Mémo2 CORR
Mémo2 CORR
Mémo2 CORR
****************
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA
RECHERCHE SCIENTIFIQUE (MESRS)
************
DIRECTION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR (DGES)
********
HauteEcole deCommerce et M
deanagement (HECM)
****
MEMOIRE DE FIN DE FORMATION POUR L’OBTENTION DU
DIPLÔME DE LICENCE PROFESSIONNELLE
******
: Sciences et Techniques FILIERE
OPTION : Réseaux Informatiques et
Télécommunications
Année académique
: 2022-2023
THEME
:
Réalisé par
:
Sous la direction: de
Maître de stage
: Maître de stage
:
M. Lionel KPEHOUNTON M. Benoit FADEYI
Directeur technique de CITECH SARL Enseignant à HECM
Juin2023
AVERTISSEMENT :
i
Dédicace 1
Mardiyath AKIN
iii
REMERCIEMENTS
iv
• la Directrice des Etudes pour le travail énorme qu’elle
effectue pour nous créer les conditions favorables pour le déroulement
de nos études ;
Figure 4: Synoptique d’une liaison FHN entre deux (02) points distants........... 24
Figure 6: Synoptique d’une liaison FHN entre deux (02) stations terminales avec
(satellite) ........................................................................................................ 32
v
Figure 17: Bande passante d’une antenne ........................................................... 40
Figure 32: Liaison FO point à point en fonction avec les diodes d’extrémités .. 64
Figure 33: Deux types de soudeuses électriques pour épissures par fusion ....... 64
Figure 36: (a) : Réseau en anneau (b) : Réseau arborescent (c) : Réseau maillé 74
Figure 1
75
protégé ........................................................................................................... 77
Figure 2
vi
ii
FTTX : Fiber To The …X…
FTTH : Fiber-To-The-Home
GPON : Gigabit Passive Optical Network
HECM : Haute Ecole de Commerce et de Management
HT : Haute Tension
HTML : Hyper Text Markup Language
http : Hyper Text Transfer Protocol
IIM : Informatique Industrielle et Maintenance
IP : Internet Protocol
IDU : Indoor Unit
LAN : Local Area Network
LASER : Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation
LED : Light Emitting Diode
MAN : Metropolitan Area Network
MIE : Multiplexeur à Insertion et à Extraction
MIC : Modulation par Impulsion et Codage
MUX : Multiplexeur
ix
OMSN : Optinex Multi-Service Node
PC : Personal Computer
sur Ordinateur
P2MP : Point – to - MultiPoint
PON : Passive Optical Network
PVC : Polychlorure de Vinyle Compensé
UML : Unified Modeling Language
RFID : Radio Frequency Identification
RIT : Réseaux Informatiques et Télécommunications
ROM : Read Only Memory
SDH : Synchronous Digital Hierarchy
SARL : Société A Responsabilité Limitée
SONET : Synchronous Optical Network
SAT-3/WASC South Africa Transit 3/West Africa Submarine Cable
SGBD : Système de Gestion de Base de Données
TIC : Simple Mail Transfer Protocol
TNC : Threaded Neill Concelman Connector
x
TV : TéléVision
UDWDM : Ultra- Dense Wavelength Division Multiplexing
VSAT : Very Small Aperture Terminal
WAN : Wide Area Network
WDM : Wave length Digital Multiplexing
RÉSUMÉ
Le thème du mémoire peut être appliqué sous différents angles, mais dans
le cadre de cette étude comparée, il s'agit d'examiner les différences entre les
liaisons par faisceaux hertziens numériques et celles par fibre optique en termes
de transmission de données en mettant en lumière les avantages et les
inconvénients de chaque technologie. Les critères évalués incluent les
performances, la fiabilité, la sécurité et les couts fournissant ainsi des
informations essentielles pour guider les décisions dans le choix entre ces deux
méthodes de transmission de données.
