enroulant un fil de 1,6 mm de diamètre autour d’un cylindre en carton. Combien de couches
faut-il bobiner pour obtenir le résultat précédent ?
 Exercice -2-
Une bobine de rayon r = 5,00 cm et longueur L=50 spires comporte N = 200 spires régulièrement réparties.
1. Justifier pourquoi on peut assimiler cette bobine à un solénoïde.
2. Calculer la valeur du champ magnétique (en mT) à l’intérieur de ce solénoïde lorsque l’intensité du courant qui le
traverse vaut I=200 mA.
3. L’axe du solénoïde est placé horizontalement et perpendiculairement au méridien magnétique. On place une petite
aiguille aimantée au centre du dispositif. Lorsqu’on fait passer un certain courant dans la bobine, l’aiguille dévie de 40° vers
l’est.
3.1. Faire un schéma clair de la situation : préciser en particulier le sens du courant et les 4 points cardinaux : Sud, Nord,
Est, Ouest.
3.2. Calculer l’intensité du courant parcourant le solénoïde. On rappelle que BH = 2.10-5T
Partie 2 Chapitre Forces électromagnétiques-

6 Loi de Laplace
Le fonctionnement du haut-parleur et des moteurs électriques dépend des forces électromagnétiques
appelées forces de Laplace.
- Quelle est la force de Laplace ? Comment la réaliser ? - Quelle est son expression ?
1- Force électromagnétique
1.1- Mise en évidence la force de Laplace
On réalise le montage expérimental suivant : Un conducteur mobile sur deux rails est plongé dans le champ
magnétique d’un aimant.
 Observations:
 Quand il est parcouru par un courant, le conducteur ………………………………………………………
 Le sens de déplacement ………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………..
 Interpretation:

Le conducteur est soumis ……………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………..
………………………………………………………………………………………………………..…………………………
1.2- Lois de Laplace
…………………………………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………………………….……..
……………………………………………………………………………………………………………………………….
1.3- Caractéristiques de force de Laplace
point
Direction Sens Intensité
d'application
……………… Donner par la règle de la main droite F = ………………………
……………… avec :
……………… suivante :
……………… F en ……………….……………
……………… ………………………………………………
……………… B en …………….……………….
……………… ……………………………
……………… I en ……………………………
……………..
……………… L en …………………………..…….
………………
……………… Lorsque le conducteur est
………………
……………… perpendiculaire aux lignes de
……………… champ, l’intensité de la force est
………………
.. maximum : α= 90° donc
……………….
F = ………………
 Exemples : Compléter les figures suivantes :
2- Application de Lois de Laplace

2.1- Le haut parleur électrodynamique
Le haut parleur est composé des éléments suivants:
-……………………………………………………………………………. ;
………………………………………………………………………………
-…………………………………………………………………………….
…………………………………………………………………………….
-…………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………….
 Principe de fonctionnement:
Lorsqu'un courant électrique d'intensité I passe dans la bobine, chacune de ses spires est soumise ……………….
…………………………………. qui la met en mouvement ce qui provoque ……………………………. de membrane
qui agit sur la couche d'air qui l'entoure et elle produit ……………………….. qui a la même fréquence que celle
du courant électrique.
2.2- moteur à courant continu :
Il est constitué de deux parties essentielles:
-Le stator: ……………………………………………………………………………………………………………………
-Le rotor : ……………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
Le courant circule dans la spire mais dans deux sens opposés de chaque côté de
la spire. Ainsi par interaction avec le champ magnétique crée par le stator, il se
créé deux forces de Laplace qui tendent toutes deux à faire tourner la spire dans
le même sens (création d’un couple).
Pour que la spire puisse effectuer un tour complet, il faut inverser le courant
dans la spire à chaque demi-tour.
Cette inversion est réalisée par le collecteur.
Les balais servent au transport du courant de la partie fixe à la partir mobile.
Le collecteur et les balais assurent la rotation du rotor dans le même sens.

Partie 1 Chapitre 1 Importance de la mesure en chimie
‫أهميت انقيبس في انكيميبء‬
L’eau est l’un des produits alimentaires les plus surveillés. C’est pourquoi qu’avant son traitement elle doit être
analysée.
- Quelles sont les mesures nécessaires à cette analyse ?
1- Pourquoi mesurer en chimie
1.1- mesurer pour informer
 Activité 1 :
Quelles sont les informations portées sur les étiquettes de
bouteilles d’eaux minérales ?
Examiner les informations portées sur les étiquettes de
bouteilles d’eaux minérales A et B.
1- Quels espèces chimiques contiennent- elles ?
2- Que représentent les données chiffrées ?
3- Ces eaux ont- elles les mêmes propriétés ?
Exploitation :
1-.……………………………………………………………………………………………………………..………………
………………………………………………………………………………………………………………..………………
………………………………………………………………………………………………………………..………………
……………………………………………………………………………………………………………………………….
2-.………………………………………………………………………………………………………………..………………
…………………………………………………………………………………………………………………..………………
3-.………………………………………………………………………………………………………………..………………
 Définition 1 :
La concentration massique (ou teneur, titre massique ) noté Cm , d’une espèce chimique en solution est
donnée par la relation suivante :
m : ………………………………………………………………………………………..
…………………………… ………………………………………………………………….………………..………
V : ………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………
 Conclusion :
Pour informer les consommateurs, le fabricant indique sur l’emballage ……………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………..…………
…………………………………………………………………………………………………..……………………………….
1.2- mesurer pour surveiller et contrôler.
On surveille la qualité de quelques produits de façon continue comme le lait, le sang, le sol et certains
produits alimentaires….
 Exemples :
 ………………………………………………………………………………………..……..……………………
 …………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………

1.3- Mesurer pour agir
 Activité 3 : Pourquoi réaliser des analyses de sang ?
Observer le bilan d’une analyse de sang (Doc2). Les résultats d’un
certain nombre de mesures de concentration massiques éffectuées
pour contrôler l’´état de santé du patient sont indiquées et sont
accompagnées du domaine de valeurs considérées comme normales.
Interpréter le résultant de cette analyse ?
* ……………………………………………………………………………………………………………………..…………
…………………………………………………………………………………………………………………….……………
………………………………………………………………………………………………………………….……………….
* …………………………………………………………………………………………………………………...…………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………….
 Conclusion
Les mesures chimiques ou physiques (pH, concentration massique, densité …) éffectués lors d’analyses
permettent ……………………………………………………………………………………………………………..……
…………………………………………………………………………………………….…………………………….…...
 Exemples:
…………………………………………………………………………………………….…………….…………….
2 2- Les techniques de mesures
2.1- mesures approximatifs et mesures précises

 Le pH-mètre : il donne une valeur ………………………………………………………….…………………
 Papier pH et indicateur coloré : ils donnent une valeur ……………………………………………………….……
…………………………………………………………………………………………………………….
 2.2- mesures contenues ou temporaires.
Une mesure continue (c.à.d. permanente) permet …………………………………………………………….………
……………………………….……………………………………………………………………………………………….,
alors qu'une mesure temporaire …………………………………………………………….……………………….
 Exemples :
 La mesure de la pollution de l'air se fait avec un appareil de mesure d'une façon continue.
 Alors que la mesure de la pollution de l'eau se fait d'une façon discontinue en utilisant des échantillons
qu'on analyse au laboratoire.
2 .3- mesure destructive et non destructive.
Si l'échantillon à analyser existe en faible quantité, on choisit une méthode …………..…………………………..
Alors que dans le cas où l'échantillon à analyser est disponible en grande quantité on peut utiliser la méthode
………………………………………….……………….
 Exemples :
- Dans le dosage, en utilisant des solutions qui existent en excès est une méthode destructive.
- l'analyse du sang en utilisant l'appareil est une technique non destructive.

Partie 1 Chapitre 2
Les grandeurs liées aux quantités
de matière
 Situation problème
Les atomes, les molécules et les ions ont des masses trop faibles (de l’ordre de 10-26g) pour être mesurées à
l’aide d’une balance.il a fallu définir un nombre de ces entités très grand afin d’obtenir des masses de
l’ordre de quelques grammes. Ce nombre est la mole (symbole : mol) et c’est l’unité de la quantité de
matière.
1- Quantité de matière d’un solide et d’un liquide

1.1- Quantité de matière :
 La quantité de matière, notée n, est la grandeur utilisée pour spécifier …………………………………………….
……………………………. (atomes, molécules, ions, etc.). Son unité est ………………………………
 La mole …………………………………………………….……………………………………………………………….
…………………………………………………………………………………………………..…………………………….
…………………………………………………………………………………………………………….………………….
………………………………………………………………………………………………….…………..…………………
 La constante d'Avogadro NA exprime …………………………………………………………………………………
……………………………………………
 La quantité de matière n d’un échantillon est le rapport du nombre d’élément N qu’il contient sur le nombre
d’Avogadro𝑁
1.2- La quantité de matière et la masse :
La quantité de matière n(X) d’un échantillon de masse m(X) et de masse molaire M(x) est définie par la relation :
………………………………………………………..
 Application 1 :
Avec une balance électronique, on mesure la masse 1d’un échantillon d’eau et 2 d’un échantillon de fer.
On trouve : 1 = 2 = 100𝑔
a- Calculer la masse molaire (𝐻2𝑂) de la molécule d’eau.
b- Calculer les quantités de matière contenue dans chaque échantillon.
c- Evaluer le nombre de molécules d’eau.
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………
1.3- La quantité de matière et le volume :
a- La masse volumique :
La masse volumique d’une espèce chimique est égale au rapport de sa masse par son volume 𝑉.
Son unité usuelle est ……………………………………..

La relation précédente devient : ⋯
 Application 2 :
L’hexane est un corps liquide à température de 20°𝐶, de masse volumique = 0,66 𝑔. 𝐿−1, de formule
−1
chimique 𝐶6𝐻14. On donne la masse molaire de l’hexane : (𝐶6𝐻14) = 86 𝑔. 𝑜
Quel volume d’hexane doit-on mesurer à l’aide d’une éprouvette graduée pour obtenir 𝑛 = 0,1 𝑜 de ce liquide?
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
b- La densité :
La densité d’un corps solide ou liquide est liée à la masse volumique par la relation suivante :
donc: On écrit donc
est la masse volumique de l’eau :
 Application 3
Lors de la synthèse de l’acétate de benzyle, on utilise un volume V(al) = 20ml d’alcool benzylique de densité par
rapport à l’eau d(al) = 1,04 et de masse molaire M(al) = 108,14g/mol .
La masse volumique de l’eau 𝑔 𝐿 .
Quelle est la quantité de matière nal d’alcool benzylique utilisée ?
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………..………….
2- Quantité de matière d’un gaz

2.1- Le volume molaire :
Le volume molaire VM , ……………………………………………………..……………….………………………………
…………………………………………………………………………………….………………………………………………
L'unité du volume molaire est ……………………………….
 Dans les conditions normales de température et de pression 𝑟 𝐶 :
 Dans les conditions standards de température et de pression 𝑟 𝐶 :
2.2- Volume et quantité de matière
La quantité de matière d'un gaz est donnée par la relation suivante : 𝑛
2.3- Loi de Boyle Mariote:

a- Expérience:
On comprime un gaz, en faisant varier le volume V, dans une seringue, et on
mesure la pression P du gaz correspondant.
1- Remplir le tableau ci-dessous.
V(L)
P(hPa)
P .V
2- A partir du tableau de mesures, indiquer comment évolue la pression de l’air.

