Powerpoints Du Cours - G3 Physique-L1-LMD - Janvier2023
Powerpoints Du Cours - G3 Physique-L1-LMD - Janvier2023
Powerpoints Du Cours - G3 Physique-L1-LMD - Janvier2023
1
ARTICULATION DE LA MATIERE
3.ÉVALUATION
3.1 PONDERATION DES NOTES ET TRAVAUX :
3.2 INFORMATION SUR LES TRAVAUX :
3.3 BAREME D’EVALUATION : (Cf. SYSTÈME EN VIGUEUR)
5.DESCRIPTIF DU COURS
6.MATIERE ABORDEE DANS LE COURS
2
Objectifs et perspectives du cours
3
Compétences attendues
4
Approche pédagogique et Matériel didactique
Tableaux
Figures
Schémas
Diverses illustrations
5
Évaluation
(Pondération des notes et travaux)
Dispositions pratiques
Nature du Échéances Pondération
travail Individuel/ En classe/
Par équipe À domicile
Travaux Cf.Articulation
Pratiques Par équipe En classe des 35%
(Mini séances
Analyses,
Interrogations)
Participation 15%
Examen final Individuel En classe Cf.Articulation 50%
des
6 séances
Dispositions pratiques pour les travaux
et l’examen final
10
Figure 1. Un champ d’études multidimensionnel
Les origines de la formation des théories et
des schémas conceptuels en administration
Sciences pures
Génie
Connaissances Connaissances sur le Connaissances
sur plan des systèmes sur le plan
le plan quantitatif
béhavioriste Sociologie Anthropologie Écologie
Source: M. Crener et B. Monteil, Principes de management, Québec, Les Presses de l’Université du Québec, 1981, p. 77.
11
Fondements : Les origines et l’évolution du
Management (Gestion):
Naissance et évolution de la
discipline du Management (Gestion)
12
Société féodale:
14
Première révolution technologique
15
Argument moral et économique utilisé
pour justifier la quête de richesse
générale de la société
16
La perspective libérale classique
17
L’origine du principe de la division du
travail
Réflexion technique :
Faite pour rendre la quête de richesse par la productivité accessible pour la
société en général:
19
1.Taylor et l’OST (1911) Le
contexte de travail (début du
XXe siècle)
⚫ Antagonisme entre patrons et ouvriers:
21
Les principes du modèle de
l’organisation scientifique
du travail (OST)
24
2. Fayol (1841-1925)
et l’administration
classique
25
Les 14 principes généraux
d’organisation
1) Division du travail (spécialisation)
2) Autorité et responsabilité
⚫ « commander et se faire obéir » *, mais avec une sanction qui
récompense ou pénalise l’exercice du pouvoir
27
Les 14 principes généraux
d’organisation (Suite et fin)
8) Union du personnel
28
Le POCCC de Henri Fayol
⚫ Toute organisation donne à remplir 6 groupes
d’opérations:
– Techniques (production, fabrication,
transformation)
– Commerciales (achats, ventes, échanges)
– Financières (recherche et gérance des capitaux)
– Sécurité (protection des biens et des personnes)
– Comptabilité (inventaire, bilan, prix de revient,
statistique)
+ Administratives (planification, organisation,
commandement, coordination et contrôle -
29 POCCC)
Aujourd’hui...
PODDC
PODDC
Figure 1.4
PREOCCUPATION:
– Pourquoi les personnes obéissent-elles à
des ordres?
– Qu’est-ce qui légitime les rapports de
domination?
L’ordre dans les grandes organisations repose
– Sur la domination rationnelle bureaucratique qui
a remplacé la tradition (Weber)
31
Les types d’autorité selon Weber
32
Le modèle bureaucratique
(Weber)
➢ Les membres sont personnellement libres et soumis à une autorité
seulement pour l’accomplissement de leurs fonctions officielles
➢ Ils sont organisés dans une hiérarchie d’emplois claire et bien définie
33
Les trois approches pionnières du
courant formel du management
Les trois approches du courant formel se complètent:
34
Un champ d’études multidimensionnel
Les origines de la formation des théories et des schémas conceptuels en administration
Mathématique
Communication s
Sciences
pures
Génie
Connaissances sur Connaissances sur le plan Connaissances sur
le plan des systèmes le plan quantitatif
béhavioriste
Sociologie Anthropologie Écologie
Source: M. Crener et B. Monteil, Principes de management, Québec, Les Presses de l’Université du Québec, 1981, p. 77.
