Ce document discute de la fraude au certificat de naissance et de la clause rébus sic stantibus, qui permet aux contrats de devenir inapplicables lorsqu'un changement fondamental de circonstances est révélé, comme une fraude.
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Fraude aux actes de naissance ; Clausula
Rebus Sic Stantibus (BCCRSS)
FRAUDE AU CERTIFICAT DE NAISSANCE ; CLAUSULA RÉBUS SIC STANTIBUS par Kate de Kaea " ATTENTION : Avocat, juge, agent/employé du gouvernement, police, homme ordinaire, etc. et tous/tous/tous qui servent de NOM LÉGAL/TITRE/ENTITÉ D'IDENTITÉ fictifs (exemple prononcé phonétiquement : « ennemi de la jambe » (( N-AM-E), « tit-El »/Luciferian)) caractère dans la réalité du monde juridique ; Note de l'auteur où « l'auteur » est défini comme toute personne qui utilise ces mots comme les siens où la vérité ne peut pas être « protégée par le droit d'auteur », simplement partagée par accord et ces mots sont les leurs, peu importe « qui » a écrit les mots ab initio où la vérité appartient à tous en CONCEPTUEL (le cœur et l'esprit sont écrits, causals, et non la forme physique « écrite », efficace.), où cette écriture/redressement/écriture est écrite (épelée) dans un langage compréhensible à la fois par ceux qui sont dans et hors de la profession de FRAUDE AU NOM LÉGAL /réalité où la compréhension commune de cette fraude et de ce crime contre l'humanité et la création est visible à la fois en termes profanes et juridiques, à ne pas confondre avec l'intention du lecteur où les intentions de « l'auteur » (les intentions de celui-ci/y compris) sont limpides : c'est-à-dire le mot juridique/les lutteurs du monde et les twisters de « AUDIENCES » où il est épelé désormais/ici avec tout le(s) potentiel(s) de tromperie(s) phonétique(s) par la présente et, par conséquent, supprimé, à l'infini ; Par exemple, une tromperie phonétique est le cas où une chose est PARLÉE par un non- membre du BAR (grand public/tous les utilisateurs de nom légal sans affiliation(s)/autorisation(s) au BAR), pour ensuite être réécrite différemment par tous les membres du BAR sous l'hypothèse et la présomption de corrompre l'INTENTION ORIGINALE de celui qui parle au lieu de l'épeler, et pourquoi un FRAUDULENT, par conception délibérée, NOM LÉGAL non-membre du BAR n'a pas de voix dans la réalité juridique morte : en d'autres termes , les mots prononcés ne peuvent pas être modifiés par rapport à la VRAIE INTENTION ORIGINALE de l'orateur quant à ce qu'ils signifient par rapport à ce que celui qui entend la forme parlée des mots entend, puis les corrompt, ainsi que leurs mots PARLÉS, en utilisant des orthographes alternatives sous hypothèse. /présomption des homonymes MÊMES SONORES, avec des « définitions » complètement différentes utilisant cette astuce orthographique pour les annuler et obtenir l’avantage d’HONNEUR là où aucun honneur n’existe et le non-membre du BAR est rendu dans un état de DÉSHONOR perpétuel sans le savoir : c'est-à-dire les tord, le non-membre du BAR parlant/leurs paroles PARLÉES, en arrière/autour/s'oppose/nie/corrompt l'intention originale de l'ORATEUR, d'initier et de perpétrer/inciter à la FRAUDE contre eux pour permettre aux « crimes imaginaires » de profiter de la STATUTAIRE VIOL COMMERCIAL/ENLEVEMENT, etc. et autres, c'est pourquoi les tribunaux « pro-ensemencements » sont appelés AUDIENCES alors que Spellings est un terme plus précis pour ce qui se passe réellement : ainsi, cela énonce clairement où l'hypothèse et la présomption sont rendues nulles et nul lorsque toute utilisation/prétendument être une ENTITÉ DE NOM LÉGAL a tout le monde dans le péché/signe originel, l'état de fraude depuis la création et l'utilisation continue du NOM LÉGAL qui apparaît sur chaque acte de naissance