Probl Mes (Limites & Continuit ) - Correction
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PROBLEME 1
1 ∀( x, y) ∈ R2 ,
f ( x ) + f (y) − 2b
x+y x+y f ( x ) + f (y) g( x ) + g(y)
g = f −b = −b = = .
2 2 2 2 2
2 a g(0) = f (0) − b = 0.
−x + x
b ∀ x ∈ R, g(− x ) + g( x ) = 2g = 2g(0) = 0.
2
Donc, ∀ x ∈ R, g(− x ) = − g( x ).
nm o
3 a i X0 = | m ∈ N = {m | m ∈ N} = N.
20
( n + 2) + n
ii ∀n ∈ N, g(n + 2) + g(n) = 2 g = 2 g ( n + 1).
2
Donc ( g(n))n∈N est arithmétique.
1
d Par passage à la limite dans l’égalité de la question précédente, et par continuité
de la fonction g, on obtiendra g( x ) = ax.
6 ∀ x ∈ R, f ( x ) = g( x ) + b = ax + b.
2
PROBLEME 2
car ϕ(1) = 2. Donc, ϕ(R∗+ ) = [2, +∞[, et par imparité ϕ(R∗− ) = ]−∞, −2].
D’où, ϕ(R∗ ) = ] − ∞, −2] ∪ [2, +∞[.
∗ 1 1 1
3 a ∀ x ∈ R , ( f ◦ ϕ)( x ) = f x + = f (x) + f = f (x) + = ( ϕ ◦ f )( x ).
x x f (x)
b Soit y ∈ R tel que |y| > 2. Puisque ϕ(R∗ ) = ]−∞, −2] ∪ [2, +∞[, alors il
existe x ∈ R∗ tel que y = ϕ( x ). Donc, | f (y)| = |( f ◦ ϕ)( x )| = | ϕ( f ( x ))| > 2.
1 1 1 1 1
c x ∈ − 1 , 1 ⇒ |x| 6
h i
⇒ >2 ⇒ f >2 ⇒ > 2 ⇒ | f ( x )| 6 .
2 2 2 x x | f ( x )| 2
4 a Soit n ∈ N∗ . Puisque Q est dense dans R, il existe rn ∈ Q tel que
1 1 1
x− < rn < x + i.e. | x − rn | 6 .
2n 2n 2n
1 1
b Soit n ∈ N∗ . On a | x − rn | 6 . Donc, |n( x − rn )| 6 .
2n 2
1
Alors, d’après ce qui précède, | f (n( x − rn ))| 6 .
2
1
Or f (n( x − rn )) = n f ( x − rn ), alors | f ( x − rn )| 6 .
2n
1
Donc, | f ( x ) + f (−rn )| 6 .
2n
1
Enfin, puisque −rn ∈ Q alors f (−rn ) = −rn . D’où, | f ( x ) − rn | 6 .
2n
1
c Puisque lim = 0, alors, d’après a , lim rn = x, et d’après b , lim rn = f ( x ).
2n
D’où, par unicité de la limite, f ( x ) = x. On conclut que f est l’identité de R.
3
PROBLEME 3
n −1
1 a Soit ( x, y) ∈ R+2 tel que x < y. On a x n − yn = ( x − y) ∑ xk yn−1−k < 0.
k =0
Donc, ϕ( x ) < ϕ(y). D’où, f est strictement croissante.
b Soient x et y deux points de A( x0 ) avec x < y et soit z ∈ R tel que x < z < y.
On a yn 6 x0 . Donc ϕ(y) 6 x0 . Comme ϕ est croissante alors ϕ(z) 6 ϕ(y) 6 x0 .
Donc z ∈ A( x0 ). D’où A( x0 ) est un intervalle.
2 A ( x0 ) 6 = ∅ 0 ∈ A ( x0 ).
car
n n
n k n k
3 a (1 + x0 ) = ∑
n
x0 = 1 + nx0 + ∑ x > 1 + nx0 .
k =0
k k =2
k 0
b ∀y ∈ A( x0 ), yn 6 x0 6 nx0 6 1 + nx0 6 (1 + x0 )n .