35
Le courant humain et behavioriste:
Est né en réaction au courant technique centré sur la rationalité
Le mouvement des
relations humaines:
❖ Ne remet pas en Le mouvement Le mouvement de la
cause l’approche participatif direction humaine
taylorienne du ❖ Axé sur la ❖ Basé sur les activités
travail. participation de gestionnaire et de
❖ Tente de ❖ Accent sur la consultant en
comprendre dimension humaine organisation de Follet
l’articulation entre le et démocratique. et Barnard.
facteur humain et la
productivité du
travail.
36
1. Le mouvement des
relations humaines (MRH)
Objets d’étude:
1. Le groupe (formel et informel) de
travail
2. La personne au travail
Les expériences de
Hawthorne (Mayo et al.)
39
Une critique (limite) de l’approche
participative
40
3. Le mouvement de la
Direction humaine
Follett : de la coordination à la
démocratie
Le fonctionnement démocratique
(basé sur le groupe et le conflit constructif)
Le pouvoir et l’autorité
(basé sur le pouvoir co-actif (pouvoir «avec» les autres) et
non un pouvoir coercitif (pouvoir «sur» les autres)
Le métier de dirigeant :
1. La coordination comme mise en relation réciproque de tous les
facteurs dans une situation
2. La coordination par le contact direct entre les personnes
responsables concernées
3. La coordination aux stades les plus précoces de la décision
41 4. La coordination comme processus continu de concertation
Le mouvement de la Direction
humaine (Suite)
Barnard : la coopération et l’organisation formelle
(Pour survivre, l’organisation doit être efficace vers l’objectif commun et être efficiente
(atteindre cet objectif sans conséquences indésirables tout en satisfaisant les motivations
individuelles)
43
Résumé du courant behavioriste
44
Chronologie des théories
du courant de pensée
behavioriste
45
Résumé du courant behavioriste
46
Un champ d’études multidimensionnel
Les origines de la formation des théories et des schémas conceptuels en administration
Mathématique
Communication s
Sciences
pures
Génie
Connaissances sur Connaissances sur le plan Connaissances sur
le plan des systèmes le plan quantitatif
béhavioriste
Sociologie Anthropologie Écologie
Source: M. Crener et B. Monteil, Principes de management, Québec, Les Presses de l’Université du Québec, 1981, p. 77.
47
Chrono
logie
des
courant
s de la
pensée
manag
ériale
– AUTEUR
– COURANT D’APPARTENANCE
– THÉORIE
– PRINCIPALES CONTRIBUTIONS
⚫ AU MANAGEMENT
⚫ AU MANAGEMENT CONTEMPORAIN
– POINTS FORTS
– POINTS FAIBLES (Critiques, reproches, failles, etc.)
– RESSEMBLANCES
– DIFFÉRENCES
49
CHAPITRE II.
50
II.1. Universalité ou non du Système
managérial (de gestion):
➢ Différents systèmes
➢ Système capitalistes :
1. anglo-saxon (fondé sur le
managérial marché)
➢ Système 2. asiatique
économique (mésocorporatiste)
3. social-démocrate (Pays
➢ Système scandinaves)
sociopolitique 4. européen continental à
impulsion étatique
(Belgique, France,
Allemagne, etc.)
5. européen méditerranéen
51 (Espagne, Portugal, Italie,
Grèce, etc.)