ABSTRACT
The theme of the dissertation can be applied from different angles, but
within the framework of this comparative study, it is a question of examining the
differences in performance between digital microwave links and optical fibe in
terms of data transmission highlighting the advantages and disadvantages of
each technology. The criteria evaluated include performance, reability, security
and cost, providing essential information to guide decisions in choosing between
these two data transmission methods.
xi
SOMMAIRE
INTRODUCTION
1ère
PARTIE : PRESENTATION DU LIEU DE STAGE ET
DEROULEMENT DE STAGE
2.1- Contexte
2.2- Problématique
CONCLUSION
xi
ii
INTRODUCTION
ETUDE COMPARE
E DES LIAISONS PAR FAISCEAUX HERTZIENS (FH) ET PAR FIBRE OPTIQUE
(FO) :
15
ETUDE COMPARE
E DES LIAISONS PAR FAISCEAUX HERTZIENS (FH) ET PAR FIBRE OPTIQUE
(FO) :
ressortir les avantages et les inconvénients liés à chaque type de médias et d’en
faire un choix judicieux.
ETUDE COMPARE
E DES LIAISONS PAR FAISCEAUX HERTZIENS (FH) ET PAR FIBRE OPTIQUE
(FO) :
L’histoire remonte en vacances 2013. D’une part, après une analyse des
différentes difficultés rencontrées quotidiennement par les étudiants dans la
réalisation de leurs rapports de fin de formation pour les cycles BTS, LICENCE
et d’autre part, vus les cahiers des charges des différents projets en informatique
et en électronique à réaliser, une conjugaison de forces s’impose car ensemble
on est plus fort dit-on.
✓ Former les étudiants afin de les aider à avoir une main pratique dans
ces différents secteurs pour se prendre en charge.
Chaque dossier à traiter est soumis à son autorité et doit avoir son
approbation avant de poser n’importe quelle action. Il entretient des relations
suivies avec les partenaires intéressés ou impliqués dans la bonne marche de
l’entreprise.
Le directeur général est assisté par un directeur adjoint qui exerce presque
la même action que lui. Il assure son intérim en cas d’absence plus ou moins
prolongée dans l’exécution des affaires courantes.
2- LE DEROULEMENT DU STAGE
Au cours de notre stage qui s’est déroulé du 06 mars au 06 juin 2023, nous
avions travaillé sur les modules que voici :
✓ Maintenance informatique
✓ Antenne parabolique
Ici, nous avions appris à sertir des câbles réseaux. Il existe deux (02) types de
normes à savoir :
- la norme A -
la norme B.
✓ une lame,
✓ un testeur de câble.
Enfin nous avions aussi appris à donner des adresses IP aux ordinateurs.
Ce travail a consisté à :
-installer un onduleur ;
-tirer les câbles Ethernet par les tuyaux d’un bureau à un autre ;
-partager la connexion ;
- démonter le PC ;
- procéder au dépannage ;
- le pointage de l’antenne,
chaines
Aucune œuvre humaine n’étant parfaite, durant notre stage dans les locaux de
CITECH SARL, nous avions été confrontés à quelques problèmes notamment :
2.3- SUGGESTIONS
2.1. CONTEXTE
Les deux (02) technologies appliquées à ces médias sont utilisées pour
transmettre des données à travers des réseaux de communication à distance.
Les liaisons par Faisceaux Hertziens Numériques et par fibre optique sont
deux (02) supports ou médias incontournables dans les télécommunications.
2.2. PROBLEMATIQUE
Figure 4: Synoptique d’une liaison FHN entre deux (02) points distants
Dans les pays développés ; ce système des ondes est pratiqué aux régions
difficilement accessibles, (les régions montagneuses ou les déserts), ou pour un
déploiement dans des délais courts, ou pour sécuriser une liaison câblée (Fibre
Optique par exemple) déjà existante.