jusqu'à ce qu'ils se retirent du réalité juridique pénale où toute personne impliquée dans l'application de cette fraude en utilisant la violence, la ruse, la coercition, etc. et autres pour piéger avec l'intention d'asservir une autre personne, aide et encourage en fait un acte criminel en forçant une autre personne à se soumettre à son utilisation lorsque cette vérité a été révélée et où il est illégal d'utiliser un ou tous les noms/titres légaux ab initio ; Un exemple typique de drame dans une salle d'audience : NOM LÉGAL involontaire Deafened- ent (esprit) : "Je ne consens pas" prononcé avec l'intention de "ne pas vouloir consentir" destiné au membre du BAR alias juge, avocat, flic, etc. PEUT ET VOULERA assumer/présumer en PLEINE/imbécile « honorer » les mots phonétiquement quant à la façon dont ILS veulent l'entendre et a répondu que VERBAL/POUR-BA'AL : « Oui, nœud dû con-se'-ent » où « oui » signifie oui, accord affirmatif et tacite instantanément, « dû », comme dans accord tacite de dette, « nœud », comme dans lié et BO-unD, accord tacite à l'esclavage et « con- » (signifie à la fois avec/pour ET contre/sans également comme préfixe, signifie également voleur ou criminel dans des termes vernaculaires courants, etc.), « se' » est le latin pour « lui-même, elle-même », qui est l'essence entière du locuteur impliqué, et « -ent » est un suffixe signifiant « esprit » étymologiquement. En bref, ceux qui perpétuent et profitent de cette tromperie de FRAUDE AU NOM LÉGAL peuvent entendre tout ce qu'ils choisissent d'entendre/ici et peuvent/vont, en plein honneur, RÉPELLER chaque mot prononcé à chaque AUDITION parce qu'il n'a pas été épelé par l'orateur dans l'écriture, où il peut être réécrit par les intentions criminelles du membre du BAR d'incriminer TOUS les individus innocents ET coupables de manière égale, peignant ainsi toute l'humanité avec le même pinceau criminel avec lequel ils ont été peints et simplement « se renvoyer la balle pour gagner de l'argent » de péché/signe à un autre, réécrire en réépelant les mots de l'orateur contre eux pour créer le membre/serviteur du BAR sous serment, un avantage à chaque fois, dans chaque situation de réalité juridique. Cette tromperie/ruse/entreprise criminelle est terminée là où la vérité elle-même est toute la « vengeance » dont on a besoin dans une position de « drapeau blanc, état de trêve, pas de reddition » et où tous les criminels perpétuant ce crime contre l’humanité sont désormais pleinement exposés au grand jour. à voir : Il est illégal d'utiliser un nom légal, c'est un FAIT légal ; CLAUSULA REBUS SIC STANTIBUS en ce qui concerne le (S) CERTIFICAT(S) DE NAISSANCE/ tous les/tous les contrats/traités (ci-après indiqué sous la forme CRSS ou en entier , communément appelé « la clause de sauvegarde ») En droit public/international JURIDIQUE, la clausula rebus sic stantibus (latin pour « choses ainsi debout ») est la doctrine JURIDIQUE permettant aux traités/contrats de devenir inapplicables, nunc pro tunc où toute/TOUTE FRAUDE révélée rend tout/tous les contrats NULS ET VOID, ab initio, ad infinitum, nunc pro tunc, tunc pro nunc (maintenant pour alors, puis pour maintenant) éliminant toutes les PÉRIODES de TEMPS liées à l'existence des contrats en premier lieu en raison d'un changement fondamental de circonstances alors qu'il est illégal d'utiliser un nom légal/NOM/TITRE DE CERTIFICAT DE NAISSANCE où l'INTENTION de créer un TIERS FRAUDULEUX est attestée dans l'un ou tous les CERTIFICATS DE NAISSANCE par l'existence même du CERTIFICAT DE NAISSANCE comme allant de soi. CRSS est essentiellement et fondamentalement conçu comme une « clause de sauvegarde » qui fait une exception à la règle générale de PACTA SUNT SERVANDA (les promesses doivent être tenues) SUPPRIMER