Cours MAS 2024

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Cours le moteur asynchrone Esebat 2024

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Cours n° 3 : LE MOTEUR ASYNCHRONE


TRIPHASE
I. Présentation :
Les moteurs asynchrones triphasés représentent plus de 80 % du parc moteur électrique.
Ils sont utilisés pour transformer l’énergie électrique en énergie mécanique grâce à des
phénomènes électromagnétiques. Le moteur asynchrone triphasé est constitué de deux
parties essentielles: une partie fixe (le stator) et une partie mobile (le rotor).Les organes
mécaniques sont :
- Carcasse avec fixation ou stator ;
- Rotor avec l’arbre supporté par des roulements à billes ;
- Flasques et ventilateur ;
- Plaque à bornes (3 bornes d’entrée U1,V1, W1 et 3 bornes de sortie U2,V2, W2.

1.1. Le stator :
C’est la partie fixe du moteur constituée par une couronne de tôles empilées. Ce cylindre est
constitué d’un empilage de plaques de tôle minces afin de limiter les courants de Foucault. Cette
couronne, serrée dans une carcasse, contient des encoches où sont logés les trois
enroulements (bobine) parcourus par des courants alternatifs triphasés. Les courants
alternatifs dans le stator créent un champ magnétique tournant à la pulsation de
synchronisme. Le stator est l’inducteur de la machine.

1.2. Le rotor :
Il en existe deux types :
• Le rotor à bague (bobiné)
Le bobinage du rotor est fait de la même façon que celui du stator. Les trois extrémités des
bobines sont reliées (en étoile) et les trois autres reliées à trois bagues permettant une
liaison avec un circuit extérieur par exemple un rhéostat de démarrage pour diminuer la
pique d’intensité du courant au démarrage du
moteur. En fonctionnement normal, le rhéostat est
déconnecté.

• Le rotor à cage d’écureuil (court-circuit)


Les conducteurs rotoriques, très souvent en barres
d’aluminium, sont réunies aux deux extrémités ;
l’ensemble prend la forme d’une cage d’écureuil.
Sa résistance est très faible. Ce type de moteur est
le plus utilisé

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Dans les deux cas, le circuit rotorique est mis en court-circuit (par des anneaux ou un rhéostat)
Symboles

A cage MAS MAS A rotor


~ ~ bobiné

figure 1 figure2 Pour P100kW

Le moteur asynchrone à cage est très répandu dans le domaine industriel, de par sa grande
robustesse mécanique, son faible coût et sa très bonne standardisation. La plage des puissances
des machines asynchrones s'étend de la centaine de Watts à la dizaine de Mégawatts.

Figure3 : le moteur asynchrone triphasé

II. Branchement du moteur asynchrone triphasé :

B : Plaque signalétique

Figure5a Figure 5b
Le stator d'un moteur asynchrone triphasé comporte trois enroulements identiques couplés :
▪ Soit en étoile (Y)
▪ Soit en triangle (∆) (voir fig 6)

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Le choix du couplage dépend :


▪ Des tensions du réseau.
▪ Des indications portées sur la plaque signalétique qui donne les conditions normales
de fonctionnement (dites aussi nominales).
L'utilisateur choisit le couplage qui convient par l'intermédiaire de la plaque à borne du moteur,
qui comporte six bornes auxquelles sont reliées les entrées et les sorties des trois enroulements
Normalisation des bornes : Entrées : U1, V1 et W1. Sorties : U2, V2 et W2.

Détermination du couplage :

▪Si la plus petite tension de la plaque signalétique du moteur correspond à la tension


entre phase du réseau on choisit le couplage triangle ∆.
▪ Si la plus grande tension de la plaque signalétique du moteur correspond à la tension
entre phase du réseau on choisit le couplage étoile Y.
Réseau d'alimentation Plaque signalétique Couplage adéquat
220v 380 V 220V 380 V Etoile
220 v 380 V 380V 660 V Triangle
Tension Tension d'un Tension de deux
Tension simple
composée enroulement enroulements

Figure 6 Figure 7

III. Principe de fonctionnement :


Les bobinages statoriques, alimentés par des courants triphasés de pulsation, créent un champ
magnétique B tournant à la vitesse s=/p où p est le nombre de paire de pôles au stator.
Ce champ (flux) tournant balaie le bobinage rotorique et y induit des forces électromotrices
(fém.) d'après la loi de Lenz. Le bobinage rotorique étant en court-circuit, ces fém. y
produisent des courants induits. C'est l'action du champ tournant B sur les courants induits qui
crée le couple moteur. Ce dernier tend à réduire la cause qui a donné naissance aux courants,
c'est à dire la rotation relative du champ tournant par rapport au rotor. Le rotor va donc avoir
tendance à suivre ce champ. Le rotor tourne forcément à une vitesse  < s (d'où le terme
asynchrone).Pour changer le signe de s (donc le sens de rotation), il suffit de permuter deux
fils de phase.