Une liaison hertzienne comprend deux (02) stations terminales (E/R) et des stations
relais ; elle peut être composée d’un ou plusieurs bonds.
On appelle stations relais, sans modulateur FI sauf pour desservir une localité
donnée, celles situées entre les stations terminales.
Figure 6: Synoptique d’une liaison FH N entre deux (02) stations terminales avec 02 stations
relais
Figure 7: Schéma synoptique typique d'une liaison Hertzienne numérique entre deux (02)
stations terminales avec 01 station relais en 02 bonds
C= 3.108
Une onde OEM est constituée d’un champ électrique 𝐄⃗ et d’un champ magnétique
𝐇⃗⃗ qui forment un trièdre direct avec la direction de propagation ;
• Réflexion
Signal réfléchi
Signal incident i r
i = r (les deux angles sont
égaux mais opposés)
• Réfraction
La normale au dioptre
Signal incident
i
Dioptre
r
Signal réfracté
• Diffraction
• Diffusion
• Absorption
Antenne Antenne
dipôle parabolique
Le gain d’une antenne est défini par rapport à une antenne de référence.
P=
• Dégagement de Fresnel
𝛌• 𝐝𝟏• 𝐝𝟐
√
Le rayon à tout point M des foyers des antennes vaut : r = 𝐝𝟏+𝐝𝟐
Figure 12: Liaison par onde directe AB ou par transmission ionosphérique (satellite)
Ici, seule la propagation en onde directe et celle par l'intermédiaire d'un satellite
sont utilisables.
AEL lié à la distance d Terre-Satellite vaut -200 dB, varie peu avec les
conditions climatiques et n'est pas affecté par le relief.
Un seul satellite permet de couvrir tout une zone géographique donnée de l’univers,
sans difficultés particulières.
1.1.2. a. PRINCIPE
Si ce champ varie dans le temps, c'est le cas d'une antenne alimentée par une
source alternative, il se produit une onde électromagnétique alternative.
En fait, ce principe peut s'étendre à tout câble parcouru par un signal, qui
peut donc ainsi rayonner ce signal ou recevoir des signaux externes (cas des
bruits parasites).
Ainsi, une antenne dont le brin rayonnant est placé horizontalement propage
donc une onde électromagnétique à polarisation horizontale.
De même, une antenne dont le brin rayonnant est placé verticalement propage une
onde électromagnétique à polarisation verticale.
La terre agit comme miroir pour toute antenne et réfléchit les ondes qui la
frappe. Ainsi une antenne, dont la base se trouve au sol, est en fait prolongée par
son image. Pour tirer profit de cette caractéristique, les antennes peuvent être
complétées par une terre artificielle très conductrice.
➢ DIAGRAMME DE RAYONNEMENT
La directivité peut être imaginée dans l'espace par un volume dont on a coutume de
représenter deux (02) coupes perpendiculaires :
Les lobes secondaires, séparés du lobe principal sont indésirables car ils correspondent
à une perte d'énergie dans une direction autre que la direction privilégiée, et peuvent
provoquer des réceptions dans des directions non souhaitables. Il est donc nécessaire que le
niveau de ces lobes secondaires soit le plus faible possible.
-leur largeur de bande, on distingue les antennes à bande étroite et celles à bande
large ;
-leur résonance, on peut les grouper dans les antennes résonantes ou à onde
progressive ;
-le nombre de leurs éléments, on distingue les antennes élémentaires et les réseaux
d'antennes.
Les antennes filaire ou filiformes sont faites à partir de brins conducteurs et sont
généralement facile à fabriquer et à coût réduit.
C'est la bande de fréquence que l'antenne peut recevoir, sans changement appréciable
de ses caractéristiques de gain, d'impédance et de directivité.
Dans la plupart des cas, la bande passante est limitée par la dégradation des
valeurs d'impédances et donc de TOS, ainsi que par la détérioration des
diagrammes de rayonnement.
