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FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS

DE GLOBALE FINANCE

SOMMAIRE

SOMMAIRE
DEDICACE..................................................................................................................ii

REMERCIEMENT.......................................................................................................iii

AVANT-PROPOS........................................................................................................v

LISTE DES ANNEXE................................................................................................. vi

LISTE DES ABREVIATION.......................................................................................vii

RESUME.................................................................................................................... ix

ABSTRACT................................................................................................................. x

FICHE SIGNALETIQUE DE GLOBAL FINANCE S.A................................................xi

INTRODUCTION GENERALE....................................................................................1

PREMIER PARTIE : PRESENTATION GENERALE DE L’ENTRPRISE....................3

CHAPITRE 1 : LE CADRE DU STAGE.......................................................................4

CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STADE...........................................................10

DEUXIEME PARTI : L’ANALYSE DU RISQUE DE NON-REMBOURSEMENT DU


CREDIT.....................................................................................................................13

CHAPITRE 3 : PROCESSUS THEORIQUE ET PRATIQUE DU RISQUE DE NON-


REMBOURSEMENT.................................................................................................14

CHAPITRE IV : ALALYSE CRITIQUE ET SUGGESTIONS......................................31

CHAPITRE IV : ALALYSE CRITIQUE ET SUGGESTIONS......................................31

CONCLUSION GENERALE......................................................................................35

CONCLUSION GENERALE......................................................................................35

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES.....................................................................36

Rédigé et présenté par : MIMBO LEWIS Artel Griffine


FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

A
MA
FAMILLE

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FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

REMERCIEMENT

Tout travail académique n’est jamais l’œuvre d’une seule personne. Au cours de la
rédaction de ce rapport, nous avons rencontrés d’énormes difficultés que nous
avons pu résoudre avec le concours des personnes de bonnes volontés. Aussi, nous
ne saurions entamer le présent rapport sans exprimer notre gratitude à tous ceux qui
ont apporté un soutien à la réalisation de ce travail. Il s’agit tout particulièrement

Nos pensées vers :


 M.NDJEWEL SIMON PIERRE mon encadreur académique pour sa
disponibilité, ses conseils et rigueur pour l’élaboration de ce rapport ;
 Mme TONA JOSELINE mon encadreur professionnel et les autres
membres de l’entreprise GLOBAL FINANCE, qui m’ont accueilli dans
cette entreprise afin que je puisse m’adapter facilement dans le
monde professionnel
 L’ensemble du corps enseignant de L’ECOLE SUPERIEUR LA SALLE
pour l’encadrement de qualité reçu au cours de notre séjour dans cet
institut ;
 A mes parents pour leurs conseils ainsi que leurs soutiens
inconditionnels à la fois moraux et intellectuels ; financière
 A mes proches et à tous ceux qui ont de près ou de loin ont participé
à la réalisation de ce rapport.

AVANT-PROPOS

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FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

L’insertion dans le monde professionnel devient de plus en plus difficile au


Cameroun. Ceci est dû au fait d’un marché de l’emploi réduit et a l’inadéquation
entre la formation académique et les besoins requis en entreprise. Il devient donc
indispensable pour tous jeunes d’acquérir une formation pratique et professionnelle.
C’est pour apporter une réponse à cette préoccupation que le MINESUP a favorisé
la création des instituts privés des enseignement supérieurs (IPES) dont la principale
mission est de former des jeunes qui répondent à un profil de l’emploi bien précis
c’est dans cette optique qu’est né EST LASALLE.

Créée par saint jean baptiste de Lasalle, EST LASALLE est une école
supérieur professionnel qui forme dans les cycles BTS et LMD. Dans le cadre de sa
formation LMD elle bénéficie de la tutelle de l’université de douala.

