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Chapitre I : le marché comme outil de régulation

économique :

A) Le marché comme lien d’échange organisé.

1) Qu’est ce que le marché ?

Q°1 - Les caractéristiques à tous les marchés sont : Il y a un vendeur qui


fait une offre et un acheteur qui faite une demande. Il y a des règles.

Q°2 - Les différents types de marchés sont : marché alimentaire,


marché automobile, marché en ligne.

Q°3 - Le but de l’acheteur est d’acheter le moins cher possible alors


que celui du vendeur est de vendre ses produits le plus cher possible.

Q°4 - Le marché est un lieu réel ou fictif où se rencontrent une offre et


une demande dans le but de faire un échange à un prix de marché
pour une quantité déterminée.
2) Le rôle des institutions :

Pas de marché sans institution.

Institutions : Ensemble de règles qui permet le fonctionnement de tel


ou tel unité de la société.
Le marché n’est pas un phénomène naturel, c’est une construction
sociale.
Le droit de propriété est une règle (article 2 de la constitution) qui
garanti l’existence du marché. L’existence de la monnaie facilite les
transactions sur le marché.

Brevet (sur
l’inovation)
2

Investissem Monopole
ent de temporaire
3
1 départ

Profits très
Rentabilisati
4 élevés
on de
l’innovation
Seule5la concurrence
de départ
garantie que le prix soit
fixé par le
marché :
L’atomicité correspond au fait qu’il existe une multitude
d’offreurs et d’acheteurs. Aucun acteur n’est assez puissant
pour influencer les prix.
L’homogénéité signifie que les produits sont tous similaires
donc seul le prix constitue le critère de choix des
consommateurs.
La libre entrée signifie que n’importe quel acteur de
l’économie peut rentrer n’importe quand sur n’importe quel
marché. Il n’existe pas de barrière à l’entrée.
Une information parfaite: chaque agent est capable d’adopter les
comportements les plus rationnelles donc les plus efficaces.
Mobilité des facteurs de production : facteur travail et facteur capital
peuvent bouger dune activité économique à une autre.

II. Comment le marché parvient il à l’équilibre ?

A) L’équilibre sur le marché.

La relation entre demande et prix.

prix Si le prix augmente, la demande


baisse.
Si le prix baisse, la demande
augmente.
C’est la corrélation négative entre
demande et prix.

Quantité
Contrainte budgétaire :Chaque ménagedemandée
à un budget
limité donc l’achat à prix élevé d’un bien oblige à
renoncer à la consommation d’autres biens ou services.

Il existe des exceptions :

• Pour les produits de première nécessité et les produits addictifs


l’augmentation du prix ne signifie pas une baisse de la demande.
• Pour les produits de luxes la demande ne diminue pas quand le
prix augmente. Au contraire, si le prix baisse la demande baisse
aussi.

La relation entre prix et offre.

Quand le prix augmente, l’offre augmente.


Quand le prix baisse, l’offre baisse.
C’est une corrélation positive entre prix et offre.

prix

Quantité
offerte
La représentation du marché :

Le marché est un lieu réel ou fictif où se rencontrent une offre et une


demande dans le but de faire un échange à un prix de marché pour
une quantité déterminée.
2)Les différentes structures de marché.

Homogénéité des produits :

Absence Homogénéité
d’homogénéité
Un offreur Monopole Monopole
Quelques offreurs Oligopole Oligopole
Une multitude Concurrence CPP
d’offreurs monopolistique

Un monopole se caractérise par un offreurs face à une multitude de


demandeurs. Comme la SNCF par exemple.
Le fait d’avoir le monopole donne au monopoleur un pouvoir de
marché (il à une influence sur les prix). Le monopole n’est pas une
structure de marché satisfaisante car les consommateurs sont les
grands perdants de cette situation.

L’oligopole c’est quelques quelques offreurs face à une multitude


d’acheteurs. Comme les grande marques de téléphones : Apple,
Samsung, etc …

Une CCP c’est quand il y a une multitude d’offreurs pour une


multitude d’acheteurs. Comme les opérateurs téléphoniques : SFR,
Orange, Free, etc …

La concurrence monopolistique se caractérise par une multitude


d’offreurs et une différenciation des produits.

