N° 36 Pansement Chez Un Enfant Brûlé
N° 36 Pansement Chez Un Enfant Brûlé
N° 36 Pansement Chez Un Enfant Brûlé
ET DE LA REFORME HOSPITALIERE
PARAMEDICALE DE BATNA
Mémoire professionnel
Infirmier diplômé d’état
Thème
II-Rappel physiologique............................................................................................................ 4
1-Définition ........................................................................................................................... 5
2-Physiopathologie de la brûlure........................................................................................... 5
3-Les Idiologies ..................................................................................................................... 6
1-Classification.................................................................................................................... 8
2-la localisation ................................................................................................................. 11
CHAPITRE III
Traitement
1-prise en charge de l’enfant brûlé .................................................................................... 16
1-6-Réanimation de la brûlure.................................................................................... 19
3-Prévention ...................................................................................................................... 23
3-1- Prévention primaire .............................................................................................. 23
II-Pansement ........................................................................................................................... 30
1-Définition ........................................................................................................................ 30
a-Organisation ................................................................................................................. 30
b-Préparation pour transfère au bloc ............................................................................... 30
c-Le matériel ................................................................................................................... 31
3-La technique ..................................................................................................................... 32
II-Démarche méthodologique................................................................................................. 38
- Analyse et commentaire de questionnaires adressé au personnels paramédicale. 39
- Synthèse ....................................................................................................................... 57
- suggestion ..................................................................................................................... 58
- conclusion
- annexes
- bibliographie
• Nous remercions avant tout DIEU tout puissant qui nous a
aide dans la réalisation de ce modeste travail
Le chef de service
le but voulu
enfants :imad,nada,douae
réalisation de ce travail.
Les objectifs :
Sous jacent , pouvant atteindre l’os- même , selon les échelles de mesure de celles –ci .
Elles sont très fréquentes et leurs complication aussi, surtout chez les personnes a risque, entre
autres , les enfant de part la fragilité du terrain .
Parmi ces complication, les auteurs et les rechercher dans le domaine, insistent sur les
infections, redoutables ennemies qui peuvent alter jusqu'à mettre en danger le pronostic vital
de la victime .
Nos stages pratiques en services de brûlé , nous ont permis d’assister a des modes de prise en
charge en milieu hospitalier , au déroulement de celle-ci et de relever , par conséquence ,
certaines observations qui nous semblent d’une grande importance et relatives a la stratégie de
la prise en charge , les schémas thérapeutiques mises en œuvre , la surveillance et les moyens
et techniques de réalisation du pansement qui , théoriquement , doit être réalise dans les
conditions les plus rigoureuses d’aseptise .
Sachant que l’apparition de l’infection, surtout en milieu hospitalier, peut être lieux mesures
d’hygiène et d’asepsie gardent toujours leur aspect déterminant l’évolution de la lésion surtout
lors du soin de pansement
Cette infection, redoutable et d’évolution parfois dramatique, est elle la conséquence, entre
autres facteurs de la manière et des conditions dont il est réalisé.
En d’autres terme, peut-on lier l’apparition chez un enfant brûlé hospitalisé, aux conditions de
réalisation du pansement un des éléments de la prise en charge thérapeutique entre autres le
respect de modalité technique
Pourquoi l’équipe soignant ne réalise pas correctement ses pansements chez un enfant brulé ?
Maitrise des techniques du la réalisation d’un pansement
1-1) L'épiderme :
L'épiderme est la couche superficielle de la peau dont la surface est formee de cellules
mortes kératiniseés, qui désquament. L'épiderme designe le tissu de nature épitheliale qui
recouvre le derme.
Les différents types de cellules de l'èpiderme :
L'épiderme est forme d'un épithélium stratifie squameux kóratinise qui se compose de 03
types de cellules
• Les kératinocytes
• Les mélanocytes
• La macro phagocytes
Le derme est de nature conjonctive. Il est situé entre l'épiderme au-dessus et l'hypoderme en
dessous. Il est constitue d'un tissu à la fois flexible et résistant. Il est riche en récepteurs
sensoriels, vaisseaux sanguins, et lymphatiques.
1-3) L’hypoderme :
Les taches de rousseur ou naevus pigmentaires (grains de beauté) sont produites par
l'accumulation de ce pigment.
L'exposition au soleil stimule l’activité des mélanocytes et permet le bronzage.
2-2) Le caroténe :
Un pigment dont les tons varie du jaune a l'oranger. Riche dans certains végétaux comme
la carotte, ils s'accumulent dans la couche cornée et les cellules adipeuses de
l'hypoderme.
2-3) L'hémoglobine : lorsqu'elle est bien oxygenée donne la couleur rosée à la peau claire,
une insuffisance d'oxygénation lui donne la couleur cyanosée.
Elles secrètent le sébum qu’elles déversent dans un canal qui contient les poils est
ensemble s'appelle le follicule pilo-sébacé, le sébum c'est substance graisse qui graisse les
poils, puant ces sécrètes trop, la peau est luisant. Si en plus, le sébum s'évacue mal c'est une
l'acné.
