Première Guerre Mondiale SJ Brevet
Première Guerre Mondiale SJ Brevet
Première Guerre Mondiale SJ Brevet
INTRO- Nous avons étudié l'histoire des poilus en cours d'Hisoire dès le début de
l'année lorsquenous avons abordé la Première Guerre mondiale- Nous l'avons
également étudié en Français en s'interressant aux textes et aux oeuvresd'arts
réalisés par les poilus eux-même et par des artistes voulant leur porter hommage.
QUI SONT LES POILUS ?- "Poilu" est le surnom donné aux soldats français lors de la
Première Guerre mondiale- Avant la guerre, ce mot était utilisé dans le language
familier pour désigner quelqu'un decourageux et de virl- Les poilus ne
l'utilisaient pas entre eux, ils s'appelaient plutôt "les hommes"
QUI SONT LES GUEULES CASSÉES- Poilus survivants de la Première Guerre mondiale
ayant subi une ou plusieurs blessures aucombat résultants à des déformations
physiques grave nottament au visage- Les soldats marqués fortement
psychologiquement font également parti des gueulescassées
Contexte
LES CONDITIONS DE VIE DES POILUS [dans les tranchées]- Dans les tranchées, les
conditons de vie étaient horribles les soldats étaient constament
→
exposés au danger, il faisait froid, il y avait de fortes odeurs, peu d'hygiène et
donc desmaladies très facilement répendues, la boue et de la pluie rendaient le
déplacement difficile,et il y avait très peu de nourriture dû au mauvais
ravitaillement-
LeFeu, Henri Barbusse
→
- Ecrit depuis son lit d'hopital après avoir été blessé dans les tranchées- bien
que le texte soit fictif, Henri Barbusse se sert de sa propre expérience en tant
quepoilu afin de l'écrire et donne donc beaucoup de détails sur la violance des
tranchées
→
onomatopés "tac-tac-pan!" // description détaillée- Sur la couverture du livre, on
voit plusieurs soldats morts, nottament en premier plan, où unsoldat a perdu ses
deux jambes- Plus loin sur la couverture, un des soldats encore vivant parraît
déboussoléLES LETTRES- Des lettres étaient écrites par les poilus afin de
communiquer avec leurs proches à l'arrière.- Les lettres, avant d'êtres envoyées à
l'arrière, étaient méticuleusement lues afin d'éviter lanotion de lieux, et
d'éviter l'espionnage- Quelques lettres sont recueillies dans le livre
ParolesDePoilus
de Jean-Pierre Guéno*
Adolphe WEGEL
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Ma bien chère Lucie,Quand cette lettre te parviendra, je serai mort fusillé.Voici
pourquoi :Le 27 novembre, vers 5 heures du soir, après un violent bombardement de
deux heures,dans une tranchée de première ligne, alors que nous finissions la
soupe, des Allemands sesont amenés dans la tranchée, m’ont fait prisonnier avec
deux autres camarades. J’aiprofité d’un moment de bousculade pour m’échapper des
mains des Allemands. J’ai suivimes camarades, et ensuite, j’ai été accusé d’abandon
de poste en présence de l’ennemi.Nous sommes passés vingt-quatre hier soir au
Conseil de Guerre. Six ont été condamnés àmort dont moi. Je ne suis pas plus
coupable que les autres, mais il faut un exemple. Monportefeuille te parviendra
avec ce qu’il y a dedans. (..)Je meurs innocent du crime d’abandon de poste qui
m’est reproché. Si au lieu dem’échapper des Allemands, j’étais resté prisonnier,
j’aurais encore la vie sauve. C’est lafatalité.Ma dernière pensée, à toi, jusqu’au
bout.
Henry Floch
Rodolphe WORTZ
Dans ce texte,Rodolphe WORTZ ne se plein pas du fait qu'il va sûrement mourir
maiss'inquiète pour la réaction de son ou sa proche. Il conseil le destinataire de
cette lettre afinqu'il puisse afronter dignement sa supposée mort
- Ces lettres ont une très grande importance mais n'ont pas toujours été
concidéréescomme objet d'histoire ou archive- Elles servent à mieux comprendre la
guerre et à avoir un nouveau regard sur celle-ci, leregard de ceux qui la vivaient,
voire la subissait
Bien que les soldats aient subi une grande déshumanisation, certains actes montrent
le contraire.En effet, chaque jour, les poilus recevaient des colis de leur
famille, remplis de nourriture et de vêtement alors que l'économie était en pleine
chute et que les produits devenaient beaucoup plus chèrs. Tout ces présents étaient
partagés entre les soldats dans les tranchées.De plus, le 25 Décembre 1915, il n’y
eu pas d'attaques, tous les soldats célébraient les fêtes de Noël
LES HOMMAGES