Absence d’homogénéité des produits : jus de fruit :

- Pur jus
- Quantité
- Verre, plastique
- Pulpe
- Bio ou pas.
- Sucre ajoutés
La concurrence monopolistique ce caractérise par un e situation de
concurrence, puisqu’il existe une multitude d’offreurs. Mais chaque
offreur dispose d’un quasi monopole sur le marché en fonction des
caractéristiques du produit.

Q°1. Il y a une corrélation négative entre prix et demande. C’est la


contrainte budgétaire.
Q°2. La courbe est décroissante.
Q°3. Plus la pante de la demande est verticale plus la variation des
prix s’accompagne d’une faible variation de la demande, on appelle
ça une demande inélastique du prix.
Le marché de la drogue et des biens de première nécessité ont une
demande inélastique au prix.

Plus la pante de la demande est horizontale plus la variation des prix


s’accompagne d’une forte variation de la demande.

Q°1. Il y a une corrélation positive entre prix et demande. Ils font plus
de bénéfices.
Q°2. La courbe est croissante.

Questions :

Le cachet des mannequins est en baisse.

Elle est payé par la marque pour laquelle elle travaille.

L’intérêt de la marque est que leurs vêtements se vendrons mieux s’ils


sont portés par des mannequins, c’est comme de la pub.
C’est à cause du retour de grands mannequins à la fashion week.
Loi de l’offre et de la demande :

• O > D → Prix+ ce qui engendre des modifications de l’offre et de


la demande jusqu’à une équilibre.
• D > O → Prix- ce qui engendre des modifications de l’offre et de
la demande jusqu’à une équilibre.

La variation des prix permet la régulation du marché. En cas de


déséquilibre entre offre et demande sur une marché la variation des
prix permet de restaurer l’équilibre donc la situation la plus
satisfaisante sur le marché. Donc personne ne devrait intervenir sur
les prix.

Surplus du
consomateur

Surplus du
producteur

D
les acheteurs étaient prêt à acheter le produit plus cher qu’il ne l’est
vraiment donc ils sont gagnants. C’est la différence entre le prix
auquel l’acheteur est prêt à acheter la marchandise et le prix auquel il
l’achète vraiment.

Le surplus du producteur est la différence entre le prix auquel il était


prêt à vendre sa production et le prix auquel il va vraiment le vendre.
On constate qu’à l’équilibre il a une répartition du surplus équitable
entre consommateur et producteur.

prix
Perte sèche

Surplus du
consommateur

Surplus
du

Quantité

prix
Perte sèche

Surplus du
consommateur

Surplus du
producteur

Quantité
L’équilibre correspond donc à la situation optimale à savoir la
satisfaction la plus grande possible pour les producteurs et les
consommateurs car en ce point le surplus global est le plus élevé.

II) Quelles sont les principales sources de pouvoir de marché.

A) Les courses du monopole.

Une barrière à l’entrée est un obstacle à l’entrée de nouveaux


arrivants sur le marché.

1) le monopole naturel.

Économies d’échelle :

Coût fixe c’est l’ensemble des dépenses indépendantes de la quantité


produite comme Les machines, locaux.
Coût variable ensemble des dépenses proportionnel a la quantité
produite.
Quantité Coût fixe Coût Coût total CM
produite variable
1 1000000 1 1000001 1000001
1000 1000000 1000 1001000 1001
1000000 1000000 1000000 2000000 2
10000000 1000000 10000000 11000000 1,1
100000000 1000000 100000000 1001000000 1,001
0 0
A mesure que la quantité produite augmente le coût unitaire diminue.
L’entreprise fait des économies a mesure que le quantité produite
augmente.

On parle de monopole naturel quand il est le plus rentable sur le


marché.

Les prix sont stables mais à un niveau élevé.

Un oligopole c’est peu d’offreurs pour beaucoup d’acheteurs. Dans le


cadre d’un oligopole il existe deux cas de figure : la guerre
commerciale où les entreprises entrent en conflit pour obtenir la plus
grande part du marché possible.
Le deuxième cas de figure est la coopération, l’entente.
Si les deux entreprises s’entendent sur des prix élevés (supérieur au
prix d’équilibre) alors chacune en retire un plus gros gain. Les
entreprises ont donc intérêt à coopérer et augmenter les prix au
détriment des acheteurs.

Ex1)

C’est l’organisation des pays exportateurs de pétrole.

Limiter l’offre pour maintenir les prix élevés.

