Knock, Jules ROMAINS

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Dossier de lecture :

Knock, Jules ROMAINS.

Jules ROMAINS :
Jules Romains, né Louis Farigoule à Saint-Julien-Chapteuil le 26 août 1885 au sein d'une famille
d'instituteurs et mort à Paris le 14 août 1972, est un écrivain, philosophe, poète et dramaturge
français.
Élève brillant, il publie son premier recueil de poèmes à l'âge de 18 ans et obtient une
agrégation de philosophie en 1909. Tout en enseignant, Jules Romains écrit. Il publie de
nouveaux recueils de poèmes, ainsi qu'un premier roman Mort de quelqu'un , mais la
Première Guerre mondiale interrompt ses activités. Après l'armistice, il quitte l'Éducation
nationale pour se consacrer à l'écriture. Il se tourne alors vers le théâtre. En 1923, il écrit
une comédie, mise en scène par Louis Jouvet, qui marque le début de sa célébrité : Knock,
ou le triomphe de la médecine. Dans les années 1930, Jules Romains poursuit l'écriture
théâtrale avec, entre autres, Amédée, ou les messieurs en rang (1923), Le mariage de
monsieur Le Trouhadec (1926), Le dictateur (1926). Il devient ainsi un des dramaturges
les plus joués de son époque. En 1932, il revient au roman, et se lance dans l'écriture d'une
vaste fresque composée de 27 volumes, Les hommes de bonne volonté. En parallèle, Jules
Romains exprime également ses engagements politiques et adhère à la Ligue
internationale des combattants de la paix. Il milite en faveur du Front populaire, prône le
pacifisme, et condamne la montée des fascismes en Europe. Partisan de l'amitié franco-
allemande, il coupe toutefois les ponts avec l'Allemagne en 1939. Pendant la Seconde
Guerre mondiale, il s'exile aux États-Unis, puis au Mexique. En 1946, poussé par le général
de Gaulle, il entre à l'Académie française. Journaliste pour l'Aurore entre 1953 et 1971, il
s'oppose à l'indépendance de l'Algérie en 1962. Jules Romains décède le 14 août 1972, à
Paris à l'âge de 87 ans.
Il est à l’origine du concept d’unanimisme (doctrine littéraire d'après laquelle l'auteur doit
exprimer la vie unanime, les états d'âme collectifs), dont il fut le principal représentant, et
dont la gigantesque fresque Les Hommes de bonne volonté constitue le plus remarquable
exemple romanesque.

Bibliographie:
"Les Hommes de bonne volonté", un roman-fleuve en 27 volumes publié entre 1932
et 1946, qui retrace l'histoire de la société française de 1908 à 1933.
L’Armée dans la ville, 1911.
Knock ou le triomphe de la médecine, 1923.
Monsieur le Trouadec saisi par la débauche, 1923.
Amédée ou les Messieurs en rang, 1923.
Le Déjeuner marocain, 1926.
Démétrios, 1926
Jean le Maufranc, 1926.
Le Dictateur, 1926.
Boën ou la posséssion des biens, 1930.
Donogoo, 1930.
Grace encore pour la terre, 1939.
Musse, 1959 (écrit en 1930).