3-3) les angles :
Des formations épidermiques situées sur la face dorsale de la dernière phalange des doigts et
des orteils.
3-4) les glandes sudoripares : se sont de petit glandes entube dont l'extrémité profonde est
pelotonnée sur elle-même. Elles sont plus abondant dans certaines régions aisselle,
elles destinent à sécrèter la sueur.
II. Rappel physiologie :
A-Fonctions du systeme tégumentaire :
1. Protection :
La peau dresse au moins trois types de barrière entre l'organisme et
l'environnement
• Barriere chimique : formée par les sécrétions de la peau et la mélanin.
• Barriere physique : continuité de la peau elle-même, sa résistance à l'abrasion
des cellules keratinisées.
Les glycolipides imperméabilisent l'épiderme et empêche l'eau de circuler à travers
l'épiderme.
• Barriere biologique : est composé de macro phagocytes éléments actifs du système
immunitaire.
L'épiderme est recouvert d'un film hydro lipidique (le sébum) qui le protége des
agressions éxterieures.
2. Régulation de la température corporelle
Les terminaisons nerveuses contenues dans la peau, et notamment au bout des doigts,
permettent à l'homme d'éxplorer son environnement par le toucher.
La peau est donc douée d'une grande sensibilité grâce à des récepteurs cutanés :
- Les thermorécepteurs : réagissent aux stimulations thermiques
- Les nocirécepteurs : réagissent aux stimulations douloureuses
- Les mécanorécepteurs réagissent aux stimulations mécaniques : tact, pression,
vibration.
Le degré de perception tactile varie selon l'épaisseur de la peau, ainsi il est plus important
au niveau de la paume de la main, des éxtremités des doigts et des lèvres.
4. Rôle métabolique : Synthèse de la vitamine D :
Durant l'exposition aux rayons ultraviolets, la peau participe à la synthèse de la vitamine
D nécessaire à l'équilibre calcique du corps humain.
Le soleil agit sur le cholésterol qui se trouve dans les cellules de l'épiderme et le transforme
en précurseur de la vitamine D.
5. Rôle d'excrétion :
2. Physiopathologie de la brûlure :
2-1Retentissement local :
- Détersion de la brûlure.
- Cicatrisation correspondant à une épithélialisation a partir des bords de la plaie ou une
ápidemisation a partir des îlots épidermiques sains.
- Si la membrane basale et les annexés dermiques sont détruites, l épidermisation
spontanée est impossible. On se trouve face à une brûlure profonde.
2-2 Retentissement général :
a- Les brûlures thermiques : brûlures par flammes, brûlures par vapeurs chaudes ou liquides
bouillants (c'est le type de brûlure qui touche le plus fréquemment les enfants), brûlures
par contact d'un solide (appareil de chauffage) s'observe souvent à la main et au visage.
L'éxplosion de gaz domestiques de plus en plus fréquente associée aux lésions cutanées, celles
de l'arbre respiratoire
b- Les brûlures électriques : les brûlures par arc électrique (brûlure thermique par
embrasement) et les brûlures par contact direct avec la langue et des lêvres par prise de
courant portée à la bouche. Les brûlures des mains plus limitées, mais aussi profondes, plus
fréquentes avec l'élevation de la tension. Dans ce dernier cas, le risque immédiat est
cardiaque, rénal et neurologique.
c- Les brûlures chimiques : elles sont dues à l'action caustique d'un acide fort (acide
chlorhydrique, acide sulfurique,..) ou d'un base forte (soude, p o t a s s e ) d e m a n d e n t
l’élimination précoce du produit caustique.
d- Les brûlures par radiation ionisante : radiodermites provoquées par les radiations
électromagnétiques.
I- bilan clinique de brûlure :
1-Classifications :
Beaucoup plus utilisée puisque tenant compte de l’âge et des différentes localisation possibles.
Tête 9%
Devant 18%
Tronc
Derrière 18%
Droit 9%
Membres supérieurs
Gauche 9%
Droit 18%
Membres inférieurs
Gauche 18%
Total 100%
Localisation
Cou 2% 2% 2% 2%
Organes
Génitaux 1% 1% 1% 1%
Extérieur
Un bras 4% 4% 4% 4%
Un avant bras 3% 3% 3% 3%
Une main 2.5% 2.5% 2.5% 2.5%
2- La localisation :
Les brûlures des voies aériennes supérieurs font courir un risque vital, les brûlures du périnée
(OGE) font courir un risque infectieux, les brûlures des mains et des paupières font un risque
fonctionnel
3-Lésions associées :
Toute brûlure associée à une lésion respiratoire ou à un polytraumatisme est grave.
3-1) Lésions réspiratoires :
Une lésion par inhalation doit être suspectéeen cas de brûlure par flamme dans un éspace
clos, surtout s'il existe une brûlure profonde de la face, une présence de suie dans les narines
ou une raucité de la voix. Il faut de plus rechercher systématiquement une cyanose, une
polypnée, un stridor, un tirage ou des signs d'obstruction bronchique.