Donc, ∀y ∈ A( x0 ), ϕ(y) 6 ϕ(1 + x0 ).
Comme ϕ est strictement croissante, alors ∀ y ∈ A ( x0 ), y 6 1 + x0 .
Ainsi A( x0 ) est majoré par 1 + x0 .
c A( x0 ) admet une borne supérieure.
5 a ∀ k ∈ N∗ , vk > c. Donc ∀ k ∈ N∗ , vk ∈
/ A ( x0 ) i.e. vnk > x0 .
4
PROBLEME 4
d Puisque f est continue, alors f (R) est un intervalle. Or f n’est pas majorée ni
minorée, donc f (R) = R. Ainsi, f est surjective et puisqu’elle est injective, elle
est bijective.
5 a Soit ( a, b) ∈ F2 avec a 6 b.
Puisque f est croissante alors f ([ a, b]) ⊂ [ f ( a), f (b)] = [ a, b].
Donc d’après 3 , ∀ x ∈ [ a, b], f (x) = x i.e. [ a, b] ⊂ F.
D’où, F est un intervalle.
5
b On note a ∈ R l’extrémité gauche de F et b ∈ R l’extrémité droite de F.
Il s’agit de démontrer que ( a, b) ∈ F2 . On a ∀ x ∈ ] a, b[ , f ( x ) = x.
Donc, par passage à la limite quand x tend vers a+ , puis quand x tend vers b− ,
et grâce à la continuité de f , on a f ( a) = a et f (b) = b.
Donc, ( a, b) ∈ F2 . D’où, F est un segment.
6 a Montrons que ∀n ∈ N, x n = x n +1 .
On a x0 ∈ F alors f ( x0 ) = x0 , et donc x0 = f −1 ( x0 ) i.e. x0 = x1 .
Soit n ∈ N, et supposons xn = xn+1 . Alors, f −1 ( x n ) = f −1 ( x n +1 ) i.e.
x n +1 = x n +2 . Donc, ∀n ∈ N, x n = x n +1 . D’où, ( xn ) est constante.
b Puisque x0 ∈
/ F alors f ( x0 ) 6= x0 . Supposons par exemple f ( x0 ) > x0 .
Donc, x0 > f −1 ( x0 ) car f −1 est strictement croissante.
Donc x0 > x1 . Soit n ∈ N et supposons xn > xn+1 . Donc, f −1 ( x n ) > f −1 ( x n +1 )
i.e. x n +1 > x n +2 . D’où, ( xn ) est strictement décroissante.
Si f ( x0 ) < x0 , on montre de la même manière que ( xn ) est strictement croissante.
c On a ∀n ∈ N, | xn − x | = | f ( xn+1 ) − f ( x )| > | xn+1 − x |. D’où le résultat.
d Puisque la suite (| xn − x |) est décroissante alors ∀n ∈ N, | x n − x | 6 | x0 − x |.
Par suite, ∀n ∈ N, | xn | 6 | x | + | x0 − x |. Ainsi, ( xn ) est bornée. Comme elle
est monotone elle converge.
e On a ∀n ∈ N, x n = f ( x n +1 ).
Comme f est continue alors par passage à la limite, ` = f (`). Donc ` ∈ F.
◦
Supposons par l’absurde que ` ∈ F. Il existe alors ε > 0 tel que ]` − ε, ` + ε[ ⊂ F.
Comme xn → ` alors à partir d’un certain rang xn ∈ ]` − ε, ` + ε[ donc xn ∈ F
i.e. f ( xn ) = xn i.e. xn = f −1 ( xn ) i.e. xn = xn+1 , ce qui est absurde car ( xn ) est
strictement monotone.
6
PROBLEME 5
1
1 a f est dérivable sur R∗+ et ∀ x ∈ R∗+ , f 0 (x) = + 1 > 0.
x
Donc, f est strictement croissante.