Contexte Historique
L'épreuve de la Grande guerre marque la France et le monde. En 1914, la guerre met fin à l'insouciance
de la Belle Époque. Le sacrifice de millions d'hommes fonde la légitimité de la III République victorieuse.
Mais en 1919, le traité de Versailles porte en lui les germes d'un nouveau conflit. Les années trente sont
ainsi marquées par la montée des fascismes en Italie, en Allemagne, puis en Espagne. Les démocraties
sont impuissantes à empêcher la Seconde Guerre mondiale. La France occupée connaît des heures
sombres. De 1940 à 1944, l'occupation allemande et le gouvernement de Pétain, installé à Vichy,
constituent les années noires de la France. La «<rafle du Vel d'hiv >> devient le symbole d'un
renoncement aux valeurs de la République. Mais une partie de la population résiste au nazisme, derrière
le général de Gaulle. À la Libération, la IV République doit tout reconstruire. Elle le fera avec les femmes,
qui obtiennent enfin le droit de vote. La France, essentiellement rurale au début du siècle, devient
urbaine. On se passionne pour le débat politique, alimenté par la presse d'opinion et l'organisation de
grandes manifestations, parfois violentes. En 1936, la victoire du Front populaire instaure des lois
sociales. comme la semaine de quarante heures ou les congés payés. Après-guerre, les puissants
syndicats ouvriers accompagnent le pays dans sa reconstruction et sa modernisation. Les fruits de la
révolution économique profitent aux populations. Les inventions se multiplient, transformant les modes
de vie et les paysages : l'avion, l'automobile, le téléphone font leur apparition, tandis que l'électricité se
généralise. La médecine est transformée par la découverte de la pénicilline en 1927 et la poursuite des
recherches de Pierre et Marie Curie sur la radioactivité. Cependant, la science est aussi mise au service
de la guerre à travers l'invention de nouvelles armes de destruction. En 1945, la bombe atomique lancée
sur Hiroshima terrifie le monde. À la reconstruction succède la décolonisation. Les guerres d'Indochine
puis d'Algérie confrontent la France à la décolonisation. Celle-ci ramène au pouvoir, en 1958, le général
de Gaulle, qui fonde la V République et engage résolument la France dans la construction européenne.
La v République met en place un pouvoir présidentiel fort et des institutions solides. La France devient,
avec l'Allemagne, l'un des deux piliers de l'Europe. La chute du mur de Berlin en 1989 met fin à la «
guerre froide ». Malgré les crises, provoquées par les chocs pétroliers de 1974 et 1980, le niveau de vie
augmente. L'économie se modernise, de plus en plus ouverte sur le monde. La chute du mur de Berlin
permet l'élargissement de l'Europe aux pays de l'Est. L'optimisme général se concrétise avec la création
de l'euro, en 1999. L'époque des guerres et des conflits semble bien loin, désormais. Les Trente glorieuses,
de 1945 à 1975, transforment profondément la société. Alors que l'industrie triomphe avec le travail à la
chaîne, on voit apparaître de nouvelles zones d'habitations dans les banlieues des grandes villes. Les
ménages accèdent à des équipements électroménagers, jusque-là inabordables, de même qu'à
l'automobile, à la télévision, puis au téléphone. Dans les banlieues s'installent des populations ouvrières,
qui cohabitent avec celles appelées en renfort dans l'ex-empire colonial : chacun y voit une chance de
prendre un nouveau départ. La société de consommation naissante est contesté par la jeunesse en mai
1968. La société connaît des mutations profondes. Le désir de consommation est encouragé par la
publicité, conduisant à une société individualiste, où les loisirs prennent une place considérable. Mais le
succès de centres commerciaux gigantesques ne peut cacher l'apparition d'une fracture sociale,
économique et culturelle. Certaines communes, à l'urbanisme souvent défaillant, connaissent leurs
premières crises. La jeunesse étudiante se révolte au cours du mois de mai 1968, entraînant aussi des
grèves générales, en réclamant la transformation de la société.
Contexte historique en Martinique:

À partir de 1884, avec la concurrence de la betterave, une grave crise de surproduction de sucre
s'installe à l'échelle mondiale. Les cours s'effondrent sur les marchés extérieurs qui n'offrent plus
de débouchés intéressants et les usines les plus récentes qui n'avaient pas encore eu le temps
de se constituer des réserves sont les plus touchées. Des planteurs de canne martiniquais
décident de baisser les salaires des ouvriers, tout en augmentant leur charge de travail, ce qui
conduit à des mouvements de grève dont celle de 1900, la plus importante, qui fait au moins dix
morts, tous ouvriers agricoles