La non-universalité du
Système managérial:
52
La gouvernance de l’entreprise :
relations entre la direction de l’entreprise et ses parties prenantes
53
Capitalisme financier
54
Capitalisme cognitif et financier
Connaissances :
➢ Deux sphères :
• Le droit de propriété
1. Activité intellectuelle intellectuelle et les
désintéressée brevets sont les moyens
2. Activité cognitive de marchandisation de
réalisée pour la la connaissance et les
production et le marché, leviers de l’économie
sanctionnée par la financière
finance de marché
55
Gouvernance
financière
et management
57
Les systèmes managériaux
comparés
58
Les systèmes
managériaux comparés
Les approches Les approches
culturalistes institutionnelles
La finalité de l’entreprise
• La finalité de la stratégie et de l’entreprise : la pérennité
• L’entreprise en tant qu’acteur socioéconomique, joue plusieurs rôles
importants vis-à-vis de ses parties prenantes
• Le management n’est ni amoral ni sans incidence sur la société tout
entière
Le développement durable
• Une entreprise responsable doit conjuguer trois objectifs : la
prospérité économique, la justice sociale et la qualité
environnementale (figure 5.8)
• Dans la perspective du développement durable, faire preuve de
RSE, c’est entretenir un monde équitable, viable et vivable avec
ses parties prenantes
60
Le développement
durable
La responsabilité de l’entreprise:
trois objectifs
62
Distinguer les termes Administration / Gestion / Management
⚫ Le terme "administration" tout court, hérité des écrits fayoliens français sur
l'Administration classique, renvoie plus spécifiquement à un type
d'organisation et à sa formalisation (procédures, etc.) : de (plutôt) grandes
bureaucraties (publiques ou privées) formalisées,
64
Distinguer les termes gestionnaire /administrateur
65
Distinguer les termes gestionnaire/administrateur
66
Distinguer les termes gestionnaire/administrateur
67
II.3. Définir le management
:
68
Le management :
« Série d’activités
Le management
intégrées et est à la fois:
interdépendantes,
destinées à faire en sorte
qu’une certaine • Concept
combinaison de moyens
puisse générer une • Métier
production de biens et
services économiquement • Discipline
et socialement utiles et si
possible rentables ». • Idéologie
(Aktouf et al, 2006, p.1)
69
Définir le management:
Gérer et Manager sont deux activités différentes –
« exécuter » versus « prendre soin des choses et des
relations entre les individus »
70
Le management
comme Concept:
Représentation mentale abstraite sur la
gestion/administration des choses et des
hommes
72
Le management comme
Discipline
Ensemble de théories scientifiques
(Sciences de la gestion)
Les racines
économiques de Rendement
la rationalisation Efficacité
cartésienne Profit maximal, etc.
Rationalité
économique
Comportement L’action finalisée:
rationnel: Toute action finalisée
L’établissement et relations entre
d’objectifs et des individus deviennent
économiques et Approche instrumentale où
moyens pour les
réciproquement. tout problème managérial se
atteindre.
réduit à un problème mathématique
74
Le management
comme Métier :
Maîtrise de techniques spécialisées, sagesse et
jugement
La rationalité du
travail: Le métier humain:
Basé sur la rationalité Basé sur l’usage
instrumentale et le raisonné de techniques
primat de la logique VS et de sagesse pratique
économique (Voir tirée des connaissances
management comme expérientielles
discipline)
La logique de l’idée du
management
scientifique: La complexité et
Une idéologie de subjectivité humaine
dominant par rapport à VS
un autre – mais qui ne se
voit pas comme une
idéologie mais plutôt
comme une science Concilier l’inconciliable: objectiver la
objective subjectivité de la personne
76
Le management comme porteur d’une
idéologie (Suite):
⚫ Oser la réflexivité :
– Remettre en cause ses certitudes dans le débat
avec autrui
⚫ mouvement constant de connaissances «du dehors au-
dedans» et «du dedans vers le dehors»
– Une pratique qui se pense en situation et se
remet constamment en question
77
Pour conclure:
78