Un cartel est synonyme d’une organisation, une assemblée.

2)
La stratégies des fabricant d’(électroménager est de se réunir en
secret pour s’entendre sur la hausse des prix.

Ils font ça pour faire plus de bénéfices au détriment des


consommateurs.

Oui on peut parler de cartel de fabricants d’électroménager car ils


constituent une organisation, une entente.

II) La politique de concurrence.

A) La purification d’une politique de concurrence.

En situation de monopole ou d’oligopole (entente) le situation


économique est sous-optimale puisqu’elle se traduit par une
réduction du surplus global au détriment du consommateur. En
conséquence l’état doit luter contre les monopoles et les ententes en
mettant ne place une politique de concurrence.

B) Les outils de la politique de concurrence.

Les ententes sont illégales et sanctionnées par de lourdes amendes.


Mais il est très difficile de prouver juridiquement l’existence d’une
entente. La solution qui a été trouvée est que une entreprise faisant
partie d’une entente a la possibilité de dénoncer cette entente à tout
moments sans aucune poursuite judiciaire.
L’objectif de Unilever est de fragiliser financièrement les autres
concurrents à cause de l’amende et aussi la fragiliser au niveau de la
notoriété.

La position dominante n’est pas illégale, par contre cette position


dominante peut déboucher sur des comportement de l’entreprise les
barrières à l’entrée en limitant la concurrence. On parle d’abus de
position dominante. Exemple de Microsoft et son système
d’exploitation qui a passé des accords avec des producteurs
d’ordinateurs pour qu’ils installent leur système directement sur
l’ordinateur ce qui leur à valu une amende de 899 millions d’euros.

Méthodologie des épreuves du bac d’SES.

Épreuve composée Dissertation


➢ 4h. ➢ 4h.
➢ Composée de 3 épreuves : ➢
EC1 = Mobilisation des
connaissances (4pts).
➢ EC2 = étude de document
de 2 q° autour de la maîtrise
de la lecture du doc (2pts) et
une sur les connaissances
personnelles et sur le doc
(4pts).
➢ EC3 = Mini « dissertation »
avec un sujet + 3docs.

L’épreuve composée :
EC1 : Mobiliser des connaissances.

• Définition des termes de la question.


• AEI.
• Ou AE

EC2 :

La concentration d’entreprises correspond soit au rachat d’une


entreprise par une autre entreprise plus importante soit par une
fusion acquisition (2 entreprises qui fusionnent pour déboucher sur
une nouvelle entreprise + importante). Ce qui engendre la baisse de la
concurrence et une augmentation des parts de marché de la nouvelle
entreprise.
L’état doit trouver le compromis entre la lute contre les concentrations
au nom du respect de la concurrence et l’acceptation des
concentrations au nom de l’investissement, de l’innovation et de la
concurrence.

On constate que le nombre de smartphones vendus augmente


fortement entre 2012 et 2013 puisque son augmentation est de 38 % en
1 an. Si LG, Lenovo, Huawei, connaissent des augmentations de plus
de 60 % d’autres entreprises comme Apple voient leurs ventes
augmenter de 12 %. On constate une évolution des part de marché
puisque si Apple voit sa part de marché se réduire de 18 % les autres
entreprises voient leurs parts de marché augmenter.
Un oligopole c’est quelque offreurs pour une multitude d’acheteurs. Il
y a de la concurrence car il y a une multitude d’offreurs sur le marché et
seulement une entreprise qui se démarque des autres (Samsung). On
constate une guerre commerciale qui se traduit par une baisse des
parts de marché de 18 % Apple et une augmentation de la part de
marché des autres concurrents. Apple apparaît comme le perdant de
cette concurrence.

Q°2 : les vols et les agressions se portent d’avantage sur les jeunes que
sur les personnes plus âgées 5, 9 % des jeunes femmes et 8, 2 % des
jeunes hommes ont subi des vols ou des avec ou sans violence contre
respectivement 3, 5 et 3, 8 % chez les 60 – 75 ans.

III) Les défaillances du marché.

I) Les principales défaillances du marché .

1. Le marché est incapable de traiter le problème des externalités.

Une externalité c’est la conséquence involontaire sur autrui d’une


action économique (consommation ou production) et qui ne
s’accompagne pas d’une compensation monétaire.