A- CYCLE BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR (BTS)

1- DEPARTEMENT DE GENIE MECANIQUE

Chaudronnerie et soudure

Construction métallique

Maintenance industrielle et productique

Mécatronique

2- DEPARTEMENT DE GENIE ELECTRIQUE

Electrotechnique

Informatique industrielle et automatisme

Télécommunication

Contrôle ; instrumentation ; et régulation

3- DEPARTEMENT DE GENIE CIVIL

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DE GLOBALE FINANCE

Bâtiment

Géomètre topographe

Travaux publics

4- DEPARTEMENT DE COMMERCE ET DE GESTION

Comptabilité et gestion des entreprises

Gestion des ressources humaines

Gestion logistique et transport

Banque et finance

B- LICENCE ET MASTER PROFESSIONNEL

1- DEPARTEMENT DE GENIE MECANIQUE

Conception et réalisation en chaudronnerie industrielle

Maintenance industrielle et productique

Conception et réalisation des ouvrages métalliques

Mécatronique automobiles

2- DEPARTEMENT DE GENIE ELECTRIQUE

Informatique industrielle et automatisme

Réseaux et sécurité

Ingénierie des télécommunications et réseaux mobiles

Electrotechnique ingénierie électrique

3- DEPARTEMENT DE GENIE CIVIL

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FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

Géomètre topographe

Bâtiments ; travaux publics

Géomatique

4- DEPARTEMENT DE COMMERCE ET DE GESTION

Banque et assurance

Comptabilité ; contrôle et audit

Finance et comptabilité

Gestion des ressources humaines

Logistique et transport

Supply Chain management

Marketing ; commerce ; vente

En définitive l’école supérieur la salle forme des techniciens et commerciaux


experts de plusieurs domaines. En fonction de la filière de l’étudiant fera une
formation étendue sur une durée de deux ans afin d’obtenir le brevet des techniciens
supérieurs étant fonde par l’arrêté ministériel N◦90/50MINSUP du 20 décembre
1979.

LISTE DES ANNEXE

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DE GLOBALE FINANCE

LISTE DES ABREVIATION

ABREVIATIONS SIGNIFICATIONS
EST Ecole Supérieure Technique
BTS Brevet des Techniciens Supérieurs

BAFI Banque et Finance


EMF Etablissement de Microfinance
TPE Très Petite Entreprise
S.A Société Anonyme

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DE GLOBALE FINANCE

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FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

Ce rapport est le bilan de notre parcours dans l’entreprise GLOBAL FINANCE dans
le service de caisse effectué durant une période de 1 mois du 17juillet au 31 Aout
2023 en vue de l’obtention du BTS en Banque et Finance. Durant notre stage, il
était question pour nous de trouver des solutions aux liées inconvénients lors des
facilités de caisse d’où le choix du thème «FACILITE DE CAISSE DANS LES
ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS DE GLOBALE FINANCE ». En
outre, nous avons dû faire une étude sur les différents types de facilités de caisse et
son rôle dans la gestion financière, d’autre part nous avons dû présenter les
missions effectuées. Cependant nous avons dû faire des remarques négatives qui
peuvent ralentir les mouvements de caisse. Il en ressort donc la problématique de
savoir : Comment peut-on remédier aux inconvénients liées au facilité de caisse ?
Comment sont-elles gérées par GLOBAL FINANCE ? Et enfin quels sont les
processus d’octroi de facilité de caisse dans l’entreprise ? C’est ainsi que la notion
de facilité de caisse fait son apparition au sein de certains établissements de
microfinance, de même ce dernier exige certains processus qui le définissent. La
facilité de caisse considéré comme un service bancaire de la vie courante. Elle permet
de donner la possibilité à son client en difficulté de retomber sur ses pattes.

MOTS CLES :

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DE GLOBALE FINANCE

ABSTRACT

This report is the assessment of our journey in the company GLOBAL FINANCE in
the cash register service carried out during a period of 1 month from July 17 to
August 31, 2023 with a view to obtaining the BTS in Banking and Finance. During
our internship, it was a question for us to find solutions to the disadvantages related
to cash facilities, hence the choice of the theme "CASH FACILITY IN MICRO-
FINANCE INSTITUTIONS: CASE OF GLOBAL FINANCE". In addition, we had to
carry out a study on the different types of cash facilities and their role in financial
management, and on the other hand we had to present the missions carried out.
However, we had to make some negative remarks that can slow down cash flows.
This raises the issue of knowing: How can the disadvantages associated with the
cash facility be remedied? How are they managed by GLOBAL FINANCE? And
finally, what are the processes for granting cash facilities in the company? For
example, the concept of a cash facility has emerged in some microfinance
institutions, and the latter also requires certain processes that define it. The cash
facility considered as a banking service of everyday life. It allows you to give your
client in difficulty the opportunity to get back on his feet.

