Radiesthesie Chapitre 3
Radiesthesie Chapitre 3
Radiesthesie Chapitre 3
jeunes, et en bien plus grand nombre que leurs consœurs s’activant sur terrain
sain. Les causes de leur mort étaient le plus souvent dues à des tumeurs diverses,
tumeurs artificielles créées par badigeonnage de goudrons cancérigènes. Par
contre, les souris sur sous-sol sain, traitées de même façon, voyaient leurs tumeurs
régresser le plus souvent et même disparaître, lorsque l’on cessait le
badigeonnage.
2. L’expérience de Vilsbiburg
Dix ans plus tôt, en 1929 exactement, le baron von Polh, aristocrate de son état et
biologiste de profession, obtint des autorités municipales de la ville de Vilsbiburg la
permission d’étudier certaines zones mal délimitées où les morts par cancer
s’avéraient manifestement plus nombreuses que dans l’ensemble du territoire
municipal. Le premier travail de prospection du baron fut de situer précisément
ces zones. Retenons que pour arriver à ses fins, von Polh usait d’une simple
baguette de coudrier…
Lorsqu’il eut mis en évidence les limites des secteurs que sa baguette lui indiquait
comme cancérigènes, il communiqua le fruit de ses recherches aux autorités
compétentes. Quelle ne fut pas la stupéfaction de celles-ci lorsqu’elles
s’aperçurent que chacun des lits où mourut un cancéreux se situait précisément
dans ces espaces de mort.
Où l’expérience de Vilsbiburg devient des plus éclairante, c’est lorsque l’ingénieur
Staëngel décida, en 1972, de rééditer les recherches du baron von Polh, mais cette
fois, non plus à l’aide d’une baguette de coudrier, mais d’un scintillomètre à
gamma. Les recherches de von Polh s’en trouvèrent confirmées. Comme quoi une
baguette de coudrier dans des mains expertes, vaut autant que le détecteur le plus
sophistiqué !
Entre 1929 et 1972, les noms d’un certain nombre de malheureux vivant sur ces
terres mortelles, étaient venus évidemment s’ajouter à la liste des décédés ayant
succombé par suite de cancers variés. Staëngel réussit à en détecter neuf, ce qui
est un exploit si l’on sait qu’une maison est aujourd’hui rarement habitée plus de
quelques années par le même occupant.
Sommeil perturbé
Si, en vous levant le matin, vous vous dites « vivement ce soir que je me couche »,
il y a peut-être des (mal)chances que vous soyez victime (en tout ou en partie) de
votre lieu de vie ! En effet, pour raisonner de telle façon au saut du lit, il faut que
votre sommeil ne soit pas réparateur, ou que vous souffriez d’insomnie. Exemple :
la nuit, les réveils sont fréquents et de plus ou moins longue durée. Autre cas, le
soir, le sommeil se refuse à venir, alors qu’au petit matin, bien avant l’heure du
lever, il vous quitte, pour revenir en force juste avant qu’il ne faille vous extraire
du lit, avec les suites pénibles que l’on devine pour le restant de la journée.
Problèmes psychologiques
Les changements d’humeur sont fréquents. Mais avec en plus le symptôme
aggravant que ces variations dépassent les normes. La phase de bonne humeur
incite à des rires exagérément excités, tandis que la phase dépressive conduit à
une prostration tout aussi exagérée. La mélancolie neurasthénique n’est pas loin
avec les risques graves qui peuvent en découler : névrose d’angoisse, dépression
plus ou moins profonde, envies suicidaires, infestations… Pour les artistes, la
créativité s’estompe, se racornit, se sclérose ! Pour les enfants, les risques
encourus sont gravissimes. Ils sont à l’aube de leur destinée et ils ont besoin de
l’entièreté de leurs moyens, tant physiques que psychiques, pour affronter la dure
vie qui s’annonce.
La géobiologie et la nature
Quiconque doute des méfaits des perturbations telluriques, n’a qu’à exécuter
l’expérience suivante. Qu’il se promène là où se trouvent des arbres, des
arbrisseaux… Lorsqu’il en verra des tordus, des penchés, des torturés, des couverts
de pustules ligneuses, il comprendra, en constatant ce qu’un croisement tellurique
peut apporter de nuisances à un malheureux végétal, ce qu’il peut imposer à un
humain et à un animal quel que soit son espèce !