Une lésion pulmonaire par blast doit toujours être envisagés en cas d'éxplosion, surtout si
l'examen otoscopique révèle une perforation tympanique.
3-2) Lésions traumatiques :
L'association d'une brûlure avec un polytraumatisme est rare chez l'enfant. Il faut la
rechercher en cas d'incendie (défenestration), de maltraitance et d'électrocution (projection ou
chute). En pratique, on peut retenir :
A. qu'un brûlé est toujours conscient, sauf en cas d'intoxication au monoxyde de carbone
(CO) ou d’électrocution, un coma doit faire rechercher une lésion cérébrale.
B. qu'un brûlé est toujours algique : l'absence de douleur, en dehors d'une prescription
d'antalgique, doit faire rechercher une lésion médullaire (défenestration)
C. qu'une brûlure s'accompagne toujours d'une
Hémoconcentration : un hématocrite < 35 % doit faire rechercher une Hémorragie.
4-Les complications :
Les brûlures causent des complications graves et qui peuvent etre mortels surtout chez
l'enfant.
Le choc :
Il s'agit d'hypo volumique car le brûlure entrainent une perte du plasma et d' électrolytes
dont une partie et définitive (exsudat), l'autre (œdème) est se secondairement réabsorbé.
complications respiratoires :
En dehors des lésions respiratoires dues directement à la brûlure, on distingue :
• OAP : premiers jours d'évolution du à l'hyper volemie secondaire à la résorption des liquides
extravasés et la baisse de la pression
• Les atélectasies
complications infectieuses :
L'infection est Ia complication majeure des brûlures, elle est responsable de 60%
des décés.
Les b rû l u r es gr av es en t rai n en t u n ef fo n d rem en t d es d éf en s es immunitaires
humorales et surtout cellulaire avec diminution d'activité des macrophages obligatoire à la
surface des lésions, l'infection locale peut devenir rapidement menaçant à la faveur
d’une diminution des défenses immutaires, d'une modification de virulence des germes
pathogèns, d'une d’énutrition, d’une infection nosocomiale.
Parfois, Ia septicémie est trés prócoce, et le point de départ est le plus souvent intestinal.
Les simples manipulations du malade (balnéation, pansements) peuvent être à l'origine
de décharges bactériennes. Ces demières sont relativement fréquentes à partir des cathéters
veineux et vésicaux
La meilleure prévention de l'infection réside dans la lutte contre la dénutrition.
La dénutrition :
Chez les enfants, surtout chez trés jeunes, les localisations osseuses septiques à distance, en
particulier au niveau de la tête fémorale peuvent se voir. Le traitement chirurgical des
ossifications para-articulaires est difficile.
Les complications neuropsychiques :
L'appariation au cours de l’évolution des brûlures avec en surimpression sur la trame
psychologique de fond propre à chaque malade, une angoisse aux modes d'expression divers.
Angoisse devant d’incertitude des résultats esthétiques devant une atteints de l’intégrité
sexuelle...
Aprés déshabillage prudent dans un lieu propre et chaud (service urgence, bloc-opératoire)
on apprécie l'étendue des lésions suivant la règle des 9 de wallace ou la table de Lund et
Browder chez l'enfant : la surface de la tête est proportionnellement plus importante que la
surface des membres.
Surveillance du choc hypovolémique : pouls, tension, bien sûr; mais surtout diurèse qui doit
être supérieure à 1 ml/kg/h
1-5) A l’hôpital :
En service spécialisé, mais aussi dans la salle d'urgence ou d'un hôpital général :
-Remplissage vasculaire :
Compléter l'examen clinique en recherchant les lésions associées et les tares éventuelles.
- Soit le 1er jour : 4 mg/Kg par % brûlé, passer la moitié dans les 8 premières heures
-Diurèse= 1 ml
1-6) Réanimation de brûlure :
Cristalloides isotoniques :
L'utilisation des solutés cristalloides isotoniques permet la restitution du capital sodé
physiologique. Le Ringer lactate (sodium : 130 m mol • L-1) reste le produit de référence.
Cristalloides hypertoniques :
Les solutés hypertoniques (sodium : 240 à 300 m mol. L-1) ont été proposés
pour réduire les volumes perfusés, réduire l’œdème et améliorer la fonction cardiaque chez
l'enfant gravement brûlé.
Solutés d'albumine :
Les solutés d'albumine humaine diluée à 4 % sont les plus utilisés notamment
chez l'enfant. La déperdition proteique étant maximale dans les huit premières heures, le
pouvoir oncotique de ce soluté est transitoire lors de la période initiale.