L'éruption de la montagne Pelée en 1902 a durablement marqué les esprits. Le 8 mai 1902, une
terrible éruption provoquant la formation d'une nuée ardente tue tous les habitants de Saint-
Pierre (à l'exception d'un prisonnier du nom de Louis-Auguste Cyparis, ou Sylbaris, sauvé par
l'épaisseur des murs de son cachot) et des environs de la ville (30 000 morts). Le 30 août
suivant, alors qu'un géologue s'était déplacé de Paris et avait prévenu du danger d'une nouvelle
éruption, une nuée ardente tua encore 1 300 personnes au Morne Rouge. La Martinique connaît
par la suite de nombreuses difficultés économiques et sociales. L’industrie sucrière est paralysée
par la concurrence du sucre de betteraves produit en France et le sucre de canne moins cher
des autres îles environnantes

Le 19 mars 1946, la Martinique devient un département français à part entière. Ce changement


de statut a aidé la Martinique à se développer économiquement et à bénéficier des aides de
l’Union Européenne,

Le théâtre au XX siècle:

La mise en scène renouvelle le théâtre. De nouvelles compagnies théâtrales


expérimentent des formes modernes de représentation, dans lesquelles le metteur en
scène tient une place déterminante. Jacques Copeau, Charles Dullin, Jean-Louis
Barrault, Louis Jouvet s'appuient sur les progrès techniques et le renouveau des salles
de théâtre pour créer des pièces exigeantes. En 1947, Jean Vilar fonde le festival
d'Avignon, qui assure aux créateurs une tribune ouverte à tous les publics.
L'Antiquité inspire de nouveau les dramaturges. Tandis que sur les scènes du
Boulevard, les auteurs à succès continuent de faire rire les foules, de nombreux
auteurs renouvellent le genre théâtral. Réécrivant les mythes grecs, Jean Giraudoux et
Jean Anouilh disent leur inquiétude devant la menace des dictatures. Et c'est, précisé-
ment, pendant l'occupation allemande que Jean-Paul Sartre et Albert camus
représentent leurs pièces.
Résumé
Le premier acte de Knock ou Le triomphe de la médecine est constitué d’une scène
unique. Le couple Parpalaid accueille Knock qui vient d’arriver en gare. En effet, le
docteur Parpalaid a vendu à Knock sa charge de médecin.
Le couple conduit donc le personnage éponyme vers Saint-Maurice, le village de
montagne dans lequel se trouve le futur cabinet de Knock. Dans un premier temps, le
couple fait miroiter une situation idyllique à Knock. Mais en creusant un peu au fil de la
conversation, la situation apparaît tout autre : le Docteur a vendu à Knock un cabinet
sans clientèle, les gens du canton consultant très peu. Difficile de faire fortune dans ces
conditions…
Knock est déçu bien sûr, mais il annonce au couple Parpalaid que grâce à une méthode
innovante, il va rendre le cabinet florissant et s’enrichir. Il dévoile d’ailleurs au cours de
cette conversation qu’il n’a obtenu son diplôme de médecine que très récemment, bien
qu’il ait la quarantaine. Passionné par la médecine, il avait d’abord commencé à travailler
sur un navire comme officier de santé, poste pour lequel aucun diplôme n’était requis.
L couple conduit donc le personnage éponyme vers Saint-Maurice, le village de
montagne dans lequel se trouve le futur cabinet de Knock. Dans un premier temps, le
couple fait miroiter une situation idyllique à Knock. Mais en creusant un peu au fil de la
conversation, la situation apparaît tout autre : le Docteur a vendu à Knock un cabinet
sans clientèle, les gens du canton consultant très peu. Difficile de faire fortune dans ces
conditions…
Dans le deuxième acte Jules Romains place cette fois-ci l’action de sa pièce Knock ou Le
triomphe de la médecine au cabinet de son personnage principal. Six scènes distinctes
constituent cet acte.
Dans un premier temps, Knock donne pour mission au tambour de la ville de faire une
annonce au village : Knock donnera un consultation gratuite tous les lundis matin. Le
tambour se voit d’ailleurs ausculté gratuitement mais Knock lui découvre une maladie
qui nécessite un régime draconien. Le tambour sort passablement inquiet de la
consultation, se croyant malade. Ensuite, Knock rencontre l’instituteur, avec lequel il veut
s’entretenir. Prétextant l’éducation à l’hygiène des habitants du canton, il suggère à
l’instituteur, à force de flatteries, de collaborer à des conférences conjointes sur les
dangers des microbes. L’instituteur accepte, mais il repart de chez Knock en
s’interrogeant sur les germes dont il serait éventuellement porteur.
Dans un troisième temps, Knock procède exactement de la même manière avec le
pharmacien. Une collaboration est vite scellée entre les deux hommes, en vue de tirer
profit de la lutte contre la maladie.