Par suite, f réalise une bijection de R∗+ sur f (R∗+ ). Puisque f est continue et
strictement croissante sur R∗+ alors f (R∗+ ) = lim f , lim f . Or lim f = −∞
0 +∞ 0
et lim f = +∞, donc f (R∗+ ) = R. D’où, f réalise une bijection de R∗+ sur R.
+∞
c Pour tout n ∈ N∗ , l’équation ( En ) est équivalente à f ( x ) = n.
Puisque f est une bijection de R∗+ sur R, alors cette dernière équation admet une
et une seule solution xn ∈ R∗+ .
7
xn
d Puisque lim = 1, alors lim un − 1 = 0. D’où, lim un = 1.
n
x x xn
n n
ln ln −1
e n (1 − u n ) = − n × n = −n × n × n
ln(n) xn ln(n)
−1
n
x x
n n
ln n − xn ln
= x n × = x n × un .
n
−1 ln(n) n
−1
n n
x
n
xn ln
Puisque → 1, alors x n → 1.
n n
−1
n
De plus, un → 1. D’où, n(1 − un ) → 1.
8
PROBLEME 6
Partie I
1 Pour x = y = 0, on a 2 f (0) = 4 f (0) i.e. 2 f (0) = 0. Donc, f (0) = 0.
2 Soit x ∈ R. D’après (∗), on a f (0 + x ) + f (0 − x ) = 2( f (0) + f ( x )).
Donc, f (− x ) = f ( x ).
3 a • Pour n = 0, on a f (0a) = f (0) = 0 = 02 f ( a).
Pour n = 1, on a f (1a) = f ( a) = 12 f ( a).
• Soit n ∈ N et supposons f (na) = n2 f ( a) et f ((n + 1) a) = (n + 1)2 f ( a).
Alors, d’après (∗), f ((n + 1) a + a) + f ((n + 1) a − a) = 2( f ((n + 1) a) + f ( a)).
Donc f ((n + 2) a) = 2 f ((n + 1) a) − f (na) + 2 f ( a)
= 2( n + 1)2 f ( a ) − n2 f ( a ) + 2 f ( a )
= (2n2 + 4n + 2 − n2 + 2) f ( a)
= (n2 + 4n + 4) f ( a) = (n + 2)2 f ( a).
b Puisque f est paire, alors ∀n ∈ Z, f (na) = f (|n| a) = |n|2 f ( a) = n2 f ( a).
∗ a 1 2 a 1 a 1
c ∀q ∈ N , f = 2 ·q f = 2 f q· = 2 f ( a ).
q q q q q q
p
d Si r = ∈ Q, où ( p, q) ∈ Z × N∗ , alors
q
p2
pa 1
f (ra) = f = 2 f ( pq) = 2 f ( a) = r2 f ( a).
q q q
e Soit x ∈ R. Puisque Q est dense dans R, il existe une suite (rn ) de rationnels
telle que rn → x. Or, d’après la question précédente, ∀n ∈ N, f (rn ) = rn2 f ( a).
Donc, par continuité de f et par passage à la limite, on a f ( x ) = x 2 f ( a ).
4 On pose λ = f (1). Pour a = 1 on a ∀ x ∈ R, f ( x ) = f ( x × 1) = x2 f (1) = λx2 .
5 D’après ce qui précède, si f ∈ F , il existe λ ∈ R tel que ∀ x ∈ R, f ( x ) = λx2 .
Réciproquement, s’il existe λ ∈ R tel que ∀ x ∈ R, f ( x ) = λx2 , alors
∀( x, y) ∈ R2 , f ( x + y ) + f ( x − y ) = λ ( x + y )2 + λ ( x − y )2
= λ(2x2 + 2y2 ) = 2(λx2 + λy2 ) = 2( f ( x ) + f (y)).
f : R → R , x 7→ λx2 | λ ∈ R .