-Surveillance :
Elle est essentiellement clinique. Le poids reflète le bilan des entrées et des sorties. La diurèse
doit être maintenue au-dessus de 1 à 1,5 ml • kg-l • h-1. La densité urinaire doit rester
comprise entre 1010et1020. Un acueil, la polyurie osmotique est à redouter en cas
d'hyperglycémie. La surveillance de la pression veineuse centrale est souhaitable si la brûlure
dépasse 40 % de la surface corporelle. Chez l'enfant, elle est un bon reflet des pressions de
remplissage.
b. Réanimation respiratoire :
Une détresse respiratoire est fréquente au cours d'une brûlure thermique étendue. Elle peut
être liée à plusieurs mécanismes : asphyxie en cas de brûlure faciale ou pharyngée, inhalation
de fumées, intoxication oxycarbonée ou cyanhydrique, constriction thoracique, fatigue
respiratoire dûe à l'hyper métabolisme.
En cas de brûlures profondes de la face, l'intubation s'impose. Elle doit être précoce, car
l'intubation différée peut être périlleuse lorsque l’œdème est constitue.
Tout au long de l’évolution dune brûlure, la prise en charge de la douleur est un élement
fondamental du traitement. La douleur la plus intense est celle entraînée par les actes
thérapeutiques. Mal prise en charge, elle provoque une anxiété importante avec
phénomènes d'anticipation. Plus la brûlure est étendue, plus elle est profonde, plus la
douleur est intense.
*La morphine est l’analgésique le plus employé pour le traitement de la douleur
continue, elle peut être administrée par voie intraveineuse ou par voie orale. Sont utilisées pour
contrôler la douleur dûe aux actes (balnéothérapie, pansements)
* l’anesthésie générale est le plus souvent nécessaire, du moins initialement.
1-9 Traitement complémentaire :
• Prévention antitétanique
• Position proclive dans les brûlures cervico-faciales
• Confort thermique et nutrition
• Les changements de pansement, la kinésithérapie, la douleur, l'infection
• L'alimentation normale est insuffisante dés que la brûlure dépasse 20 % de la surface
corporelle totale (dépense calorique majorée de 40à 100 %). Une hyper alimentation s'impose
par voie entérale, parentérale ou en association. La nutrition entérale est la voie de choix, elle
peut être débutée prócocement
1-10) Traitement chirurgicale précoce d'exerèse des brûlures :
Les plus profondes, suivies de greffe (avec la propre peau restante du blessé). En
retirant la cause des désordres inflammatoires et immunitaires, et en fermant rapidement la
plaie, cette attitude évite l’infection et les séquelles fonctionnelles, et raccourcit l’évolution à
deux semaines (brûlure étendue)
La greffe de peau provenant du blessé est la seule guérison possible et valable des
brûlures profondes.
Quand l’étendue de la brûlure ne laisse plus assez de peau disponible, de greffe n'est plus
réalisable.
Trois semaines plus tard, de fragiles étendues d'épithélium cultivé sont greffées.
La plaie est probablement préparée par excision précoce puis couverte de peau de cadavre.
Constituant un excellent pansement transitoire.
Tout brûlé hospitalisé impose une surveillance stricte surtout lorsqu'il s'agit d'un
grand brûlé.
Dans le cas ou la brûure du 1 èr e degré plus ou moins étendu l'état du malade est
bon on lui donne à boire et à manger pour lutter contre l'infection et la dénutrition et favoriser
la guérison.
• Les heures de prise d'injections sont respectées.
La mise en place d'une sonde vésicale à demeure est obligatoire pour mesurer la
diurèse.
Si la diurèse chute mais que la densité augmente, it s'agit en régle d'un retard de
réanimation.
Si la diurèse et la densité chutent le risque est celui d'une tubulopathie par rein de choc et le
pronostic est trés reservé.
Chez les brûlés trés graves ces paramètres sont insuffisante une mesure de pression veineuse
centrale (PVC) s'impose.
Le dosage de l'urée sanguine et urinaire, de la glycémie des électrocutes (NA, CL, Ca, K),
hémogramme, hématocrite s'éffectuent 1à2 fois par jour.
Les draps stériles ou fraichement repassés, on doit les changer dès qu'ils sont souillés.
L'aération de la chambre doit être bonne. On doit assurer tout le confort au malade.
3. Prévention :
L'aboutissement de la prévention n'est pas d'étudier la brûlure, qui n'en a pas besoin, mais
de diminuer le nombre et d'améliorer la vie des brûlures qui en sont les victimes.la
prévention passe donc essentiellement par la lutte contre les accidents domestiques
(brûlures par eau bouillant) et la prévention deux types : la prévention primaire et la prévention
secondaire
3-1) prévention primaire : vise à diminuer l'incidence des brûlures (nombre de brûlure)
Education sanitaire
Ces moyens peuvent jouer un trés grand rôle dans l'éducation sanitaire on montrant les
dangers des brûlures et les manières de prévenir
-Refroidir les aliments liquides avant de les servir au enfant.attention au biberons de lait chaud.
-Ne pas laisser les enfants jouer avec des allumettes , briquets,et les ranger hors de leur portée
-Eviter de faire porter aux enfants des vêtements synthétique qui s’enflamment.