Pour conclure (Suite):
▪ Système de
croyances
• Une ▪ Pratique du mana- ▪ Filière de ▪ Impact sur les relations
avec autrui, la collectivité,
représentation gement - Travail du connaissance ou la richesse, la nature
mentale abstraite Manager (usage domaine ▪ Repère, référence
(une notion)-Tenir raisonné de techniques ▪ Sciences de la gestion: guide/marche à suivre -
compte de «l’ambiguïté spécialisées, sagesse ensemble de théories Ex. Financiarisation et
des concepts (selon les pratique/ expérience, scientifiques qui impact, Cas «Théories
des actionnaires» versus
domaines/disciplines) jugement), alimentent la gestion. Cf. «Théorie des parties
• Opposition de 2 ▪ Impact des théories Origine multidisci- prenantes»: priorité aux
approches («rationnelle rationnelles de Taylor, plinaire du management actionnaires, une
et objective» et Fayol et Weber (cf. - Figure 2 catégorie des parties
«humaine et critiques des différentes ▪ Impact de la rationalité : prenantes
subjective») théories et modèles,) rendement, efficacité, ▪ Exclusion des questions
• 2 visions du monde, de profit maximal, éthiques, humaines et
subjectives
la société, du performance (rationalité ▪ Non prise en compte de
management comme économique: la dimension culturelle,
champ de comportement rationnel des valeurs d’une société
connaissance et action finalisée) ▪ Ignorance du relatif, de
▪ Humaniser le l’imprévisible, du
management? Tenir contextuel
compte de la complexité ▪ Manque de réflexivité
(Remise en question
humaine. permanente de ses
80 © 2011 Chenelière Éducation inc., Management à l’ère de la société du savoir
▪
propres pratiques)
Management: d’abord un
CHAPITRE III. L’ORGANISATION VUE COMME
UN SYSTÈME OUVERT :
81
La pensée systémique et le
management
Analogies ou métaphores :
➢ Pour expliquer la réalité de
l’entreprise et de sa gestion
• Analogie mécanique :
– Machine maîtrisée
• Analogie organique : Conception Systémique :
– Biologique (cycle de vie) • Régulation :
• Analogie cybernétique : – Système social ouvert
– Équilibre et rétroaction – Décisions partagées
– Structure décidée par les
membres
– Ajustement à l’environnement
82
Les analogies principales
Tableau 1.14
83
Définition et caractéristiques
d’un système
84
Les approches
analytique et systémique
85
Réfléchir de façon systémique
c’est :
86
III. 2. Principales composantes
internes d’un système:
➢ Intrants :
• Ressources de toutes natures
➢ Processus de transformation :
• Sous-systèmes :
– technique, psychosocial, structurel, buts et valeurs, managérial
• Opérations :
– production de biens et services,
– activités administratives de coordination, d’adaptation, d’innovation
➢ Extrants :
• Biens et services offerts
➢ Rétroaction :
• Analyse des informations et correction-réajustement
87
Principales composantes
externes d’un système (Suite)
➢ Facteurs environnementaux :
• Technologiques
88
Représentation
schématique d’un
système
89
III.3. Le management en tant que
système: Principales composantes
➢ Le management :
• PODDC
90
Approche systémique et
PODDC
91
Conclusion sur l’Approche systémique
92
Le management :
passage d’un système
technique fermé à un
système social ouvert
➢ Constante évolution et adaptation :
• D’un système technique fermé (et stable) à un système social
ouvert (et dynamique) ;
• De lois universelles à des théories imparfaites en constante
évolution ;
• Des pratiques fondées sur le développement d’un jugement
professionnel et une expérience, adaptés à chaque
circonstance spécifique.
➢ Objectifs :
• Prévoir rationnellement les activités d’un avenir prévisible et
contrôlable
➢ Définition de la stratégie:
• Ensemble des choix d’objectifs et de moyens qui orientent à
moyen et à long termes les activités d’une organisation, dans
un environnement donné. Ces choix visent à établir et
entretenir une vision pertinente et actualisée de l’avenir de
l’entreprise (Aktouf, 2006, p.90)
Trois niveaux de planification
➢ Vision :
• Représentation subjective de l’avenir souhaité afin
de recueillir l’adhésion de tous
➢ Mission :
• Raison d’être de l’entreprise