AINSI TOUTES les hypothèses et/ou présomptions antérieures/précédentes. parties, légales et/ou autrement contraires lorsque cette fraude est révélée ; Parce que la doctrine pose un risque pour la sécurité (les titres, c'est-à-dire l'argent) des traités/contrats où ceux qui profitent de cette FRAUDE « intentionnellement » en exposant cette INTENTION DE COMMETTRE UNE FRAUDE et ceux qui la perpétuent comme sa portée, sont relativement/complètement libres/sans frontières, elle nécessite des réglementations JURIDIQUES strictes quant aux conditions dans lesquelles elle peut être invoquée lorsqu'il s'agit uniquement de ceux qui prétendent être des ENTITÉS D'IDENTIFICATION LÉGALE dans les limites de la réalité juridique, et où l'on n'est plus considéré comme une ENTITÉ D'IDENTIFICATION LÉGALE par la suite depuis cette date. est le dernier ACTE JURIDIQUE, au sens commun des définitions, de celui qui a été trompé autrefois par la FRAUDE DU NOM LÉGAL/CERTIFICAT DE NAISSANCE où il est maintenant CONNU pour être une FRAUDE et où/wear/ware/nous sommes/étions celui l'invocation de cette clause ne souhaite plus commettre une fraude au nom légal/aucun crime contre autrui, tout en supprimant toute trace de l'ancienne entité d'identité de sa réalité et de celle de tous les autres, quelles que soient les tentatives d'aide et d'encouragement de/par/pour/dans la FRAUDE par divers AGENTS DE LA SOCIÉTÉ DE LA COURONNE pour illicite/forcer/exiger/contraindre etc. et tous ceux/toutes personnes qui ont déclaré ET démontré le contraire ; La doctrine fait partie du droit international coutumier, mais est également prévue dans la Convention de Vienne de 1969 sur le droit des traités en vertu de l'article 62 (Changement fondamental de circonstances), bien que la doctrine ne soit jamais mentionnée nommément. L'article 62 fournit les deux seules justifications de l'invocation de la règle rébus sic stantibus : premièrement, les circonstances existant au moment de la conclusion du traité étaient effectivement objectivement essentielles aux obligations du traité (alinéa A) et le cas dans lequel le un changement de circonstances a eu un effet radical sur les obligations du traité (alinéa B). En bref, l'INTENTION de commettre, d'aider et d'encourager la FRAUDE incombe carrément à ceux qui perpétuent cette FRAUDE AU NOM LÉGAL/CERTIFICAT DE NAISSANCE, généralement partout où quelqu'un est obligé d'ENREGISTRER/IMPRESSIONNÉ AU SERVICE SANS LE VOLONTÉ/INCONNAISSEMENT son enfant par le biais d'ENREGISTREMENT de toutes les formes ab. initio jusqu'à sa dissolution ou reste intact volontairement par tous ceux qui continuent d'être coupables de leur propre fraude en utilisant délibérément tout NOM/TITRE(S) LÉGAL APRÈS LE FAIT où la fraude absolue est évidente où cette FRAUDE DE CERTIFICAT DE NAISSANCE est en vue dégagée ; Si les parties à un traité/contrat avaient/ont déjà/actuellement envisagé/connu tous les faits concernant le traité/contrat (sur la base d'une divulgation complète et ouverte de toutes les parties impliquées dans le(s) contrat(s) CERTIFICAT DE NAISSANCE (BC)) pour l'événement du changement de circonstances, la doctrine ne s'applique PAS et la disposition reste en vigueur même si la divulgation complète de l'INTENTION FRAUDULANTE du CERTIFICAT DE NAISSANCE est un FAIT JURIDIQUE et est pleinement exposée/un fait juridique connu dans les limites de la RÉALITÉ JURIDIQUE fictive , alors que ceux qui continuent à utiliser ledit traité/contrat/CERTIFICAT DE NAISSANCE NOM LÉGAL ID-ENTITÉ rendent cette « clause de sauvegarde » nulle et non avenue de leur propre main et ce, pour avoir délibérément/sciemment continué à l'utiliser APRÈS LE FAIT (c'est-à-dire pour outrage à tribunal, profiter des fruits du crime, etc. et al). La Clausula rebus