Une antenne est un dipôle passif. Elle émet (ou reçoit) des ondes électromagnétiques.
Une antenne se comporte comme un circuit résonnant.
Une antenne n'est pas un amplificateur mais elle concentre le signal dans une
direction donnée ; c’est sa directivité. Le gain d'une antenne est défini par le rapport
du champ maximum engendré dans son axe de directivité privilégiée et celui qui
serait engendré par une antenne isotrope pour des puissances identiques.
On peut aussi caractériser une antenne par son aptitude à capter un certain flux
d'ondes électromagnétiques.
Ainsi, une antenne parabolique dont on double le diamètre voit son gain augmenter
d'environ 6 dB.
De même, une antenne possède un gain plus élevé en haut de gamme qu'en bas
de gamme.
-la gaine optique (cladding) : une couche qui entoure le cœur, elle est
souvent du même type de matériel que le cœur mais avec un indice de réfraction
plus faible que ce dernier. C’est elle qui confine la lumière dans le cœur ;
Le rôle de la gaine qui entoure le cœur est de favoriser la transmission du signal grâce
à un faible indice de réfraction.
Suivant les dimensions du cœur et les valeurs des indices de réfractions, la fibre
optique se décline en trois (03) catégories :
D’un cœur au diamètre de ± 50 µm, la fibre optique multimode se divise en deux (02)
catégories :
La fibre optique multimode à saut d'indices n'est plus utilisée. Par contre
la fibre optique multimode à gradient d'indices est de plus en plus utilisée pour le
câblage des LAN. Elle est normalisée par la norme G.651 de l’IUT.
La fibre monomode est la plus utilisée pour les liaisons à haut débit ou pour les
liaisons de longue distance (fibre intercontinentale).
L’avantage de cette fibre optique est sa performance avec une large bande passante
(40 Gbps) et une faible atténuation.
http://www.jdsu.com/fiberguide2/Pages/default.aspx
C’est un paramètre est très important lors du déploiement d’un réseau optique afin
de garantir la qualité de service.
De nos jours, la fibre optique permet d’atteindre 25 Téra bit /s. En fonction
des indices de réflexion et de la distance, la bande passante en kilobits/s peut être
calculée par la formule suivante :
Figure 22: courbe d’affaiblissement en fonction des différentes longueurs d’onde utilisées sur
FO
✓ l’absorption par les ions OH. La présence des ions OH dans les
matériaux constitutifs de la fibre augmente l’atténuation. Cette atténuation peut
être réduite en purifiants les matières premières.
✓ les diffusions le long de la fibre de manière intrinsèque et pour
d'autres raisons telles que les inhomogénéités de la fibre, les réflexions le long de
la fibre, les pertes au niveau des courbures ou micro-courbures, etc…
Les signaux lumineux qui se propagent à l’intérieur d’une fibre optique, suivent
une direction rectiligne.
C’est pourquoi, les angles de 90° sont interdits sur le passage d’une fibre optique.
1.2.4.e. LA DISPERSION
La dispersion est aussi l’un des facteurs qui affectent le signal transporté par
une fibre optique. La dispersion réduit la bande passante effective du support.
• la dispersion modale ;
• la dispersion chromatique ;
• et la dispersion de polarisation.
➢ LA DISPERSION CHROMATIQUE
Lors
d’une installation, il important de veiller sur les effets de la dispersion chromatique que sur
les autres paramètres du câble.
C’est un facteur qui limite la bande passante dans les transmissions longue distance
à très haut débit.
On distingue :
On peut avoir :
-les télécommunications, pour la réalisation des réseaux haut débit des opérateurs
en technologies WDM, SDH, ATM.
a.
Les équipements passifs sont des équipements qui sont utilisés dans un réseau
optique sans nécessité une source d’alimentation électrique.
• la connectique optique ;
• les Splitters ;
Les équipements actifs dans un réseau optique, sont les équipements qui
fonctionnent avec la source d’énergie électrique. Ils sont utilisés pour
transmettre, régénérer et recevoir les signaux optiques.