Ces externalités sont soit négatives ex : le tabac = tabagisme passif et


la pollution par les mégots ou encore l’utilisation de la voiture =
émission de CO², soit positive ex : TGV à Perpignan = - de voitures sur
les routes + prix de l’immobilier.

Les engrais chimiques et naturels utilisés dans l’agriculture


contribuent fortement au réchauffement climatique même si leur but
premier et de conserver les aliments et les faire pousser sans
imperfection et sans risques qu’ils soient mangés ou abîmés.

B) Le marché est incapable de protéger les biens communs et de


produire des biens collectifs.

Exclusivité et Non exclusivité et non


excluabilité excluabilité
rivalité Biens privés Biens communs
Non rivalité Biens de club, cinéma Biens collectifs

Un bien est rival si sa consommation par un individu empêche tout


autre individu de le consommer. Ex : une chaise, un stylo. La lumière
n’est pas un bien rival car tout le monde peut en profiter en même
temps.

Un bien est exclusif si il est possible d’exclure un individu de sa


consommation. Tout bien ou service payant est exclusif.

1 : la terre est constituée en grande partie de mers et d’océans qui


contribuent au bon fonctionnement de la planète, ce qui en fait un
bien commun.

L’asymétrie d’info est l’origine du phénomène de sélection adverse.


L’inégalité d’info peut pousser les offreurs à mentir sur la qualité des
produits et a demander des prix élevés alors que les demandeurs sous
informés sont méfiants et peuvent facilement renoncer à leur achat.
Don l’asymétrie d’info est à l’origine de la disparition progressive du
marché. La est la production d’information pour limiter l’asymétrie
d’info. Le marché est incapable de produire de l’info car les acteurs ont
soit intérêt à ne pas le faire soit ne sont pas en mesure de la faire. C’est
donc à l’état de produire de l’info ou de garantir la qualité des
produits. Le contrôle technique obligatoire sur le marché de l’occasion
permettant d’évaluer vaguement la qualité du produit. Lors de la
vente d’une maison d’occasion : le vendeur doit fournir un diagnostic
précis sur l’état de la maison. La garantie pour le neuf est une façon de
légitimer la bonne qualité du produit et de mettre en confiance
l’acheteur.

Moment Sur quoi porte


l’asymétrie
d’information ?
Sélection adverse Avant la signature du Qualité du produit
contrat échangé
Aléa moral Après la signature du Comportement des
contrat individus

2 : L’aléa moral :

Sur le marché de l’assurance automobile il existe une asymétrie d’info


car les assurés possèdent plus d’infos que les assureurs car ils
connaissent leurs véhicules, la façon dont ils conduisent. L’assurance à
tendance à augmenter les comportements à risque. Ici l’assureur subi
un aléa moral puisqu’il ne peut pas anticiper le comportement des
assurés. Conséquence : ils vont fixer une prix moyen qui va entraîner le
départ des meilleurs conducteurs.
L’assurance maladie :

Pourcentage d’évolution :

Taux de variation = V arrivée – V départ x 100


V départ

PIB/ 1980 2000 Variation Variation


année absolue relative
Va – Vd
Chine 100 200 + 100 + 100 % → Le PIB a
doublé
France 1 000 000 1 000 100 + 100 + 0,001 % → Le PIB a
stagné

1 : En 1999 3 millions de ménages sur 23,8 millions sont constituées d’un


homme seul.

2 : En 1968, 36 % des ménages sont constitués de couple avec


enfants.

3 : Elle s’élève à 31, 5 % en 1999.

4 : On constate une augmentation de 131 %.

5 : On constate une baisse de 58 %.


6 : Le nombre de famille monoparentales à été multiplié par 3, 6 entre
1968 et 1999.

Le PIB français augmente de 0, 3 % en 2013, en 2009 il baisse de 3, 1 %.

Chap 4 : la socialisation.

Introduction : distinctions, valeurs, normes, statuts et rôles .

Q°1) Muriel Darmon définit la socialisation comme quelque chose


d’implicite qui se fait à force d’habitudes comme de regarder à
gauche quand on va traverser la route en France, alors qu’en
Angleterre on doit regarder à droite. Elle dit qu’on peu luter contre
mais qu’on sent sa force d’entraînement.