-mettre en place des caches prise.
-Débrancher immédiatement les apparails ménagères après usage .
-Ne pas laisser traîner de prolongateur électrique (rallonge) branché.
-Ranger les produits caustiques hors de protée des enfants.
-Attention aux jouets contenant des substances chimiques à utiliser sous surveillance d'adultes.
3-2) prévention secondaire : vise à diminuer la gravité initiate de la brûlure
La lutte contre l'infection :
Le traitement doit ici encore être préventif et sa difficulté est trés variable suivant la
profondeur de la brûlure.
Le traitement local est la première étape thérapeutique mais, alors que dans les brûlures
superficielles il est régulièrement efficace, sa suite décrôt avec la profondeur de la brûlure.
Quant au traitement général, it consiste bien sûr en la préscription d'antibiotiques.
Si la brûlure a été éxposée, l’administration d'antibiotiques standard est préférable dans les
premiers jours.
Elle est surtout nécessaire dans les brûlures superficielles qui surtout chez l'enfant, sont
sensibles aux infections streptococciques et aux éruptions scarlatineuses, la croûte constituée,
le risque infectieux est moindre et it est parfaitement possible de suspendre le traitement
jusqu'à la période d'éxcision de préparation et les premiers temps de la greffe. Si la profondeur
de la lésion a permis la surinfection, it est bien éntendu fonction des données de
l'antibiogramme si le pansement occlusif a été employé it est préférable que le traitement
antibiotique soit poursuivi sans intérruption, it est d'ailleurs incapable d'amener
l’évolution régulièrement aseptique des brûlures profondes.
Le Rôle de l'infirmier devant un pansement
d’un brûlé :
I. Mesures d'hygiène :
1. Définitions :
1.1Asepsie : Elle a pour but de prévenir l'infection en empêchant la pénétration des microbes
dans l'organisme (exemple : utilisation de matériel stérile pour faire des injections)
1.2 Antisepsie : opération au résultat momentané permettant sûr les tissus vivant d'éliminer ou
de tuer les micro-organismes et/ou d'inactiver les virus, en fonction des objectifs fixés.
1.3Antiseptique : produit ou procédé utilisé pour l'antisepsie.
Leur utilisation :
-antisepsie de la peau saine
-antisepsie de la peau lésée, ou des plies.
-antisepsie des muqueuses.
1.4 Désinfection : destruction des agents infection hors de l'organisme par application directe
d'agent physique ou chimique
1.5 Décontamination : réduction ou enlèvement des germes déposé sur une personne
1.6 Stérilisation : elle a pour but de détruire les germes qui existent au niveau du matériel qui
a été utilisé ou tout simplement sorti de sa stérilité. Cette déstruction concerne aussi
bien les germes pathogèns que les saprophytes.
2. La technique de la stérilisation :
A) les moyens physiques :
A 1) par la chaleur sèche :
-Laver le materiel.
-Le secher.
-Le mettre dans le poupinel en laissant la portière et les boites entrouvertes afin
de faire disparaître l'humidité de donc le risque d'oxydation. .
-Brancher le poupinel.
-Laisser ainsi pendant 10 mn.
-Fermer la boite et la porte du poupinel.
-Le temps de stérilisation nécéssaire est compte à partir du moment où la température de
stérilisation éfficace est à 180°C aprés 30mn pour le matériel courant, 1à2 heures à 200°C pour
les instruments chirurgicaux.
-Aprés la stérilisation, attendre que la température soit redescendue à 50°C pour ouvrir
le poupinel et sortir le matériel.
-Fermer les boites d'instrument par un ruban adhésif.
-Inscrire la date de stérilisation sur les étages prévus (le placard doit porter la mention
stérile)
• Autres procédés de stérilisations par chaleur sèche :
• Four pasteur : même principe que le poupinel.
• Le flambage : moyen de fortune, utilisé en urgence. Il n'est valable que l'objet est exposé à
la base de la flamme d'un bec bunsen (200à300°C), et it est flambé à alcool pendant 2a3mn.
A 2) Par la chaleur humide :
3kg : 144°C
*le Matériel à stérilisé dans l'autoclave (linge caoutchouc)
.le matériel en caoutchouc : gants, doigtiers, sondes…..
.les Instruments chirurgicaux.
.les compresses, et le coton...
-A la fin de la stérilisation : veiller à ce que le matériel qui sort de l'autoclave soit
parfaitement sec, l'humidité des textiles constituant un véritable milieu de culture
pour les germes risque d'oxyde les objets métaboliques
• autres procédés par chaleur humide : (moyen de fortune)
L’ébullition: inefficace sur les germes sporulés, indiquées pour les objets de toilette
et les ustensiles de cuisine (biberon, tétines...).pour les seringues et les aiguilles, le
temps d'ébullition nécessaire est de 20mn (compter à partir du d'ébullition)
Remarque : détériore le matériel
* Par la radiation
*Rayons gamma
*Application industriel les instruments métaliques ne doivent pas être stérilisé par les rayons
gammma.