– Qui elle est
– Ce qu’elle fait
– Vers quoi elle va
Concepts de la pensée stratégique
(suite)
➢ Objectif stratégique :
• Résultat final spécifique et escompté dans un
horizon temporel déterminé
➢ Approche de la RSE-
➢ Approche du « Développement durable »
« Positionnement ⚫ Obtenir de manière durable, à
stratégique » long terme et au-delà des
préoccupations, d’avantages
⚫ Dégager une valeur
concurrentiels, de la valeur qui
économique sur un dépasse les attentes des parties
marché donné par la prenantes
création des valeurs ⚫ Maintien d’un équilibre
concurrentielles harmonieux entre les dimensions
(Cf. la figure relatives économique (Prospérité
économique), sociale (Justice
aux « Cinq forces et les sociale) et environnementale
barrières de la (Qualité de l’environnement)
concurrence de Porter) (Cf. figure sur «Les trois dimensions
de la RSE)
1. Approche du positionnement
stratégique
Cinq forces et les barrières de la concurrence de Porter
2. Approche de la Responsabilité Sociale de
l’Entreprise (RSE) « Développement durable »
➢ Information :
• Requiert des compétences informationnelles et
cognitives
➢ Innovation :
• Demande des habilités décisionnelles
➢ Implantation :
• Nécessite des aptitudes à la communication
interpersonnelle
Activités et habiletés
➢ Définition :
Surplus
Modèle d’analyse stratégique de l’environnement de l’entreprise
Conditions de l’environnement économique, concurrentiel, technologique et réglementaire
de l’industrie d’appartenance (a)
◼ Taille économique minimale ◼ Croissance de la demande
◼ Économie d’échelle ◼ Variation cyclique et saisonnière
◼ Pouvoir des clients et des fournisseurs ◼ Coûts des facteurs de production
◼ Élasticité de la demande ◼ Coûts de transport
◼ Taux de croissance démographique ◼ Syndicalisation
◼ Possibilité de substitution ◼ Différenciation ou commodité
◼ Évolution des marchés internationaux ◼ Discontinuités et innovations
◼ Etc.
Structures de l’industrie
Concepts structuraux Types génériques de structures
◼ Barrières à l’entrée ou à la sortie ◼ Monopole
◼ Concentration et parts de marché ◼ Concurrence monopolistique
◼ Différenciation des produits ◼ Oligopole
◼ Rivalité et concurrence ◼ Industrie fragmentée
◼ Concurrence quasi parfaite
Performance
De l’industrie De l’entreprise
◼ Rentabilité ◼ Rentabilité
◼ Innovation ◼ Innovation
◼ Qualité des produits ou des services ◼ Politiques en matière sociale et humaine
◼ Etc. ◼ Réponse aux attentes des divers
partenaires
◼ Etc.
➢ Politique
➢ Économique et concurrentiel
➢ Socioculturel et démographique
➢ Technologique
➢ Écologique
➢ Légal et réglementaire
Les alliances technologiques
2. L’industrie
L’industrie
➢ Définition :
• Arène où les entreprises concurrentes sont en
rivalité pour vendre à des acheteurs
➢ Perspectives :
• Étroite
• Large
Forces et barrières de la
concurrence (Porter)
Les structures
industrielles
©Bédard, Ebrahimi,
Saives, 2010
3. La stratégie
Formulation de la stratégie
➢Internes :
• développement organisationnel
• amélioration des conditions de travail
• dépenses reliées à la recherche et à l’innovation
• investissements dans les technologies et procédés
de fabrication
➢Externes :
• dividendes
• activités stratégiques
• relations publiques
Surplus
économiques (Suite)
➢ Le design :
• Résultat de décisions et d’actions passées
• Processus récurrent
• Structure et processus encadrent les activités
• Analyse, répartition et coordination des tâches
➢ Consiste à construire une organisation encadrant
les activités qui contribuent à la réalisation des
objectifs et facilitent les transactions
➢ Leadership et persuasion :
➢ Approche réseau :
• vers une forme d’auto-organisation et de nouveaux modes de
management
La Décision et la Direction :
Passer de l’autocratie à la
participation
III. La Décision:
s’informer et arbitrer
Les activités de décision
Décider, c’est :
➢ Se renseigner sur de nombreuses questions pour
effectuer un choix judicieux. C’est un processus
d’éclairage continu des situations à tous les niveaux de
l’organisation, que les décisions soient programmées
ou non.