Q°2) dans le texte on nous donne l’exemple de notre habitude à


regarder « du bon côté » de la route avant de traverser. Ce qui fait que
dans des pays ou c’est inversé on va avoir l’habitude de regarder du «
mauvais côté ».

Q°3) La manière de manger n’est pas la même dans tous les pays de
même que la manière de s’habiller. Cela va dépendre du pays, de la
classe sociale, parfois même de la religion.

Q°4) c’est une tendance à agir de la même façon en fonction d’un


contexte donné.

Q°5) La socialisation est un processus car elle se fait tout au long de la


vie.
Q°6) C’est un processus à la fois conscient et inconscient car il nous est
imposé mais on peu aussi en être acteur.

L’apprentissage ne se limite pas aux valeurs et aux normes, il se porte


aussi sur les rôles et les statuts.

Un statut c’est une p^position sociale occupée au sein d’un groupe ou


d’une société. Exemple : élève, ami, fils, frère, etc …

Un rôle c’est l’ensemble des comportements dans la société attachés à


un statut.

B : La socialisation un processus situé dans le temps et dans


l’espace.

1) Le niveau de vie moyen des 10 % d’individus ayant le niveau de vie le


plus élevé augmente entre 2003 (100) et 2011 (117).
Le niveau de vie moyen des 10 % d’individus ayant le niveau de vie le
plus faible diminue entre 2003 (100) et 2011 (96).
Il y a un grand écart entre les deux, on peut dire que les inégalités
augmentent.

2) Entre 1990 et 1913 le PIB a augmenté en moyenne de 1, 9 %. On


constate une corrélation entre évol de prod et évol de prod du travail.
Puisqu’entre 1890 et 1913 le PIB et la prod du travail augmentent tous
les deux de 1, 9 % en moyenne par ans. Idem pour la période 50 → 73.
3) L’Italie, la Grèce et l’Espagne ont un PIB par habitants inférieur à
celui des autres pays de l’UE. Le PIB de pays d’Europe excepté
l’Allemagne à baissé au profit de cette dernière qui voit son

4) Le critère de genre n’est pas pertinent sur le phénomène du


chômage.

Il existe plusieurs moyens de socialisation.

1) Par imposition : les instances de socialisation vont imposer des


valeurs et de normes et sanctionner l’individu dès qu’il s’écarte de la
norme. On est dans le conditionnement qui passe par un discours
rationnel, argumenté, soit par une injonction (ordre).
Ce procédé souligne le caractère passif de l’individu.

2) Par imitation : l’individu va choisir un modèle et en intérioriser les


normes et les valeurs en les copiant.
Les filles ont tendance à imiter leurs mère et les garçons à imiter leur
père. Par exemple le choix politique ou le style vestimentaire.

L’individu est passif car il reproduit les modèles mais il est aussi actif
car il choisi les modèles et il ne copie pas à l’identique, il s’appuie
seulement sur les modèles.

3) Par interaction = échange réciproque dans lequel l’individu est


acteur de sa socialisation puisque dans son interaction il va discuter,
accepter, refuser et modifier les valeur et les normes qu’on lui propose
d’autant que les valeur et les normes diffèrent en fonction des
instances de socialisation.
Les différentes instances de socialisation :

• La socialisation primaire.

C’est la famille = seule instance qui socialise toute la vie. Elle


intervient dès le plus jeune âge. C’est le moment où l’individu est le
plus malléable. Le café, Léo, ma faute à toi, i am,

On parle de socialisation différenciée pour insister sur le fait que le


contenu de la socialisation est différent selon certains critères
sociaux. Exemple de critères : le genre et le milieu social d’origine.

Q°1 :

Garçons Filles

Grands, traits marqués Petites, gentilles, mignonnes, traits


fins

Ils ne correspondent à aucune différence puisque les bébés sont de


même taille et de même poids.

On constate que la réussite scolaire est largement déterminée par


l’origine sociale. Les enfants de cadres réussissent d’avantage à
l’école et sont sur représentés dans les filières les plus prestigieuses.
Les familles des milieux favorisés transmettent un capital culturel
propice à la réussite scolaire. Les familles ont un capital économique
favorisant la réussite scolaire.

La conception du « bien manger » diffère en fonction de la classe


sociale ex : les classes sociales auront tendance à se soucier de la
qualité des aliment alors que les classes plus modestes préféreront
assurer de la nourriture en abondance même si elle est de moins
bonne qualité

c’est le pourcentage de consommation de produits bio en 2012.

