Les Causes de Dégradationsde La Forêt

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Université Sidi Mohammed Ben Abdellah

Faculté des lettres et sciences humaines Sais-Fès

Master : Aménagement des zones fragiles


prévention et gestion des risques environnementaux.
Matière :l’eau et l’environnement: lois et institution
Semestre : 3

www.facebook.com/geographie.general

La forêt marocaine: les causes de dédradation


et textes juridiques

Réalisé par: Encadré par:


Abdeltif MOREAU Prof. EL GOURARI .A
Moussa ELKHOUILDI
Plan

 Introduction

 I- Les contraintes qui menacent la forêt marocaine


 II- Les causes de dégradation de la forêt
 III- Les textes réglementaires de la forêt

 Conclusion
Introduction
 La forêt marocaine, constituée d'écosystèmes fragiles à variation
écologique accentuée, est domaniale (domaine privé de l'État) et
grevée de droits d'usage reconnus aux populations riveraines, en
particulier le parcours en forêt, le bois de feu et de service , les menus
produits pour l'autoconsommation.
LA FORET

Patrimoine riche
et diversifié sur
9 M ha

Faible taux de
boisement :
 Moyenne
 Cèdre :
nationale : 8% 133.000 ha
 Chêne–liège :
 Taux optimal : 18 350.000 ha
 Thuya :
à 20%
566.000 ha
 Chêne vert :
1.415.000 ha
 Arganier :
871.000 ha
 Genévriers :
245.000 ha
 Pins :
82.000 ha
 Autres essences :
2.140.000 ha
 Nappes alfatières:
3.200.000 ha
Le taux moyen de boisement au Maroc est de l'ordre de 8 %, ce qui est en deçà du
taux optimal (18 à 20 %) nécessaire à l'équilibre écologique et environnemental.

 Les principales espèces forestières marocaines sont :

Superficie total=9037720
- Les contraintes qui menacent la forêt marocaine:

 La forêt souffre d'un triple déséquilibre :

- entre les besoins des populations et les ressources disponibles;

- entre les prélèvements actuels et la possibilité biologique de la forêt;

- entre le niveau de développement des zones de piémont et de grandes


plaines agricoles et les zones forestières et périforestières.
FORET MULTIFONCTIONNELLE

ECOLOGIQUE SOCIAL
Conservation de la Emploi : 8 À 10 MJT/an
biodiversité Parcours en forêts
Protection des sols Bois énergie et bois
contre l’érosion de service
Régulation du régime Récréation, et
des eaux. loisirs.
ECONOMIQUE
Bois et liège
Plantes Aromatiques et Médicinales
Fourrages
Recettes.
II- Les causes de dégradation de la forêt
 1-Le bois de feu :

Les besoins accrus des populations en bois de chauffage ont engendré des
prélèvements abusifs en forêt notamment par ses riverains.

Le bois combustible constitue la deuxième source d'énergie utilisée au Maroc


après le fuel et représente 30 % du bilan énergétique national. La
consommation annuelle porte actuellement sur l'équivalent de 10 millions de
m3 , dont 53 % proviennent de la forêt; elle est répartie entre les ménages
ruraux (89 %), les établissements socio-économiques (fours publics, bains
maures, etc., 8 % et les ménages urbains (3%)).
Le rapport entre la consommation du bois provenant de la forêt et l’offre de
cette dernière.

Pour ce qui est du bilan de l’offre et de la demande, il est à signaler que


l’offre ne recouvre que 13,9% de la consommation total et que les
prélèvements en forêt approche 4 fois la possibilité de celle-ci. Le déficit
varie d’une région a l’autre et d’une province à l’autre.

Consommation/offre Provinces concernées

Consommation 1 à 2 fois l’offre Azilal, Khemisset, Tetouan, Larache, Esaouira, Oujda,


Al hoceima, Boulemane, Taroudant

Consommation 2 à 5 fois l’offre Beni Mellal, Khenifra, Ifrane, Taza, Agadir,


Ouarzazate.
Consommation 5 à 10 fois l’offre Chefchaouene, Tiznit.