Donc f ∈ F . Ainsi, F=
Partie II
1 Pour x = y = 0 on a g (0)2 = g (0)4 i.e. g(0)2 ( g(0) − 1)( g(0) + 1) = 0.
Donc g(0) ∈ {−1, 0, 1}.
2 Pour tout a ∈ {−1, 0, 1}, la fonction g : R → R, x 7→ a est un élément de G qui
vérifie g(0) = a.
9
3 Si g(0) = 0, alors ∀ x ∈ R, g( x + x ) g( x − x ) = ( g( x ) g( x ))2 i.e. g(2x ) g(0) = g( x )4
i.e. 0 = g( x )4 . Donc, ∀ x ∈ R, g( x ) = 0. D’où, g = 0. La réciproque est évidente.
4 Supposons qu’il existe x ∈ R tel que g( x ) = 0.
x
Montrons par récurrence que ∀n ∈ N, g n = 0.
2 x
Pour n = 0, le résultat est vrai par hypothèse. Soit n ∈ N et supposons g n = 0.
2
Alors,
x x x x x x x 2
0 = g n g (0 ) = g n +1 + n +1 g n +1 − n +1 = g n +1 g n +1 .
2 2 2 2 2 2 2
x x
Donc g n+1 = 0. Récurrence établie. D’où ∀n ∈ N, g n = 0.
2 2
Par continuité de g et par passage à la limite quand n tend vers +∞, on a g(0) = 0.
Par suite, d’après la question précédente, g = 0.
5 Si g n’est pas identiquement nulle, alors, d’après ce qui précède, elle ne s’annule
jamais. Or g est continue sur R, donc elle garde un signe constant.
Par suite, g(R) ⊂ R∗+ ou g(R) ⊂ R∗− .
6 Si g n’est pas identiquement nulle, la fonction f = ln | g| est définie et continue sur R.
De plus, ∀( x, y) ∈ R2 , f ( x + y) + f ( x − y) = ln | g( x + y)| + ln | g( x − y)|
= ln | g( x + y) g( x − y)|
= ln |( g( x ) g(y))2 |
= 2(ln | g( x )| + ln | g(y)|)
= 2( f ( x ) + f (y)).
Donc, d’après la partie I, il existe λ ∈ R tel que ∀ x ∈ R, f ( x ) = λx2 .
2
D’où, ∀ x ∈ R, | g( x )| = eλx . Or g(R) ⊂ R∗+ ou g(R) ⊂ R∗− , alors soit
2 2
que ∀ x ∈ R, g( x ) = eλx ou que ∀ x ∈ R, g( x ) = −eλx .
2 2
Réciproquement, la fonction nulle et les fonctions x 7→ eλx et x 7→ −eλx de R dans
2
R, où λ ∈ R, sont des éléments de G . En effet, si ∀ x ∈ R, g( x ) = eλx , alors
2 2 2 +( x − y )2 )
∀( x, y) ∈ R2 , g( x + y) g( x − y) = eλ( x+y) eλ( x−y) = eλ(( x+y)
2 + λy2 ) 2 2
= e2(λx = (eλx eλy )2 = ( g( x ) g(y))2 .
2
On fait un calcul analogue si ∀ x ∈ R, g( x ) = −eλx .
Le cas de la fonction nulle est trivial.
n o
λx2 R
Ainsi, G = x 7→ ε e ∈ R | ε ∈ {−1, 0, 1} et λ ∈ R .
Partie III
1 D’après le calcul fait dans la partie I, on a h(0) = 0 et h est paire.
x h( x )
Soit x ∈ R. Montrons, par récurrence sur n, que, ∀n ∈ N, h n = 2n .
2 2
• Pour n = 0, le résultat est trivial.
10
x h( x )
• Soit n ∈ N et supposons n
h = 2n . Alors
2 2
x 1 x x 1 x x x x
h n +1 = h n +1 + h n +1 = h + + h −
2 2 2 2 4 2n +1 2n +1 2n +1 2n +1
1 x 1 1 h( x ) h( x )
= h n + h (0) = = .