……………………………………………………..……………….………………………………………………….…………
…………………………………………………………………………………….………………………………………………
3- A température constante T et pour une quantité de matière n d’un gaz donné, quelle relation remarquable lie
les grandeurs P (pression) et V (volume).
……………………………………………………..……………….………………………………………………….…………
…………………………………………………………………………………….………………………………………………
b- Enoncé de la loi
A température constante, pour une quantité de matière donnée de gaz, ……………………….………………………
…………..……………….………………………………………………….………………………………………………..
2.3- Equation d’état du gaz parfait
 Un gaz parfait est un modèle qui suit absolument la loi de …………………………………………….
 A basse pression et à haute température le comportement d’un gaz réel peut se considérer le même qu’un gaz
parfait.
 L’expérience montre que les quatre variables d’état (𝑃, V , 𝑛 , 𝑇) sont liées par une équation s’appelle
…………………………………………..………………….. :
 𝑃 : ………………………….………………………………………………..
 𝑉 : ………………………….………………………………………………..
 𝑛 : ………………………….………………………………………………..
 𝑇 : ………………………….………………………………………………..
 𝑅 : ………………………….………………………………………………..
−1
𝑅 = 8,314 𝑃 . 3
. 𝑜 . 𝐾−1 ou 𝑅 = 0,08 atm. l. 𝑜 −1
. 𝐾−1
 La température absolue
La température absolue T en degré Kelvin (K) est la grandeur macroscopique qui caractérise l’agitation
moléculaire du gaz. La température usuelle θ en degré Celsius ( C) et la température absolue T sont liées par
la relation suivante :
 Application :
A la température θ=15 C et sous la pression p=150bar on remplit une bouteille de volume interne V=15L de
dihydrogène gazeux on considère le gaz comme étant un gaz un gaz parfait on donne la constante des gaz parfait
R=8,314(SI) , M(H)=1g/mol , et 1bar=1,013.105Pa
1-calculer la quantité de matière du dihydrogène
2- calculer sa masse
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
2.4- Densité d'un gaz par rapport à l'air:
La densité d'un gaz par rapport à l'air est égale au quotient de la masse d'un volume V du gaz par la masse du
même volume d'air.

⋯
Dans les conditions normales :

Donc :
 EXERCICE 1 :
A 20°C, l’hexane de formule chimique C6H14 est un liquide de masse volumique égale à ρ = 0,66 g.cm -3
On a besoin d’un échantillon de n = 0,19 mol d’hexane à 20°C.
Données : M (C) = 12,0 g.mol-1 ;M(H) = 1,0 g.mol-1
1 .Calculer la masse molaire M de l’hexane.
2 .Exprimer puis calculer la masse m de l’échantillon d’hexane.
3. Exprimer puis calculer le volume d’hexane à prélever pour obtenir la quantité voulue.
 EXERCICE 2 :
L’oxyde d’azote N2O est utilisé comme gaz anesthésiant en chirurgie ou comme propulseur dans les bombes aérosol. H
Données : Vm = 25,0 L.mol-1 ; M(O) = 16,0 g.mol-1 ; M(N) = 14,0 g.mol-1
1. Quelle est la masse molaire de l’oxyde d’azote ?
2. Quelle quantité de matière contient un volume V = 50 mL de ce gaz.
3. Calculer la masse de ce gaz.
 EXERCICE 3 :
Un pneu de voiture est gonflé à la température de 20°C sous la pression de 2,10 bar. Son volume intérieur, supposé
constant, est de 30 L.
Données : constante du gaz parfait, R= 8,314 SI
1. Quel quantité d'air contient-il ?
2. Après avoir roulé un certain temps, une vérification de la pression est effectuée : la pression est alors de 2,30 bar.
Quelle est alors la température de l'air enfermé dans le pneu ?
 EXERCICE 4 :
1. Calculer la quantité de matière de dioxyde de carbone CO2 contenue dans 10 mL de ce gaz
2. Evaluer le nombre de molécules de dioxyde de carbone.
3. Quelle est la masse molaire du dioxyde de carbone ?
4. En déduire la densité de ce gaz.
5. Calculer la masse de 10 mL de ce gaz.
6. En déduire la masse volumique de dioxyde de carbone gazeux.
Données : VM = 25,0 L.mol-1 ; NA = 6,02. 1023 mol-1 ; M (O) = 16,0 g.mol-1 ; M(C) = 12,0 g.mol -1
 EXERCICE 5 :
Deux récipients sont reliés par un tube de volume négligeable muni d’un robinet. Les 2 récipients
contiennent un gaz parfait. La température de 27°C ne varie pas pendant l’expérience.
- La pression P1 et le volume V1 (récipient 1) sont respectivement : 2,0.105 Pa et 2,0 L.
- La pression P2 et le volume V2 (récipient 2) sont respectivement : 1,0.105 Pa et 5,0 L.
1. Calculer les quantités de matière n1 et n2 de gaz dans chaque récipient.
2. On ouvre le robinet. En déduire le volume total VT occupé par le gaz.
3. Déterminer PT, la pression du gaz lorsque le robinet est ouvert.
Données : constante du gaz parfait : R= 8,314 SI

Partie 1 Chapitre 3 Les solutions électrolytiques et
les concentrations
La mer est une solution ionique ou solution électrolytique de volume immense.
Qu’est-ce qu’une solution électrolytique ?
Quelles sont les caractéristiques de ses constituants ?
Comment peut-on calculer la concentration de ces
constituants ?
1-Structure d'un solide ionique
1 .1-Activité: étude du chlorure de sodium (NaCl)
Le chlorure de sodium est un solide ionique constitué d’un assemblage d’ions sodium (Na+ ) et d’ions
chlorure (Cl- ) tels que :
● les ions Cl- occupent les sommets et les centres des faces du cube.
● les ions Na+ occupent les milieux des côtés et le centre du cube.
On donne ci-dessous, la répartition de ces ions dans un cristal de chlorure de sodium.
a- Quelle est la forme géométrique de l’assemblage de ce cristal ?
………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………
b- Quelle est alternance des signes des ions sur une même rangée ?
……………………………………………………………………………………………………………………………..….
c- Nous ne pouvons pas nous en rendre compte sur ce cristal, mais par un assemblage de cube on constate
qu’il y a autant d’ions positifs que d’ions négatifs dans le solide ionique. Que peut-on en conclure ?
…………………………………………………………………………………………………………..………………….
1.2- Définition d’un cristal :
-Un solide ionique est formé ………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
-La cohésion d’un solide ionique est assurée par ………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
-Le corps solide ionique est électriquement neutre : ……………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
1.3- Formules des corps ioniques solides :
La formule d’un corps ionique solide indique ……………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………
Nom du composé ionique Sa formule statique Sa formule ionique
Cn+ et Am- ……….…….. …………………

+ -
Chlorure de sodium Na , Cl ……………… ……………………
Chlorure d’aluminium Al3+ , Cl- ……………… ……………………

2- Le caractère dipolaire d’une molécule
2.1- La liaison covalente et l’électronégativité
L’électronégativité d’un élément traduit ………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………..…
L’électronégativité varie selon la place de l’élément dans la classification périodique (a l’exception des gaz
rares). Dans le tableau périodique des éléments chimiques, L’électronégativité ………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………….
 Une liaison covalente est produite entre deux atomes dans laquelle chaque atome ………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………..
 La molécule est polaire ………………………………………………………………………………….…………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
 Dans le cas d'une molécule composée de deux atomes identiques, le doublet d'électrons liant n'est pas attiré
vers aucun des deux atomes. Alors, on dit que la liaison covalente …………………………………………………....
…………………………………………………………
……………………………………
 Dans le cas d'une molécule composée de deux atomes différents, l'atome ………………………………………
………………………………………………………………………………………. Alors, on dit que la liaison covalente
………………………………. Ainsi, Il en résulte l'apparition d'une petite fraction de la charge négative ( −) sur
l'atome le plus électronégatif alors qu'une petite fraction de la charge positive ( +) apparaît sur l'autre atome.
Donc, on dit que ………………………………
…………………………………….
 Les molécules ayant le caractère dipolaire ont …………………………………………………………………………..

………………………………………………………………………………………….…………..
2.2- La polarité d’une molécule de chlorure d’hydrogène
Dans la molécule de chlorure d’hydrogène 𝐻𝐶 , l’atome de chlore et l’atome d’hydrogène mettent en commun
………………………………………………………………………………………….……………………………………….
Le chlore est ……………………….…………………. que l’hydrogène, le doublet électronique est proche de
l’atome ……………………………………………………………………….., ce qui provoque l’apparition d’une
charge partielle négative − sur l’atome de …………………………………………………………….…………………..
……………………………………………………………………………………….
……………………………………………..
 La liaison 𝐻 − 𝐶 est dite ……………………….………...
 La molécule 𝐻𝐶 a un …………………………………….
3.2- La polarité d’une molécule d’eau :

La molécule d’eau 𝐻2𝑂 l’oxygène est plus …………………………… que l’hydrogène. Les deux liaisons
covalentes 𝑂 − 𝐻 d’une molécule d’eau …………………………………..
Il en résulte l’apparition d’une charge partielle 2 − sur l’atome d’oxygène et d’une charge partielle + sur
chaque atome d’hydrogène.
……………………………………………
Le barycentre des charges positives ………………………………………..le barycentre de charges négatives,

…………………………………..
L’eau, constituée de molécules ……………………………, est un solvant ……………………….
 Remarque :
Le caractère dipolaire d'une molécule ……………………………………………………………………………..
………………………………………………………………………………………………
Par exemple, la molécule de dioxyde de carbone contient des liaisons polarisées covalentes mais la ……………
………………………………….
……………………………………….………………………………
3-Solutions aqueuses électrolytiques