➢ En conclusion,
Méthodes de prise de
décision
Diriger, c’est :
➢ Commander et influencer (écoles formelles)
➢ Informer et encourager (perspective humaine)
➢ Accroître la motivation et la satisfaction au travail
➢ Combiner de façon optimale le style de leadership en fonction
des circonstances
➢ Gérer le changement organisationnel
Le leadership :
trois aspects intimement liés
➢ Le rôle interpersonnel
• Figure de proue
• Meneur d’hommes
• Agent de liaison ➢ Le rôle décisionnel
• Entrepreneur
➢ Le rôle informationnel • Arbitre-régulateur
• Observateur-veilleur • Répartiteur
• Informateur-diffuseur • Négociateur
• Porte-parole
Rôles ou fonctions
(compétences)
des gestionnaires
Rôles interpersonnels Rôles informationnels Rôles décisionnels
(Communication (Gestion information (Recherche de solutions/
interne/externe) interne/externe) Atteinte des objectifs)
-Figure de proue -Observateur-veilleur -Entrepreneur
(communication de nature (A l’affût de l’information de (Promotion du changement:
cérémonielle) manière informelle) progression de
-Meneur d’hommes -Informateur-diffuseur l’organisation/adaptation au
(embauche, formation, (partage de l’information à contexte)
motivation, encouragement) l’interne) -Arbitre-régulateur
-Agent de liaison -Porte-parole (réaction aux perturbations et
(contacts en dehors de la (Information des parties aux conflits)
hiérarchie) prenantes) -Répartiteur
(allocation des ressources et
affectation des fonds,
attribution et coordination des
tâches)
-Négociateur
(Utilisation des différents
aspects de ses rôles)
MATUNDU-Lelo, Ph.D, Cours MET2150 Management (UQAM), Été 2021
Conclusion
Diriger, c’est :
➢ Difficile : conduite de soi et conduite des autres.
➢ De l’inspection à la responsabilisation
Origines du Contrôle:
Une composante du processus formel
de l’administration classique
➢ Centralisée ➢ Décentralisée
• Exercice • L’employé apparaît
formalisé comme partie
auquel doit prenante, porteuse
se plier de connaissances
l’employé. et responsabilisée.
Soumission Engagement
Les objectifs du contrôle
➢ Efficacité : ➢ Efficience :
• Atteinte des buts • Atteinte des
et objectifs fixés buts et objectifs
préalablement. fixés dans les
meilleures
conditions.
Une définition formelle
➢ Gouvernance : ➢ Organisationnel :
• Protection des parties • Objectifs des
prenantes par les différentes unités
membres du conseil
d’administration
➢ Stratégique : ➢ Opérationnel :
• Évaluation du • Amélioration des
fonctionnement au opérations
niveau externe
Externe Interne
Processus de contrôle
➢ Préventif / proactif :
• Planification
• Élaboration des programmes
• Approche stratégique
➢ Concurrent :
• En temps réel
• Grâce aux technologies de l’information
➢ Rétroactif :
• Vérification des résultats
• Retour à des correctifs
Effets pervers du contrôle
(Comportement disfonctionnel)
➢ Comportement bureaucratique
• Le personnel se range aveuglément derrière les règles, au
risque d'adopter des comportements absurdes.
➢ Opportunisme
• Adoption d'une conduite qui semble la plus appropriée (ou
appréciée) dans l'immédiat.
171
NOUVELLES PERSPECTIVES
EN MANAGEMENT
❖ La démarche « Management
stratégique »
172
NOUVELLES PERSPECTIVES EN MANAGEMENT
Cheminement de la démarche:
❖ Définition du secteur d’activité de l’organisation (entreprise ou autre
type d’organisation)
Cinq thèmes
❖ Analyse stratégique de l’environnement externe (PESTEL):
❖ Dynamique compétitive (Cf. Porter); Parties prenantes
❖ Analyse stratégique de l’environnement interne:
❖ Avantages concurrentiels (Ressources et compétences,
capacités dynamiques et gestion des connaissances);
❖ Identification de ses forces et faiblesses
❖ Gouvernance : l’organisation (Structures, et modes de gestion)
❖ Valeurs du management : Valeurs des gestionnaires (Type de
leadership), Compétences managériales (Rôles des dirigeants),
Culture organisationnelle)
NOUVELLES PERSPECTIVES
EN MANAGEMENT
❖L’Innovation
176
Innovation
177
Les innovations technologiques
et les longs cycles du capitalisme
17
8 © 2011 Chenelière Éducation inc., Management à l’ère de la société du savoir
NOUVELLES PERSPECTIVES EN
MANAGEMENT: DEFIS ET ENJEUX
❖ L’Innovation:
180
1. Avoir des idées :
la créativité
➢ La créativité : production d’idées nouvelles et utiles
dans différents domaines.