sic stantibus ne concerne que les changements de circonstances qui n'ont jamais été envisagés par une ou plusieurs des parties, puisqu'une ou plusieurs des parties impliquées pour initier/forcer/appliquer une fraude après coup, de tels contrats/traités sont sciemment/inconsciemment (l'ignorance est aucune défense) par/de/pour/dans une omission/commission commettant une FRAUDE AVEC INTENTION, indépendamment des allégations faites autrement par tous ceux qui sont légalement morts, les entités d'identification fictives/membres du BAR/AGENT(S) DE LA COURONNE, etc. et al utilisant cette fraude visant à voler la source de vie d'autrui de quelque manière que ce soit ; Bien qu'il soit clair qu'un changement fondamental de circonstances justifie la résiliation ou la modification d'un traité/contrat (c'est-à-dire que le contrat d'acte de naissance est délibérément établi pour tromper la partie qui fait le CADEAU, les créateurs masculins/féminin(s) d'enfants physiques/intellectuels , nom(s) spirituel(s) avec l'INTENTION de TRANSFÉRER le(s) enfant(s) vivant(s) (GAMETE-INTRA-FALLOPIAN) en un(des) NOM(S) LÉGAL(S) MORT(S) PUBLICITÉ/ÉTAT plaçant toutes les parties contractantes dans un état de fraude absolue, collectivement), un la dénonciation unilatérale d'un traité est interdite à tous les participants à la FRAUDE AU NOM LÉGAL (c'est-à-dire aux participants légaux sans autorisations des membres du BAR/de la Crown Corporation, où l'INTENTION DES AGENTS/SERVITEUR DE LA CORPORATION DE LA CROWN de commettre une FRAUDE est évidente par l'existence même de l'INSCRIPTION/ DE L'HÔPITAL etc. et autres bureaux de commerce d'actes de naissance (esclavage)) et DOIT être fait uniquement sur la base d'un choix individuel pour faire connaître cette fraude à tous les AGENTS DE LA COURONNE ou rester une réalité construite sciemment frauduleuse, de par la nature du NOM LÉGAL. , participant volontaire. Toutes les parties à une FRAUDE AU NOM LÉGAL n'ont pas le droit de dénoncer un traité unilatéralement (c'est-à-dire au nom de toutes les personnes impliquées) lorsqu'un individu NON-MORIAL peut exposer, et qui expose cette fraude pour l'ensemble de l'humanité à voyez, où l'humanité doit faire son propre choix individuellement où le CERTIFICAT DE NAISSANCE est UNILATÉRALEMENT considéré comme une FRAUDE envers TOUTE l'humanité nonobstant ; En tant que défaut/erreur fondamental de toute procédure judiciaire, c'est un fait juridique dans la réalité juridique/existence fictive qu'il est illégal pour quiconque/tout le monde, en dehors d'une carte BAR (dans laquelle il faut déjà être en fraude pour entrer à l'ÉCOLE DE DROIT). en utilisant un NOM LÉGAL FRAUDULEUX comme exemple de fraude sur fraude indépendamment) ou un SERMENT sous serment en utilisant un nom frauduleux, avec des autorisations accordées UNIQUEMENT AU(x) TITRE(S), attaché(s) au(x) NOM(S) LÉGAL(S) de la même manière, pour servir les « propriétaires/exploitants » du CORPORATION DE LA COURONNE fictive par intention ET connaissance/inconnaissance, omission/commission de FRAUDE absolue.) consentement à être, agir en tant que, revendiquer, agir dans le rôle de, etc. et al un nom légal/une entité juridique/un caractère juridique en tant que tel apparaît dans tous les livres du REGISTRAIRE/ENREGISTREMENT/REGISTREMENT (regis-tree = arbre d'identité familial CROWN mort) par lequel tous les noms légaux/titres/désignations/rangs/sociétés, etc. et al sont, en fait , PROPRIÉTÉ DE LA SOCIÉTÉ DE LA COURONNE et son utilisation sans AUTORISATION(S) claire(s) et explicitement présente(s) par le « propriétaire légal ou représentant » de celui-ci, par et pour ledit « propriétaire » de toutes ces/dites créations légales, est illégal à tous égards. rendant cet utilisateur dans un état de déshonneur