Les trois scènes suivantes enchaînent les consultations. Une riche paysanne, une
aristocrate, et enfin deux villageois venus pour donner du fil à retordre à Knock. Si les
deux premières dames ressortent de leur consultation en pensant qu’elles sont malades,
gravement sans doute, et qu’il leur faudra surmonter les affections dont elles souffrent, il
en est autrement des deux « gaillards ». Voulant rire aux dépends de Knock, celui-ci les
gratifie d’une consultation particulièrement douloureuse, assortie de propos brutaux, et
diagnostique à l’un deux une cirrhose avancée.
Les deux plaisantins quittent le cabinet complètement apeurés, entraînant dans leur
sillage un silence pesant dans la foule qui patientait devant chez Knock.
Jules Romains place enfin le dernier acte de sa pièce Knock ou Le triomphe de la
médecine dans la grande salle aseptisée de l’hôtel de la Clef, reconverti en centre de soins.
Notez qu’une ellipse temporelle a eu lieu : nous sommes trois mois plus tard que l’acte
précédent. L’action se décompose en 9 scènes distinctes.
Dans la première scène, la propriétaire des lieux, Mme Rémy, apprend de son employé
Scipion que l’ancien docteur Parpalaid va arriver d’un instant à l’autre. Celui-ci vient pour
toucher l’argent que Knock lui doit pour la vente du cabinet. Elle s’inquiète toutefois que
l’ancien docteur ne revienne : Knock s’occupe de la santé des habitants du village de
manière magistrale, et Mme Rémy ne souhaite pas revenir en arrière. D’ailleurs, toutes les
chambres sont occupées par des malades. Comme annoncé, la deuxième scène voit
l’arrivée du docteur Parpalaid. Ce dernier est abasourdi : l’hôtel semble avoir changé de
physionomie, et la bonne, par-dessus le marché, semble ne pas le reconnaître et ne jurer
que par Knock.
A la troisième scène, le docteur Parpalaid apprend de la bouche de Mme Rémy que tout le
monde se presse pour venir se faire soigner par Knock. Elle loue ce dernier, et en
particulier ses qualités de dévouement et le peu d’intérêt qu’il semble manifester pour les
rétributions financières. Knock ne fait payer que les plus aisés, et ne demande rien aux
autres.
Le pharmacien réapparaît à la quatrième scène de Knock ou Le triomphe de la médecine.
Il fait sentir son mépris à l’ancien médecin, qui selon lui n’avait pas jugé bon de se
préoccuper des migraines de sa femme. Knock, lui, bien évidemment, l’a fait. Il souligne
aussi combien sa collaboration avec Knock est fructueuse. Il prend toutefois soin d’insister
sur la supériorité de son sentiment d’utilité auprès des malades par rapport à son
enrichissement personnel.
Knock apparaît dans la cinquième scène et une conversation s’engage entre lui et
Parpalaid. Chiffres à l’appui, Knock expose à l’ancien docteur la croissance vertigineuse du
nombre de ses patients. Parpalaid assiste stupéfait à ses explications mais suggère à
Knock que l’intérêt des patients passent après ses intérêts à lui. Knock rétorque qu’il ne
fait pas ça pour lui mais pour la médecine. Et que « tout bien portant est un malade qui
s’ignore ». A la fin de la scène, Parpalaid propose à Knock d’échanger avec lui sa place de
médecin à Lyon. Les scènes 7 et 8 voient revenir le pharmacien dans un premier temps,
puis Mme Rémy. Les deux s’insurgent contre l’idée que Knock puisse abandonner Saint-
Maurice pour partir pour Lyon. Scandalisée, Mme Rémy demande à Parpalaid de quitter
l’hôtel, d’autant que l’ancien médecin a ouvertement émis l’hypothèse que Knock ne
possédait pas de véritables compétences en médecine. A la clôture de la scène, Knock a
persuadé Parpalaid qu’il lui faut du repos. L’ancien médecin décide de rester dans une
chambre à l’hôtel. Lors de la dernière scène, très courte, Parpalaid loue sincèrement les
talents d’acteur de Knock en matière de médecine. Mais celui-ci lui apprend qu’il a
développé la manie de diagnostiquer en permanence. Au point d’éviter de se regarder dans
un miroir pour ne pas s’auto-diagnostiquer. Parpalaid commence alors à douter : le repos
conseillé émanait-il d’un vrai diagnostique de Knock ? Knock propose une consultation à
son cabinet le lendemain. Le rideau tombe sur l’ancien docteur qui s’affaisse sur une
chaise, méditant sur sa possible maladie.
Thèmes abordés
Le triomphe d’un médecin manipulateur:
Knock est un pseudo médecin manipulateur qui cherche à effrayer les individus pour les
soumettre à l’emprise de la médecine. A cette fin, il déploie un véritable jeu théâtrale et
s’adapte à ses interlocuteurs.
Et c’est mon thème préféré car c’est intéressant de voir comment il se sert de la naïveté
des villageois pour arrivé a se faire de la publicité et créer chez ses patient une
dépendance à la médecine