3.1- définition :
- Une solution électrolytique est obtenue en dissolvant une substance appelée ………..……..…………. dans un
liquide appelée …………..………. Le soluté peut-être …………………………..…….……………...………….. Si le
solvant est l’eau la solution obtenue est appelée ………………………………..……………….…………………….
- Une solution électrolytique est une solution contenant des ions. Elle conduit ………………………………………
……………………………………………….
3.2- Dissolution d’un solide ionique dans l'eau
On réalise le montage expérimental suivant où la lampe ne brille pas lorsqu’on utilise de
l'eau distillée (Figure A), tandis que la lampe brille lorsque du chlorure de sodium est
ajouté à l'eau distillée (Figure B).
Prendre un peu de la solution obtenue dans un tube à essai et y ajouter la solution de
nitrate d'argent, il se former un précipité blanc (Figure C). On pulvérise le fil d'argent
avec la solution obtenue et le passer au-dessus de la flamme du bec Bunsen, la flamme
devient orange (Figure D).
1) Quels sont les ions dans la solution qui sont détectés par le test ?
………………………………………………………………………………………………………………………...…………….
…………………………………………………………………………………………………………………………………..…
2) Ecrire l'équation de la réaction associée à la dissolution du chlorure de sodium dans l'eau.
3) Comment expliquez-vous le passage du courant électrique dans une solution de chlorure de sodium ?
………………………………………………………………………………………………………………………...…………….
…………………………………………………………………………………………………………………………………..…
1) L'eau distillée conduit-elle de l'électricité ? Explique-le.
………………………………………………………………………………………………………………………...…………
…………………………………………………………………………………………………………………………………..
3.3- Dissolution d’un solide ionique dans l'eau

 Activité 3 :Expérience de jet d’eau La solution aqueuse de chlorure d’hydrogène est-elle électrolytique?
o Tests de reconnaissance :
 Le BBT (bleu de bromothymol) devient jaune, la solution est
donc acide, présence de proton H+.
 Ajouter quelques mL de la solution du ballon dans une solution
de nitrate d’argent : précipité blanc caractéristique des ions
chlorure Cl-
1) Comment expliquer l’apparition du jet d’eau ?
………………………………………………………………………………………………………………………...………….
…………………………………………………………………………………………………………………………………..…
…………………………………………………………………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………………………………………………………………….
2) Quels sont les ions dans la solution qui sont détectés par le test ?
………………………………………………………………………………………………………………………...………….
…………………………………………………………………………………………………………………………………..…
…………………………………………………………………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………………………………………………………………….
3) La solution d'acide chloridrique conduit-elle de l’électricité ? Explique-le
………………………………………………………………………………………………………………………………….
4) Ecrire l'équation de la réaction associée à la dissolution du chlorure d'hydrogène dans l'eau.
3.4- Dissolution d’un liquide polaire dans l’eau :

L’acide sulfurique pur est un liquide moléculaire, ses molécules H2SO4 sont polaires. Lorsqu’on on verse avec
précaution un certain volume d'acide dans un certain volume d'eau, on constate une élévation de température,
donc il y’a réaction entre l’acide sulfurique et l’eau.
Equation de la réaction de la dissolution de l’acide sulfurique dans l’eau :
3.5-Etapes de la dissolution
La dissolution d’un composé ionique comprend trois étapes
………………………………..
Les forces électrostatiques qui s’exercent entre le solvant et les ions à la
surface du cristal compensent les forces électrostatiques attractives internes du cristal
sur ces ions : les ions se détachent du cristal
……………………………….
Les ions dissociés s’entourent de molécules de solvant attirées sous l’effet des
forces électrostatiques. Les ions sont solvatés. Si le solvant est de l’eau, on
ajoute l’indice (aq) en indice à la formule de l’ion.
……………………………….
Sous l’effet de l’agitation thermique (ou par une agitation mécanique réalisée par un
agent extérieur), les ions solvatés se répartissent progressivement dans
l’ensemble du solvant. On obtient un mélange homogène : la solution.

4- Les concentrations molaires
4.1- La concentration molaire d’une solution:
La concentration molaire d’un soluté x se symbolise par c(x) et donnée par la relation suivante :
………………………………………………………
4.2- La concentration molaire d’une espèce :
La concentration molaire d’une espèce x existante dans la solution se symbolise par [x] et donnée
par la relation :
…………………………………………………………
 EXERCICE 1 :
Une masse = 17,1𝑔 de sulfate d’aluminium solide est dissoute dans 𝑉 = 250 𝐿 d’eau.
1. Quelle est la quantité de matière de soluté dissous dans l’eau ?
2. En déduire la concentration molaire en soluté apporté de la solution obtenue.
3- Ecrire l’équation bilan de la dissolution du sulfate d’aluminium dans l’eau.
4- En déduire les concentrations molaires des ions 𝐴 3+ et SO4 2- dans la solution.
Données : masse molaire M(Al)=27 g.mol-1 ; M(S)=32 g.mol-1 ; M(O)=32 g.mol-1
 EXERCICE 2 :
On veut préparer 100mL d’une solution de chlorure de fer (III) (Fe3+) telle que la concentration molaire effective en
ions chlorure soit [Cl- ]=0,750 mol.L-1
1. Ecrire la formule du chlorure fer (III).
2. Ecrire l’équation de la réaction de dissolution du chlorure de fer (III) dans l’eau.
3. Quelle est la concentration molaire apportée en chlorure de fer (III) ?
4. Quelle masse de chlorure de fer (III) doit-on peser pour préparer la solution désirée ?
 EXERCICE 3 :
Dans la chimie, le terme « potasse » peut englober les solides ioniques suivant : le chlorure de potassium KCl et le
chlorure de magnésium MgCl2, utilisés pour fabriquer des savons mous et des engrais.
1. Ecrire les équations de dissolution dans l’eau des deux solides ioniques MgCl2 et KCl.
2. On mélange un volume V1=100mL d’une solution aqueuse de chlorure de potassium KCl de concentration
C1= 0,1mol.L-1 avec un volume V2=400mL d’une solution aqueuse de chlorure de magnésium MgCl2 de
concentration C2= 0,05mol.L-1 .
Calculer les concentrations molaires effectives des ions dissouts dans la solution finale.
Partie 1 Chapitre 3 Suivi d’une transformation

chimique
 situation problème:
Dans la photo ci-contre nous observons une réaction du fer fondu avec le
dioxygène qui produit des gerbes de lumière.
- Comment le chimiste réalise-t-il des transformations chimiques pour obtenir
des nouveaux corps ?
- Comment le chimiste peut-il suivre des transformations chimiques ?
1-Transformation chimique – réaction chimique :

1.1- Transformation chimique :
Au cours d’une transformation chimique des substances …………………………………………….…………..
………………………………………………………………………………………………….
Une transformation chimique peut être modélisée par une réaction chimique :

 Les substances qui disparaissent sont appelées …………………………
 Les substances qui apparaissent sont appelées …………………………
 On appelle système chimique ………………………………………………………………………….…………..
………………………………………………………………………………………………….
 Pour décrire un système chimique, il faut préciser :
- …………………………………………….………………………………………………………………………………....
………………………………………………………………………………………………….
- ………………………………………………………………………
1.2- Etat initial et état final :
La transformation chimique représente ……………………………………………………………….…………..
………………………………………………………………………………………………………….……………….
On appelle état initial, l’état du système chimique …………………………………………………
 On appelle état de transformation, l’état du système chimique ………………………………………………..
………………………………………………………………………………………………….
 On appelle état final, l’état du système chimique …………………………………………….
 Exemple :
On verse quelques gouttes de solution de nitrate d’argent dans l’acide chlorhydrique.
1.3- Modélisation des transformations chimiques :

On modélise une transformation chimique par un modèle simple qui peut décrire cette transformation qu'on
appelle ……………..……..…….…………… et qu'on représente par ……………………….………………….. dans
laquelle les réactifs et les produits sont représentés par leurs formules :
Les réactifs sont placés ………………..……….. d'une flèche qui désigne le sens de la réaction et les produits à
…………………………….…………..
 Exemple : réaction entre nitrate d’argent et l’acide chlorhydrique.

…………………………………………………………………………………….
Au cours d’une transformation chimique il y a conservation :
 Les éléments chimiques : ………………………………………………………………………………………..……..
………………………….……………
 ………………………………………………………………………………………..……………..
 La charge électrique : ……………………………………………………….…………………………………………
……..………………………………………….
 L’équation doit donc être équilibrée par des nombres appelés : …………………………………………
2- Evolution d’un système au cours d’une transformation chimique :

2.1- Activité expérimentale :
On verse dans un verre un volume 𝑉1 = 15 𝐿 d’une solution de nitrate de calcium 𝐶 2+ ( 𝑞) + 𝑁𝑂- ( 𝑞) de
concentration 𝐶1 = 0,20 𝑜 . 𝐿−1.
On y ajoute un volume 𝑉2 = 20 𝐿 d’une solution de phosphate de sodium 3𝑁 + ( 𝑞)+𝑃𝑂3- ( 𝑞) de
concentration 𝐶2 = 0,20 𝑜 . 𝐿−1. Il se produit une réaction chimique et se forme un précipité de phosphate
de calcium 𝐶 3(𝑃𝑂4)2.
 L’équation de la réaction chimique :
……………………………………………………………………………………………………..
2.2- Le tableau d’avancement :
Pour suivre l’évolution de la quantité de matière des réactifs et des produits au cours d’une transformation
chimique, on construit …………………………………………..en utilisant ……………………….
Quantités de matière initiales dans l’activité expérimentale :
𝑛𝑖 (𝐶 2+) =
𝑛𝑖 ( )=
Équation de la réaction
Avancement quantités de matière produit en mmol
État du système
x(mmol)
État initial ………….. ………….. ………. ……….
État en cours de réaction ………….. ……….. …….. ……..
État final ………….. ……… ……… ……….
2.3- L’avancement maximal et le réactif limitant :
 Le réactif limitant est le réactif qui met …………………………………………, c’est le premier réactif qui
…………. ………………………………………………………………………..
 L’avancement maximum xmax est l’avancement de la réaction qui correspond ………………………………….
…………. ………………………………………………….……………………..
 Exemple :
 Si le réactif limitant est 𝐶 2+ : …………………………………..…………
………………………………………………………………………………………………………………..
 Si le réactif limitant est 𝑃𝑂 :………………………………………………………………..……………………..
…………………………………………………………………………………….……………………………..
Le réactif limitant est celui pour lequel …………………………………………………………………………..
 L’avancement maximal est …………………………………………………………………………………………..
 ………………………… …………………………………………………………..………………………………..
2.4- Quantité de matière en fonction de l’avancement :