Consommation > à 10 fois l’offre Errachidia, Taounate


Sources: Ministre chargé des eaux et forêts. Atelier relatif à la préservation et la gestion
durable des ressources naturelles. Rapport de synthèse. Avril 2000
2- Parcours excessif en forêt:

Le domaine forestier est soumis à une pression préoccupante de la part des


populations riveraines et de leurs troupeaux.
Cette pression exercée sur les formations forestières par un effectif de 7,4
millions de tête de bétail leur charge potentielle, entraîne leur
dégradation par les effets de:
- La durée de séjour des troupeaux, dépassant 9mois/an en forêt.
- La transhumance qui n’est plus de coutume dans certaines zones.
- L’émondage des arbres en période de neige et de disette.
3- Défrichement et labours en forêt

 le domaine forestier subit une régression de 6000 ha/an en moyen par le


défrichement effectués en vue de l’extension ou de la recherche de nouveaux
terrains de culture.
 Cette pratique a pris des dimensions graves dans le massif de Rif où la perte du
couvert forestier est évaluée à 4900ha/an.
En montre ici l’exemple de recul du couvert végétal dans les province du nord du pays:

Province Superficie en1966 Superficie en1986 Taux de


régression en %

Tetouan 70884 35641 50


Chefchaouen 106868 72468 32
Larache 20348 13045 46
El Hoceima 44656 23247 48
TOTAUX 242756 144401 41
Sources: Ministre chargé des eaux et forêts. Atelier relatif à la préservation et la gestion
durable des ressources naturelles. Rapport de synthèse. Avril 2000
4- La demande des terrains forestiers pour les
besoins divers et d’urbanisation
 Le milieu forestier, est sollicité en plus pour répondre aux besoins des projets de
développement et d’aménagement du territoire (Équipements collectifs, scolaires,
sanitaires , industrie, tourisme…)

 L'utilisation du domaine forestier a lieu sous forme d'occupation temporaire lorsqu'il


s'agit d'usages provisoires (recherche minière, exploitation de mines ou de carrière,
passage de lignes électriques, apiculture, infrastructure légère, etc.) ou par distraction du
régime forestier dans le cas où l'utilité publique est démontrée.
Les terrains forestiers sont souvent considérés comme une réserve foncière que l'on a
tendance à utiliser pour satisfaire les besoins des promoteurs immobiliers et touristiques,
des administrations et des collectivités.

 Les occupations temporaires du domaine forestier:

Année 1980 1990 2007


Superficie en ha 1400 2400 17000

Sources: Ministre chargé des eaux et forêts. Atelier relatif à la préservation et la gestion
durable des ressources naturelles. Rapport de synthèse. Avril 2000
5- La tendance à l'urbanisation :


La tendance à l'urbanisation, s'impose à l'évidence.
L'éclatement de l'habitat, la forte densité de la population notamment dans
les zones (Rif, Haut-Atlas et Sous) et le faible niveau de revenu conduisent
à une pression continue qui a pour conséquences :
- sur le plan écologique : régression de la forêt, des parcours et de la faune
sauvage, amplification des phénomènes d'érosion, dérèglement du régime
hydrique, détérioration de l'environnement et du cadre de vie;
- sur le plan économique : diminution de la productivité des ressources
forestières, pastorales et agricoles.
- Sur le plan socio-culturel : rupture des modes traditionnels d'organisation
de l'utilisation de l'espace rural par suite de l'extension des cultures au
détriment des formations sylvo-pastorales, dérèglement des mouvements de
transhumance et estompage de bois mort pour les besoins domestiques.
6- Les incendies de forêts :


De façon générale, le feu menace de plus en plus les forêts
marocaines, même si la superficie forestière brûlée annuellement
reste relativement faible comparativement aux pays nord-
méditerranéens.

la moyenne annuelle des surfaces incendiées est de l'ordre de 2.700 ha


pour la période 1960 - 1995.
La gravité des incendies de forêts varie selon les régions. Elle est
directement liée au type de végétation et notamment du sous-bois.
Les feux répétés menacent l'équilibre global des forêts