instantané de l'avis du tribunal, un criminel/criminel frauduleux, quelle que soit la nature de l'une ou de toutes les accusations portées par l'un ou tous les REPRÉSENTANTS DE LA SOCIÉTÉ DE LA COURONNE, la carte BAR / le serment prêté ou non depuis ils sont dans la « commission » d'un acte frauduleux (c'est-à-dire comptes CAFR, obligations, etc.). Ici, dans cette doctrine, cela est clairement énoncé pour le lecteur/récepteur et leur manque de compréhension de cette doctrine les rend INCOMPÉTENTS, donc tout ce qu'ils « PRENDENT » est une « erreur de prise » ab initio où la FRAUDE était/est l'INTENTION DU LÉGAL. NOM(S) FRAUDE à l'infini et évidemment un esprit/cœur criminel est incapable de pensée rationnelle où un être « raisonnable » (fou) cherche simplement toutes les raisons sous le soleil pour échapper à sa propre responsabilité, via LA LÉGALITÉ N'EST PAS LA RÉALITÉ « moyens légaux » » dans leur complicité dans ces crimes contre la création et la vérité jusqu'à ce qu'ils en décident autrement ; en termes simples, des criminels, des destructeurs de l'humanité, des destructeurs de la vie elle-même ; En bref, il est illégal d'utiliser un nom légal/TOUTES/TOUTES les références légales mentionnées ci-dessus, indépendamment des affirmations contraires formulées par l'un/tous les « agents juridiques », où « agents juridiques » est défini dans les présentes comme toute personne qui utilise un nom légal. /toutes les « définitions » juridiques de qui et de ce qu’ils pensent être ; un personnage de fiction mort, sans voix. Ce résumé ne donne que quelques exemples de l'illégalité totale de la fraude au nom légal où le NOM LÉGAL (toutes/toutes les formations/références/documents non vivants d'entités juridiques fictives ne construit/existe nulle part sous une forme vivante et consciente en dehors des limites d'un corps mort). , réalité juridique où il faut le parler ou l'épeler/l'ID pour qu'il/l'ID existe) est un personnage/une réalité fictive qui n'existe que dans l'esprit de ceux qui créent le(s) « personnage(s) fictif(s) », qu'ils soient dans une forme humaine/sensible/consciemment consciente, ou toute autre forme inanimée/sans vie, assumée/présumée comme mentale/quantique vivante et ne peut exister qu'entre deux parties pour qu'elles existent, et, alors qu'une/la nature fondamentale ORIGINALE /la construction du TRAITÉ/CONTRAT/ACCORD(S) a été modifiée/modifiée/INTENTION frauduleuse et trompeuse par une ou plusieurs parties contractantes et, lorsque l'INTENTION DE COMMETTRE UNE FRAUDE/DE TROMPER UN AUTRE AGISSANT COMME des fraudeurs, des menteurs, des voleurs, etc. et al. les intentions criminelles/mauvaises, cachées derrière les NOM(S)/TITRE(S) LÉGAL(S) sont/sont révélées par l'utilisation même de l'une ou de l'ensemble de ces constructions fictives « la légalité n'est pas la réalité » qui rend tout/tous les utilisateurs de telles choses, un FELON/CRIMINAL par conception délibérément trompeuse et, là où moi, le vivant dans la création, je ne le suis PAS, et je ne serai pas non plus supposé et/ou présumé désormais et pour toujours un NOM LÉGAL/TITRE D'IDENTITÉ MORT ad infinitum, ab initio, nunc pro tunc, tunc pro nunc; 1. NOM LÉGAL/TITRE/CONSTRUCTION La partie qui revendique l'un ou l'ensemble des noms légaux est un tiers/tiers s'immisçant dans/sur le CONTRAT DE CERTIFICAT DE NAISSANCE entre l'AGENT DE LA COURONNE et les PLUMES MASCULIN/FÉMININ DE L'AMIRAUTÉ où « l'enfant légalement réduit en esclavage » (c'est-à-dire le LÉGAL actuel NOM(S) ID-ENTITÉ utilisateur/tiers/tiers intrus sans le savoir) n'était pas présent à la SIGNATURE/PÉCHÉ dudit contrat de CERTIFICAT DE NAISSANCE, et aucun détail de cette INTENTION DE COMMETTRE UNE FRAUDE n'a été divulgué aux parties contractantes/à tous les participants, où un ou