2.5- Bilan de matière à l’état final :
L’état final d’un système chimique en évolution est atteint lorsque la quantité de matière d’un des réactifs est
nulle, celle du réactif limitant.
 ………………………………………………………….……………….………………………………………………
 ………………………………………………………………………….………………………………………………..
 ………………………………………………………………………………………….………………………………..
2.6- Le mélange stœchiométrique :
Un mélange est stœchiométrique si les quantités de matière initiales sont …………………………………………….
…………………………………………….………l’équation chimique. Dans d’état final les réactifs…………………..
……………………………………….…..
 Application :
Calculant le volume de la solution de phosphate de sodium nécessaire pour que le mélange précédent soit
stœchiométrique ?
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
3-Détermination de la pression d’un gaz résultant d’une réaction chimique:
3.1- Expérience :
On introduit une masse m=32,7mg de zinc en poudre dans un flacon à la température = 20°𝐶 et sous
la pression atmosphérique 𝑃 𝑡 = 1013 𝑕𝑃 , puis on verse dans le flacon de volume 500mL un volume
V=10mL d’une solution d’acide chlorhydrique de concentration c=0,5mol/L
On donne l’équation de la réaction qui se produit dans le flacon :
…………………………………………………………………………………………
3.2- Prévoir l’état final:
On peut prévoir la pression finale du gaz dihydrogène qui se produit à la fin de cette réaction par l’une des deux méthodes
suivantes :
 Soit en utilisant ………………………………………………………………………………………..……………..
 ou bien théoriquement en …………………………………………………………………………………………….
 1ère Méthode :
Expérimentalement en mesurant la pression par un manomètre, dans l’état final, la pression est :
………………………………………………………………………………………………………………
 2ème Méthode :
L’utilisation des grandeurs liées aux quantités de matière permet de prévoir la pression du dihydrogène formé.
 Composition des réactifs à l’état initial :
…………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
 Tableau d’avancement:
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………

………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………….………………..
………………………………………………………………………………………………………………………………
 Si le réactif limitant est 𝑍𝑛 : ……………………………….

………………………………………………….
 Si le réactif limitant est 𝐻 : …………………………………………..
+
…………………………………………………………………………………………………..
L’avancement maximal correspond à la plus petite des deux valeurs :
 L’avancement maximal est …………………………………………….
D’après le tableau d’avancement, la quantité de matière de 𝐻2 dans l’état final est:
………………..……………………………….…….
En appliquant la relation des gaz parfaits au gaz dihydrogène qui occupe le volume restant du flacon
: V(H2)=500-10=490mL
La pression finale dans le ballon : ………………………………………………………………………….

…………………………………………………………………………………………………………………………………
 EXERCICE 1 :
On mélange 5,4g d’aluminium Al en poudre et 12,8 g de soufre S. On chauffe le mélange, il y a formation de sulfure
d’aluminium Al2S3.
1. Écrire l’équation bilan de la réaction 2. Etablir le tableau d'avancement.
3. Déterminer le réactif limitant.
4. Déterminer la composition, en quantité de matière, du système à l’état final.
5. Calculer la masse de sulfure d’aluminium formée et la masse restante du réactif utilisé en excès.
Donnée : M(Al)= g /mol ; M(S)= g /mol
 EXERCICE 2 :
On verse dans un bécher V= 20,0 mL d’une solution de nitrate d’argent contenant des ions argent Ag+ (aq) et de
concentration [Ag+]=0,15 mol.L-1 . On y ajoute 0,127 g de poudre cuivre Cu(s). La solution initialement incolore devient
bleue et il se forme un dépôt d’argent Ag et les ions de cuivre Cu2+ (aq).
L’équation chimique modélisant la réaction est : Cu + 2 Ag+ Cu2+ + 2Ag
1. Décrire l’état initial du système en quantité de matière.
2. Trouver le réactif limitant et calculer l’avancement maximal.
3. Décrire l’état final du système en quantité de matière.
4. Déterminer, à l’état final les concentrations molaires des ions en solution et les masses du solide présent. Données :
M(Cu) = 63,5 g/mol ; M(Ag) = 107,9 g/mol

Partie 1 Chapitre 4
Mesure de la conductance
Pour surveiller le degré de pollution des mers, les experts utilisent des appareils des mesures qui sont placés dans
des lieux différents des mers et des océans, pour mesurer quelques grandeurs physiques importants comme la
conductance, la conductivité , etc.
 Qu’est-ce que la conductance et la conductivité d’une solution ?
 Comment les exploiter dans une étude chimique ?
1- Conduction dans les solutions aqueuses

1.1- Expérience :
On réalise le montage suivant :
1.2- Observations:
Lorsqu’on ferme l’interrupteur on constate que :
 Les cations Cu2+ caractérisés par la couleur …………………………………………………………………………..
……………………………………………………….
 Les anions MnO4- caractérisés par la couleur ……………………………………………………………………..
……………………………………………………….
1.3- Conclusion:
Dans les solutions aqueuses, le passage du courant électrique est dû à un ………………………………….
 Les ions positifs se déplacent dans le sens …………………………………………………………………………..
……………………………………………………….
 Les ions négatifs dans le sens …………………………………………………………………………...………………..
2- Conductance d’une partie d’une solution ionique
2.1- Cellule de mesure de la conductance
La cellule de mesure de conductance est constituée de deux plaques
métalliques planes, de même surface S, parallèles, disposées l’une en
face de l’autre et séparées par une distance L.
Si on plonge les électrodes de la cellule dans une solution
électrolytique, on peut mesurer la conductance G.
2.2- La Conductance G
Pour mesurer la conductance G d’une solution électrolytique il suffit de mesurer la…............................
……………….. …………………………………………………………………………………………………….
…………………………………………………………………………..………………………..…………………….

…………………………………………………………………………………….…………………
La solution ionique peut se comporter comme un …………………………………………. Elle possède une
certaine résistance. Elle répond à …………………………………………..…………………..
Loi d’Ohm : Avec {
La conductance G d’une portion de solution entre deux plaques métalliques est égale………………….……
…………………………… .. …………………………………………………………………………………………….
 Remarque :
 On utilisera généralement des sous multiples du siemens (mS ou µS).
 Pour les mesures de conductance, on utilisera du courant alternatif (500Hz)
3- Facteurs influençant la conductance

3.1-Influence des caractéristiques de la cellule :
a- Si on fait varier la surface immergée des plaques : b- Si on fait varier la distance entre les plaques :
Pour une solution donnée, la conductance 𝐺 …………………………. :

 ………………………………………………………………………………………………………..
 ………………………………………………………………………………………………………..
 Conclusion :
…………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………….…………
………………………………………………………………………
3.2- Influence des caractéristiques de la solution :
a- De sa nature : b- De sa concentration :
 La conductance d’une solution dépend …………………………………………………………………………

 La conductance de la solution ……………….. …………………………………………………………………
3.3- La courbe d’étalonnage G=f(C)
…………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
La courbe 𝐺 = (𝐶) est appelée ……………………………….…………..
Le tableau suivant fournit la conductance des différentes solutions :
2,5 5 7,5 10 12,5

0,75 1,5 2,25 3 3,75
1- Tracer la courbe G=f(C). Conclure

Echelle : 1cm ⟷ 0,5 𝑜 ⁄𝐿 et 1𝑐 ↔ 0,2 𝑆
3- Si G=2,75ms, déterminer la concentration de cette solution.
 Exploitation :
1- La conductance G est proportionnelle à la concentration
de la solution C :
………………………………………………………………………
……………………………………………………………
………………………………………………………………………
……. ……………………………………………………………..…
2- …………………………………………………………………….
 Remarque :
Pour des solutions diluées, 𝐶 < 10−2 𝑜 ⁄L ,…………………………………………………………………….………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………..………….…………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
4- La conductivité d’une solution électrolytique
4.1- Relation entre la conductance et la conductivité

La conductance 𝐺 d’une solution électrolytique est proportionnelle au rapport :
On écrit : ………………………………………………………………………… avec
-  :…………………………………………………………………………………………….……………………….
- k= ∶…………………………………………………………………………………….……………………………..
4.2-Facteurs influençant la conductivité
La conductivité augmente quand :
- ………………………………………………………………………………………………………..
- ………………………………………………………………………………………………………..
- Elle dépend aussi de ……………………………………………………présents dans la solution.
4.3- Conductivité molaire ionique :
 La conductance G dépend de des espèces chimiques ioniques présentes dans la solution, à chaque espèce
chimique ionique on associe une grandeur physique qu’on appelle : …………………………….……………….
notée : ……………………………………………………………. qui dépend de la température.
 Par exemple :
 L’expression de la conductivité d’une solution qui contient plusieurs espèces chimiques ioniques X , X 1 2
,X3…., Xn , ayant les conductivités molaires ioniques : λ1 , λ2 , λ3 ….. λn est donnée par la relation suivante:
……………………………………………….……………………………………………………
Avec  en ………………..…………. ; i en …………………….……………

et [Xi] en ……………………………………..…….. (attention à l’unité !)

