ds1 20222023 Revu
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Les élèves ayant choisi le niveau normal font l’exercice "CCP" et le problème.
Les élèves ayant choisi le niveau supérieur font le problème et l’exercice "Centrale".
Exercice : "CCP"
Notations et définitions
- K désigne l’ensemble R ou C.
- Mn,m (K) est l’ensemble des matrices à n lignes et m colonnes et à coefficients dans K.
- Une suite (Mp )p∈N d’éléments de Mn,m (K) est dite convergente si toutes les suites coordonnées
(Mp (i, j))p∈N (1 6 i 6 n, 1 6 j 6 m) convergent. La limite est alors l’élément de Mn,m (K) dont les
coefficients sont les limites des suites coordonnées.
- On suppose dans cette partie n = 2 et, pour α ∈ [0, 1] et β ∈ [0, 1] avec (α, β) 6= (0, 0), on note :
1−α α
A(α, β) =
β 1−β
Il pourra être utile de noter λ = 1 − (α + β).
1. Montrer que 1 est valeur propre de A(α, β) et déterminer le sous-espace propre associé.
4. Montrer que, pour (α, β) 6= (1, 1), la suite (A(α, β)p )p∈N converge vers une
matrice L(α, β) que l’on précisera. Que se passe-t-il pour (α, β) = (1, 1) ?
n
X
∀i ∈ {1, . . . , n}, |ai,i | > |ai,j |
j=1
j6=i
1
2
n
X
|λ − ai,i | 6 |ai,j |
j=1
j6=i
On pourra être amené à utiliser un vecteur propre x et utiliser sa plus grande coordonnée en
valeurs absolues.
14. Montrer qu’une matrice A ∈ Mn (C) à diagonale strictement dominante est inversible.
Algèbre en commun.
Dans tout le problème, les espaces vectoriels considérés ont C, pour corps de base.
Etant donnés deux entiers naturels n et p non nuls, on note Mn,p (C) l’espace vectoriel des ma-
trices à n lignes et p colonnes et à coefficients dans C (et 0n,p sa matrice nulle) et Mn (C) celui des
matrices carrées à n lignes et à coefficients dans C (et 0n sa matrice nulle).
E = F ⊕ G, u(F ) ⊂ G et u(G) ⊂ F
Etant donnés deux endomorphismes u et v de E, on dit que v est semblable à u lorsqu’il existe
un automorphisme ϕ de E tel que v = ϕ ◦ u ◦ ϕ−1 .
On notera que dans ce cas u = ϕ−1 ◦ v ◦ (ϕ−1 )−1 , si bien que u est semblable à v.
On dit que u est nilpotent lorsqu’il existe un entier naturel n > 1 tel que un = 0.
(1) Montrer que si u vérifie la condition (C3) alors u est de trace nulle.
Jusqu’à la fin de cette partie, on suppose u de trace nulle et de déterminant non nul.
(3) Expliciter, à l’aide de vecteurs propres de u, une droite vectorielle D telle que u(D) 6⊂ D et
en déduire que u est échangeur.
Soient n et p deux entiers naturels non nuls. Soient A ∈ Mp,n (C) et B ∈ Mn,p (C).
u = a + b et a2 = b2 = 0
On se donne dans cette partie un C-espace vectoriel E de dimension finie, ainsi qu’un
endomorphisme f de E.
(11) Montrer que la suite (ker(v k ))k∈N est croissante pour l’inclusion.
Montrer qu’alors
[
ker(v p ) = ker(v k )
k∈N
et que p peut être choisi parmi les entiers pairs.
Dans la suite de cette partie, on fixe un entier naturel pair p donné par Q.(12) et l’on pose
[
Eλc (f ) = ker(v k ) = ker(v p )
k∈N
(14) Montrer que λ n’est pas valeur propre de l’endomorphisme induit par f sur Im(v p ).