A 3) Par les rayons ultraviolets :
− les rayons ultra violets sont produits par des lampes à vapeur de mercure dans la
puissance varié de 16à60watts.
− Ce procédé assure la désinfection de l'aire, mais n'est valable que pour des locaux de
volume trés limité (rayons de 1 m environ).
De plus ils n'agissent qu'en surface et sont arrêtés par la surface solide y compris le
verre.
B) Les moyens chimiques :
a- L'aldéhyde formique :
Employé sous forme de solution à 30% ou trioxyméthylène (le formole commerciale a
une concentration d'environ 40%) à la température ambiante et en présence d'une forte
humidité : le formole dégage des vapeurs qui possèdent un pouvoir bactéricide puissant
n'agissant cependant qu'en surface
Ce procédé est utilisé pour désinfecter :
Une chambre à l'aide de pulvérisateur (autoclave hormogène "formovap"emettant de l'éxterieur
à travers le trou local rempli de formol et d'une substance se consumant lentement placé à
l'intérieur)
.le matériel à stériliser : les sondes, les gants, les doigtiers, les drains... Le matérièl désinfecté
par le formol doit être obligatoirement rincé avant usage.
b- Autres procédés :
-Stérilisation à l'oxyde d'éthylène : s'utilise par autoclave ou étuve de gaz.
Il présente l'avantage de détruire les bactéries, les virus, les spores et les rickettsies.
-Solution de kuss : solution savonneuse de formol, utilisée en particulier
pour la désinfection des crachats contenant le B.K.Elle se compose : de 8g de savon
noire, 4g de carbonate de soude, 40cm3de formol et d'un litre d'eau...
-Crésyl sodique : en solution à 5%, désinfection à pouvoir bactéricide élevé.
-Eau de javel, solution de dakin....
II. Pansement:
1- Définition:
Le pansement de la brûlure est réalisé à la fin de la prise en charge hémodynamique et
du bilan lésionnel du patient.
Les pansements sont le moyen de traiter une peau lésée des brûlures d'origines diverses
(chimique – thermique – électrique – radiation – gelure).
Le premier pansement du brûlé est indispensable car la protection des tissus brûlé
diminue:
• L'intensité de la douleur.
• Le risque d'hypothermie lors de grandes surfaces brûlés.
• Prévient le risque infectieux.
Vérification des voies d'abord vasculaire (fixation, vacuité, étanchéité) Arrêt de l'alimentation
entérale et vidange gastrique par gravité, Matériel de surveillance obligatoire : ECG. Sp02
Couverture de survie
c) Le matériel :
Préparer et vérifier le matériel.
Evitez toute sur charge, pour éviter les fautes d'asepsie au cours de l'éxécution des soins.
Plateau superieure du chariot :( 1 e r e étage) : où l'on disposera d'ensemble du matériel
stérile :
La boite d’instruments contenant : 2 pince de Kocher, 2pince à dissequer une avec
griffes l'autre sans griffes, un pair ciseau.
Un plateau stérile.
les gants stériles à type chirurgical, à usage unique (pour ôter le pansement souilllé qui
est en place).
Les antiseptiques non alcoolisé selon la prescription médicale :
• Alcool chirurgical (pour désinfecter les mains).
• Sérum physiologie ou chlorure de sodium à 90%.
• Bétadine rouge (2/3d'eau pour 1/3de Bétadine).
3- Technique :
Selon la prescription médicale ou suivant le protocole des soins infirmiers du service.
Les pansements et les bandages constituent l’ensemble des matériels qui sont nécessaire à
recouvrir une brûlure, qu’elle soit simple ou grave. Le pansement est l'élément qui protège la
plaie proprement dite, au contact de celle-ci (compresses de gaze le plus souvent). II a
les caractéristiques suivantes : stérile, couvrant, adhérant, sans être compressif, sauf pour les
hémorragies, Le bandage est destiné à maintenir le pansement en place.
- Le brûlé installé dans la salle de soins.
- Le lavage antiseptique des mains et des avants bras ; brosser soigneusement les ongles, se
passer les mains à l'alcool.
*Ceci aprés avoir préparé tout ce qui est nécéssaire pour le pansement.
- á l'aide de la pince à servir mettre une compresse dans le plateau, puis pince à disséquer, et la
pince KOCHER.
- evaluer l’état de la plais : la couleur,la profendeur, l’éxsudat l a sensibilité et la douleur.
-Chez les grands brûlés le pansement s'éffectue au bloc opératoire sous anésthésie générale
avec toutes les précautions d'asepsie.
-pratiquer l’éxcision des phlyctènes, à l’aide de pince à dissequer avec griffe, si grande
pilosite rasage large de la zone brûlé avec rasoir jetable.