 Exemple
 Pour une solution de concentration c du type (M+ aq+ X-aq) : …………………….………………………….
Or : ……………………………………………..
Donc : ……………………………………….
 EXERCICE1
On plonge totalement une cellule conductimétrique constituée de deux plaques parallèles (de surface S=1,0cm2)
distantes de L=1,0cm dans une solution ionique. La tension appliquée entre les deux électrodes de la cellule est
U=1,00V et l’intensité électrique mesurée est I=12,0mA.
1. Déterminer la résistance et la conductance de la portion de solution comprise entre les deux électrodes.
2. Calculer la constante de la cellule.
3. Déterminer la conductivité de la solution.
 EXERCICE2
On prépare une solution de chlorure de fer III, FeCl3 en dissolvant une masse m=410mg de ce solide dans 500mLd’eau.
1) Ecrire l’équation de la dissolution.
2) Déterminer la concentration c de la solution obtenue.
3) Déterminer la concentration effective de chaque espèce ionique en solution.
4) Déterminer la conductivité de cette solution.
On donne: M(Cl)=35,5g/mol ; M(Fe)=56g/mol ; 𝜆Fe3+ = 2,04.10−3 𝑆. 2. 𝑜 −1 ; 𝜆𝐶 − = 7,63.10−3 𝑆. 2. 𝑜 −1
 EXERCICE 3 :
Aux bornes d’une cellule conductimétrie plongée dans une solution 𝑆1 d’acide chlorhydrique (𝐻+ ( 𝑞) + 𝐶 − ( 𝑞) ) branchée
sur un générateur alternatif, on a mesuré une tension efficace de 18 𝑉 et une intensité efficace de , . − .
1. Calculer la conductance de la solution 𝑆1.
2. Calculer la valeur de la constance de la cellule 𝒌 en ( −1 ), sachant que 𝛔 = , . − . −
3.On plonge la même cellule conductimétrie dans les deux solutions : 𝑆2 d’acide sulfurique (2H+ ( 𝑞) + SO4 2− ( 𝑞)) et 𝑆3 de
sulfate de cuivre 𝐼𝐼 (𝐶𝑢 2+ ( 𝑞) + SO4 2− ( 𝑞)).
a. Calculer la conductance , sachant que la conductivité de la solution 𝑆2 est 𝛔 = , . − . −
b. Calculer 𝝈 de la solution 𝑆3 de concentration = . − , et puis déterminer .
On donne : 𝜆𝐶𝑢2+ = 10,8. 10−3 𝑆. 2 . 𝑜 −1 ; 𝜆𝑆𝑂4 2− = 16,0. 10−3 𝑆. 2 . 𝑜 −1
4. Trouver la conductance d’une portion de la solution (𝑆4) de chlorure de cuivre (𝐶𝑢 2+ ( 𝑞) + 2𝐶 − ( 𝑞)) de même
concentration et de mêmes conditions expérimentales identique.
 EXERCICE 4:
On plonge totalement une cellule conductimétrique constituée de deux plaques parallèles distantes de L=1.5cm dans une
solution de chlorure de fer III FeCl3 de concentration C= 10-2 mol/L. La tension appliquée entre les deux électrodes de la
cellule est U=2V et l’intensité électrique mesurée est I=10mA.
1. Déterminer G la conductance de la portion de solution comprise entre les deux électrodes.
2. Déterminer 𝝈 la conductivité de la solution.
On donne : 𝝀 (Fe3+) = 2,04 . 10-3 S. m2 /mol ; 𝝀 (Cl- ) = 7,36 .10-3 S. m2 /mol
3. En déduire la valeur de k la constante de la cellule.
4. Déterminer la surface S émergée des électrodes en m2 puis en cm2 .

Partie 1 Chapitre 5
Les réactions acido-basiques
‫انتفبعالث انحمضيت انقبعديت‬
Les couleurs rouge et verte des sortes de chou sont dues à la présence d’une
molécule, la cyanidine, qui peut exister sous deux formes, basique et acide.
- Quel est le type de réaction qui se produit entre ces deux formes ?
- Comment s’écrivent leurs équations chimiques ?
1- Les réactions Acido–Basiques :

1.1- Les indicateurs colorés :
a– Activité :
L'hélianthine présente en solution aqueuse sous deux formes différentes de couleur :
Sa forme acide : rouge Sa forme basique : jeune
1- Écris la formule brute pour les formes acide et basique de l’hélianthine.

…………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………..………………………………………..
………………………………………………………………………………………………………..
2- Quelle est la particule échangée lors du changement de teinte (couleur).
…………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………..………………………………………..
3- Écris la demi-équation qui exprime l’échange de cette particule entre les deux formes.
La demi-équation chimique est :
b– Conclusion :
…………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………..………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………..………………………………………..
Indicateur coloré Couleur en milieu acide pH zone de virage Couleur en milieu
basique
Bleu de bromothymol (BBT) Jaune 𝑝𝐻 Bleu
Hélianthine Rouge 𝑝𝐻 Jaune
Phénolphtaléïne Incolore 𝑝𝐻 Rouge-violacé
a-Naphtolphtaléine rose 𝑝𝐻 Vert
1 .2 – Les acides et les bases :
 Activité :

On introduit un peu de solution de Bleu de ……………………………….
bromothymol ( ) dans sa forme ……………………………….
basique -( 𝒒) dans le tube à essai 1 et ………………………………
on ajoute quelques gouttes de solution
d'acide chlorhydrique 𝐻 𝑂 𝐶
On introduit un peu de solution de Bleu de ………………………………..
bromothymol( ) dans sa forme acide ………………………………..
I ( 𝒒) dans le tube à essai 2 et on ajoute ……………………………….
quelques gouttes de la solution d’hydroxyde
de sodium 𝑁 𝐻𝑂
1- Quel est l'espèce chimique formée qui a été identifié au cours de la transformation ?
L’addition d’acide chlorhydrique à cette solution L’addition d’hydroxyde de sodium à cette solution
provoque un changement de couleur : ……………… provoque un changement de couleur : ………………
……………………………………………………….… ……………………………………………………….…
…………………………………………………………… ……………………………………………………………
…………………………………………………………… ……………………………………………………………
2- Compléter l’équation chimique suivante :
→ →
Rempli le vide par l'un des mots : gagné – perdu Rempli le vide par l'un des mots : capté – cédé
− + +
 a……………………………le proton  a……………….……….. le proton
 H3O+ a………………….……. le proton +
 HO- a ……………….…………le proton +
 Remarque :
Une réaction qui met en jeu un transfert de protons H+ entre ses réactifs ……………………………..……………
………………………………………………………………………………………………………….……..
 Application 1:
Reconnaitre une réaction acido-basique :
Parmi les réactions dont les équations sont données ci-dessous, quelles sont les réactions acido-basiques ?
1.3- Théorie de Bronsted des acides et des bases :

a- Un acide selon Bronsted :
…………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………..………………………………………..
En général on schématise cette transformation par les demi-équations suivantes :
ou
 Exemples des acides :
- ……………………………….………………….. - …………………………………………………………..
- ……………………………………………………… - ………………………………………………………
- ……………………………………………………… - ………………………………………………………

Les acides dans notre vie courante :
 Détartrant : …………………………………………………………………………….…………….……………….
 Vinaigre : ………………………………………………………………………………..…………………………….
 Coca-cola : …………………………………………………………….………………..………………….………….
b- Une base selon Bronsted :
…………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………..………………………………………..
En général on schématise cette transformation par les demi-équations suivantes :
………………………………………..…………… ou …………………………………………………
 Exemples des bases :
- ……………………………….………………….. - …………………………………………………………..
- ……………………………………………………… - ………………………………………………………
- ……………………………………………………… - ………………………………………………………
 Les bases dans notre vie courante :
 Levure : …………………………………………………………………………….…………….……………….
 Savon : …………………………………………………………………………….…………….……………….
 Déboucheur : …………………………………………………………………………….…………….……………
………………………………………………………………………
2- Le couple 𝒂𝒄𝒊𝒅𝒆 / 𝒃𝒂𝒔𝒆 :
2.1- definition :
L’acide et la base forment un couple noté
On dit que et sont des espèces…………………………………………..
Le passage possible d’un acide à sa base conjuguée et vice versa est formalisé par une
…………………………… ………………………………………… …
 Remarque :
On peut présenter le couple acido-basique aussi par la forme dont la demi-équation s’écrit :
 Application 2 : Compléter le tableau suivant :

Nom d’Acide Nom de la Base Couple ACIDE /BASE Demi-équation
Ion ammonium Ammoniac
Acide éthanoïque Ion éthanoate
Acide chlorhydrique Ion chlorure
Ion hydrogénocarbonate Ion carbonate
Acide phosphorique ion dihydrogéno-
phosphate
ion dihydrogéno- ion monohydrogéno-
phosphate phosphate
Acide nitrique Ion nitrate

Acide sulfurique Ion hydrogénosulfate
Ion hydrogénosulfate Ion sulfate
Eau Ion hydroxyde

Ion oxonium Eau
 Remarque :
Un ……………………. est une espèce chimique qui joue le rôle…………..………… dans un couple et de
…………………….dans un autre couple. Les solutions correspondantes sont dites "……………………………".
 Exemple : ……………………………………………………..……………………………………………….
2.2 – Équation d’une réaction −𝒃 𝒒 :
Une réaction acido-basique fait intervenir un acide et une base appartenant à deux couples
𝒃 différents
Elle est caractérisée par un ………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………..……….. (ou entre l’acide et la base ) selon
…………………………………………………………………………….………
Demi-équation de couple : ……………………………………………………
Demi-équation de couple : ……………………………………………………
Equation bilan de la réaction acido-basique : ……………………………………………………

 Application 2 :
La base réagit avec l’acide éthanoïque .
1- Ecrire les couples qui participent dans cette réaction.
…………………………………………………………………………………………………………………………………
2- Ecrire l’équation de la réaction.
…………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………
 EXRCICE 1 :
1. L’acide perchlorique HClO4, l’acide formique HCO2H et l’ion oxonium H3O + sont des acides au sens de Brönsted. Ecrire
la demi-équation acido-basique qui permet de le justifier, et préciser à chaque fois le couple acide/base mis en jeu.
2. L’ammoniac NH3, les ions hydroxyde HO– et sulfure S2– sont des bases au sens de Brönsted. Ecrire la demi-équation
acido-basique qui permet de le justifier et préciser, à chaque fois, le couple acide/base mis en jeu
 EXERCICE 2 :
Soit les couples acido-basiques suivantes : CH3NH3 /…………… ; …………… / CO3 2- ; H2S / ……………. ; ……………… / HCO3 –
1. Compléter pour chaque couple l'’entité manquante.
2. Y a-t-il une espèce ampholyte ? Si oui laquelle ?
3. Ecrire les demi-équations acido-basiques associées aux couples acido-basiques de l’ampholyte.
 EXERCICE 3 :
1. L’ion phénolate C6H5O – est une base au sens de Brönsted.
a. Ecrire la demi-équation permettant de le justifier.
b. Ecrire l’équation de la réaction qui a lieu entre cette base et l’acide acétique CH3CO2H.
2. Ecrire l’équation de la réaction entre l’acide nitreux HNO2 et l’ammoniac NH3.
3. Ecrire l’équation de la réaction entre l’acide fluorhydrique HF et l’ion borate BO2 –
 EXERCICE 4 :
On mélange une solution S1 de l’acide éthanoïque CH3COOH de volume V1=20ml et de concentration C1=0.1 mol.L-1 ,
avec une solution S2 de l’ammoniaque NH3 de volumeV2=30 ml et de concentration C2=0.151 mol.L-1
1. Ecrire les demi-équations acido-basiques et déduire la réaction totale de la transformation.
2. Dresser le tableau d’avancement de la réaction.
3. Calculer les concentrations d’ions à l’état final.