plusieurs enfants sont impliqués. Bref, celui qui utilisait le nom légal n'était pas là à la signature du contrat (coupable du péché originel/signe du/par le « père »), nul et non avenu, nunc pro tunc, le contrat avec un mineur s'ensuit ; Clausula Rebus Sic Stantibus est invoquée/parlée/écrite 2. NOM LÉGAL/TITRE/CONSTRUCTION Le participant est immédiatement coupable dans les constructions de l'irréalité juridique de la violation du droit d'auteur de la Couronne (où la COURONNE ne « poursuit » pas, ce qui signifie « ne poursuit pas » DÉLIBÉRÉMENT dans le seul but de poursuivre la fraude globale de l'humanité. ce qui est bien plus rentable) conformément aux avertissements placés sur divers CERTIFICAT DE NAISSANCE (si c'est sur un contrat/construction, c'est sur tous les contrats/constructions, basé sur la même non-réalité de l'illusion LA LÉGALITÉ N'EST PAS LA RÉALITÉ, de forme différente, identique dans l'INTENTION conceptuelle, clausula rebus sic stantibus) et dans les CERTIFICATS/ALIASES ultérieurs créés par toutes les parties qui utilisent ledit CERTIFICAT DE NAISSANCE (preuve de l'intention de commettre une fraude par son existence même) pour créer toute/toutes les formes d'IDENTIFICATION à partir de celui-ci et /ou tout/toutes les formes associées rendant ledit utilisateur dans une fraude immédiate pour ce faire, où toute/toute création de toute/toutes les formes d'IDENTIFICATION LÉGALE dans toutes/toutes les définitions légales où cette FRAUDE DE NOM LÉGAL est considérée OBLIGATOIRE par/pour /de/dans les AGENTS/PRATICIENS DE CONSTRUCTION DE RÉALITÉ FICTIONNELLE LÉGALE, où LA FORCE, LA COERCION, LES DÉCEPTIONS, LES MENACES, LES VOLS, LE CHANTAGE, etc. et al sont utilisés sciemment/inconsciemment par/de/pour/en omission/commission pour asservir tout /toute l'humanité participe à ce/à/l'un/tous les domaines LÉGAUX d'illusions fictives où le SYSTÈME LÉGAL EXIGE que l'humanité commette une fraude afin de survivre si l'on utilise actuellement/utilisait TOUTE/TOUS ladite IDENTIFICATION LÉGALE où la fondamentale La nature du CERTIFICAT DE NAISSANCE est de créer des parties frauduleuses des DEUX côtés du CONTRAT. En bref, une « licence pour tuer, voler, tricher, etc. et autres » tout/tous les individus comme INTENTION PRINCIPALE ; Clausula Rebus Sic Stantibus est invoquée/parlée/écrite 3. Il est illégal d' AIDER ET D'ENCOURAGER quiconque, sciemment/inconsciemment, ignore totalement la fraude au(x) NOM(S) LÉGAL(S) la tromperie dans une activité criminelle contre son gré par la force, de toutes les manières (y compris la supercherie, les actions/menaces violentes). se conformer à la fraude, aux moyens de formulation de tromperies, etc. et al) étant supposés/présumés UNE ENTITÉ D'IDENTIFICATION DE NOM LÉGAL MORT où « suivre les ordres » de l'un ou de tous les AGENTS DE LA COURONNE est une autorité assumée/présumée basée sur des moyens et des mesures trompeurs/violents pour obtenir une telle « juridiction/contrôle » fictif sur un autre et par tout moyen de tromperie où l'INTENTION de tromper un autre est évidente par la nature même de la « FRAUDE AU NOM LÉGAL » INTENTION originale par conception par celui qui est intitulé/ uniformes dans tous les sens JURIDIQUES/définitions de l'irréalité juridique, où leur rôle consiste à agir dans le "personnage" de l'un/de tous les AGENTS DE LA COURONNE à des fins de tromperie(s) légale(s), alias "COMMISSIONS" comme base de leur travail/ rôles, à savoir un officier en uniforme/un juge en robe, etc. et al. PORTE (« les vêtements de l'empereur enlevés ») leur intention de le faire (c'est- à-dire les mêmes vêtements/uniformes/robes/chaînes de fonction, etc. et al), où enfiler les /toutes les robes/vêtements juridiques de la réalité juridique considèrent les AGENTS DE LA COURONNE