182
2. L’accès aux idées
183
3. L’accès aux savoir-faire
➢ La R et D
➢ Différentes formes de collaboration
➢ L’organisation réseau
184
L’accès aux savoir-
faire
L’innovation ouverte (open innovation)
18
5
L’accès aux savoir-faire
(suite)
➢ La diversité des mécanismes d’accès aux
savoir-faire technologiques
186
Les nouvelles formes
d’organisations
➢ L’organisation en réseau :
Il s’agit de nouvelles formes d’organisation innovantes et
de pratiques managériales créatrices de connaissances
187
Le dilemme stratégique
18
8 © 2011
© 2011
Chenelière
Chenelière
Éducation
Éducation
inc., Management
inc., Management
à l’ère
à l’ère
de de
la société
la société
du du
savoir
savoir
TROISIÈME PARTIE. ENJEUX ET DÉFIS DU
MANAGEMENT COMPARÉ
189
❖ LA GESTION DES
CONNAISSANCES
190
Le capitalisme cognitif
191
Le capitalisme cognitif
192
Origines
193
Origines (suite)
194
Gestion des connaissances :
concepts et définition
➢ Définition :
⚫ « La gestion des connaissances est un processus
d’apprentissage, de création, de transformation, de
circulation des savoirs explicites et tacites dans un
contexte donné, effectué par les hommes, intégré
dans les différents processus de l’organisation, et
soumis à la logique managériale en vigueur. Elle
est cumulative et non-rivale » (p. 439-440).
195
Connaissances tacites/explicites
196
Les deux conceptions
de la gestion des
connaissances
➢ L'approche ➢ L'approche
technologique socialisante ou
humaine
197
Différents types de modèles
de gestion des connaissances
198
Un exemple du Modèle humain
de gestion des connaissances:
Le Modèle japonais (SECI)
199
Quatre modes de
conversion des connaissances
➢ Externalisation ou Extériorisation
(tacite à explicite)
• Dialogue, réflexion ou écriture pour articuler le savoir tacite ;
utilisation d’analogies ou de métaphores durant le dialogue
200
Les quatre modes de
conversion des connaissances (suite)
➢ Internalisation ou Appropriation
(explicite à tacite)
• Apprentissage par la lecture ; apprentissage
par l’écoute ; “learning-by-doing” ;
apprentissage par la réflexion
201
Conclusion sur l’Innovation et
la Gestion des connaissances
➢ L’innovation et la création de
connaissances sont les moteurs des
économies avancées
202
Conclusion (suite)
203
➢Connaissances/Savoir : Management/Gestion des
connaissances.
➢Innovation : Management/Gestion de l’innovation.
➢Responsabilité sociale de l’Entreprise (RSE) : Cas
➢La Communication : un mécanisme de liaison et opératoire.
➢Management : Ré-Humanisation? Reformulation?
20
4
CONCLUSION
Ce cours est une introduction à la gestion des organisations; l’entreprise étant
ici considérée comme une organisation, un système ouvert.
Plusieurs points abordés n’ont pas été approfondis à dessein, vu le groupe-
cible auquel cet enseignement est destiné (étudiants en Physique).
Nous avons néanmoins pris le soin d’aller plus en détail pour certains aspects
du cours plus proches des préoccupations des étudiants. Il s’agit notamment
de questions relatives respectivement à l’Innovation (Création, invention, entre
autres) et à la Gestion des connaissances, considérés comme faisant partie
de nouvelles perspectives en Gestion des organisations, vu leur impact sur les
modes de gouvernance des organisations (Management contemporain) à
cette ère de la société du savoir.
Les interactions lors des exercices pratiques faits en classe avec les étudiants
ont permis de voir dans quelle mesure ils ont maîtrisé les concepts, avec la
capacité de faire des liens entre les concepts d’une part, et en rapport avec
20 les réalités de entreprises d’autre part. Nous pensons ainsi avoir atteint les
5 objectifs définis au départ, en ce qui concerne en particulier les attentes en
Exercice pratique sur les perspectives
nouvelles en Gestion des organisations
20
6
FIN DU COURS
207
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES DE BASE
208