Partie 1 Chapitre 6
Les reactions d’oxydoréduction
‫اختزال‬-‫تفبعالث أكسدة‬
La rouille est formée à cause d’une réaction chimique entre le métal fer et le dioxygène de l’air en
présence de l’humidité. Ce type des réactions s’appelle réaction d’oxydo-réduction.
- Qu’est-ce qu’une réaction d’oxydo-réduction ?
- Comment s’écrivent les équations chimiques des réactions d’oxydo-réduction ?
1- Réactions d'oxydoréduction
1.1- Réaction entre les ions cuivre II 𝐶𝑢 et le métal zinc 𝑍𝑛:
 Experience:
On plonge une lame de zinc dans une solution de sulfate de cuivre II (couleur bleue).
L’addition de la
soude 𝑵𝒂
𝑯𝑶
 Observations:
 On observe …………………………………………………………………….………………..…………………………..
 L’addition de la soude fait apparaitre …………………………………………………………….……………………..
…………………………………………
1- Quelle est la nature du corps solide rouge qui apparaît sur la plaque de zinc ?
……………………………………………………………………………………………………………..……………………
….. …………………………………………………………………………………………………………….………………..
2- Quel est l'ion qui a été identifié par l'ajout d'une solution d'hydroxyde de sodium ?
……………………………………………………………………………………………………………..……………………
….. …………………………………………………………………………………………………………….………………..
3- Quelles espèces chimiques ont été transformées ?
……………………………………………………………………….…………………………………………………………
4- Écris l'équation chimique associée à cette transformation.
L’équation de la réaction chimique est : …………………………………………………..…………………………….
5- Compléter l'écriture qui exprime :
La transformation des ions cuivre II au cuivre :
La transformation de Zinc aux ions Zinc :
6- Quelle est la nature des particules échangées entre les réactifs pour expliquer cette réaction ? Quel est le
nom de cette réaction ?
……………………………………………………………………………………………………………..……………………
….. …………………………………………………………………………………………………………….………………..
7- Rempli le vide par l'un des mots : gagné – perdu , oxydant – réducteur .
+
 a …………………………………….deux électrons, alors c’est …………………………..

 Zn a ………………………….. deux électrons, alors c’est …………………………..
1.2 – Définitions :
 La réaction d’oxydoréduction est une réaction……………………………………………………………...…….
……………………………………………………………………………………………………………..…………………
…….…………………………………………………………………………………………………………….……………
 Un oxydant …………….…………………………………………………………………………..…………………..
…………………………………………………………………………………………………………….………………..
 Un réducteur …………….…………………………………………………………………………..…………………..
…………………………………………………………………………………………………………….………………..
 L'oxydation est ……………………………………………………..………………..……………………………..…
..…………………………………….
 Exemple :
 La réduction est …………….……………………………………………………………………..…………………..
…………………………………………………………………………………………………………….………………..
 Exemple :
1.3- Le couple 𝒙 / é :
Deux espèces chimiques sont dites conjuguées et forment le couple …………….…………….. noté ……………..
si elles …………………………………………………………………………………………….. d’oxydoréduction :
………………………………………
 Remarque :
 La transformation correspondant au passage de l’oxydant Ox à son réducteur conjugué Red est
………………………………………. : ………………………………………..
 La transformation correspondant au passage du réducteur Red à son conjugué oxydant Ox est
………………………………………. : ………………………………………..
1.4- Les couples à connaître et leur demi-équation :
Couple Nom de l’oxydant Nom du réducteur Demi Équation

H+(aq)/H2(g) Ion H+ (aqueux) Dihydrogène ………………………….…………………..
Mn+(aq)/M(s) Cation métallique métal ………………………….…………………..
Fe3+(aq)/Fe2+(aq) Ion fer (III) Ion fer (II) ………………………….…………………..

MnO4-(aq)/Mn2+(aq) Ion permanganate Ion manganèse (II) ………………………….…………………..
Violet incolore
I2(aq)/I-(aq) Diode Ion iodure ………………………….…………………..
S4O62-(aq)/S2O32-(aq) Ion tétrathionate Ion thiosulfate ………………………….…………………..

1.5- Ecrire une demi-équation :
Méthode d’écriture des demi-équations électroniques :
1- Ecriture du couple MnO4-/Mn2+
2- Equilibrer tous les atomes autres que O et H. ………………………….……………………………………..

3- Equilibrer les O en ajoutant des molécules d’eau. ………………………….……………………………………..
4- Equilibrer les H en ajoutant des protons H+. ………………………….……………………………………..
5- Equilibre des charges ………………………….……………………………………..
2 – Équation d’une réaction 𝒅’𝒐𝒙𝒚𝒅𝒐𝒓é𝒅𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 :

Une réaction d’oxydoréduction consiste en ……………………………………………………..……….. entre un
……………..…...………. d’un couple Ox1/Red1 et un …………….……..………… d’un autre couple Ox2/Red2
Méthode pour écrire les réactions d’oxydoréduction :
 On écrit les deux demi-équations :
 On s’arrange pour avoir le même nombre d’électrons transférés dans les deux équations : pour cela, on
multiplie par n2 la première et par n1 la seconde :
 On additionne alors les deux demi-équations, les électrons n’apparaissent plus :
……………………………………………………………..
…………………………………………………………….
………………………………………………………………………………
 Exemples :
Réaction entre Al et Cu2+, dont les couples sont : Cu2+/Cu et Al3+/Al
 Les deux demi équations :
……………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………
L’équation bilan de la réaction d’oxydoréduction :
……………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………….
 EXERCICE 1:
Soit les couple ox/red suivante : Fe2+ / Fe ; Cr2O7 2- / Cr3+ .
1. Écrire les demi-équations électroniques des couples oxydant/réducteur ci-dessus.
2. Écrire l’équation de la réaction d’oxydoréduction qui traduit la transformation entre les ions de fer II et les ions
dichromate.
 EXERCICE 2 :
Identifier les couples ox/red et écrire les demi-équations dans le sens où elles se produisent.
a. Hg + 2 Ag+ → Hg2+ + 2 Ag
b. 2 H+ + Zn → H2 + Zn2+
 EXERCICE 3 :
On émerge une plaque de zinc Zn dans une solution de nitrate d’argent (Ag+ (aq) + NO3 - (aq)) de volume V=100mL et
de concentration C=0,1mol/L et on obtient un dépôt d’argent Ag sur la partie immergée de la plaque de zinc et
formation des ions Zn2+.
1. Donner la demi-équation d’oxydoréduction correspondant à chacun des couples Ag+ /Ag et ‫ و‬Zn2+/Zn et puis déduire
l’équation bilan.
2. Déterminer les quantités de matière initiales des réactifs.
3. Sachant que le zinc est utilisé par excès, tracer le tableau d’avancement et déterminer l’avancement maximum.
4. Déterminer la masse d’argent déposée à la fin de la réaction sur la plaque de zinc.
5. Déterminer la masse de zinc qui a réagi.
6. Quelle est la concentration des ions Zn2+ dans la solution obtenue à la fin de la réaction ?

Données : M(Ag)=107,9g/mol ; M(Zn)=65,4g/mol.
Partie 1 Chapitre 7
Dosage direct
‫انمعبيرة انمببشرة‬
Il est souvent nécessaire, dans certains cas, de déterminer la concentration d’une espèce chimique dans une
solution en réalisant une analyse quantitative en faisant intervenir quelques espèces, de ces solutions, dans des
réactions oxydoréduction ou acido-basique. On appelle dosage, les réactions chimiques qui permettent de
déterminer la concentration d’une solution ou la quantité de matière d’une espèce chimique donnée.
 Quelle est le principe du dosage et comment le réaliser ?
1- Principe d’un dosage :

1.1- Définition
………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
1.2- Mode opératoire d'un dosage:
 On introduit dans un bécher à l'aide d'une pipette jaugée un
volume de la solution à titrer.
 La solution titrante est placée dans une burette graduée : sa
concentration C2 est connue.
 Le titrage consiste à ajouter progressivement la solution
titrante à la solution contenant le réactif de concentration C1 à
déterminer.
 On utilise un système d'agitation afin d'homogénéiser le mélange.
 La réaction du dosage doit vérifier les conditions suivantes :
………………………………………………………………………………
1.3- Evolution de système et l’équivalence d’un dosage :
 Le dosage direct met en jeu une réaction chimique ………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………
Soit l’espèce chimique à titrer (A) réagit avec l’espèce chimique (B) titrant selon l’équation de
réaction de dosage suivante : aA + bB → cC + dD
Avant l’équivalence A l’équivalence Après l’équivalence
Le réactif titrante B……… Pour un certain volume versé de solution le réactif titré A ………….
……………………………. ………………………………
titrante noté V2E, le réactif titré et le réactif
……………………..……. ……………………..…….
titrant sont tous deux ……………….…… ……………………..…….
……………………..…….
……………………..……. ……………………………………………........... ……………………..…….
……………………..……. ……………………………………………………. ……………………..…….
……………………..…….
…………………………………………………….
……………………………………………………...
…………………………………………………….
On peut repérer le point d'équivalence par l'une des méthodes suivantes :
 ……………………………………………………………………………..………………………….………………..

 …………………………………………………………………………………………………………….………………
………………………………………..
 …………………………………………………………………………………………………………….………………
………………………………………………………………..
1.4- détermination de la concentration inconnue
Un tableau d’avancement à l’équivalence permet d’accéder à la concentration C1.
aA + bB → cC + dD
Etat initial …………. ………….. ………….. …………..
En cours ………….. …………….. …………… …………….
Etat final …………….. ……………… …………… …………….
A l’équivalence, les deux réactifs sont limitants alors :
On trouve :
Donc : Relation d’équivalence →
2- Dosage conductimétrique:
2.1- Mode opératoire:
Pour réaliser le dosage d'une solution S1 d'acide chlorhydrique (H3O++Cl-) par une solution S2 d'hydroxyde
de sodium (Na++HO-) de concentration molaire CB=10-2mol/L, on verse un volume VA=10mL de la solution
S1 dans un bécher et on lui ajoute progressivement à l'aide d'une burette graduée la solution S2 d'hydroxyde
de sodium tout en mesurant la variation de la conductance du mélange réactionnel en fonction de la variation
du volume de soude ajouté.
On trace la courbe : G=f(VB)
2.2- Analyse de la courbe :

 La courbe représentant G en fonction de VB présente ………………………………..……………………………..
…………………………………………………………………………………………………..……………………………
………………………………………….…………………………………………………….
 …………………………………………………………………………………………………..……………………………
………………………………………….…………………………………………………………….………………….
………………………………………….…………………………………………………………….………………….
………………………………………….…………………………………………………………….………………….
………………………………………….…………………………………………………………….………………….
………………………………………….…………………………………………………………….………………….

