Lpi Unix
Lpi Unix
Lpi Unix
Pour pouvoir travailler sous Unix il faut ouvrir une session, à l'aide d'un nom d'utilisateur et
d'un mot de passe. On distingue les administrateurs des utilisateurs normaux. L'administrateur
est appelé root ou utilisateur privilégié et dispose de tous les pouvoirs sur la machine et le
système Unix. L'utilisateur normal dispose de droits réduits et définis par l'administrateur. Pour
se connecter :
Login : « nom d’utilisateur »
Password : « son mot de passer »
Le mot de passe n'apparaît pas en clair et doit être tapé en aveugle. En cas d'erreur, un message
indiquera :
Login incorrect
La commande uname permet de connaître la version courante du noyau, mais aussi le type
d'architecture et le nom de l'ordinateur.
La commande dmesg (pour l'anglais "display message", "afficher message" en français) est une
commande sur les systèmes d'exploitation de type Unix qui affiche la mémoire tampon de
message du noyau.
On peut utiliser la commande dmesg pour afficher une information precise
On peut changer les paramètres du noyau à chaud en écrivant directement les valeurs dans les
fichiers adéquats (/proc/sys/) ou en utilisant le binaire sysctl.
Vérifions si le routage IPv4 est activé avec la commande suivante :
On fait
Et on vérifier à nouveau
Pour le remettre à 0
Pour l’activer on édite le fichier /etc/sysctl.conf et on décommette la ligne
net.ipv4.ip_forward=1
Le contenu du système de fichiers /proc ou /sys n’est stocké nulle part mais chaque fichier est
engendré par une requête utilisateur. En outre pour accéder à certains renseignements il sera
nécessaire de monter obligatoirement /proc :
On peut lire les fichiers du répertoire proc sur lesquels nous avons des droits par exemple :
Linux accède aux périphériques à partir de fichiers situés dans /dev.
La commande blkid permet d’identifier les périphériques block par leur UUDI
Les commandes lspci et lsusb permettent respectivement de lister les périphériques pci et usb.
La commande lsmod permet de voir les modules chargés dans le noyau :
On peut par exemple tenter de charger le pilote d'une carte vmxnet3 par la commande lsmod
Emplacement des modules des noyaux sont dans le répertoire /lib/modules/. Pour les modules
du noyau qui est utilisé sur le système on tape la deuxième commande comme le montre la
figure ci-dessous
#nano examples.desktop
Ou en voit ou on peut créer l’environnement de l’utilisateur
#lsscsi
Permet d’énumérer les périphériques
Une métadonnée : Les métadonnées, Ce sont des informations utilisées pour décrire
les données contenues dans une ressource comme une page Web, un document ou
un fichier. Les métadonnées d’un fichier numérique fournissent des informations
supplémentaires pour en donner une description.
Commencer le partitionnement
Nous allons partitionner notre disque sdb
On tape la commande fdisk /dev/nom_disk et après on tape m pour avoir de l’aide ou guide de
l’installation
# fdisk /dev/nom_disk
Indiquer le numéro de partition ou le laisser par défaut, dans notre cas on prend 1
Laisser la valeur par défaut du premier secteur car c’est là ou doit commencer la partition
sur le disque
Indiquer la taille que vous voulez donner à votre disque, elle peut être en Ko, en Mo ou
en Go mais doit être forcément précéder du caractère +
En mode graphique
Afficher l’ensemble de sa partition
Linux permet d’activer et de désactiver le swap, ou des morceaux de swap, directement sans
avoir à redémarrer le système.
La commande swapon permet d’activer une partition de swap :
La commande swapoff désactive une zone de swap.