4 2 4 4 22n 22 ( n + 1 )
x h( x )
Récurrence établie. D’où, ∀n ∈ N, h n = 2n .
2 2
Soit maintenant β > 0.
β β
Puisque α > 0 et −→ 0, il existe n ∈ N tel que 6 α.
2n n→+∞ 2n
Donc, ∀ x ∈ R,
x β β x
x ∈ [− β, β] ⇒ n ∈ − n , n ⊂ [−α, α] ⇒ |h( x )| = 22n h n 6 22n A.
2 2 2 2
D’où, h est bornée sur [− β, β].
11
3.2n − 1 3.2n − 1
4 Soit ε > 0. Puisque M −→ 0, il existe n ∈ N tel que, M 6 ε.
4n n→+∞ 4n
1
On pose η = . Soit x ∈ [−η, η ]. On pose u = 2n x. Alors u ∈ [−1, 1]. Donc
2n
u 3.2n − 1
|h( a + x ) − h( a)| = h a + n − h( a) 6 M 6 ε.
2 4n
D’où h est continue en a.
12
PROBLEME 7
13
3 • On note k1 ∈ R+ et k2 ∈ R+ respectivement les rapports de f et g.
Il existe ( M1 , M2 ) ∈ R2+ tel que | f | 6 M1 et | g| 6 M2 . Pour tout ( x, y) ∈ R2 , on a
= My − Mp + ( p − n) M + Mn − Mx = M(y − x ) = M|y − x |.
D’où, f est M-lipschitzienne. Ainsi, f ∈ L.
14
Donc,
N N N
∑λ n
f ( x + na) − ∑λ n
f (y + na)) = ∑ λn ( f (x + na) − f (y + na))
n =0 n =0 n =0
N
k
6 ∑ |λ|n | f (x + na) − f (y + na)| 6 1 − |λ| |x − y|.
n =0
k
D’où, par passage à la limite, | F ( x ) − F (y)| 6 | x − y |. Ainsi, F ∈ L.
1 − |λ|
Montrons que F vérifie (1). Soit x ∈ R. On a
N N
F ( x ) − λF ( x + a) = lim ∑λ n
f ( x + na) − lim λ ∑ λn f (x + a + na)
n =0 n =0
!
N N
= lim ∑ λn f (x + na) − λ ∑ λn f (x + a + na)
n =0 n =0
!
N N
= lim ∑ λn f (x + na) − ∑ λn+1 f (x + (n + 1)a)
n =0 n =0
= lim f ( x ) − λ N +1 f ( x + ( N + 1) a) .
λ N +1 f ( x + ( N + 1 ) a ) 6 | λ | N +1 ( A | x + ( N + 1 ) a | + B )
15
Soit x ∈ R et N ∈ N.
N N
∑ λn cos( x + na) + i ∑ λn sin(x + na)
n =0 n =0
N N
= ∑λ n
cos( x + na) + i sin( x + na) = e ix
∑ (λeia )n
n =0 n =0
1 − (λeia )n+1
= eix car λeia 6= 1 puisque |λeia | = |λ| 6= 1.
1 − λeia
Or |λeia | = |λ| < 1, alors lim(λeia )n+1 = 0, et par suite,
!
N N
eix
lim ∑ λn cos( x + na) + i ∑ λn sin( x + na) =
n =0 n =0 1 − λeia
eix (1 − λe−ia )
=
(1 − λ cos a)2 + (λ sin a)2
eix − λei( x−a) )
= .
(1 − λ cos a)2 + (λ sin a)2
N
cos x − λ cos( x − a)
Donc, si f = cos, alors F ( x ) = lim ∑ λn cos(x + na) = 1 − 2λ cos a + λ2
,
n =0
N
sin x − λ sin( x − a)
et si f = sin, alors F ( x ) = lim ∑ λn sin(x + na) = 1 − 2λ cos a + λ2
n =0
16