Memo Mathematiques
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Memo Mathematiques
MEMO
M AT H E M AT I Q U E
ARITHMÉTIQUE 4 POURCENTAGE 20
Rappel sur les nombres............................................. 4 Calcul d’une augmentation ou d’une baisse...... 20
Multiple, diviseur, divisible....................................... 4 Intérêts composés......................................................21
Critères de divisibilité................................................ 4 Calcul d’une évolution..............................................21
Les nombres premiers............................................... 5
PGCD et PPCM............................................................... 6
La division euclidienne...............................................7 MOYENNE 22
La division décimale....................................................7
Multiplication, carré et cube.................................... 8
Parité.............................................................................. 9
UNITES DE MESURE 23
Les nombres consécutifs........................................... 9
Unités de longueur.................................................... 23
Unités d’aire................................................................ 23
Unités de volume....................................................... 23
ALGEBRE 10 Unités de masse ....................................................... 24
Règles de calcul......................................................... 10 Unité de temps........................................................... 24
Les fractions............................................................... 10
Simplification............................................................. 10
Comparaison............................................................... 10
VITESSE 26
Produit en croix......................................................... 10
Formule de base........................................................ 26
Addition et soustraction.......................................... 10
Multiplication.............................................................. 11
Division.......................................................................... 11
Les puissances............................................................ 11
GEOMETRIE 27
Geometrie élémentaire.............................................27
Les racines carrées....................................................13
Triangles........................................................................27
Calcul littéral...............................................................13
Trigonométrie............................................................. 28
Équations......................................................................14
Volumes........................................................................ 30
PROPORTIONNALITE 18
Proportionnalité simple et produit en croix...... 18
Résolution par un tableau...................................... 18
Résolution par le produit en croix........................ 18
Proportionnalité multiple........................................19
ARITHMÉTIQUE
Rappel sur l e s n o m b re s
• Les chiffres sont les symboles élémentaires avec • Les nombres rationnels sont ceux qui peuvent
lesquels on forme tous les nombres entiers naturels. s’écrire sous la forme d’une fraction de deux entiers
Il y a dix chiffres : 0 ; 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7 ; 8 et 9. 4 2 12 5
: , − , −1, 0, , − . Sous forme décimale,
• Les nombres entiers naturels sont 0 ; 1 ; 2 ; 3 ; 4… (à 5 3 7 13
l’infini). ils peuvent comporter un nombre infini de déci-
• Les nombres entiers relatifs sont les entiers positifs males, mais à partir d’un certain rang elles sont
et négatifs : −2 ; −1 ; 0 ; +1 ; +2 ; +3 ;… Les entiers natu- cycliques (le même groupe de chiffres revient
rels se confondent avec les entiers relatifs positifs : indéfiniment : 5/3 = 1,333...).
+5 = 5. • Les nombres irrationnels sont ceux qui ne sont pas
Multi p l e , d i v i s e u r, d i v i s i b l e
Dire qu’un nombre B est un multiple d’un nombre A, ou que B est divisible par A, c’est dire que B est le produit de A
par un nombre entier K, autrement dit que : B = A × K
Exemple : 24 est un multiple de 6 ; 24 est divisible par 6 ; 6 est un diviseur de 24 ; 24 est le produit de
6 par 4.
Tout nombre est divisible par 1 et par lui-même. 0 est un multiple de tous les nombres.
Critè res d e d i v i s i b i l i té
Exemple : 348 est divisible par 3 puisque 3 + 4 + 8 = 15 et que 15 est un multiple de 3 ; si ceci n’était pas évident,
on effectuerait 1 + 5 = 6, qui est un multiple de 3.
On appelle nombre premier tout nombre qui n’a que deux diviseurs : 1 et lui-même.
2 3 5 7 11 13 17 19 23 29 31 37 41 43 47 53 59 61 67 71 73 79 83 89 97
Tout entier naturel (plus grand que 1) qui n’est pas premier est décomposable d’une manière unique en un produit
de nombres premiers.
On écrit le nombre et les quotients successifs dans une colonne, les facteurs premiers dans une autre colonne.
On continue jusqu’à ce que le quotient soit 1.
280 2
140 2
70 2
35 5
7 7
1 D’où 280 = 2 × 2 × 2 × 5 × 7 = 23 × 5 × 7
7 425 3
2 475 3
825 3
275 5
55 5
11 11
1 1 D’où 7 425 = 33 × 52 × 11
PG C D et P P C M
Le PGCD de deux nombres est le plus grand commun diviseur de ces deux nombres.
