Prof Moussa
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Une partie opérative (P.O) procédant au traitement des matières d’œuvre afin d'élaborer la vale
ur
ajoutée ; c’est la partie mécanique du système qui effectue les opérations. Elle est consti
tuée
d’actionneurs tels que vérins, moteurs… utilisant de l’énergie électrique, pneumatique, hydraulique
.
Une partie dialogue (P.I) : est la partie interface se trouvant entre les deux faces PO et P
C
Traduisant les ordres et les informations.
Une partie commande (P.C.) coordonnant la succession des actions sur la Partie Opérative ave
c la
finalité d'obtenir cette valeur ajoutée.
l’automate qui traite les différentes informations d’entrée afin d’élaborer les ordres,
les sorties transmettant les ordres élaborés par l’automate, aux différents actionneurs ou
pré-
actionneurs : voyants, distributeurs de vérins, contacteurs de moteur..
.
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L’automate programmable reçoit les informations relatives à l’état du système et puis commande le
s pré
actionneurs suivant le programme inscrit dans sa mémoire.
A) Le processeur
Le processeur, ou unité centrale (UC), a pour rôle principal le traitement des instructions qui constitue
nt le
programme de fonctionnement de l’application (les fonctions logiques ET, OU, les fonctions
de
temporisation, de comptage, de calcul PID, etc..). Mais en dehors de cette tâche de base, il réalise égale
ment
d’autres fonctions :
Gestion des entrées/sorti
Surveillance et diagnostic de l’automate par une série de tests lancés à la mise sous te
n ou
cycliquement en cours de fonctionnement.
Dialogue avec le terminal de programmation, aussi bien pour l’écriture et la mise au p
du
programme qu’en cours d’exploitation pour des réglages ou des vérifications des donn
ées.
Un ou plusieurs processeurs exécutent ces fonctions grâce à un micro logiciel préprogrammé dan
s une
mémoire de commande, ou mémoire système. Cette mémoire morte définit les fonctionnalités de l’auto
mate.
Elle n’est pas accessible à l’utilisateur.
B) La mémoire
Elle est destinée au stockage des instructions qui constituent le programme de fonctionneme
nt de
l’automatisme, ainsi que des données qui peuvent être :
Des informations susceptibles d’évoluer en cours de fonctionnement de l’application. C’es
as
par exemple de résultats de traitements effectués par le processeur et rangés dans l’attente
d’une
utilisation ultérieure. Ces données sont appelées variables internes ou mots inter
nes.
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Des informations qui n’évoluent pas au cours de fonctionnement, mais qui peuvent en cas d
soin
être modifiées par l’utilisateur : textes à afficher, valeurs de présélection, etc.. Ce sont des
mots
constants.
Les mémoires d’état des entrées/sorties, mises à jour par le processeur à chaque tour de s
ation
du programme.
Deux familles de mémoires sont utilisées dans les automates programmabl
es :
Les mémoires vives, ou mémoires à accès aléatoire « Random Access Memory (RAM
Le
contenu de ces mémoires peut être lu et modifié à volonté, mais il est perdu en cas de manq
ue de
tension (mémoire volatiles). Elles nécessitent par conséquent une sauvegarde par batterie.
Les
mémoires vives sont utilisées pour l’écriture et la mise au point du programme, et pour le stock
age
des données.
Les mémoires mortes sont à lecture seule, les informations ne sont pas perdues lors de la c
re de
l’alimentation des circuits. On peut citer les types suivants :
ROM « Read Only Memory » : Elle est programmée par le constructeur et son program
e
peut être modifié.
PROM « Programmable ROM » : Elle est livrée non enregistrée par le fabricant. Lor
Exemple: Soit une mémoire de 8 Koctets = 8 x 1024 x 8 = 65 536 BITS. Cette mémoire peu
t
contenir 65 536 informations binaires.
2) Les interfaces entrées/sorties :
Les entrées/sorties TOR (Tout ou Rien) assurent l’intégration directe de l’automate dans son environne
ment
industriel en réalisant la liaison entre le processeur et le processus. Elles ont toutes, de base, une d
ouble
fonction :
Une fonction d’interface pour la réception et la mise en forme de signaux provenant de l’e
eur
(capteurs, boutons poussoirs, etc.) et pour l’émission de signaux vers l’extérieur (commande de
pré-
actionneurs, de voyants de signalisation, etc.).
2.1) Les interfaces entrées
Lors de l’activation d’une entrée de l’automate, l’interface d’entrée envoie un « 0 » logique à l’unité d
e
traitement et un « 1 » logique lors de l’ouverture du contact du capteur (entrée non actionn
ée).