Un réseau d’accès optique est un ensemble des liens de transmission qui possèdent les
mêmes interfaces réseaux et supportent un système de transmission optique. Ces liens
raccordent l’utilisateur au nœud de raccordement de l’opérateur.
Chacune de ces architectures permet la mise en place d’un réseau d’accès optique
répondant aux demandes variées des utilisateurs.
Une telle architecture offre plusieurs avantages. Tout d'abord, parce qu'elle est
aussi bien adaptée pour les clients résidentiels que pour les entreprises.
Les utilisateurs pourront bénéficier d’une grande bande passante dans le sens
bidirectionnel. Ensuite, il n'y a pas de composant optique entre l'OLT et l'ONT.
Par conséquent, le budget de perte est très faible et est traduit par une
distance de transmission pouvant atteindre 50 km sans amplification pour des
débits allants jusqu'à 10 Gbit/s. De plus, la gestion du réseau est simplifiée.
Pour sertir les extrémités des câbles optiques, deux (02) procédés sont utilisées :
Les connectiques optiques doivent être réalisées en suivant les règles d’art.
Il est recommandé de procéder par la méthode permettant d’avoir une faible perte
tout en protégeant les connectiques des poussières et dommages durant leurs
utilisations.
Les extrémités d’une fibre optique sont les points qui nécessitent beaucoup
d’attention durant la manipulation. Les épissures sont les plus souvent utilisées
durant l’opération de restauration après la rupture d’une fibre.
L’épissure est une connexion permanente entre deux (02) fibres. Il existe deux
(02) types d’épissures : la fusion et la mécanique.
Sur le marché, les fabricants proposent une large gamme des connecteurs avec
différentes méthodes de sertissage.
❖ LES CONNECTEURS
Connecteur SC :
connecteur le plus répandu
sur le marché WAN et
LAN. Il se distingue du ST par un moindre
dépassement de la férule, ce qui implique un risque
faible de déconnexion lors de traction sur le câble. Sa
section rectangulaire assure une meilleure prise en
main et un meilleur guidage mécanique à l’intérieur de
la traversée.
polymère chargé. Les fibres sont séparées de 750 μm sur la férule. Le principe
d’alignement fibre à fibre s’inspire de la férule MT et utilise deux (02) pions
de centrage de part et d’autre des fibres.
Connecteur LC Duplex : ce connecteur bivoie utilise une technologie
parfaitement maîtrisée
Figure 30: Liaison FO point à point en fonction avec les diodes d’extrémités
Figure 31: Deux types de soudeuses électriques pour épissures par fusion
Il existe trois (03) principes basiques qui sont essentiels à la jonction efficace
d’une fibre optique.
▪ Contact physique ;
▪ Interface de connecteur.
Le but est donc d’éliminer tous les motifs de risque de contaminations dans le
réseau de fibre optique.
➢ les chambres : espaces aménagés dans le sous-sol, reliés entre eux par les
fourreaux, depuis lesquels on accède aux dits fourreaux pour y déployer les câbles à
fibres optiques.
Les fourreaux sont destinés à recevoir des câbles télécoms. Les câbles télécoms
seront soit de type fibre optique (FO), soit de type cuivre (Cu).
❖ TYPES DE CONDUITE
➢ tirage,
➢ portage / soufflage.
➢ tirage,
➢ portage / soufflage.
Il s’agit d’une technologie sans fil, où les signaux sont transmis à travers l’atmosphère.
Les FHN sont souvent utilisés pour transmettre des signaux à faibles distances, notamment
pour les communications interurbaines voire internationales avec des stations relais avec
beaucoup des pertes.
A cause de ces pertes par bonds (-140 dB en FHN et -200 dB sur satellite),
les opérateurs sont contraints à déployer la technologie PDH sur des distances
restreintes.