2.7 % des élèves interrogés en situation d’obésité sont enfants de


cadres alors que 7.5 sont enfants d’ouvriers.

DOC 1° :

Question 1 :

Le constat qui ressort de ce dessin est que les hommes se sur estiment
et que les femmes se sous estiment.

Question 2 :

Les femmes sont beaucoup critiquées et ont plus tendance à se


rabaisser alors que les hommes non.

DOC 2° :

Question 1 :

La répartition des tâche est inégale entre les hommes et les femmes
car ils ne font pas la moitié de ce que les femmes font en ce qui
concerne le ménage, la vaisselle, la cuisine, etc …

Question 2 :
Ce phénomène s’explique par la socialisation : Par exemple les filles
vont être plus amenées à jouer à la dînette ou à l’aspirateur que les
garçons.

DOC 3° :

La phrase « On ne naît pas femme, on le devient. » veut dire que c’est


la socialisation qui ‘’transforme les femmes’’ par exemple en les
faisant jouer à des jeux dits ‘’féminins’’ ou encore en suivant l’exemple
de leurs parents : le père qui travaille et la mère au foyer qui s’occupe
de toutes les tâche ménagères. Ou encore en leur faisant pratiquer
des sports et activités dites ‘’féminines’’ comme la dances, équitation
et la gym.

2) Le nombre souligné représente le pourcentage de femmes avec


enfant(s) en 1990.

3) La monté des divorces entraîne l’augmentation des familles


monoparentales et de familles recomposées.
La montée des divorces est en grande partie due au développement
du travail salarié féminin. Elles vont donc gagner une indépendance
financière et sociale.
L’évolution des mœurs rends le divorce moins tabou.
III) La socialisation secondaire : renforcement ou émancipation.

1 la socialisation

Q°1. 33, 1 % des agriculteurs sont en couple avec des agricultrices.


5, 3 % des agriculteurs sont en couple avec cadres sup.

Q°2. La diagonale représente le pourcentage d’hommes et de femmes


en couples avec des personnes de la même classe sociale.

Q°5. La socialisation conjugale agis comme un renforcement car les


conjoints ont tendance à être du même milieu social. La définition
genrée des rôles n’est pas la m^me pour l’homme et la femme.

La reproduction des idées politiques se fait plus par imitation que par
une sorte de conditionnement.

Questions :

Q°1. La réussite scolaire paradoxale en milieu ouvrier c’est la réussite


scolaire d’élèves issus de milieux populaire notamment les fils et les
filles d’ouvriers d’ouvriers. Cette réussite est dite paradoxale car la
plupart des enfants d’ouvriers font des études plus courtes.

Q°2. La réussite scolaire est sexuée car dans cette famille toutes les
filles sont bachelières et ont fait des études avancées pour des postes
hauts alors que les garçons ont fait un bac B.

Q°3. Les facteurs explicatifs de la réussite scolaire des filles sont :


Chapitre 5 : La monnaie.

Monnaie marchandise : c’est un bien matériel utilisé pour le troc


(banane).

Monnaie fiduciaire : billets et pièces.

Monnaie scripturale : données bancaires.

1960 : 57, 8 %
2010 : 86 %

Le dépôt à vue est de 1700 euros et le compte du super marché à


augmenté de 100 euros.

Synthèse de l’évolution de la forme de la monnaie.

L’histoire de la monnaie est l’histoire de sa dématérialisation.

Les dépôts font le crédit Les crédits font les dépôts


Les dépôts constitués par les Les dépôts actuels ne suffisent
ménages constituent pour les pas à financer les besoins de
banques des fonds qu’elle peut l’économie.
prêter.

Il est nécessaire de préfinancer la croissance économique.


Tout remboursement de crédit représente une destruction de la masse
monétaire.
1) Cette monnaie vient de nulle part, elle est créée.

2) Elle est créée par ex nihilo.

3) Elle augmente.

4) Sur la destruction de la monnaie créée par ex nihilo.

Le flux de crédit nouveau fait augmenter la masse monétaire et le flux


de remboursement de crédit la fait diminuer. La masse monétaire ne
varie donc jamais.

Q°1. La dernière colonne représente le pourcentage d’évolution le la


masse monétaire métallique, fiduciaire et scripturale en 2010.