La période 1960-1969 1970-1979 1980-1989 1990-1995


La moyenne de la 1883 2962 3138 4503
superficie incendié en h/an
Sources: Ministre chargé des eaux et forêts. Atelier relatif à la préservation et la gestion
durable des ressources naturelles. Rapport de synthèse. Avril 2000
7- Les attaques parasitaires :

Les attaques parasitaires, eu égard aux:

 conditions écologiques difficiles (climat aride et sol fragile)


 pressions de surpâturage
 prélèvement de bois de feu et à la mutilation des arbres, mettent l'écosystème
forestier dans un état physiologique déficient.
Cet état est encore aggravé par les sécheresses périodiques qu'a connues le pays et
qui se sont traduites par des explosions spectaculaires de parasites.
8- Fragilité des écosystèmes :


Le Maroc est soumis à des conditions climatiques sévères puisque la majeure partie de son
territoire est située dans les zones bioclimatiques semi-aride, aride et saharienne. D'une
manière générale le climat marocain se caractérise par :

- une période de sécheresse estivale, coïncidant avec les maxima thermiques, plus ou moins
accentuée suivant les zones, de 3 à 5 mois en ambiance bioclimatique subhumide et humide,
jusqu'à 9 mois en ambiance climatique aride et hyper-aride;

- une période de froid hivernal dans les chaînes de montagnes et les plateaux continentaux
induisant une aridité bioclimatique qui s'explique par la combinaison de la période sèche, de
la période froide et de l'action des vents desséchants;

- une grande irrégularité des pluies mensuelles allant de 10 à 100 %;

- une intensité élevée des précipitations qui tombent en averses concentrées sur un nombre
de jours limités dans l'année.
9- Faiblesse des filières :

Malgré la grande diversité des produits forestiers et les spécificités particulières


qu'on relève au niveau de chaque produit ou sous-produit de la forêt, la filière
de produits forestiers peut être scindée en trois filières types :
 les produits ligneux.
 le liège.
 les produits non ligneux.
L'ensemble de ces filières dégage une nette dépendance de l'extérieur pour la
satisfaction des besoins nationaux, notamment en produits ligneux et dérivés.
La balance commerciale accuse un déficit très net, de l'ordre de 55 %, suit ne
cesse de s'amplifier. L'exploitation forestière représente l'interface entre l'offre
et la demande.
10- Limitation des moyens :

Les taux d'encadrement de la forêt restent faibles par rapport aux exigences
d'une question durable.

La situation générale des effectifs techniques et administratifs met en


évidence un chiffre de 5.145 personnes dont seulement 7 % d'ingénieurs
et 24 % de techniciens. Le niveau de ces taux, accentué par la faiblesse
des moyens matériels et de déplacement, constitue une contrainte majeure
à une gestion rationnelle des forêts.

Le secteur forestier dispose de deux sources de financement : le budget


général de l'État et les budgets affectés en comptes spéciaux du trésor
provenant de la taxation des produits forestiers. De façon générale, le
budget alloué à la forêt ne représente que 9 à 12 % du budget global du
département de l'agriculture avec une tendance à la baisse du niveau
d'investissement entre la période 1985-1995 de l'ordre de 56 %
LA FORET EST MENACÉE
Fragilité des
écosystèmes

Causes directes
• DÉFRICHEMENT 6000 ha/an
• SURPÂTURAGE : 4 x possibilité
• BOIS DE FEU : 3 x possibilité
• PERTE EN SOL et en EAU
• INCENDIES : 2800 ha/an

DEGRADATION DES
FORMATIONS
FORESTIERES
Moyens EROSION
limités

APPAUVRISSEMENT
DE LA BIODIVERSITE

: Causes indirectes

: Conséquences et effets
Désertification
21
III- Les textes réglementaires de la forêt

 La structure du régime foncier marocain avant l’établissement du protectorat


français reposait sur des principes religieux dont le droit de propriété est
essentiellement fondé sur le principe de vivification de la terre désertes et
incultes , c’est-à-dire que celui qui vivifie une terre en devient propriétaire
sauf s’il s’agit d’une forêt, car les forêt fournissent le bois de chauffage et le
pacage et ont par conséquent une utilité générale.