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Leurs classifications peuvent se fait en fonction :


- Du degré de protection (indice de protection : IPXY)
- De la puissance :
-Machines fractionnaires P1kW
-Petite puissance 1<P<15kW
-Moyenne puissance 15<P<600kW
-Grosse Puissance P>600kW

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Ωs : vitesse de synchronisme du champ tournant en rad.s-  f


1 s = ns =
p p
ω : pulsation des courants alternatifs en rad.s-1 avec ω=2πf
p : nombre de paires de pôles

I. Le glissement :

La différence entre la vitesse du champ tournant statorique et celle du rotor est appelée
vitesse de glissement : ng = ns ₋ nr ou encore Ωg = Ωs ₋ Ωr avec Ωs = 2.π. ns et Ωr = 2.π. nr
Le glissement g sera exprimé en % par rapport à la vitesse du champ statorique et rotorique.

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Ou encore
ns − nr s − r
g= g=
ns s
On en déduit que la fréquence des courants rotoriques est la fréquence de glissement fg.
ns − nr
g=  g.ns = ns − nr  g.ns = ng  f g = g. f s ;
ns
fr : Fréquence des courants induit dit fréquence des courants rotoriques.
fs= f : fréquence au stator (50 Hz).

II. Caractéristiques :

2.1. Fonctionnement à vide :

A vide le moteur n’entraine pas de charge. Le glissement est nul (g=0), le moteur tourne
donc à la vitesse de synchronisme (no=ns).A vide le facteur de puissance est faible (≤0,2) et IO
est un courant réactif ou magnétisant. La puissance réactive est élevée.

2.2. Fonctionnement en charge :

2.2.1. Caractéristique mécanique Tu = f(n) :

Lorsque le moteur asynchrone est chargé, le glissement n’est plus nul et le couple utile varie
en fonction de la vitesse du rotor comme le monte la caractéristique suivante :

Nota : Les limites d’échauffement à ne pas dépasser pour les moteurs asynchrones destinés
à fonctionner dans un air ambiant jusqu’à 40°C sont données dans le tableau ci-après :
La classe de température de l’isolant du moteur :
Y : température maxi 90°C ;
A : température maxi 110°C ;
E : température maxi 120°C ;
B : température maxi 130°C
F : température maxi 155°C ;
H : température maxi 180°C ;
C : température maxi >180°C .

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2.2.2. Modélisation d la partie utile de la courbe :

On peut modéliser la zone de fonctionnement par une droite et déterminer l’équation de


cette droite. L’équation du couple utile peut donc s’écrire : Tu = an+ b
Il faut les coordonnés de deux points de cette droite pour déterminer les valeurs de a et b.
• Premier point évident : M1 (ns ; 0), fonctionnement à vide.
• Deuxième point : M2 (n2 ; T2) donné par un essai de la machine en charge.
Les valeurs de a et b peuvent être déterminé en
résolvant le système d’équation suivant :
a. ns + b = 0 : point à vide

a.n2 + b = T2 : point de fonctionnement en charge

0 = a.ns + b  b = −a.ns

L’axe de n et l’axe de g sont Inverses

Le point M2 est souvent assimilable aux valeurs nominales (nn, Tn) figurant sur la plaque
signalétique du moteur.

2.2.3. Caractéristique mécanique en fonction du glissement :

La caractéristique mécanique peut également être tracée en fonction du glissement g.

L’axe des abscisses de la caractéristique mécanique peut être représenté par le glissement.
𝑛𝑠−𝑛 𝑛𝑠−𝑜
Si n = ns g= Si n= 0 g= =1
𝑛𝑠 𝑛𝑠
On voit que la droite passe par l’origine, et dans sa partie utile l’équation du couple en
fonction du glissement est une droite de la forme y = k.x, soit Tu =K.g.
NB : au voisinage du point de fonctionnement, le couple utile est proportionnel au
glissement. Le point de fonctionnement est le point d’intersection des caractéristiques :

Tu = f(n) du moteur et Tr = f (n) de la machine entraînée.