-Saisir compresses avec une de pince à disséquer, pince de KOCHER et faire un tampon en le
pliant en quatre, et sérum physiologique (utilisé comme agent de rinçage)
Le nettoyage des lésions doit être fait avec douceur, et de haut en bas puis de chaque côté
avec nouvelle compresse à chaque fois, continuer ensuite de la même manière en allant de
plus en plus vers l'éxtérieur de la zone brûlée, on dépassant d'environ deux centimètres de
lésion.
Appliquer l'antiseptique sur les zones nettoyées.
-Eviter de passer les mains au-dessus de la boite ouverte et du plateau car ceci favorise le
déplacement de l'air.
Élastique en cagoule. Cette cagoule permet de créer des orifices naturels par découpage.
Attention :
Préserver les conduits auditifs d'un excès de vaseline, cela entraine des otites.
Même problème pour les yeux (conjonctivites).
4 –le rythme du pansement :
* Le pansement du brûlé se fait tous les 2 jours (jusqu'à 3 jours)
- En période de détersion, l'occlusion favorise la détersion.
- En période d'épidémisation, l'ablation du pansement de façon trop répétée détruit les
cellules qui se reconstituent.
* Un pansement de brûlé exsude, ce qui le souille et le tache.
Cela n'implique pas d'accélerer le rythme du pansement à la démande du patient ou du
médecin. (Rajouter une bande supplémentaire pour « cacher » les souillures)
5-infection locale :
Il faut contrôler l'apparition d'une infection locale, on appréçiant la couleur et l'odeur du
pansement.
Dans ce cas là, refaire le pansement en urgence :
Désinfecter la plaie (cf. protocole) et ensuite faire un prélèvement bactériologique par
écouvillonnage.
LE PRELEVEMENT BACTERIOLOGOQUE SE FAIT SUR UNE PLAIE
DECONTAMINEE ET PROPRE.
Une infection locale de brûlure ne nécéssite pas systématiquement une antibiothérapie.
Contrôler l'apparition des signes généraux (T°, douleur ...).
La détersion mécanique est le meilleur traitement de l’infection locale.
*faire un « bon pansement » même s’il prend du temps est en fin de compte un bénifice pour
les équipes IDE qui ne verront pas ainsi le patient revenir le lendemain car le pansement n’a
pas tenu ou « serre » trop,etc.
• Deux grande salles d’hospitalisation ( 6 lits pour chacune ) une salle pour les femmes
et l’autre pour les hommes .
• Salle (bloc) pour la chirurgie plastique et esthétique.
• Une salle de soins
• Une salle de pansements pour les malades externes.
• Une pharmacie.
• Six bureaux (médecin chef, chef de service, bureau de garde pour les infirmiers,
pharmacie, secrétaire)
• Salle d’attente.
• Des vestiaires pour le personnel.
• Sanitaire pour les maladies.
• Une cuisine.
Moyens et matériels :
Chaise roulante 18
Chariot pour les malades 5
Chariot de soins et pansements
Matériels de stérilisation ( poupinel, autoclave )
Source d’aspiration murale ( lave mains )
Source d’oxygène – scopes (3) – diverses pinces
Macérateurs mobiles – pèse personne , pèse bébé
Cyalitiques - Matériels d’anesthésie
Table d’opération – Matériel d’anesthésie
Table d’opération pour les pansements
Moyens humains :
Corps médical :
- Médecin chef réanimateur
- Médecin généralistes (03)
Corps paramédcal
- Chef de service
- I D E : 13
- I B : 01
- A T S : 03
Personnel d’hygiène :
- Comise de salles : 2
Agent de sécurité : 2
Secrétaire : 1
II – Démarche de l’enquête
1 ) Nature de l’enquête : Prospective , descriptive
2 ) L’objet de l’enquête : retenir ou confirmer une ou deux hypothèses (rechercher les causes
de l’apparition de l’infection chez l’enfant brûlé hospitalisé)
-le facteur temps qui est insuffisant pour une recherche approfondie
Commentaire :
D’après les résultats obtenues qui configurés selon le tableau ci-dessus nous constatons 13
IDE, 3ATS, 1IB. Pour l’ancienneté nous constatons que 10 agents soit 58,82% ont une
ancienneté de 10 ans et plus, a lors que 4 agents soit 23,52% ont une ancienneté comprise
entre 1 et 5 ans, pour ce qui est d’ancienneté de 0-1 ans et de 5-10 ans nous avons
respectivement les taux de 5,88%, 11,76%.
Question01 :
Comment appréciez-vous l’accueil d’un enfant brulé au niveau de votre service?
Réponse
Nombre Pourcentage
Bon 6 35,29%
Assez bon 9 52,94%
Mauvais 2 11,76%
Bon
Assez bon
Mauvais
Commentaire :
52,94%des paramédicaux considèrent que l’accueil est assez bon
Question02 :
4- Les méthodes utilisées pour assurer une bonne démarche de soin sont-elles ?