 Cependant, elles restent grevées de droit d’usage pourraient détenir les tribus
riveraines.

 Les membres des tribus vivant dans ou près des massifs forestiers se sont considérés
comme propriétaires, et prélevaient sans contrôle les produits nécessaires à leurs
besoins.
Cependant, toute appropriation de terres non conforme aux règles coutumières est
immédiatement combattue.
les droits d’usage sont reconnus actuellement par les dispositions des Dahirs du 10/10/1917 et du
04/03/1925 ils étaient, avant cette date, indéterminés et incontrôlés. Les principaux droits
d’usage exercés à l’époque étaient le pâturage, le défrichement et les différentes utilisations
du bois; les riverains en jouissaient pleinement comme de réels propriétaires.

Il est à signaler que la Maroc disposait d’un arsenal juridique relatif à la protection de la forêt
même avant la promulgation des nouveaux lois, il s’agit du:

 Dahir réglementant l'exploitation des carrières - 1914


 Dahir sur la délimitation du domaine de l'Etat - 1916
 Dahir sur la conservation et l'exploitation des forêts– 1917
 Dahir relatif aux occupations temporaires du domaine public - 1918

 Dahir sur la pêche dans les eaux continentales - 1922


 Dahir sur la police de la chasse - 1923

 Dahir sur la protection de la délimitation des forêts d'arganier - 1925

 Dahir sur la conservation et l'exploitation des peuplements d'alfa - 1930

 Dahir sur la création de parcs nationaux - 1934

 Dahir réglementant le commerce du gibier - 1938


 Dahir créant un conseil supérieur de la chasse et un fonds de la chasse - 1950
 Dahir relatif à l'organisation de la participation des populations au développement de l'économie forestière -
1976
- Le cadre juridique de la forêt marocaine d’après la loi 11-03
Relative à la protection et à la mise en valeur de l’environnement

Loi n° 11-03
relative à la protection et à la mise en valeur de l’environnement
Chapitre III
Section II – La faune, la flore et la biodiversities

 Article 20
La faune, la flore et la biodiversité doivent être protégées au moyen d’une gestion
rationnelle en vue de préserver toutes les espèces et de garantir l’équilibre
écologique.

 Article 21
Est interdite ou soumise à autorisation préalable de l’administration,
conformément aux dispositions législatives et réglementaires, toute activité
susceptible de porter atteinte aux espèces animales et végétales ou à leurs
milieux naturels.
 Article 22
Les dispositions législatives et réglementaires fixent notamment:
- La liste des espèces animales et végétales qui doivent bénéficier d’une
protection particulière.
- Les interdictions permanentes ou temporaires de toute activité susceptible
d’empêcher la protection des espèces rares, menacées ou en voie d’extinction
ainsi que leur milieu naturel.
- Les conditions d’exploitation, de commercialisation, d’utilisation, de transport
et d’exploitation des espèces.
- Les conditions d’introduction, quelle qu’en soit l’origine de toute espèces
animale et végétale pouvant porter atteinte aux espèces protégées ou à leur
milieux naturels.
 Article 23
Les forêts, qu’elles soient publiques ou privées, sont un bien d’utilité collective. Il
est du devoir de l’administration et des particuliers de les conserver et de les
exploiter d’une manière qui garantit leur équilibre et le respect des
écosystèmes

 Article 24
Les forêts doivent être exploitées de façon rationnelle et équilibrée. Les plans de
gestion et les travaux d’aménagement et d’exploitation intègrent les
préoccupations d’environnement pour que leurs utilisations économiques,
sociales, culturelles ou récréatives ne portent pas atteinte à l’environnement.
 Article 25
Les forêts doivent être protégées contre toute forme de dégradation, de pollution
ou de destruction causées par la surexploitation, le surpâturage, les incendies,
les maladies ou l’introduction d’espèces inadaptées.