Pour calculer le PGCD de deux nombres, une méthode simple consiste à décomposer ces deux nombres en un
produit de facteurs premiers. Le PGCD est alors le produit des facteurs premiers commun dans les deux décomposi-
tions.
170 5 × 34 5
=
Ainsi = est la simplification en une fraction irréductible.
578 17 × 34 17
Le PPCM de deux nombres est le plus petit commun multiple aux deux nombres. Pour calculer le PPCM de deux
nombres, une méthode consiste à décomposer chaque nombre en facteurs premiers. Le PPCM est alors le produit
de tous les facteurs présents dans les deux décompositions.
En faisant la division euclidienne de 23 par 3, on obtient 23 = 7 × 3 + 2. Le quotient entier est 7, le diviseur est 3 et le
reste est 2. Le reste est toujours inférieur au diviseur.
Exemple : Avec 167 bouteilles de champagne, combien peut-on remplir de cartons de 6 bouteilles ?
167 6
47 27
La d i v i si on d é c i m a l e
15
157,5 36
0 135 4,375
270
180
× 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
1 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
2 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24
3 3 6 9 12 15 18 21 24 27 30 33 36
4 4 8 12 16 20 24 28 32 36 40 44 48
5 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55 60
6 6 12 18 24 30 36 42 48 54 60 66 72
7 7 14 21 28 35 42 49 56 63 70 77 84
8 8 16 24 32 40 48 56 64 72 80 88 96
9 9 18 27 36 45 54 63 72 81 90 99 108
10 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110 120
11 11 22 33 44 55 66 77 88 99 110 121 132
12 12 24 36 48 60 72 84 96 108 120 132 144
N 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
N2 1 4 9 16 25 36 49 64 81 100
N 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
N2 121 144 169 196 225 256 289 324 361 400
N 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
N3 1 8 27 64 125 216 343 512 729 1000
Un nombre pair est un entier naturel divisible par 2. Un nombre impair est un entier naturel qui n’est pas pair.
Les n o mb res co n s é c u t i f s
On dit que deux nombres entiers sont consécutifs s’ils se suivent, autrement dit si leur différence est égale à 1.
N ( N + 1)
Entiers 1 + 2 + 3 + 4 +…+ N =
2
2 + 4 + 6 + 8 + … + 2 N= N ( N + 1)= N2 + N
Pairs
1 + 3 + 5 + 7 +…+ 2( N − 1) =N²
Impairs
Règl e s de ca l c u l
Dans un calcul comprenant les opérations élémen- d’abord les calculs entre parenthèses puis les calculs
taires : additions (+), soustractions (–), multiplications mis en puissance, puis les multiplications et divisions et
(×) et divisions (÷), on se doit de respecter un ordre enfin les additions et les soustractions.
pour effectuer les calculs. On prendra soin d’effectuer
a
Dans , a est le numérateur et b le dénominateur. Le dénominateur doit être différent de 0.
b
Simp l i f i cati o n
Pour simplifier une fraction, on met le numérateur et le dénominateur sous le forme d’un produit des facteurs puis
12 2×2×3 2
=
on supprime les facteurs communs : = .
18 2 × 3× 3 3
Une fraction que l’on ne peut plus simplifier est une fraction irréductible.
Comp a ra i so n
Pour comparer des fractions, il faut les réduire au même dénominateur puis comparer les numérateurs.
Prod ui t e n cro i x
a c
= équivaut à a × d = b × c.
b d
Addi ti on et s o u s t ra c t i o n
a b a +b a b a −b
Si le dénominateur est identique : + = et − =
c c c c c c
Si le dénominateur est différent, on réduit d’abord au même dénominateur :
2 3 2 × 5 3 × 7 10 21 10 + 21 31
+ = + = + = =
7 5 7 × 5 5 × 7 35 35 35 35
a c a ×c c a ×c
× = a× =
b d b ×d d d
Pour éviter des calculs et ainsi gagner du temps, pensez à simplifier vos fractions dès que possible.
Divisi on
a
a c b a d
÷ = = ×
b d c b c
d
n facteurs
p1 = p
p0 = 1
1
p −n =
pn
pn +m
pn × p m =
pn
m
= p n −m
p
(p )
n m
= p n ×m
( p × q )n = p n × q n
n
p pn
= n
q q
Les ra ci nes c a r ré e s
Avec a et b positifs :
( a )2 = a
a2 = a
1
a =a 2
a ×b = a× b
a a
=
b b
Attention : a +b ≠ a + b
À connaître
= : 2 1, =
414 3 1,=
732 5 2, 236
Exemples :
50 = 25 × 2 = 25 × 2 =×
5 2=5 2
5 5 1 1
= = =
45 45 9 3
=
S 200 + 72 + 50
= 100 × 2 + 36 × 2 + 25 × 2
S = 100 × 2 + 36 × 2 + 25 × 2 =10 × 2 + 6 × 2 + 5 × 2
S= (10 + 6 + 5) 2 = 21 2
Calcul l i tté ra l
Simplification d’écriture
Le calcul littéral obéit aux mêmes règles que le calcul numérique, en particulier aux règles de priorités. On peut
supprimer le signe « × » devant une lettre ou devant une parenthèse.
a désigne un nombre.