La combinaison du multiplexage bit à bit des flux #1, #2, #3 et #4 de 2,048 Mbit/s
permet un débit de E2 = 8,448 Mbit/s.
Des techniques similaires permettent d'agréger quatre (04) de ces flux 8,448 Mbit/s
pour former des conduits de E3 = 34,368 Mbit/s puis E4 = 139,264 ou 140
Mbit/s et enfin E5 =565 Mbit/s qui n’est pas normalisé par UIT.
La trame de base SDH est formée à partir des trames PDH normalisées T1,
L'architecture d'un réseau SDH en fibre optique est déterminée à partir d'un certain
nombre de considérations fondamentales telles que :
La technologie SDH (Synchronous Digital Hierarchy) est une hiérarchie qui consiste
à multiplexer dans le temps des trains numériques synchrones.
La hiérarchie SDH est utilisée dans les réseaux de transmission numérique haut
débit utilisant comme supports les FHN seulement STM1 et rarement STM4.
La fibre optique utilise des fils en verre ou en plastique pour transmettre des signaux
dans le cœur.
Sur la fibre optique seule la technologie SDH est recommandée grâce à son évolution
et des mises à jour logicielles renouvelables pour élever les débits.
àdire d’injecter simultanément dans une fibre optique plusieurs trains de signaux
numériques sur des longueurs d’onde distinctes.
Elle est caractérisée par l’espacement entre deux longueurs d’ondes de 20 nm,
une portée de 70 km et le nombre de longueurs d’ondes maximum est de 18.
Elle est caractérisée par l’espacement entre deux longueurs d’ondes de 0,8
nm environ, une portée de 600 km et le nombre de longueurs d’ondes maximum
est de 160.
Voici un tableau détaillant les caractéristiques des modes WDM les plus
répandus
Figure 34: (a) : Réseau en anneau (b) : Réseau arborescent (c) : Réseau maillé
Elle
consiste à utiliser simultanément deux (02) fibres à demi-charge.
Si l'un des dispositifs est défaillant, le deuxième est utilisé à pleine charge.
Lors de l'utilisation normale, il est admis d'utiliser les deux (02) autres
demicharges de réserve pour transporter des flux supplémentaires.
2.1.1. AVANTAGES
2.1.2. INCONVENIENTS
•Capacité limitée : ils ont une capacité limitée par rapport aux autres
moyens de transmission de données. Ils ne peuvent transportés qu’un certain
nombre limité de signaux simultanément et ont des bandes passantes limitées.
•Les pylônes aux risques de ruptures ne peuvent supporter qu’une
charge limitée des antennes : les antennes pouvant drainer les signaux SDH
sont généralement plus géantes car les gains des antennes sont proportionnels à
leur surface des réflecteurs. C’est pourquoi en FHN, on est contraint aux liaisons
PDH qu’en SDH. La satisfaction urgente des besoins justifie les liaisons PDH.
•Fiabilité : les FHN nécessitent des entretiens réguliers pour maintenir leur
fiabilité. Les pannes d’équipements ou de dépointage des antennes peuvent
également se produire, entrainant des interruptions de la transmission de
données.
•Faible atténuation du signal : les signaux optiques ont une perte de signal
minimale lorsqu’ils sont transmis sur des fibres optiques monomodes
(0,2dB/km).
2.2.2. INCONVENIENTS
▪ Fragilité : les câbles de fibre optique sont très fragiles et doivent être
manipulés avec précaution. Une mauvaise manipulation peut causer une rupture
du câble, ce qui peut interrompre la continuité de la liaison.
Le choix entre les Faisceaux Hertziens Numériques et les fibres optiques peut
dépendre de plusieurs facteurs, notamment :
•Coût : les coûts initiaux des faisceaux hertziens sont généralement moins
élevés que ceux des fibres optiques, mais les coûts d'exploitation à long terme
peuvent être plus élevés. Les coûts des fibres optiques ont diminué au fil du
temps, les rendant plus accessibles, mais ceux des génies civils grimpent sans
cesse.