Q°2. Depuis 1789 la monnaie métallique a eu une évolution


décroissante : 96 % en 1789 à 0, 3 % en 2010.
Depuis 1789 la monnaie fiduciaire et a eu une évolution croissante : 4 %
en 1789 à 40 % en 1950. puis une évolution décroissante : 40 % en 1950 à
5, 3 % en 2010.
Depuis 1789 la monnaie scripturale a eu une évolution croissante : 0 %
en 1789 à 94, 4 % en 2010..

Q°3. On parle de dématérialisation de la monnaie car la monnaie dit


matérielle ( monnaie métallique et fiduciaire ) connaissent une
évolution décroissante alors que la monnaie scripturale connaît une
évolution croissante. La monnaie scripturale remplace donc peu à peu
la monnaie matérielle.

Il existe une banque centrale par monnaie.


2) Avant 2008 la politique monétaire visait à maintenir l'inflation
proche, mais inférieure de 2% sur un an. Mais depuis 2008, cette
mission n'est en réalité plus respectée. La politique monétaire
contrairement au traité de Maastricht a été d'empêcher ses membres
les plus faibles de quitter l'union monétaire ou d'éviter la
fragmentation financière de la zone euro.

II) Le financement de l’économie.

Un taux d’intérêt représente le coût de l’emprunt.

L’échéance est variable.

B) Evolution des modalités de financement.

Fin des 70’s : font inflation dans les 70’s = 2 chocs pétrolier.s

TROUVER D’AUTRES MODALITÉS DE


FINANCEMENT QUE LES BANQUES CAR
TAUX D’INTÉRÊT TROP HAUT.

En 1978 les entreprises sont majoritairement financées par les crédits


bancaires (40 %). Elles sont financées à 24 % par les actions, les crédits
commerciaux et les décalages comptables. Enfin elles ne sont que peu
financées par les créances négociables et obligations (2 %).
Le Parti communiste français (PCF) est un parti politique fondé en
1920. Il est issu du congrès de Tours de la Sélection française de
l’Internationale ouvrière (SFIO) visant à décider de l'adhésion à
l'Internationale communiste ; la majorité du congrès ayant décidé de
cette adhésion crée alors la Section française de l'Internationale
communiste (SFIC), la minorité restant au sein de la SFIO. Le parti
devient en 1921 le Parti communiste - SFIC, abrégé en PC-SFIC, puis le
PCF en 1943.

Ces 6 objectifs majeurs sont : Une révolution du travail, la priorité aux


biens communs, la jeunesse avenir de France, un nouveau modèle de
développement, l’heure de la révolution féministe, à la conquête de
l’égalité réelle et de l’émancipation.

Quand le moment est venu c’est que l’heure est arrivée.

Les non inscrit n’ont pas voté.

93 % des personnes inscrites se sont abstenues.

43 des personnes inscrites se sont abstenues.

T abstention + T participation = 100 %

Façon 1 : on peut penser que 66, 10 % de la population est du coté de


Manu. Alors que sur le graphique on voit que seulement 40 % est de
son côté. Le doc 1 montre les résultats en ne prenant en compte que les
votants non blanc alors que le doc 2 prends en compte la totalité de la
population française. Ce phénomène favorise la légitimation de la
victoire de Manu.

Intro sur l’abstention en France

L'abstention politique en France constitue un phénomène


sociopolitique d'une ampleur croissante. Au cœur de ce sujet se trouve
une dynamique complexe où les citoyens, pour diverses raisons,
choisissent de s'abstenir ou de participer aux processus électoraux,
que ce soit lors des élections présidentielles, législatives, régionales,
ou municipales. À travers cet oral nous explorerons les causes et les
conséquences entourant ce phénomène majeur qui questionne les
fondements mêmes de la démocratie représentative en France.

Constat :
On observe une nette baisse du nombre de votants systématiques : en
effet ils sont passé d’environ 45 % en 2002 à 35 % en 2017 soit une
baisse de 10 % en 15 ans. À l’inverse, les abstentionnistes
systématiques on vu leur nombre augmenter d’environ 3 % : en effet ils
sont passés de 12 % en 2002 à 15 % en 2017. De plus le nombre de
votants intermittents à lui aussi augmenté : il passe d’environ 40 % en
2002 à 50 % en 2017. depuis 15 ans nous observons un chute drastique

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