0×a=0
1×a=a
3 × a = 3a
4 × (7 + 5 × a) = 4(7 + 5a)
Développement et factorisation
Développer une expression consiste à transformer un produit en somme :
a ( b + c ) = ab + ac
a (b − c ) = ab − ac
( a + b )( c + d ) = ac + ad + bc + bd
Factoriser consiste à transformer une somme en produit. Soit on met en facteur un élément commun a, soit on se
sert d’une identité remarquable.
Mise en facteur de a : ab + ac = a (b + c ) ab − ac = a (b − c )
Identités remarquables
( a + b ) ² =a ² + 2ab + b ²
( a − b ) ² =a ² − 2ab + b 2
(a + b ) (a − b ) = a2 − b2
Équati ons
3x+2 = 7
Dans une équation, on peut additionner ou soustraire un même nombre à chaque membre.
Dans une équation, on peut multiplier ou diviser chaque membre par un même nombre non nul.
On effectue tous les calculs dans chaque membre (développer, supprimer les parenthèses et réduire).
6x + 3 = 2x + 4
6x – 2x = 4 – 3
4x = 1
Diviser (ou multiplier) les deux membres par le nombre qui multiplie (ou divise) x.
1
x=
4
Inéquations
Pour les inéquations à une inconnue, on procède de la même manière que pour les équations à une inconnue. On
prendra garde à l’ordre de l’inéquation (à l’orientation du signe de comparaison < ou >).
L’ordre change si on multiplie ou divise chaque membre par un même nombre non nul négatif.
Exemple :
x + 13 < 5(3x + 4)
x + 13 < 15x + 20
x – 15x < 20 – 13
–14x < 7
−14 x 7
>
−14 −14 Attention, on divise par −14 (négatif), l’ordre de l’inéquation change.
1
x >−
2
Exemple :
Exemple :
x2 = 16 donne x = 4 ou x = −4.
x2 = 7 donne x = ou x = −.
3x − 2 y =
12
2x + 5 y =−11
6x − 4 y =24
−6x − 15 y =33
x −3 y =4
2x + 5 y =
30
On isole x dans la première équation.
x= 4 + 3 y
2x + 5 y =30
On remplace x dans la deuxième équation.
x= 4 + 3 y x= 4 + 3 y x= 4 + 3 y x= 4 + 3 y x= 4 + 3 y
2(4 + 3 y ) + 5 y =
30 8 + 6 y + 5 y =
30 8 + 11 y =
30
11 y = 22 y=2
On remplace y par sa valeur dans la première équation.
x = 4 + 3 × 2 x = 10
y = 2 y=2
Le système a pour solution le couple (10 ; 2).
En moyenne, 3 élèves sur une classe de 25 sont gauchers. Dans un amphi de 300, à quel nombre g de gauchers
doit-on s’attendre ?
Classe Amphi
Gauchers 3 g
Effectif total 25 300
Rés o l uti on p a r u n t a b l e a u
Classe Amphi
Gauchers 3 g
Effectif total 25 300 ×3/25
×12
Verticalement
3 3 900 100
Pour passer de 25 à 3, on multiplie par , par conséquent g = 300 × = =9× = 9 × 4 = 36 .
25 25 25 25
Horizontalement
300 900
Pour passer de 25 à 300, on multiplie par 12, par conséquent g =×
3 = = 36 .
25 25
Classe Amphi
Gauchers 3 g
Effectif total 25 300
300 × 3
Les produits des nombres opposés diagonalement sont égaux : 25 ×=
g 300 × 3 puis g = =36 .
25
Remarque : ces deux méthodes sont totalement équivalentes. Selon le contexte de l’exercice, il convient de choisir la
méthode la plus économe en calcul et en temps.