Montrer que si Eλc (f ) n’est pas nul alors λ est l’unique valeur propre de
Théorème : tout endomorphisme nilpotent d’un espace vectoriel de dimension finie est
échangeur.
On se donne ici un endo non bijectif u d’un C-espace vectoriel E de dim finie.
u = a + b et a2 = b2 = 0
On fixe maintenant un entier pair p tel que E0c (u) = ker(up ), donné par la question 12.
(17) Montrer que le sous-espace vectoriel G = Im(up ) est stable par a et b et que
(18) En déduire que u est échangeur. On peut utiliser, entre autres, le résultat final de la partie C.
−u = ϕ ◦ u ◦ ϕ−1
(20) Montrer que ϕ2 possède une unique valeur propre λ. En déduire que les valeurs propres de
ϕ sont parmi α et −α, pour un certain nombre complexe non nul α.
On utilisera l’indécomposabilité de u ainsi que les résultats des questions 13 et 14.
(22) En déduire plus généralement que, pour tout endomorphisme d’un C-espace vectoriel de di-
mension finie, la condition (C3) implique la condition (C1).
Exercice : "Centrale"
ssi les coefficients des matrices concernées convergent tous ( base fixée en amont).
Soit a un endomorphisme de E.
Question 1.a
Question 1.b
(1, 1) est clairement élément du noyau qui, par théorème du rang, est de dimension 1. Ainsi
1 ∈ Sp(A(α, β)) et E1 (A(α, β)) = Vect((1, 1))
2. On vérifie que (α, −β) (non nul) est vecteur propre de A(α, β) associé à la vp 1 − α − β.
Les vecteurs (1, 1) et (α, −β) sont indépendants (déterminant −α − β < 0).1.0 +1.0
On a donc une base de vecteus propres ce qui montre que A(α, β) est diagonalisable avec 1.0
−1 1 α
P A(α, β)P = diag(1, λ) avec P =
1 −β
3. Montrons par récurrence que
∀p ∈ N, Ap = P diag (1, λp ) P − 1 = P Dp P −1
- Initialisation : c’est immédiat pour p = 0 car A0 = I2 .
1 αλp β + αλp α (1 − λp )
p 1 β α 1
A = =
α+β 1 −βλp 1 −1 α+β β (1 − λp ) α + βλp
1 β α
lim Ap = = L(α, β)
p→+∞ α+β β α
Si α = β = 1 alors λ = −1 et les suites coordonnées ne convergent pas.
0 1
On a A(1, 1) = et A(1, 1)2 = I2 . Ainsi A(1, 1)2p = I2 et A(1, 1)2p+1 = A(1, 1).
1 0
On a deux suites extraites qui convergent vers des limites différentes.
Soit i ∈ {1, . . . , n} tel que |xi | soit maximal (un nombre fini non nul de réels admet un maximum).
On a alors |xi | > 0 (car x, vecteur propre, est non nul) et comme (Ax)i = λxi , on a
X
(λ − ai,i ) xi = ai,j xj
j6=i
X X
|λ − ai,i | · |xi | 6 ai,j |xj | 6 |xi | ai,j
j6=i j6=i
X
|λ − ai,i | 6 ai,j
j6=i
14. Si, par l’absurde, A n’était pas inversible, on aurait (avec la question précédente)
X
ai,i = |ai,i | 6 ai,j
j6=i
ce qui contredit le caractère strictement dominant de la diagonale.2.0
1
f 2 (u) = (af (u) + f (u)a)
2
1
= (a(au + ua) + (au + ua)a)
4
1
= (au + 2aua + ua)
4
Soit k ∈ N∗ . Supposons :
f k = αk au + βk aua + γk ua
(avec α1 = γ1 1/2 et β1 = 0 ) On trouve alors :
1 k
f k+1 (u) = af (u) + f k (u)a
2
1
= (αk au + (αk + 2βk + γk ) aua + γk ua)
2
Ainsi
9
αk γk
αk+1 = , γk+1 =
2 2
αk γk
et βk+1 = + βk +
2 2
1 1
On en déduit αk = γk = 2k
et βk = 1 − 2k−1
.