Tu : couple utile du moteur
Tr : couple résistant de la machine entraînée par le moteur.
La courbe du couple résistant dépend de la charge. La vitesse du groupe correspond à
l’abscisse du point de fonctionnement où Tu = Tr.

A ce point le moteur développe une puissance Pu.

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PU = TU.2.n = Tu. 

III. Bilan des puissances :

3.1. Puissance électrique absorbée Pa :

U : entre deux bornes du moteur


Pa = 3UI cos I : courant en ligne ; cos du moteur

3.2. Pertes par effet joule au stator Pjs :

R : résistance entre deux bornes du stator ou entre phase


3
PJs = RI 2 Ou PJS =3.RB.J2
2

3.3. Pertes fer au stator Pfs :

Elle ne dépende que de la tension U et de la fréquence f et sont donc constantes si le moteur


est couplé au réseau. Elles sont calculées après un essai à vide Pfer = Pav − Pjso − Pm
3.4. Puissance transmise au rotor Ptr : appelée puissance électromagnétique
(Pem)

Ptr = Pa − Pjs − Pfs

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3.5. Moment du couple électromagnétique Cem :

Ptr Cem en (N.m) ; Ptr en (W) et Ωs en rad.s-1


C em = =
S
3.6. Puissance électromagnétique Pem=Ptr

Le couple électromagnétique du moment Cem entraine le rotor à la vitesse Ωs. Il lui


communique donc la puissance électromagnétique Pem.

Ptr r
Ptr= Pem = Cem s Puisque C em = avec g = 1−
S S

Si les pertes mécanique sont négligées Pu = Ptr (1 − g )

3.7. Pertes par effet joule et pertes dans le fer au rotor Pjr et Ptr:

Ces pertes représentent la différence entre Ptr et PM. Elles sont dues aux courants induits et
ne sont pas mesurables car le rotor est court-circuité. On les calcule. Les pertes fer au rotor
sont négligeables car la fréquence des courants rotoriques est faible.

Pjr = g.Ptr Ptr = PM+Pjr Pjr= Ptr - PM = Cem s – Cem  = Cem (s – ) s / s

3.8. Les pertes mécaniques Pm :

Elles sont dues au frottement et à la ventilation. Elles sont pratiquement constantes car la
vitesse de rotation varie peu en marche normale.

PM : Puissance mécanique Pm = PM − Pu
Pm : Pertes mécanique

3.9. Les pertes collectives Pc :

Ces pertes ne dépendent que de U, f et n. Comme ces grandeurs sont généralement


constantes, les pertes fer au stator et les pertes mécaniques le sont aussi.

pc = Pfs + Pm

Pc
Cp =
On définit le couple de perte par : s
Le couple de perte est une grandeur constante quelque soit la vitesse et la charge de la
machine.

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3.10. La puissance utile Pu:

Puissance utile :
Pu = PM − Pm

Pu
Couple utile : Cu =
r
3.11. Le rendement :
Pu
=
Pa
3.12. Le bilan des puissances à vide :

A vide, le moteur absorbe un courant Io et une puissance Pav = Pjs 0 + Pfs + Pm


Pav = Pjs 0 + Pc 3
Pc = Pav − RI 0 Io courant absorbé à vide
2

2
Les pertes constantes Pc = Pfs + Pm se déterminent par un essai à vide.
Si aucune précision n’est faite, on admettra de façon empirique l’égalité entre les pertes
mécaniques et les pertes fer statoriques.
6.1.3. Caractéristique mécanique des machines mécaniques

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IV. Schéma électrique équivalent d’une phase du moteur

Le moteur asynchrone est équivalent à un transformateur avec un secondaire en court-circuit et


tournant. La fréquence des courants rotoriques (courants secondaires) vaut f. g ⋅ Pour une phase du
moteur, le schéma équivalent est identique à celui du transformateur en court-circuit. Chaque phase
du moteur est alimentée par la tension simple V du réseau (couplage étoile pour le moteur).

Sur une phase au stator et au rotor, le moteur asynchrone est analogue à un transformateur,
à la différence que la force électromotrice induite et l’inductance de fuite au rotor existent à
la fréquence de glissement : g. f S . E2 la force électromotrice et X2 la réactance à l’arrêt. Ns et
Nr les nombres de spires du stator et au rotor. Le rapport de transformation avec rotor à
Nr
l’arrêt est : m = .
NS
Le rotor tournant à nr. Si Z1 et les pertes fer sont négligées :
f (Hz) f r=gf

4.1. Schéma équivalent ramené au stator

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4.2. Expression du courant au stator :

; Au démarrage g = 1 ; I1 est alors maximal au démarrage.