Système de fichiers
Objectif :
Possibilité de partages des ressources en réseau
NFS (peut être aussi utiliser sous Windows et linux). NFS initialement ne gérait pas les
utilisateurs mais affectait des ressources a des UidNumber. La solution est de faire en
sorte que dans le réseau un UidNumber soit unique dans votre réseau en faisant appel à
un serveur NIS (contrôleur yellow page). Aujourd’hui nous sommes à la version 4 de
NFS. L’idée
Une machine partage (exporte) des dossiers vers d’autres machines
Les machines clientes montent ces dossiers sur des points de montage qui sont des
répertoires en local (commande mount). Dès que la machine cliente redémarre, il
faut remonter les ressources.
Pour régler cette question de montage automatique du démarrage, on fait appel au
fichier de gestion de table de système de fichiers qui est /etc/fstab
#exportfs -a
On redémarre nfs-kernel-server
#ufw enable
#ufw status
Coté client
Il faut installer nfs-common
On crée le dossier du point de montage
On fait le montage
Nous allons créer un dossier tp1 coté serveur et y accéder sur notre client
Repartons côté client et essayons d’accéder au dossier sur notre machine cliente
On voit que les deux machines arrivent bien à se partager les fichiers.
Nous allons préparer nos nouvelles partitions pour LVM. Il faut déclarer les partitions en tant
que Volumes Physiques avec la commande pvcreate comme le montre la figure ci-dessous
Avec la commande pvdisplay, vérifiez ce que vous avez fait
Vérification
On fait Lsblk
Création de RAID0
Pour commencer, recherchez les identifiants des disques bruts que vous utiliserez:
Pour créer une matrice RAID 0 avec ces composants, on utilise la commande mdadm --create
Voire que le RAID est réassemblé automatiquement au démarrage, nous devrons le mettre
dans le fichier /etc/mdadm/mdadm.conf.
Ensuite, vous pouvez mettre à jour initramfs, ou le système de fichiers RAM initial, afin que le
tableau soit disponible au cours du processus de démarrage précédent
Ajoutez les nouvelles options de montage du système de fichiers au fichier /etc/fstab pour un
montage automatique au démarrage
Notre matrice RAID 0 devrait maintenant être automatiquement assemblée et montée à chaque
démarrage
Création de la matrice RAID1
Les disques d'une matrice RAID 1 reçoit une copie complète des données, ce qui permet une
redondance en cas de perte d'un périphérique. Pour la mise en place de RAID1 il faut minimum
de 2 périphériques de stockage.
On vérifie d’abord les disques disponibles pour la création de notre matrice raid1.
Ensuite, on fait la mise à jour initramfs, ou le système de fichiers RAM initial, afin que le
tableau soit disponible au cours du processus de démarrage précédent:
#update-initramfs –u
On va ajouter les nouvelles options de montage du système de fichiers au fichier /etc/fstab pour
un montage automatique au démarrage de notre machine:
Notre matrice RAID 1 devrait maintenant être automatiquement assemblée et montée à chaque
démarrage.
On peut également les voir sur l’interface physique comme suit :
ISSCI (Internet Small Computer System Interface)
ISCSI est une abréviation de Internet Small Computer System Interface. C'est
un protocole de stockage en réseau basé sur le protocole IP destiné à relier les installations de
stockage de données.
Pour une mise en place du serveur ISCSI on procède comme suit :
On installe le paquet
cd /etc/tgt/conf.d pour créer un fichier de publication de ressource se terminant par
.conf nom_ressource iqn.année-date.nomdomaine:dlp
On crée un fichier de configuration se terminant par .conf dans le dossier /etc/tgt/conf.d/ sur le
serveur.
Nous allons donner ensuite les paramètres de connexion au serveur dans le fichier suivant :
# /etc/iscsi/iscsid.conf.
On de commente la partie CHAP
On redémarre open-iscsi
Nous allons exécuter la commande suivante pour découvrir les ressources partagées par le
serveur sur la machine cliente
#iscsiadm –m discovery –t st –p (IP serveur)
Nous constatons que les ressources sont visibles. On peut passer alors de client en mode
administrateur par la commande suivante :
#iscsiadm –m node --login