k 1 1 1
f (u) = k au + 1 − k−1 aua + k ua
2 2 2
Ainsi lim f k = h, où h est le projecteur de L(E) défini par h(u) = aua.1.0 +1.0
k→+∞
Ir 0
On utilise une base B de E dans laquelle la matrice de a est A = par blocs.1.0
0 0
X Y
Soit u dans L(E), de matrice M = dans B, avec X dans Mr (K).
Z T
La matrice de f (u) est :2.0
1 Ir 0 X Y 1 X Y Ir 0
N1 = +
2 0 0 Z T 2 Z T 0 0
X Y /2
=
Z/2 0
2−k Y
k X
Celle de f (u) est Nk = On en déduit :
2−k Z 0
k 0 0
u ∈ Ker f ⇔ M =
0 T
où T ∈ Mn−r (K).
X 0
On voit que lim Nk = = AM A.
k→∞ 0 0
Donc lim f k = h, où h(u) = aua.1.0
k→∞
0 Y
On constate que : u ∈ Ker(h) ⇔ M = .
Z T
Ainsi dim Ker(h) = n2 − r2 , donc rang(h) = r2 .2.0
1 1
[N1 ]i,j = ([AM ]i,j + [M A]i,j ) = (λi + λj ) mi,j
2 2
Plus généralement, on a :
1
[Nk ]i,j = µki,j mi,j avec µi,j =
(λi + λj )
2
La suite des f k converge dans L(E) (evn de dim finie) si et seulement s’il en est ainsi de la suite
des Nk pour toute matrice M de la base canonique de Mn (K). Cela équivaut à :2.0
Conclusion : la suite des f k est convergente si et seulement si chacune des valeurs propres de A
est égale à 1 ou de module strictement inférieur à 1.
La suite de terme général f k converge alors dans L(E) vers le projecteur u 7→ δuδ, où la matrice
∆ de δ dans la base B est diagonale, avec [∆]i,i = 1 quand λi = 1, et [∆]i,j = 0 quand |λi | < 1.
Avec ces notations δ est la projection vectorielle de E sur le sous-espace Ker(a − Id) des vecteurs
invariants de a, parallèlement au sous-espace :4.0
M
Ker(a − λId)
λ∈Sp(A),|λ|<1
En particulier, si toutes les valeurs propres de A sont de module strictement inférieur à 1,
Éléments de correction
Barême en vert
Après lecture des copies, je donnerai de manière manuscrite les éléments de langage mal présentés.
(1) La trace est linéaire et donc pour tout u ∈ L(E), Tr(−u) = −Tr(u).
Elle est conservée par similitude.
Si u vérifie (C3) alors u ∼ −u et donc Tr(u) = −Tr(u) et la trace est donc nulle.
2
0n B
(4) Un cacul par blocs montre que = 0n+p
0p,n Op
0n 0n,p 0n B
M= + est somme de deux matrices de carré nul
A Op 0p,n Op
2.0 +1.0
Si F est nul, alors G = E et Im(u) = u(G) ⊂ F = {0}. u est l’endomrophisme nul qui
vérifie immédiatement (C2) et (C3). C’est la même chose si G = {0} (travailler alors avec
12
F = E).
(8) Si x ∈ Im(f ), il existe y tel que x = f (y) et donc f (x) = f 2 (y) = 0. Ainsi x ∈ ker(f ).
(9) Soit x ∈ ker(a) ∩ ker(b). On a u(x) = a(x) + b(x) = 0 et comme u est injective x = 0.
Cours !
u est échangeur
D. Intermède : un principe de décomposition
(11) Soit k ∈ N . Si x ∈ ker(v k ) alors v k+1 (x) = v(v k (x)) = v(0) = 0 et donc x ∈ ker(v k+1 ).