La géobiologie, ça ne comprend pas que les troubles dus aux vibrations telluriques,
ces émissions nocives ‘’matérielles’’. Il en rôde d’autres, tout aussi redoutables.
Ce sont les EIdF nocives (émissions des influences de forme). Ces émissions
d’influences de forme, ‘’para-matérielles’’ (parapsychiques), sont aussi
nécrosantes. Elles sont heureusement rares mais elles existent… Voir le chapitre
traitant du sujet.
Dysfonctionnements dus aux ondes de forme nocives concrètes
Il n’y a pas que les cours d’eau souterrains pollués, eaux closes, failles et tutti
quanti qui nuisent aux occupants d’un lieu de vie, par le canal des points Hartmann
et Curry. Ne pensons qu’à l’implantation de notre mobilier, à ses angles, aux
glaces, miroirs et leurs dangereuses réflexions, aux taux biologiques négatifs des
meubles en coin, aux couleurs de notre habitat… Méfions-nous comme de la peste
des bibelots, bijoux, trophées de chasse… ou de pêche, masques dits africains,
objets de cultes divers, statues et statuettes, momies (et oui)… Tout ce menu
monde cosmopolite enferme parfois en son sein un petit démon très virulent
capable des pires choses !
polluée. Or, ces émissions ne sourdent à la surface terrestre que par la (mauvaise)
grâce des émissions porteuses, émissions porteuses qui sont toujours telluriques
(réseaux H et C).
Le problème avec un sourcier devenu géobiologiste, c’est qu’il trouve de l’eau (et
avec raison le plus souvent) partout ! Ce qu’il néglige (ou ignore), c’est que l’eau,
même polluée, n’est jamais nocive par elle-même. En effet, les ions positifs
(cations) et autres nocivités dont nous ignorons quasi tout et qu’une eau pathogène
crée et draine sur son passage, n’arrivent en surface que « par les bouches de
l’enfer du Feng Shui » (géobiologie chinoise), que sont les sorties géomagnétiques.
C’est vrai aussi pour les ions négatifs (anions) qu’une eau pure produit…
Le drame, avec les émissions nocives véhiculées en surface par les croisements
telluriques, c’est qu’elles ne s’additionnent pas mais se multiplient.
*Voir mon livre ‘’La Nouvelle Géobiologie’’ aux éditions Servranx, Bruxelles
La géobiologie et la médecine.
Selon la loi, la géobiologie ne peut, sous aucun prétexte, se substituer à la
médecine. Elle ne doit pas se donner cette peine d’ailleurs, ses armes étant
totalement différentes et largement suffisantes que pour ne pas devoir singer la
technique médicale.
Derniers conseils santé
1. Avant toute demande d’aide à un géobiologiste, obligeons-nous d’abord
d’exposer notre cas à notre médecin de famille.
2. Si nos malaises ne disparaissent pas, ne craignons pas alors de nous adresser à un
géobiologiste… naturopathe de surcroît, sans pour cela abandonner l’aide de notre
médecin. Médecine et géobiologie ne devraient pas s’exclure.
3. N’oublions pas le vieux proverbe qui affirme que la guérison est d’abord entre
les mains de l’individu souffrant. « Aide-toi, le ciel t’aidera ». Un exemple : grâce
à la géobiologie, notre rythme cellulaire, perturbé gravement par l’une ou l’autre
émission nocive, se régularise sous l’effet de la circulation, à nouveau libérée, de
l’Energie Universelle, lui permettant ainsi de nous reconstruire. Mais si nous
fumons, buvons, mangeons sans discernement, nous droguons, qu’en plus notre
état d’esprit est négatif sans que nous fassions rien pour le positiver, que croyons-
nous qu’il va arriver ? Rien de bon dans le temps, assurément.
Ceci dit, il faut reconnaître que beaucoup de personnes souffrantes, une fois
‘’reénergétisées’’ par le biais d’une véritable géobiologie, ‘’détraumatisées’’ si
nécessaire, épaulées par une médecine énergétique telle que l’homéopathie et
autres médecines alternatives, ressentant leur moral remonter, trouvent en elles la
force morale de s’arracher à ces calamiteuses dépendances.
Conclusion
Aide-toi, le Ciel t’aidera !