Figure 3 : Principe de fonctionnement de l'interface d'entrée
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2.3) Le Bus
C’est un ensemble de conducteurs qui réalisent la liaison entre les différents éléments de l’automate.
Dans
un automate modulaire, il se présente sous forme d’un circuit imprimé situé au fond du bac et support
e des
connecteurs sur lesquels viennent s’enficher les différents modules : processeur, extension mé
moire,
interfaces et coupleurs.
Le bus est organisé en plusieurs sous-
ensembles destinés chacun à véhiculer un type bien défini
d’informations :
Bus de données
Bus d’adresses
Bus de contrôle pour les signaux de service tels que tops de synchronisation, sens des é
nges,
contrôle de validité des échanges, etc..
Bus de distribution des tensions issues du bloc d’aliment
2.4) Alimentation
Elle élabore à partir d’un réseau 220 V en courant alternatif, ou d’une source 24 V en courant continu,
les
tensions internes distribuées aux modules de l’automate.
Afin d’assurer le niveau de sûreté requis, elle comporte des dispositifs de détection de baisse ou de co
upure
de la tension réseau, et de surveillance des tensions internes. En cas de défaut, ces dispositifs peuvent
lancer
une procédure prioritaire de sauvegarde.
Les schémas de principe et raccordement sont, respectivement, illustrés par la figure 6 et la figu
re 7.
LES COMPACTS
SIEMENS CROUZET SCHNEIDER
SIEMENS MOELLER
LOGO MILLENIUM ZELIO S7-1200 PS4
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LES MODULAIRES
SCHNEIDER MOELLER SIEMENS
S7-1500
MODICON M340
4) TSX-micro de Télémécanique
4.1) Présentation
Pour augmenter la productivité des processus, on emploie des automates programmables qui sont mo
ntés en
réseaux et qui peuvent communiquer avec les réseaux informatiques tels que Ethernet ou Internet; il
s'agit
des NTIC (nouvelles technologies information et de communication).
Pour effectuer la gestion des automatismes, il faut établir la communication entre tous les nivea
ux de
production (figure 17) :
- au niveau du poste automatique de production avec le réseau
i;
- par îlots de production, par exemple le réseau MODBU
- de l'ensemble des îlots reliés au réseau informatique avec Eth
t.
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Exemple
Échange de bits: 248 E/S en 5 ms.
Autres types de réseaux: Interbus, Profibus, CANopen, Device Net, Control Net.
Par exemple, pour adresser la 5ème entrée du DCY en partant de la gauche, on définit l’adresse suiva
nte :
I0.4 indique une adresse de type entrée, 0, l’adresse d’octet et 4, l’adresse de bit. Les adres
ses
d’octet et de bit sont toujours séparées par un point.
Q0.2 Q indique une adresse de type Sortie, 0, l’adresse d’octet et 2, l’adresse de bit. Les adres
ses
d’octet et de bit sont toujours séparées par un point.
6) GRAFCET
6.1) Définition
Le GRAFCET (GRAphe Fonctionnel de Commande par Etapes et Transitions)
ou SFC (Sequential Fonction Chart) est un outil graphique qui décrit les différents comportements
de
l'évolution d'un automatisme et établit une correspondance à caractère séquentiel et combinatoire e
ntre :
ENTREES - à- dire les transferts d'informations de la Partie Opérative vers la
P i
Les , c'est
SORTIES ive.
Commande,
Les , transferts d'informations de la Partie Commande vers la Partie O
at
C'est un outil graphique puissant, directement exploitable, car c'est aussi un langage pour la plu
part
des API existants sur le marché. Lorsque le mot GRAFCET (en lettre capitale) est utilisé, il fait référence
à
l'outil de modélisation. Lorsque le mot grafcet est écrit en minuscule, il fait alors référence à
un
étapeà l'aide des règles du GRAFCET. (Exemple : J'ai utilisé le GRAFCET pour concevoir cette
modèle obtenu
machine, jette un coup d'œil sur le grafcet de sécurité et dit moi ce que tu pen
se)
Le GRAFCET comprend :
6.2) Description
Le point dedu GRAFCET
vue
La description du comportement attendu d'un automatisme peut se représenter par un GRAFCET d
'un
certain « niveau ». La caractérisation du «niveau» du GRAFCET nécessite de prendre en compte tro
is
dimensions :
La spécifications
o Spécifications fonctionnelles,
o Spécifications technologiques,
o Spécifications opérationnelles.
, caractérisant le niveau de détail dans la description du fonctionnement, d'un niv
ea
global (ou macro-
représentation) jusqu'au niveau de détail complet où toutes les actions et
informations élémentaires sont prises en compte.