Or, elle est majorée (par dim(E)). Elle est donc convergente.
Comme elle est constituée d’entiers, elle finit par stationner (puisque pour des indices
grands, deux termes consécutifs de la suite sont des entiers distants de moins de 1/2). En
notant p le rang à partir duquel la suite stationne, on peut conclure que 1.0+2.0+0.5
13
ker(v p ) = ker(v k )
S
k∈N
Si p convient, tout entier plus grand que p convient aussi et on peut supposer p pair
quitte à le changer en p + 1.
(13) Les noyaux étant emboîtés, Eλc (f ) = ker(v p ) ⊂ ker(v 2p ). Mais ker(v 2p ) est aussi inclus dans
l’intersection des ker(v k ) pour k > p et donc a fortiori dans ker(v p ). Ainsi,2.0 +2.0+1.0+1.0
Attention le résultat est dans l’énoncé, donc...
Eλc (f ) = ker(v 2p )
Soit x ∈ Eλc (f ) ∩ Im(v p ). Il existe y tel que x = v p (y) et v 2p (y) = v p (x) = 0 montre que
y ∈ ker(v 2p ) = ker(v p ) et donc que x = v p (y) = 0. On a donc Eλc (f ) ⊕ Im(v p ).
Par théorème du rang, les sommes des dimensions de Eλc (f ) = ker(v p ) et Im(v p ) vaut dim(E).
La somme précédente est donc égale à E et nos espaces sont supplémentaires dans E.
Si x ∈ Im(v p ), x s’écrit x = v p (y) et v(x) = v p (v(y)) ∈ Im(v p ). On peut évoquer que les
polynômes de f commutnent avec f et Id,voir stabilisation des sep, cours !
Si x ∈ ker(v p ) alors v p (v(x)) = v(v p (x)) = v(0) = 0 et donc v(x) ∈ ker(v p ).
(14) Supposons, par l’absurde, que λ soit valeur propre de f |Im(vp ) . Il existe alors x ∈ Im(v p ) non
nul tel que f (x) = λx c’est à dire tel que x ∈ ker(v) ⊂ Eλc . Comme Eλc (f ) et Im(v p ) sont en
somme directe, x = 0 et ceci est contradictoire.2.0 +2.0
(X − λ)p annule f |Eλc (f ) (par définition de Eλc (f )). La seule valeur propre possible pour
f |Eλc (f ) est donc λ. Car les vp sont à ramasser ds les racines des poly...
λ∈
/ Sp(f |Im(vp ) ) et Sp(f |Eλc (f ) ) ⊂ {λ}
Si Eλc (f ) n’est pas réduit à {0} (ce qui revient à dire que λ est valeur propre de f ), l’inclusion
est une égalité (par exemple car dans un C espace de dimension > 1 tout endomorphisme a
au moins une valeur propre).
(15) Les seules valeurs propres possibles de f sont λ et µ. Comme on est dans un C-espace, il
existe des entiers q et r tels que
χf = (X − λ)q (X − µ)r
q et r peuvent être nuls si λ ou µ n’est pas valeur propre mais q + r = dim(E).
Notons g = f |Im(vp ) . Un polynôme annulant f annule g et le théorème de Cayley-Hamilton
indique que
(g − λId)p ◦ (g − µId)r = 0
14
La question précédente indique que (g − λId)p est inversible (car λ n’est pas valeur propre
de g) et en composant par l’inverse, on a donc
(g − µId)r = 0
Voir autre corrigé, plus clair.6.0
(16) u2 = a2 + a ◦ b + b ◦ a + b2 = a ◦ b + b ◦ a. Ainsi
a ◦ u2 = a2 ◦ b + a ◦ b ◦ a = a ◦ b ◦ a = a ◦ b ◦ a + b ◦ a2 = u2 ◦ a
On procède de même avec u2 ◦ b.2.0
a ◦ u2 = u2 ◦ a et b ◦ u2 = u2 ◦ b
(17) Comme a commute avec u2 , il commute avec toutes les itérées de u2 et donc avec up puisque
p est pair. Ainsi, si x ∈ Im(up ), il existe y tel que x = up (y) et a(x) = a ◦ up (y) = up ◦ a(y) ∈
Im(up ). Im(up ) est donc stable par a et de même il est stable par b.2.0 +1.0
aG et bG sont ainsi des endomorphismes induits ! de G et a2G = (a2 )G = 0 (idem pour b).