 Après l'équivalence, ………………………………..………………………………………………………….…………..
…………………………………………………………………………………………………..…………………………
… ………………………………………….……………………………………………………………..…………….
2.3- Equivalence :
Les ions Na+ de la solution de soude et les ions Cl- de la solution d'acide chlorhydrique sont inactifs.
Donc l’équation de la réaction du dosage s’écrit : …………………………………………………
Tableau d'avancement de la réaction :
…………. + …….. → …………
Etat initial …………. ………….. …………..
En cours ………….. …………….. ……………
Etat final …………….. ……………… ……………
………………………………………….……………………………………………………………………………..…….
………………………………………….……………………………………………………………………………..…….
…………………………………………………………………………………………………..……………………………
………………………………………….……………………………………………………………………………..…….
3- Dosage calorimétrique:
3.1- Mode opératoire :
Pour titrer une solution de sulfate de fer II (Fe2++SO42-) par une solution de permanganate de potassium
(K++MnO4-), on introduit dans un bécher un volume V1=20mL d'une solution de sulfate de fer II de
concentration C1 inconnue puis on lui ajoute progressivement à l'aide d'une burette une solution de
permanganate de potassium de concentration C2=3.10-2mol/L et qui est acidifié par quelques gouttes d'acide
sulfurique.
On utilise un agitateur magnétique durant le dosage pour rendre le mélange homogène.
On continue à ajouter la solution de permanganate de potassium jusqu'au point d'équivalence qui correspond
au début de l'apparition de la couleur violette dans le bécher et on indique le volume ajouté V2E=13,3mL.
1- vérifier que l’équation-bilan s’écrit :
𝑀𝑛𝑂 𝐹𝑒 𝐻 → 𝑀𝑛 𝐹𝑒 𝐻𝑂
+
2- Construire le tableau d’avancement de la réaction les ions H sont en excès.
3- Quelle sont les espèces chimiques présentes dans le mélange a l’équivalence ?
3- établir la relation d’équivalence liant C1,V1,C2 et V2E déduire la valeur de C1.
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………….

……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………..…….
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………..
 EXERCICE 1 :
On dose, par titrage conductimétrique, un volume VA = 20 mL de la solution d'acide nitrique HNO3 de concentration CA
par une solution d'hydroxyde de sodium (Na+ + HO- ) de concentration CB = 0.2 mol/L.
Le suivi du titrage par conductimétrie permet de tracer le graphe G = f (VB) ci-contre
1. Faire un schéma légendé du dispositif de titrage
2. Etablir l’équation de la réaction de dosage.
3. Etablir un tableau d’avancement.
4. Déterminer la relation d’équivalence.
5. Déterminer le volume équivalent Véq du titrage.
6. Déterminer la concentration CA de la solution d’acide nitrique.
 EXERCICE 2 :
Pour déterminer la concentration C1 en diode I2 d’une solution de Tarnier, on dose un volume V1=25 mL de solution
de Tarnier par une solution de thiosulfate de sodium (2Na+ + S2O3 2- ) de concentration C2=0,02 mol/L.
Données : - Couples oxydant / réducteur mis en jeu : I2 / I- et S4O6 2- / S2O3 2-
- Le volume versé à l’équivalence est égal à Véq=12,1 mL.
1. Etablir l’équation de la réaction de dosage.
2. Etablir un tableau d’avancement.
3. Déterminer la relation d’équivalence.

4. Déterminer la concentration C1 de la diode.

Partie 2 Chapitre 1
Expansion de la chime organique
‫تـــىســـع انكيميـــبء انعضـــىيـــــت‬
La chimie organique est constamment présente dans notre vie quotidienne (santé, vêtements, habitation, énergie
et transports, alimentation, etc...). Elle s’implique aussi dans la vie elle-même, puisqu’elle règle tout le
fonctionnement cellulaire des organismes vivants : activité musculaire et nerveuse, digestion, respiration, et même
activité cérébrale.
- Quel est l’élément de base en chimie organique ?
- Comment est-il lié aux atomes voisins ?
1- Introduction à la chimie organique :

1.1- Définition :
……………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………..
 Exemple :
-……………………………………………………………………………………………………………………………..
-…………………………………………………………………………………………………………………………..…..
1.2- Ressources naturelles des composés organiques :
a- ………………………………………… :
Grace à la chlorophylle, les végétaux sont capables, en utilisant l’énergie solaire, de transformer le carbone
minéral (venant de dioxyde de carbone 𝐶𝑂2 atmosphérique) en carbone organique (dans les glucoses) suivant
le bilan :
…………………………………………………………………………………..
b- …………………………………………… :
Les cellules des êtres vivants fabriquent leurs propres substances organiques à partir des aliments : c’est la
synthèse biochimique.
c- …………………………………………… :
Le pétrole et le gaz naturel, sont formés aux fonds des mers, proviennent de la décomposition, d’organismes
vivants (végétaux et animaux), lente qui a durée des millions d’années loin de l’aire et sous l’action des
bactéries.
2- Les liaisons covalentes autour de l’atome carbone :
2.1- Le carbone tétravalent :

Le symbole du noyau de l’atome de carbone est 𝐶
Sa structure électronique est ……………………………..………………

La règle de l’octet permet de prévoir que l’atome de carbone établit ……………….………..………………………
……………………………………………….…………………….….. avec les atomes voisins.
Donc l’atome de carbone est ………………………………………
2.2- Les liaisons possibles de l’atome de carbone :
Les quatre liaisons de l’atome de carbone peuvent être distribuées de quatre façons différentes dans l’espace.
Liaisons autour de l’atome de carbone Geometrie de la molecule Exemple
Quatre liaisons covalentes simples :
Une liaison double et deux liaisons

simples :
Une liaison triple et une liaison simple :
Deux liaisons covalentes doubles :
3- L’importance de la chimie organique :
La chimie organique est considérée comme la base de l’économie mondiale, car c’est elle qui fournit la
matière première à tous les autres domaines industriels.
La chimie peut se diviser en trois secteurs industriels :
 ………………………..……………….. :
…………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………..…………………………….
 ………………………………………….. :
…………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………..……………………….
 ………………………………………….. :
…………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………….

Partie 2 Chapitre 2
Les molécules organiques
‫انجزيئبث انعضىيت‬
1- Les molécules organiques :

1.1- Chaîne carbonée et groupe caractéristique :
 On appelle chaîne carbonée ou squelette carbonée d’une molécule organique, ………………………………..
…………………………………………………………………………………………………………………
 On appelle groupes caractéristiques un groupement ……………………………………………………..………..
…………………………………………………………………………………………………………………
 Exemple :
: Groupes caractéristiques
1.2- Représentation des molécules organiques :

La formule brute La formule développée plane La formule semi- L’écriture topologique
développée
……………..…………. …………………………...…………. ……………..…………. On représente l’enchaînement
……………..…………. ……………………….…..…………. ……………..…………. des atomes de C par une
……………..…………. …………………………..…………. ……………..…………. ……………………….………….
……………..…………. ………………..……..…..…………. ……………..…………. ……………..…………………….
……………..…………. ………………..….…..…..…………. ……………..…………. ……………..………………..….
……………..…………. ……………..……..……..…………. ……………..…………. ……………..…………………….
……………..…………. …………………………...…………. ……………..…………. ……………..…………………..
……………..…………. ………………………..…..…………. ……………..…………. ……………..……………………..
…………..………..……..…………. ……………..…………. …..……………..………….……….
…………..…………..…..…………. ……………..…………. …………...……………..………….
………….…………..…..…………. ……………..…………. ……………..……………………..
……………….…………..…………. ……………..…………. …..……………..………….……….
…………………………..…………. ……………..…………. …………...……………..………….
…………………………..………….
1.3- Types de chaînes carbonées :

a- Les chaînes carbonées saturées et insaturées :

Lorsque les atomes de carbone ne forment que des liaisons simples entre eux, la chaîne ………………………..
Elle est dite insaturée lorsqu’au moins deux atomes de carbone voisins sont liés par …………………………….
……………………………..
 Exemple :
………………………………………………………………..………………………………………………………………..
……………………………………………………………….………………………………………………………………….
…………………………………………………………….……………………………………………………………………
b- Chaînes carbonées linéaires, ramifiées, cycliques :
 La chaîne carbonée est dite linière lorsque chaque atome de carbone ………………………………… deux
autres atomes de carbone au plus.
 Elle est dite ramifiée lorsqu’un ou des atomes de carbone ………………………………………………….
………………………………………………………
 La chaîne est dite cyclique lorsque tous ses atomes de carbone ……………………………………….……….
………………………………………..………………………
 Exemple :
………………………………………………………………..………………………………………………………………..
……………………………………………………………….………………………………………………………………….
…………………………………………………………….……………………………………………………………………
……………………………………………………………….………………………………………………………………….
1.4- Isomérie de constitution:
Deux composés sont isomères s’ils ont ………………………………..…………………… mais des formules
développées ………………….………………….. Ils ont des propriétés physiques différentes et des propriétés
chimiques très voisines.
On distingue trois isomères :
a- Les isomères de chaîne :
………………………………………………………………………………..………………………………..
 Exemple : le butane 𝐶4𝐻10 a deux isomères : …………………………………………
………………………………………………………………………………………..…….….……………………..………
………………………………………………………………………………………..…….….………………………………
………………………………………………………………….….…………………………………..………………………
b- Les isomères de position :
…………………………………………………………………………………………….……………………………………
…………………………………………….
 Exemple : 𝐶4𝐻8
………………………………………………………………………………………..…….….……………………..………
………………………………………………………………………………………..…….….………………………………
………………………………………………………………….….…………………………………..………………………
c- Les isomères de fonction :
……………………………………………………………………………………………………..……………………..
 Exemple : 𝐶4𝐻8𝑂
………………………………………………………………………………………..…….….……………………..………
………………………………………………………………………………………..…….….………………………………
………………………………………………………………….….…………………………………..………………………