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6.3.3) Transition
Une transition indique la possibilité d'évolution qui existe entre deux étapes et donc la succession de
deux
activités dans la partie opérative. Lors de son franchissement, elle va permettre l'évolution du systè
me. A
chaque transition est associée une condition logique appelée réceptivité qui exprime la condition néce
ssaire
pour passer d'une étape à une autre.
e,
La réceptivité qui est une information d'entrée qui est fournie par :
du grafcets : d'autres grafcet pour la liaison engrafcets ou de l'état courant des étapes du gr
t
(les Xi),
d'autres systèmes : dialoguentre sy
Remarque: Si la réceptivité n'est pas précisée, alors cela signifie qu'elle est toujours vraie. (
=1)
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L'action associée à l'étape peut être de 3 types : continue, conditionnelle ou mémorisée. Les acti
ons
peuvent être classées en fonction de leur durée par rapport à celle de l'éta
pe.
a) Actions continues :
L'ordre est émis, de façon continue, tant que l'étape, à laquelle il est associé, est acti
ve.
b) Actions conditionnelles:
Une action conditionnelle n'est exécutée que si l'étape associée est active et si la condition associ
ée est
vraie. Elles peuvent être décomposées en 2 cas particuliers:
Le temps intervient dans cet ordre conditionnel comme condition logique. L'indication du temps s'effe
ctue
par la notation générale " t / xi / q " dans laquelle "xi" indique l'étape prise comme origine du temps et
"q"
est la durée du retard.
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Exemple : "t /x6/ 5s" : prendra la valeur logique1, 5s après la dernière activation de l'étape
6.
c) Action maintenue sur plusieurs étapes:
Afin de maintenir la continuité d'une action sur plusieurs étapes, il est possible de répéter l'ordre con
tinu
relatif à cette action, dans toutes les étapes concernées ou d'utiliser une description sous forme de séq
uences
simultanées (Les séquences simultanées seront traitées ultérieureme
nt).
d) Action mémorisée :
Le maintien d'un ordre, sur la durée d'activation de plusieurs étapes consécutives, peut également être o
btenu
par la mémorisation de l'action, obtenue par l'utilisation d'une fonction auxiliaire appelée fonction mém
oire.
Cette fonction pourra être décrite par un GRAFCET
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Si les deux conditions a et d sont à 1 simultanément, les étapes 2 et 4 vont devenir actives simultané
ment,
situation non voulue par le concepteur. Donc elles doivent être des conditions exclusi
ves
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6.5.4) Parallélisme entre deux ou plusieurs séquences (ou séquences simultanées divergen
ce
convergence en ET) :
Au contraire de l'aiguillage où ne peut se dérouler qu'une seule activité à la fois, On dit qu'on se trouve
en
présence d'un parallélisme structurel, si plusieurs activités indépendantes pouvant se dérouler en par
allèle.
Le début d'une divergence en ET et la fin d'une convergence en ET d'un parallélisme structurel s
ont
représentés par deux traits parallèles.
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Si « SET » = 1, Q = 1
Si « RESET » = 1, Q = 0
Si les deux = 1 : 2 cas :
Priorité à l’activation -> Q = 1
Priorité à la désactivation -> Q =
0
X1=
b) Soit en testant l’état repos de toutes les mémoires d’étape suivantes, pour venir al
ors
systématiquement enclencher la mémoire X1, comme le montre le schéma suiva
nt :
X1=
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b) Bloc compteur
6) Niveaux de GRAFCET :
a-
GRAFCET niveau 1 : il définit le cycle à réaliser sans tenir compte des solutions technologiques,
c’est une représentation fonctionnelle du cahier des charges.
b-
GRAFCET niveau 2 :en plus des exigences fonctionnelles cette représentation tient compte du
Cycle détaillé :
_ Quand le chariot est en haut à gauche et que l’on appuie sur le départ du cycle (dcy), le chariot va
au-
dessus du bac de graissage.
_ Le panier descend alors dans se bac ou on laisse 30 seconde
s.
_ Après cette attente, le panier remonte.
_ Après cela le chariot va jusqu’à l’extrême droite où il sera déchargé.
Travail demandé :
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Exercice 03 (OU) :
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Le malaxeur étudié est un système utilisé dans des usines de produits agro-
alimentaires. Il décrit le processus
de traitement d’un produit liquide assurant le dosage d’une certaine quantité du liquide pour la porter à
une
température donnée θ0 (°c). Le système est réalisé autour de
:
alors exécutées :
le chauffage et le brassage sont arrêtés et on ouvre EV3 pour autoriser la circulation du liqu
ide
chauffé vers la suite du processus.
Au bout de 20 secondes, EV3 est désactivée et un nouveau cycle peut commenc
er.
1) Etablir le GRAFCET niveau 02 conformément au cahier de charge.
2) Donner un tableau d’affectation des Entées/Sorties.