a2G = b2G = 0
(18) Notons F = E0c (u). F et G sont stable par u, et la restriction uF de u à F est nilpotente (0
est la seule valeur propre avec la question 14) et la restriction uG de u à F est inversible (0
n’est pas seule valeur propre avec la question 14).
D’après le résultat admis, il existe une décomposition F = F1 ⊕ F2 telle que u(F1 ) ⊂ F2 et
u(F2 ) ⊂ F1 .
Avec la question précédente, uG vérifie (C2) et comme c’est un automorphisme, la partie C
s’applique.4.0
Il existe une décomposition G = G1 ⊕ G2 telle que u(G1 ) ⊂ G2 et u(G2 ) ⊂ G1 .
En posant H1 = F1 ⊕ G1 et H2 = F2 ⊕ G2 (le caractère direct des somme découle de F ⊕ G),
on a alors E = H1 ⊕ H2 (on décompose sur F et G et on décompose chaque composante) et
u(H1 ) ⊂ H2 , u(H2 ) ⊂ H1 . Ainsi c’est plus dur, il faut visualiser les ss décompositions puis
rassembler...
u est échangeur
F. La condition (C3) implique (C1)
15
(19) Composons l’identité −u = ϕ ◦ u ◦ ϕ−1 à droite par ϕ−1 et à gauche par ϕ. On obtient
u = −ϕ ◦ u ◦ ϕ−1 = ϕ2 ◦ u ◦ ϕ−2
On en déduit en composant à droite par ϕ2 que 1.0
ϕ2 ◦ u = u ◦ ϕ2
(20) Comme on est dans un C-espace, ϕ2 possède une valeur propre λ au moins. La question 13
donne E = Eλc (ϕ2 ) ⊕ Im(v p ) (où v = ϕ2 − λIE et pour un bon entier p). F = Eλc (ϕ2 ) et
G = Im(v p ) sont des supplémentaires de E stables par ϕ2 .
Soit x ∈ F ; on a ϕ2p (x) = 0 et comme u commute avec ϕ2 , ϕ2p (u(x)) = u(ϕ2p (x)) = 0.
Ainsi, F est stable par u.
Soit x ∈ G ; on a l’existence de y tel que v p (y) = x. Comme u et v = ϕ2 − λIE commutent,
on a u(x) = v p (u(y)) ∈ G et G est stable par u.
On a vu que ϕ2 ◦ u ◦ ϕ−2 = u et comme F et G sont stables par tous les endomorphismes
mis en jeu, cette relation reste vraie pour les endomorphismes induit sur F et G. L’indécom-
posabilité de u indique que F ou G est nul et comme F ne ’est pas, c’est que G l’est et que
F = E. Ainsi, ϕ2 est annulé par (X − λ)p et ne possède que λ comme valeur propre.
Si µ est valeur propre de ϕ et x vecteur propre associé alors ϕ(x) = αx et donc ϕ2 (x) =
α2 = x et donc α2 = λ.5.0
(21) ϕ admettant au plus deux valeurs propres, on peut lui appliquer la question 15 et obtenir
E = Eαc (ϕ) ⊕ E−α
c
(ϕ)
Notons que l’hypothèse (C3) donne −u ◦ ϕ = ϕ ◦ u et donc 4.0
u est échangeur
(22) On procède par récurrence forte sur la dimension de l’espace. ? ? ?