Cinq peintres en bâtiment mettent 2 heures pour Pour un nombre de peintres fixé, la surface peinte est
peindre un mur de 200 m², combien de temps faut-il à proportionnelle à la durée de travail.
deux peintres pour peindre un mur de 300 m² ? Attention : pour une surface fixe, la durée de travail est
Il y a 3 valeurs à prendre en compte : le nombre de inversement proportionnelle au nombre de peintre.
peintres, le nombre d’heures et la surface peinte. Dans ce genre de problème, on doit faire varier un
Pour une durée fixe, la surface peinte est proportion- seul couple de valeurs proportionnelles à la fois et
nelle au nombre de peintres. on avance par étapes successives. On peut s’aider de
tableaux pour raisonner.
300 × 5 1500
=
Avec le produit en croix, d = = 7, 5 heures.
200 200
Deux peintres mettent 7 h 30 min pour peindre un mur de 300 m².
t
Dire que y vaut t % de x signifie que : y= x × .
100
Exemple : Le 1 juillet 2012, le CAC 40 vaut 82 % de sa valeur du 16 mars 2012 qui était de 3600 points.
82 82
= 3600×
CAC401 juillet =CAC4016 mars × = 82×36
= 2952
100 100
t
• Augmenter une valeur de t % revient à la multiplier par 1 + 100 .
t
• Diminuer une valeur de t % revient à la multiplier par 1 − 100 .
Exemple : Pendant les soldes, on annonce une réduction de 30 % sur tous les prix affichés. Par combien doit-on
multiplier les prix affichés pour avoir les prix soldés ?
30
On doit multiplier chaque prix par 1 − =
0, 7 .
100
Les pièges :
• Une augmentation de 20% suivie d’une baisse de 20%, cela ne change rien ? FAUX
Si l’on augmente une valeur de 20 %, on la multiplie par 1,2. Si on baisse la nouvelle valeur de 20 % on la multiplie
par 0,8. Au final on multiplie notre valeur par 1,2×0,8=0,96. Une augmentation de 20% suivie d’une baisse de 20 %
équivaut à une baisse de 4 %.
Les problèmes de pourcentage peuvent être liés à des problèmes de placements bancaires. Lorsque l’on place de
l’argent, sur un compte épargne par exemple, les intérêts sont dits « composés » c’est-à-dire que le calcul des inté-
rêts d’une année se fera sur la base du capital cumulé l’année précédente.
n
i
Si l’on nomme C le capital de départ et i le taux d’intérêt du placement, au bout de n années on aura 1 + C.
100
5
2, 5
Au bout de 5 ans, le capital de Mr Durand sera de 1 + × 2500 ≈ 2828, 5 €.
100
placée à double en
5% 15 ans
8% 9 ans
10 % 8 ans
V f − Vi
Une valeur d’origine Vi évolue en une valeur finale Vf, son évolution en pourcentage est × 100
Vi .
Exemple : Le prix d’un CD passe de 14 € à 14,7 €. Quelle est son évolution en pourcentage ?
14, 7 − 14 0, 7 0, 7 1
L’évolution est de × 100 = × 100 = × 100 = × 100 =5% .
14 14 0, 7 × 20 20
Le prix du CD a augmenté de 5%
x 1 + x 2 + ... + x n
m=
n
Si par contre, on affecte aux différents éléments un poids (ou un coefficient de pondération), cette formule
devient :
k1x 1 + k2 x 2 + ... + kn x n
M=
k1 + k2 + ... + kn
Quelques astuces
Si tous les poids ki sont multipliés par un même nombre, la valeur de la moyenne ne change pas.
• Si tous les xi sont multipliés par l, alors la valeur moyenne est multipliée par l.
• Si tous les xi sont augmentés d’un même nombre l, alors la valeur moyenne aussi.
Exemple : Pour une fête, on prépare un punch composé de 16 litres de jus d’orange à 2 € le litre, 12 litres de jus
de goyave à 3 € le litre, 4 litres de sucre de canne à 4 € le litre et 8 litres de rhum à 18 € le litre. Calculer le prix
moyen d’un litre de ce punch ?
En s’inspirant de la première astuce, on calcule la moyenne en utilisant 4 L de jus d’orange, 3 L de jus de
goyave, 1 L de sucre de canne et 2 L de rhum (on a divisé par 4 tous les poids).
Les prix eux restent inchangés.
4 × 2 + 3 × 3 + 1 × 4 + 2 × 18 8 + 9 + 4 + 36 57
On a alors = = = 5, 7 € par litre de punch.
4 + 3 + 1+ 2 10 10
Un ité s de l on gu e u r
L’unité de longueur est le mètre : m. Un facteur 10 pour passer d’un multiple du mètre au multiple le plus proche.
km hm dam m dm cm mm
kilomètre hectomètre décamètre mètre décimètre centimètre millimètre
Un ité s d’a i re
L’unité de surface est le mètre carré : m². Un facteur 100 pour passer d’un multiple du m² au multiple le plus
proche. Les unités agricoles courantes sont l’hectare (ha), l’are (are) et le centiare (ca).