 Article 26
Il est interdit de procéder à des déboisements, sauf autorisation préalable accordée
par l’administration, dans les conditions prévues par les dispositions
législatives et réglementaires relatives au domaine forestier.
Section VII : Les aires spécialement protégées, les parcs, les réserves
naturelles et les forêts protégées

Article 38
Peuvent être érigées en aires spécialement protégées, par voie réglementaire, après
consultation des collectivités locales et organismes concernés et après enquête
publique, des zones terrestres et marines du territoire national dont
l'environnement humain ou naturel présente un intérêt particulier qu'il y a lieu de
conserver. Ces aires sont protégées et préservées de toute intervention ou activité
susceptible de les modifier ou de les dégrader.
Lorsque l'importance de la zone protégée l'exige, l'autorité compétente peut la
transformer en parc ou réserve naturelle conformément à la procédure prévue par
les textes législatifs et réglementaires en vigueur.
Article 39
Lorsque la décision de classer une aire spécialement protégée, un parc ou une réserve
naturelle entraîne un préjudice matériel direct et certain, par la limitation des activités
antérieures dans la zone concernée, la décision ouvre droit à indemnité au profit du ou des
propriétaires ou à leurs ayants droit dans les conditions fixées par les lois et règlements en
vigueur.

Article 40
lorsque la conservation de l'équilibre écologique l'exige, toute zone
forestière,de quelque propriétaire que ce soit, peut être érigée en forêt
protégée où sera interdite toute activité ou exploitation du sol susceptible
d'altérer la qualité des arbres. La décision d'ériger en forêt protégée ouvre
droit à indemnité dans les mêmes conditions que celles prévues à l'article 39
ci-dessus.
La loi 28-00 relative à la gestion des déchets et à leur élimination:

Parmi les principaux objectifs de cette loi, en a la protection de la santé de


l’homme, la faune, la flore, les eaux, l’air, le sol ,les écosystèmes, les
sites et paysages et l’environnement en général contre les effets nocifs.
Par l’ L’organisation de la collecte, du transport, du stockage, du
traitement des déchets et de leur élimination de façon écologique
rationnelle. (art1)
 Article 6:
Toute personne qui détient ou produit des déchets, dans des conditions de
nature à produire des effets nocifs sur le sol, la faune et la flore, à
dégrader les sites ou les paysages, à polluer l’air ou les eaux, à
engendrer des odeurs, ou d’une façon générale, à porter atteinte à la
santé de l’homme et à l’environnement, est tenue d’en assurer ou d’en
faire assurer l’élimination dans les conditions propres à éviter lesdits
effets, et ce, conformément aux dispositions de la présente loi et ses
textes d’application.
Conclusion

La fragilité et la sensibilité des écosystèmes forestiers et de leur évolution


actuelle imposent une réflexion profonde quand aux vecteurs de changement,
ensemble de facteurs dynamiques qui peuvent infléchir la problématique de
dégradation et conduire au maintien de l'équilibre entre conservation et
développement de la forêt et de ses ressources.
Références

 Atelier relatif à la préservation et la gestion durable des ressources naturelles.


Rapport de synthèse. ministère chargé des eaux et forêt. Avril 2000
 Observatoire national de l’environnement, 2001.rapport sur l’état de
l’environnement au Maroc.
 Mekouar. M. Études en droit de l’environnement .1988. Ed Okad. Casablanca.
PP248.
 La loi N° 11-03, relative à la protection et à la mise en valeur de l’environnement
 La loi N° 12-03, relative aux études d’impact sur l’environnement
 La loi 28-00 relative à la gestion des déchets et à leur élimination
 http://www.minenv.gov.ma
Secrétariat d’état auprès du ministère de l’énergie, des mines, de l’eau et de
l’environnement, chargé de l’eau et de l’environnement. Département de
l’environnement.
 http://www.eauxetforets.gov.ma
Haut Commissariat aux Eaux et Forêts
et à la Lutte Contre la Désertification

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