2- Les alcanes :
2.1- Définition :
Les alcanes sont des …………………………………………………………………………………………………, 𝑛 est
le nombre d’atomes de carbone du squelette carboné.
2.2- Nomenclature :
a- alcane linéaire :
Le nom d’un alcane à chaîne linéaire est constitué d’un :
-préfixe qui indique le nombre d’atome carbone de la chaîne (méth, éth, prop….)
-suffixe (terminaison) ane caractérise les alcanes.
Formule CH4 C2H6 C3H8 C4H10 C5H12 C6H14 C7H16 C8H18 C9H20
Nom ……….. ………. ………. … ;….. ……….. ……….. …………. ……… …………
 Exemple :
………………………………………………………………………………………..…….….……………………..………
………………………………………………………………………………………..…….….………………………………
………………………………………………………………….….…………………………………..………………………
…………………………………………………………………….…………………………………………………..………
b- alcane ramifié :
Le nom d’un alcane ramifié est déterminé en appliquant la règle suivante :
- On cherche la chaîne carbonée la plus longue.
- Ce qui est attaché à cette chaîne s’appelle des groupes alkyles
- Radical: -CnH2n+1
-CH3 -C2H5 -C3H7 -C4H9 -C5H11
………………….. ………………….. ………………….. ………………….. …………………..
- Le nom principal de l'alcane ramifié est donné par la chaine carbonée la plus longue devant lequel
on place les noms des radicaux alkyls numérotés en utilisant les plus petits nombres possibles et classés
par ordre alphabétique.
-Lorsque les mêmes radicaux sont répétés on utilise les préfixes multiplicateur (di , tri , tétra , penta
….) pour indiquer leur nombre.
 Exemple :
Alcane ramifié Nom L’écriture topologique

c- cycloalcane
 Les cycloalcanes sont ………………………………..…………………………………………. dont la formule
brute générale est : ………………………………… …………………………………………….
 Le nom d'un cycloalcane s'obtient en utilisant le préfixe ……………………………………………………………
……………………………………………………………………………….
 Exemple :
Cycloalcane Nom L’écriture topologique
3- Les alcènes :
3.1- Définition :
-Les alcènes sont des hydrocarbures ……………………………………….………………………………………………
………………………………………………..
-Leur formule brute générale est ………………………………………………..
3.2 - Nomenclature des alcènes :
-Le nom de l’alcène est établi comme ……………………………………….…………………………………………
………………………………………………………………..…………………………..
-On numérote la chaîne de façon que le premier atome de carbone de la liaison …………………………… …
………………………. ………………………………………………………….
 Exemples :
Alcène Nom L’écriture topologique

3.3- Isomérie Z et E :
Pour qu’une isomérisation Z ou E puisse avoir lieu, il faut remplir deux conditions :
- la molécule doit présenter une ………………………………………………..
- les groupes de part et d’autre de ………………………………………………. doivent être différents.
Si les deux atomes d’hydrogènes …………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………….
……………………………. ……………………………….

Modification du squelette carboné
Partie 2 Chapitre 3
‫تغييــــــر انهيكــــم انكـربـىنـــــــي‬
1- Production des carburants :

La pétrochimie consiste à transformer le pétrole brut, généralement inutilisable directement, en
produits adaptés à la demande des consommateurs. C’est le cas des gaz utilisés comme
combustibles (propane et butane), des gazoles, des carburants des moteurs diesels et du kérosène …
2- Technique de modifications de la chaîne carbonée :
2.1- Raccourcissement de squelettes du carbonés :

a- Craquage catalytique :
Le craquage est une opération au cours de laquelle on obtient des hydrocarbures légers à partir des
hydrocarbures lourds. Le craquage est catalytique s’il se fait en présence d’un catalyseur.
Exemple :
En général : alcane → alcane + alcène

Application 1 :
Compléter les équations craquage catalytique suivante :
→
→
→
b- Vapocraquage :
Il se fait en présence d’eau, en l’absence du catalyseur et à une température voisin de 800 C. Il produit
essentiellement des alcènes.
Exemple :
Application 2 :
Compléter les équations suivantes :
→
→
2.2- Reformage catalytique :

Il permet de changer la structure de la chaîne carbonée sans changer le nombre des atomes selon le choix du
catalyseur, on oriente la réaction vers une isomérisation ou vers une cyclisation.

a- Ramification :
Un alcane à chaine linéaire peut se transformer en un isomère à chaîne ramifiée.
b- Cyclisation :
A partir d’un alcane linéaire, on obtient un alcane cyclique avec formation du dihydrogène.
c- Déshydrogénation :
Elle consiste à transformer une liaison covalente simple C-C en une liaison double C=C,
c’est-à-dire former des alcènes.
Remarque :
Une hydrogénation peut être accompagnée d’une cyclisation.
Application 3 :
Compléter les équations suivantes :
2.3- Allongement de la chaîne de carbonée : polymérisation

Une polymérisation est une addition répétée d’un grand nombre de molécules insaturées appelées
monomères ; il résulte de la formation d’une macromolécule nommée polymère.
D’une manière générale on peut l’équation de la réaction de polyaddition sous forme :
En générale :
𝑛 est appelé indice de polymérisation et le groupe −𝐶𝐻2 − 𝐶𝐻𝐴 − est appelé motif du polymère.
Exemples de polymère et leurs principales applications :

Groupements caractéristiques
Partie 2 Chapitre 4 Réactivité des alcools
‫انمجمىعبث انمميزة – تفبعهيت انكحىالث‬
1- Groupe caractéristique et carbone fonctionnel :

Un groupe caractéristique est un groupe d’atome qui donne des propriétés spécifiques aux
molécules qui le possèdent. On dit que ces molécules possèdent une famille chimique.
Le carbone qui porte le groupe caractéristique s’appelle carbone fonctionnel.
2- Familles des composés organiques :

2.1- Famille des amines :
Les amines possèdent le groupe caractéristique amino −𝑁𝐻2. On pourra les noter d’une façon générale
𝑅 − 𝑁𝐻2.
Le nom de l’amine dérive de l’alcane correspondant on remplace le –e terminal par – amine précédé de
l’indice de position du carbone fonctionnel dans la chaîne carbonée.
Exemples :
2.2 - Famille des composés halogénés :

Les composés halogénés portent un groupe caractéristiques halogéno −𝑋 : ou 𝑋 un atome de la
famille des halogènes (𝐹; 𝐶 ; 𝐵𝑟 ; 𝐼).
Le nom d’un composé halogéné dérive de l’alcane correspondant. Il est précédé du nom de l’atome
d’halogène présent, terminé par le suffixe –O et de l’indice de position du carbone fonctionnel.
Exemples :
2.3- Famille des alcools :

Les molécules des alcools comportent le groupe hydroxyle− lié à la chaîne carbonée. La formule
générale d’un alcool est − .
Le carbone lié au groupe caractéristique est nommé carbone fonctionnel.
a- Classe des alcools :
La classe des alcools est définie par le nombre d’atomes de carbone lié au carbone fonctionnel, il y a trois
classes d’alcools :
Alcool primaire : Si le carbone fonctionnel est lié à un atome de carbone ou non lié à aucun atome de carbone.
Alcool secondaire : Si le carbone fonctionnel est lié à deux atomes de carbone.
Alcool tertiaire : Si le carbone fonctionnel est lié à trois atomes de carbone.

b- Nomenclature des alcools :
Le nom de l’alcool dérive de l’alcane correspondant. Le –e terminal est remplacé par −𝑜 précédé
du numéro de position du carbone fonctionnel de la chaîne carbonée et qui porte le numéro le plus
petit possible.
Exemples :
2 .4- Famille des composés carbonyles :

Les aldéhydes et les cétones constituent les composés carbonylés. Ils possèdent le groupe carbonyle
𝐶 = 𝑂.
a- Les aldéhydes :
L’aldéhyde est un composé carbonylé dont le groupe caractéristique se trouve au bout de la chaîne.
Leur formule brute est :
Nomenclature des aldéhydes :

Le nom d’un aldéhyde dérive de l’alcane correspondant. Le –e terminal est remplacé par – .
Exemples :
b- Les cétones :
Une cétone est un composé carbonylé dont le groupe caractéristique se trouve entre deux atomes de
carbone. Sa formule générale est :
Nomenclature des cétones :

Le nom de la cétone dérive du nom de l’alcane correspondant. Le −𝑒 terminal est remplacé
par−𝑜𝑛𝑒, précéder du numéro de position du carbone fonctionnel dans la chaîne carbonée.
Exemples :
2.5- Famille des acides carboxyliques :

Tous les acides carboxyliques contiennent le groupe caractéristique carboxyle –𝐶𝑂𝑂𝐻 au bout de la chaîne.
Leur formule générale est 𝑅 − 𝐶𝑂𝑂𝐻 oû R est un radical alkylique.
On nomme les acides carboxyliques en ajoutant au nom de l’alcane correspondant le suffixe « oïque »,
précéder du terme acide.
Exemples :

L’essentiel
Familles des composés organiques et tests de caractérisation :


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Cours, activités et

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 1

 Partie 1 : Le travail mécanique et l’énergie

 Partie 1 : La mesure en chimie

 Partie 2 : Chimie organique

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 2

1- Définition du mouvement de rotation

Le corps (S) est en mouvement autour de l’axe fixe (∆).

2- repérage d’un point du solide

Son unité dans (S.I) …………………………………………………………………………………

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 4

L’unité de mesure de l’abscisse curviligne …………………………

3-La Vitesse angulaire

Δ …………………………………………………….du solide pendant la durée Δ𝑡.

3.3- Relation entre vitesse angulaire et vitesse d’un point.

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 5

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 6

4- Movement de rotation uniforme :

Avec f en ………………………..……………. pour T en…………………………….. .

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 7

5- L’équation horaire du mouvement de rotation uniforme.

-𝜽 𝒕 :l’abscisse angulaire à l’instant t en rad.

- s(t) l’abscisse curviligne de A à l’instant t

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 8

1- Quelle est la nature du mouvement ?

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 9

1- Notion de travail d’une force constante

1.1-Effets possibles d’une force dont le point d’application se déplace

………………….. ………………………… …………. ………………… ……………………

2- Travail d’une force constante

2.1- Définition d’une force constante

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 11

2 .4- translation curviligne

Le travail total de la force est égal à la somme des travaux élémentaire

 Dans un repère 𝑅 𝑂 ⃗ les coordonnées du poids 𝑃⃗ et du vecteur déplacement sont :

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 11

1er cas : MN plan horizontal

2éme cas : plan incliné

3éme cas : trajectoire circulaire

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 12

1- Calculer le travail en chaque portion de la trajectoire du poids : 𝑊 𝑃⃗ ,𝑊 𝑃⃗ ,𝑊 𝑃⃗

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 13

3- Travail d’une force de moment constant exercé sur un solide en rotation :

Puisque le point M décrit une trajectoire circulaire :

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 14

4- Puissance d’une force

→ est le vecteur vitesse instantanée du point d’application de la force ⃗

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 15

 Etude du mouvement du skieur dans la partie (AB) :

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 16

travail et énergie cinétique

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 17

1- Energie cinétique d’un solide en translation :

1.1- Notion de l’énergie cinétique :

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 18

b- cas d’un solide en rotation :

c- Les expressions des moments d’inertie de quelques solides homogènes :

Matière: Physique - Chimie Niveau : 1er Bac science Exp F 19

2- Théorème de l’énergie cinétique :