Au synchronisme (à vide) g=0 I2 = 0

L’insertion de résistance au stator ou au rotor permet de réduire cette pointe d’intensité au


démarrage du moteur.

4.3. Expression du couple :


La puissance électromagnétique développée par le moteur considéré sans pertes fer et pertes
joules statoriques, ni fuites magnétiques ; est consommée par la seule résistance r= R/g
▪ Expression du couple moteur ramené au stator

On considère Pu = Pem

(a)

(a)

▪ Expression du couple moteur ramené au rotor


Etudions le couple transmis au rotor qui reflète la même allure que le couple électromagnétique.
2 2
P Pjr
3.R2 .I 2 3.R2 .I 2
Cem = tr or Ptr = = soit Cem = R2 = r 2
S g g g. S

2
3.R2 g.E 2
Remplaçons I2 par sa valeur C em = . 2 sachant que E 2 = m.V1
 S R2 + g 2 . X 2 2

3.R2 g.m 2
Cem =
2
On a : . 2 .V1
 S R2 + g . X 2
2 2

V. Les caractéristiques du MAS

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5.1. Les caractéristiques du MAS au démarrage 

avec
Au démarrage g=1 donc Cd = KV2 Ex : Cdd = 18 sous U= 380V et Cdy sous V ?

Application 1 : Moteur démarre avec Cdd= 18N.m sous un réseau de 380V - 50Hz
Quel est le Cdy- avec le même réseau ?

5.2. Les caractéristiques du MAS en charge


▪ Relation entre couple et glissement
Avec Cu = 3V2.g / s .R car R/g  L
 Cu = K. g
Application2 : Un moteur développe un couple utile CU1 = 5N.m à n1= 1460tr/mn. Quel sera
le couple utile développé par le moteur si n2 = 1440tr/mn sous le même réseau 380V- 50hz.

▪ Couple maximal

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▪ Couple de démarrage
Pour que le moteur entraine une machine, il lui faut un couple de démarrage.
Celui-ci doit d’une part décoller la masse (de moment d’inertie J) de la machine et d’autre
part vaincre le couple résistant relatif à la machine.
On désigne par Ta le couple d’accélération (qui n’existe que pendant la mise en vitesse de la
masse d’inertie J) et Tr le couple résistant de la machine (qui se maintien durant tout le
fonctionnement du moteur).Ainsi le Couple de démarrage Td peut se calculer : Td = Ta+Tr

Ta = J. Ta : Couple d’accélération en Nm
dt
J : Moment d’inertie des masses à mettre en mouvement en Kg.m2
dΩ :Variation de vitesse angulaire en rad/s Ω = 2.π.n
dt :Durée de démarrage en s
V. Exercice d’application
Une machine asynchrone triphasée montée en triangle, à rotor bobiné est reliée :
• électriquement à une distribution triphasée équilibrée en tension 220 V - 50 Hz.
• mécaniquement à un treuil de rayon 10,7 cm par l'intermédiaire d'un réducteur de
vitesse de rapport de réduction 0,1 et de rendement égal à l'unité.
Ce treuil supporte une charge de poids 9 000 N (figure 1)

treuil
Moteur R
Réducteur
asyn-
=1
chrone

R = 0,107 m

figure 1 Masse v Masse


900 kg 900 kg

1. Cette machine, fonctionnant en moteur, élève la charge à la vitesse v de 1 m/s ;


Déterminer pour un tel régime de fonctionnement :
 sa vitesse de rotation,
 son nombre de pôles,
 son glissement,
 sa puissance utile,
 son couple utile.
Si le moteur asynchrone a pour rendement 0,84 et pour facteur de puissance 0,83,
quelles seront les valeurs de la puissance absorbée et du courant en ligne ?
2. Pour la suite du problème on confondra couple utile et couple électromagnétique.
En utilisant le diagramme du cercle, déterminer lorsque le moteur asynchrone exerce
un couple utile de 96 Nm à la montée de la charge, les valeurs des grandeurs suivantes :
 valeur efficace du courant en ligne,
 facteur de puissance,
 puissance absorbée et puissance utile,
 vitesse d'ascension de la charge.

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