facilement visibles et absolument transparents POUR/PAR/DE/DANS l'INTENTION de commettre une fraude/d'aider et d'encourager une fraude, dans l'ACT même de les enfiler ; Clausula Rebus Sic Stantibus est invoquée/parlée/écrite 4. Profiter d'activités criminelles (emploi, actions, bénéfices, investissements, ventes, tout moyen d'obtenir des devises légales FIAT, etc.) dans la mesure où tout COMMERCE repose totalement et entièrement (les mamelles de la vie, le « lait et le miel de l'humanité »). ") sur le construit de FRAUDE AU NOM LÉGAL/TITRE à partir de la création de monnaies FIAT basée sur les évaluations des OBLIGATIONS de traite des esclaves (UCC/UPU aka CORPORATION DE LA VILLE DE LONDRES, ÉTAT/CORPORATION DE LA CITÉ DU VATICAN, ÉTAT) que l'ACTE DE NAISSANCE est, et est destiné à être précisément dans ce but, à impliquer TOUTE forme « d'argent gagné », que ce soit par le biais d'activités pacifiques et/ou criminelles, depuis le paiement pour livrer des journaux jusqu'au paiement pour assassiner légalement un autre être humain sous le parapluie légal de la guerre. /militaire, où le meurtre sous quelque forme que ce soit est un meurtre et toutes les associations à/par/pour/de/sous toutes les formes de NOM(S)/TITRE(S) LÉGAL(S) rendent une personne COUPABLE PAR ASSOCIATION absolue dans la mesure où elle est toujours mentalement , physiquement, spirituellement lié à la réalité/irréalité juridique (« pacte avec le diable/Satan ») en acceptant d’être ainsi impliqué dans cette activité criminelle. Je ne m'associe pas aux meurtriers/adorateurs de poupées d'identité à aucun/tous les niveaux et je ne serai pas supposé/présumé autrement via les associations/hypothèses/présomptions de FRAUDE AU NOM LÉGAL et les praticiens de la sorcellerie LÉGAUX qui s'y trouvent ; Clausula Rebus Sic Stantibus est invoquée/parlée/écrite 5. Toutes les personnes qui utilisent, prétendent être, participent activement à/de/par/pour le(S) NOM(S)/TITRE(S) LÉGAL(S) de quelque manière que ce soit SANS l'autorisation explicite de leurs « maîtres juridiques illusoires », c'est-à-dire Les membres assermentés de la carte BAR/AGENT DE LA COURONNE pratiquent le « droit » légal (qui est légal, pas légal) sans licence, mais sont considérés comme « pratiquant le droit » (en utilisant le LÉGAL/COMMERCE dans la réalité quotidienne où le LÉGAL NOM est une définition LÉGALE dans les limites de l'irréalité/réalité juridique) où les avocats sont utilisés pour combler cette lacune dans l'illusion de « représentation légale » qui rend tous ceux qui le font SILENCE, sans voix et sont FACTURÉS en conséquence comme un pupille de l'amirauté ou, essentiellement, un enfant de l'État corporatif décédé (corps consommé, phonétiquement) jusqu'à ce que cette culpabilité par nom légal d'association soit éliminée par celui qui est réputé pratiquer le droit/la sorcellerie (littéralement) en n'utilisant PAS un avocat pour garder le tribunal « en honneur » où maintenant, l'OUTRAGE À LA COUR est prononcé contre quiconque entre dans un tribunal de « loi » créée par l'homme qui place les AGENTS DE LA COURONNE/OFFICIELS DE LA COUR en péril de déshonneur où seule la CONFESSION de celui qui entre/pense ils doivent en fait être là pour ÊTRE un nom légal ou TROMPÉS pour revendiquer quelque chose qui ressemble, EN PARTIE ET/OU TOTALEMENT, à tout ce qui peut les lier à l'ORTHOGRAPHE DU CONTRAT DE CERTIFICAT DE NAISSANCE telle qu'elle apparaît sur ledit acte de naissance. cela fera finalement de « l'utilisateur » un criminel d'abord frauduleux, « rétablissant ainsi l'illusion de l'honneur » dans son tribunal où la ruse se perpétue aussitôt ; Clausula Rebus Sic Stantibus est invoquée/parlée/écrite Ce ne sont là que quelques-uns des exemples que toute personne ayant un sentiment d’« acte