•Temps de mise en œuvre : les FHN peuvent être installés plus rapidement
que les fibres optiques, car les génies civils en FO ne nécessitent pas de travaux
de creusement profond de tranchées pour leurs réalisations mais le coût
d’implantation des pylônes n’est pas négligeable. Cependant, le fonctionnement
des FHN, en plus du temps de mise en œuvre vient s’ajouter un autre temps
d’attente des autorisations et attributions de Licence et fréquences.
Les Faisceaux Hertziens Numériques (FHN) et les fibres optiques (FO) sont
deux (02) technologies de transmission de données hauts débits qui ont
révolutionné la communication à longue distance.
:
•Augmentation de la bande passante : les Faisceaux Hertziens
Numériques et les fibres optiques sont constamment mis à niveau pour offrir une
bande passante plus élevée. Cela permettra de répondre à la demande croissante
de communications hauts débits pour les applications telles que la vidéo en
streaming, la réalité virtuelle et les jeux en ligne. La technologie PDH risque de
disparaitre en FHN.
•Développement de la technologie sans fil : les FHN sans fil sont utilisés
pour relier les tours de télécommunications à distance. Les prochaines
générations de Faisceaux Hertziens Numériques sans fil utiliseront des
fréquences plus élevées pour offrir une bande passante plus élevée et une plus
grande densité de données. C’est la tendance vers les faisceaux tout optique qui
sont aussi très efficaces et rapides dans les distributions (BLR).
CONCLUSION
En conclusion, l'étude comparée des liaisons par fibre optique et à faisceaux hertziens
numériques a mis en évidence les nuances significatives entre ces types de liaisons
offrant une perspective complète sur les avantages et inconvénients associés à chaque
technologie. Les analyses ont révélé que les liaisons par faisceaux hertziens numériques
puissent offrir une flexibilité et une rapidité d’installation, la fibre optique excelle en
termes de bande passante, de sécurité et de durabilité. L’évaluation de la résilience aux
conditions environnementales a souligné l’importance de considérer les facteurs extérieurs
dans le choix de la technologie de la communication. De plus, cette étude a fourni des
éléments concrets pour guider les décideurs dans le choix entre ces technologies, en
fonction des besoins spécifiques de leurs projets. Il est crucial de prendre en compte non
seulement les performances techniques, mais également les considérations
environnementales et économiques pour garantir des décisions éclairées et durables dans
le déploiement des réseaux de communication futurs.
WEBOGRAPHIE
SITES THEMATIQUES
Lien : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/acceuil;
Lien :
https://www.youscribe.com/catalogue/tous/education/etudes superieures;
Consulté la dernière fois le : 19 Avril 2023 à 13h12 ;
BIBLIOGRAPHIE
Réalisée par Audrey GNAMBODE et Mardiyath AKIN I
ETUDE COMPAREE DES LIAISONS PAR FAISCEAUX HERTZIENS (FH) ET PAR FIBRE
(FO)
OPTIQUE
:
AVANTAGES ET INCON
VENIENTS D’UN CHOIX
Ouvrages et documentations :
multimédia>>
Ouvrages numériques
AVERTISSEMENT : ................................................................................................................
i
Dédicace 1 ..................................................................................................................................
ii
Dédicace 2 .................................................................................................................................
iii
REMERCIEMENTS ...............................................................................................................
iv
RÉSUMÉ ..................................................................................................................................
ix
ABSTRACT .............................................................................................................................
xi
INTRODUCTION ....................................................................................................................
1
3. CONTEXTE ................................................................................................................
17
4. PROBLEMATIQUE ...................................................................................................
19
CONCLUSION .......................................................................................................................
87
WEBOGRAPHIE ......................................................................................................................
I
BIBLIOGRAPHIE ..................................................................................................................
II