Le culte de la médecine:
Knock croit en la médecine moderne comme d’autre croient en la religion. Pour lui la
médecine doit être prise en compte comme un culte.

Le danger de l’idéologie sur une société d’individus manipulables:


Malgré le nombre, les caractères, les origines sociales et intellectuelles de la population du
village, l’idéologie de Knock et de sa médecine moderne arrive à convaincre et à
chambouler toute une population dans sa pratique de la médecine et même de son
organisation. Knock a réussi à se servir de leurs fragilités, leurs egos, leurs crédulités pour
les amener à faire se que lui seul souhaite

Personnages
Contraintes d’écritures:

La piéce doit etre visuelle meme dans l’ecriture, l’auteur utilise par exemple les
didascalies pour bien faire comprendre les attitudes fausses et décalées de
Knock entre ce qu’il pense, ce qu’il dit et ce qu’il fait. C’est du theatre dans le
theatre.

Citation:

"Les gens bien portants sont des


malades qui s'ignorent."
Acte 2, scène 1:

Cette scène est très intéressante car l’auteur met en satyre la médecine à
travers les questions stupides du prétendu médecin et des réponses naïves du
patient.
Il utilise la comédie pour critiquer la société.
Acte 1, scène 1:
L’Acte 1 scène 1, une scène qui introduit le livre, c’est la que nous découvrons les
personnages principaux et leur rôles. Elle est censé nous donner envie de lire la suite
pourtant cette scène contient environ 35 pages, ça m’a parut long et j’ai donc eut du
mal a accrocher dés le début

avis final:
j’ai bien aimé cette œuvre car elle se lit facilement et vit. Elle a aussi un but en
dehors de divertir, elle remet en question, critique et a comme objectif d’ouvrir les
yeux sur la société du XX-ème siècle. Il abord des sujets centres de débats telles
que la médecine et la manipulation. Du fait que les gens croient tout ce qu’on leur
dit. La médecine est dans cette pièce de théâtre, considérée comme un
commerce. Effectivement, le docteur Knock utilisera le tambour pour faire sa
publicité et créé le besoin de se soigner chez ses patients avant de définir leur
mal.
A travers l'escroc qu'est le docteur Knock, Jules Romains définit la médecine de
cette époque comme une nouvelle religion.
En conclusion, c'est un vrai coup de coeur car c'est une pièce amusante et facile à
lire, dans laquelle on s'attache aux personnages, plus particulièrement à Knock,
cet être rusé et hypocrite.

sources

https://commentairecompose.fr/
https://www.lesresumes.com/
https://www.lepetitlecteur.fr/
https://azmartinique.com/
https://journals.openedition.org/https://fr.wikipedia.org/
manuel de Français seconde/première

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