Un ité s de vol u m e
L’unité de volume est le mètre cube : m3. Un facteur 1 000 pour passer d’un multiple du m3 à son multiple le plus
proche. Pour les liquides, on utilise fréquemment le litre : L et 1 L = 1 dm3. Un facteur 10 pour passer d’un multiple
du litre à son multiple le plus proche.
Exemples : 2 548 dm3 = 2 548 L = 2,548 m3 5,6 hL = 560 L = 560 000 cm3
L’unité de masse est le kilogramme. 1 L d’eau pèse 1 kg. Un facteur 10 pour passer d’un multiple du kg au multiple le
plus proche.
T kg hg dag g dg cg mg
tonne
Un ité de te m ps
h min s
h 1 60 3 600
min 1/60 1 60
s 1/3600 1/60 1
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
h
2 3 4 5 6 10 12 15 20 30 60
min 30 20 15 12 10 6 5 4 3 2 1
Ce tableau est aussi valable entre les fractions de minutes et les secondes.
VITESSE
Form ul e de b a s e
D
Pour un déplacement à vitesse constante, on a : V = où V est la vitesse, D la distance parcourue et T la durée de
parcours. T
D
T=
• Si vous cherchez à calculer la durée d’un déplacement, vous utiliserez : V .
• Si vous cherchez à calculer la distance d’un déplacement, vous utiliserez : D= V × T .
volume
On utilise des formules équivalentes dans d’autres domaines : débit= .
durée
Il faut prendre garde au choix des unités. On a souvent la distance en km, le temps en heure et la vitesse en km/h.
Il ne sera pas rare de devoir sauter (astucieusement) d’une unité à une autre. La meilleure solution est souvent
d’utiliser le tableau d’équivalence entre fractions d’heure et minutes.
Exemple : Marc s’entraine pour une course cycliste. Aujourd’hui il a fait 960 m en 12 min. Déterminer sa vitesse
en km/h.
0.96
Ainsi la vitesse est : =
v 5 4,8 km/h.
= 0, 96 × =
1
5
Exemple : Marc parcourt 189 km en 2 h 15 min. Quelle est sa vitesse sur ce parcours ?
189 4
2 h 15 min = 2 h + ¼ h = 9/4 h. Ainsi la vitesse est : = 189 × = 21 × 4 = 84 km/h.
9 9
4
Vitesse moyenne
Attention : la vitesse moyenne n’est pas la moyenne des vitesses.
GEOMETRIE
Geom etri e él é m e nt a i re
La médiatrice d’un segment est perpendiculaire au La bissectrice d’un angle est la demi-droite issue du
segment et passe par son milieu. sommet et coupe l’angle en deux parties égales.
Tr iang l e s
Triangle quelconque
La somme des angles d’un triangle est égale à 180°.
b×h
Aire triangle =
2
Théorème de Thalès
AN AM MN
Si les droites (BC) et (MN) sont parallèles alors Réciproquement, si = = alors les droites
AN AM MN AC AB BC
= = . (BC) et (MN) sont parallèles.
AC AB BC
Triangle équilatéral
Un triangle équilatéral a trois angles
et trois côtés égaux.
Tr igonométrie
Losange
Dans un losange, les côtés sont parallèles deux à deux et tous égaux, les diagonales se coupent perpendiculaire-
ment en leur milieu.
a×b
A losange =
2
Rectangle
Dans un rectangle, les côtés sont parallèles et égaux deux à deux, les diagonales se coupent en leur milieu et ont la
même longueur.
A carré =c 2
Pcarré =4c
Tous droits réservés — Reproduction interdite 27
Lien entre parallélogramme, rectangle, losange et carré
Trapèze
(B+b)h
Dans un trapèze, deux côtés sont parallèles. A trapèze =
2
Cercles
Pcercle =2
ðR A cercle =
ðR 2
Volu m e s
Vpavé droit =L × l × h
Vcube =a 3
ðR 2 h
A sphère =4
ðR 2 Vcône =
3
4 3
Vsphère =
ðR
3
Pyramide
Cylindre
A base × h
Vcône =
3
2
Vcylindre
ðR h =
A cylindre =2
ðRh
D’ECRICOME
SUR LE SITE
www.ecricome.org
LE HUB
Centre de préparation aux concours
ANNALES - TRAINING - VIDEOS