Un plan de soin
Surveillance de patient
Aucune
Commentaire :
la majorité des interrogées trouvent que la méthode préférée est un plan de soin plus
la surveillance du patient soit 41,17 %
Question03 :
Faciliter la tache
Assurer une bonne organisation
Gagner du temps
Commentaire :
La plupart 47,05% estime que l’avantage du plan de soin est de faciliter la tache
Question04 :
Bonne
Assez bonne
Mauvaise
Commentaire :
58,82% des paramédicaux pensent que les conditions de travail sont mauvaises
Question05:
Très élevé
élevé
Non élevé
Commentaire :
Les paramédicaux trouvent que le nombre des brulés est élevé soit 58,82%
Question06 :
Suffisante
insuffisante
Commentaire :
Oui
Non
Commentaire :
Selon le tableau ci-dessus les paramédicaux trouvent que la conception du service ne répond
pas aux normes soit 88,23%
Question08 :
Toujours stérile
Rarement
Non steril
Commentaire :
Le bloc réservé aux soins selon les paramédicaux est rarement stérile (47,05%)
Question09 :
Oui
Non
Commentaire :
Personne n’a suivi une formation continue des paramédicaux soit 100%
Question10 :
Bonne
Mauvaise
Commentaire :
Bien équilibre
Equilibre
Non équilibre
Commentaire :
La prévention des complications est- elle une priorité dans votre service ?
Oui
Non
Commentaire :
Les paramédicaux considèrent que la prévention des complications est une priorité (52,94)
Question13 :
Souvent
Rarement
Jamais
Commentaire :
Les enfants présentant des brulures au niveau du service développent- ils des infections dans ?
Commentaire :
Les para médicaux trouvent que la plupart des enfants présentant des brulures développent
des infections soit52, 94%
Question15 :
Régulière
Irrégulière
Commentaire :
Suivant le tableau cci dessus nous montre que la stérilisation au niveau du service ne
s’effectue pas régulièrement
Question16 :
Facile
Peu difficile
difficile
Commentaire :
47,05% des interrogés trouvent que la prise en charge d’un brulés est difficile
Question17 :
De bloc
Salle de pansement
Changement de pansement
Autre
Commentaire :
la majorité des paramédicaux pensent que la source des infections rencontrées au niveau du
service est le pansement
SYNTHESE
Suite au questionnaire adressé au para médicaux nous avons déduit ce qui suit :52,94%des
paramédicaux considèrent que l’accueil est assez bon.la plupart 47,05% estime que l’avantage
du plan de soin est de faciliter la tache Et trouvent que les conditions de travail sont mauvaises
,et considèrent que le nombre des brûlés est élevé soit 58,82%.pour permettre une bonne prise
en charge du patient aucun paramédical n’a suivi une formation continue soit 100%les
paramédicaux trouvent que la conception du service ne répond pas aux normes soit 88,23%le
bloc réservé au soins selon les paramédicaux est rarement stérile (47,05%),s’ajoute a cela les
repas que les paramédicaux considèrent qu’il n’est pas équilibré ce qui peut favoriser une
infection Le problème le plus important est que la stérilisation au niveau du service ne
s’effectue pas régulièrement ce qui entraine selon eux, que la plupart des enfants présentant
des brûlures développent des infections soit52,94%.
A partir de ces données nous pouvons considéré que nos hypothèses sont confirmées.
Suggestions
-les personnels médicaux et paramédicaux doivent travailler avec conscience professionnelle
-Axer les efforts en matière de preventions sure la tranche d’âge 0 à 5 ans par une
-En fin et le plus important c’est la création des centres spécialisés des brûlés à travers
La conception du service peut être aussi un facteur favorisant la survenue des infections, la
formation continue des paramédicaux est un élément précieux pou une bonne prise en charge
des enfants brulés.
Questionnaire pour mémoire de fin d’étude :
1- Identification :
1-1- Grade
• IDE
• I.B
• A.T.S
1-2- Ancienneté
• 0-1 ans
• 1-5 ans
• 5-10 ans
• 10ans -plus
Question 01 :
• bon
• assez bon
• mauvais
Question 02 :
Les méthodes utilisées pour assurer une bonne démarche de soin sont-elles?
• Un plan de soin
• Surveillance du patient
• Aucune
Question 03 :
• Faciliter la tache
• Assurer une bonne organisation
• Gagner du temps
Question 04 :
Les conditions de travail dans votre service sont elle ?
• Bonne
• Assez bonne
• Mauvaise
Question 05 :
• Très élevé
• Elevé
• Non élevé
Question 06 :
Question 08 :
Question 09 :
Question 10 :
Les relations soignant-soignée sont-elle ?
• Bonne
• Mauvaise
Question 11 :
Question 12 :
Question 13 :
Question 14 :
Les enfants présentant des brûlures au niveau du service développent-ils des infections dans ?
• Les majorités des cas
• Quelques cas
• Aucun cas
Question 15 :
Question 16 :
La prise en charge d’un enfant brûlé est-elle ?
• Facile
• Peu Difficile
• Difficile
Question 17
RDV : rendez-vous.
TV : télévision.
Pierre carli
« les pansements »
Nelly lenfant
Nicole trocné