répréhensible » peut voir pour illustrer clairement la nature frauduleuse absolue de l’ensemble du système juridique et le fondement de la fraude contre l’humanité sur laquelle il repose, où le NOM/TITRE LÉGAL les revendications sont la pierre angulaire de toute la construction pyramidale avec les criminels (sorciers légaux) au sommet de la pyramide du pouvoir délirant et illusoire et où tous les flics/juges/avocats/gens ordinaires devraient avoir une compréhension de base de ce qu'est la fraude, où se trouve la fraude. clairement défini dans le motif des dix commandements. La fraude (l'ensemble de la réalité juridique) comprend, sans s'y limiter, le meurtre, le vol, le viol, l'adultère, l'avidité, la luxure, la convoitise, la création et le culte de fausses idoles, et toutes sortes d'intentions mauvaises où seul le voile d'une réalité papier protège le mal avec CONNAISSANT les intentions et maintenant vous savez, l'ignorance est supprimée ici où il incombe à CHAQUE individu de prouver le contraire, le SILENCE équivaut à la maxime ACQUIESCENCE invoquée ; Clausula Rebus Sic Stantibus est invoquée/parlée/écrite Dans la mesure où le Vatican/CORPORATION DE LA CITÉ DU VATICAN, ÉTAT, comme on l'entend communément, est également complice de cette réalité de NOM/TITRE LÉGAL en vertu de l'ENREGISTREMENT LÉGAL, toutes les notions spirituelles de « pouvoir » sont par la présente annulées ab initio, à l'infini où la CITÉ DU VATICAN est ENREGISTRÉ comme le sont toutes les NATIONS/PAYS, etc. et autres en tant que SOCIÉTÉS DE LA COURONNE ENREGISTRÉES et sont stérilisées par association en conséquence où tout/tous les « pouvoirs » présumés supposés sont entièrement et complètement détruits par/de/dans/pour ce NOM LÉGAL/TITRE COMPLICITE FRAUDE AUX ACCORDS/TRAITÉS et est donc complice de cette fraude contre toute l’humanité et la vie elle-même, car tous revendiquent n’importe quel/tout statut juridique sous toutes/toutes les formes juridiques ab initio, ad infinitum, nunc pro tunc, tunc pro nunc. Il existe d'innombrables essais et programmes radiophoniques de l'entité non juridique « Kate of gaia/kaia » pour des éclaircissements supplémentaires, notamment sur les aveux aériens faits par la police et les avocats attestant de la véracité de ces faits et de leur incapacité à affirmer le contraire, piégés dans la circulaire juridique. piège de leur propre construction. Toute/toutes les actions effectuées par toute personne prétendant être dans/de/pour/par tout/tout NOM/TITRE LÉGAL constituent une fraude, une tentative d'aider et d'encourager la fraude là où il est illégal d'utiliser/être/réclamer/penser que l'on est un LÉGALEMENT défini. rien. Votre service ? Non, le jeu est terminé et Satan et sa prostituée (Legal Cronus, Commerce Crone/CROWN) ont perdu tous les jeux où toute « loi » était et est basée sur l'église où le tribunal n'est qu'un péché ou un nom pour l'église et les vivants. la vraie loi a été remplacée par de faux morts légaux et tous les praticiens en robe, qu'ils soient au tribunal ou à l'église, servent la même réalité JURIDIQUE morte et sont rendus âmes mortes en conséquence dans les « oui » de la création. Votre âme est en jeu/lien tandis que vos péchés/signes sont en jeu et VOUS seul pouvez effacer VOTRE dette, aucun sauveur ne viendra pour vous sauver mais plutôt pour vous condamner pour tous vos crimes volontaires, maintenant SCIENCEMENT commis par le la simple vertu que vous l’ayez reçu, que vous l’ayez lu ou non.
Pour ceux qui ont l’intention d’utiliser ce document sur la
fraude aux actes de naissance Clausula Rebus Sic Stantibus, alias BCCRSS/BCCRSS, utilisez-le exactement tel quel – NE péchez/écrivez/encrez nulle part sur ce document. De cette façon, vous mettez « Kate » entre vous et le système.