3) Dessiner un schéma de raccordement automate.
4) Traduire le GRAFCET en langage LADD
Il s’agit d’un système utilisé dans les usines de production des boissons liquides. Il décrit une parti
e du
processus assurant les fonctions de remplissage et de bouchage des boutei
lles.
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Le déclenchement de la chaîne d’embouteillage se fait par action sur l’interrupteur Dcy. Le mote
ur ‘
Avance Tapis : M ’ tourne d’un pas jusqu’à l’action du capteur ‘ Tapis en position : TP ’. Une
bouteille est alors présente à chacun des postes P1 et P2. Les opérations de remplissage
et de
bouchage s’effectueront simultanément sur les deux bouteilles
:
- Le remplissage se fera en deux étapes :
Ouverture de l’électrovanne EV
Fermeture de EV après le remplissage de la bouteillecapteur ‘Bouteille remplie : BR’ permettr
de contrôler le niveau de remplissage des bouteilles.
- Le bouchage se fera en deux étapes :
Descente du vérin presseur V ;
Remonte du vérin V après l’enfoncement du bouch
Il est à noter que le cycle ne recommencera que si les deux opérations de remplissage et de bouchag
e sont
achevées.
Exercie07: « et »
On considère une machine de production des pièces pliées et poinçonnées décrite ci-
dessous avec
chargement et déchargement automatique :
Le système est commandé par deux boutons poussoirs respectivement le départ cycle (DCY) et arrêt (
RAZ)
composé par deux postes:
Poste de pliage par descente et monté de la
tige vérin V 1
Poste de poinçonnage par descente et
monté de la tige vérin V 2
Poste d’évacuation puis remplissage de
pièces assurées par deux vérins (vérin V3
et vérin V4).
Cahier de charge de la machine :
Le système se trouvant en position initiale, l’appui
sur le bouton de « départ cycle » ordonne
simultanément l’évacuation puis remplissage ; le
pliage et le poinçonnage des pièces se trouvant sur
le plateau.
Une fois les trois actions terminées. Le
système ordonne la rotation du plateau et
le système recommence le même cycle
jusqu’à l’arrêt.
Une fois le poinçon revenu en position haute, attente d’un nouveau « départ cycle ».
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Fonctionnement : A l’impulsion sur START le convoyeur avance la bande jusqu’à une distance D en m
m
qui correspond à la consigne saisie et à la fin d’avance, un vérin actionne la coupe de tôle par descen
te et
montée du couteau et le système recommence le cycle jusqu’à il atteint le nombre n puis il vient à son ét
at de
repos. L’arrêt de production est assuré par un bouton poussoir STOP qui permet : La remonter du cout
eau ;
L’arrêt du moteur ; La remise à zéro du compteur.
2-
1 On demande de convertir le cahier de charge du fonctionnement de la tête d’usinage par les GRAFCE
T
de point de vue PO et PC GRAFCET de point de vue PO
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quatre capteurs (S2, S3, S4 et S5) pour contrôler les sorties et les recules des tiges des vér
ins.
Un capteur S1 pour la détection de présence de pièce.
Un bouton poussoir STOP
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A la mise sous tension la partie commande démarrage les deux convoyeurs et à l’arrivée d’une pièce de
vant
le capteur S1 le système effectue le cycle suivant :
Le vérin A poussé la pièce jusqu’à l’action sur S3,
Simultanément la tige du vérin A se recule et la tige du vérin B pousse la pièce vers le tap
is
d’évacuation,
A l’action sur le capteur S5 la tige du vérin B se recule,
A l’action sur le capteur S4 le système revient à son état de repos,
Le bouton poussoir STOP permet d’arrêter le système par remise à zéro de tout le systè
me.
1-
1 chaque convoyeur est entrainé par un moteur asynchrone triphasé et commandé par l’API On deman
de
de compléter le circuit de puissance relatif à la commande d’un moteur en tenant compte de sécuri
té du
moteur contre les surcharges mécaniques.
1-
2 Les vérins A et B sont de types double effets et commandé par un distributeur pneumatique 4/2
on
demande de compléter le circuit puissance pour commander le vérin A par un API
:
1-
3 L’API installé dans ce système présente les caractéristiques suivantes :
On demande de compléter les convexions de l’API avec les entrées/sorties du système, sachan
t que
l’alimentation intégrée de l’API est utilisé uniquement pour l’alimentation des entrée
s.
2-
1 On demande de convertir le cahier de charge par un GRAFCET de point de vue PO et déduire le
GRAFCET de point de vue PC.
2-2 Convertir les étapes du GRAFCET par un programme en langage LADER.
2-
3 Convertir les actions des étapes par un programme en langage LADER.
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