TAGS:

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FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

FICHE SIGNALETIQUE DE
GLOBAL FINANCE S.A

RAISON SOCIALE Global Finance S.A


BP 33364 Yaoundé
FORME JURIDIQUE S.A
SIEGE SOCIAL Douala Cameroun
DATE D’AGREMENT 16 octobre 2006
ADRESSE E MAIL infosglobalfinance@gmail.com
SITE WEB www.Globalfinance-sa.com
TELEPHINE 243003566
CAPITAL SOCIAL 500.000.00
SLOGAN PUBLICITAIRE Digital finances in africa
DIRECTEUR GENERAL DJONTU HERVET

Source : Global finance S.A

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FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

INTRODUCTION GENERALE

Au cours des dernières décennies, l’économie camerounaise a connu des


améliorations dans son secteur financier et surtout en ce qui concerne le secteur
bancaire. C’est grâce à l’existence des besoins, spécifiques à l’instar du financement
des projets des petites épargnes que l’évolution et la croissance des secteurs de
micro finance ont été rendues possibles. C’est dans cette optique que GLOBAL
FINANCE S.A a été créé. Dont le but étant de favoriser le financement des activités
de base et d’aider surtout la population en marge du circuit bancaire classique à
bénéficier des services bancaires.

Durant la période de stage à travers l’analyse faite et les remarques soulevées


par les uns et les autres dans ce service de crédit, nous avons recueilli des avis.
Lesdits avis nous ont amené à constater quelques défaillances notamment la
légèreté dans l’analyse financière lors du montage de dossier, le non-respect de la
zone d’affectation de travail par les agents de crédits et l’absence du suivi
permanent des crédits octroyés au niveau du service crédit. Ainsi, nous avons pensé
orienter notre travail sur ces problèmes d’où le thème « FACILITE DE CAISSE :
CAS DE GLOBAL FINANCE S.A ENTREPRISES ». Nous nous sommes pose la
question de savoir : Comment peut-on remédier aux inconvénients liées au facilité
de caisse ? Quels sont les processus d’octroi de facilité de caisse dans l’entreprise ?

L’objectif majeur vise à travers notre travail est d’une part de mettre en exergue
les manquements au respect des procédures de manière contenue et d’une part
d’apporter des perspectives de résolution.

Ce travail a un intérêt à la fois pédagogique et pratique. Pédagogique parce qu’il


permettra à l’étudiant et aux lecteurs d’avoir une idée sur l’intérêt de la gestion du
risque de non-remboursement dans l’octroi du crédit de roulement par GLOBAL
FINANCE S.A aux très petites entreprises.

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FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

Enfin, il apparait primordial pour nous de présenter notre travail qui sera diviser
en deux parties :la première partie sera consacrée à la présentation du cadre
institutionnel et le déroulement du stage ; la deuxième partie sera consacrée à
l’analyse du risque.

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FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

PREMIER PARTIE :
PRESENTATION GENERALE
DE L’ENTRPRISE
Pour mieux appréhender le séjour d’un étudiant au sein de la structure ayant
servi de cadre pour la rédaction de son rapport de stage, il sera judicieux de
présenter ladite structure d’accueil dans sa globalité (Chapitre 1), ainsi que les
conditions de séjour dans l’entreprise. (Chapitre 2).

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DE GLOBALE FINANCE

CHAPITRE 1 : LE CADRE DU
STAGE

Nous aurons dans ce chapitre le privilège de vous le présenter GLOBAL FINANCE


S.A dans son ensemble sans toutefois oublier les activités que nous avons été
amenés à effectuer pour allier la théorie à la pratique.

Section1 : Historique et évolution

Présenter GLOBAL FINANCES nécessite la prise en compte de plusieurs


paramètres. Il est donc important pour nous de présenter les grandes lignes de son
évolution .

A. -HISTORIQUE DE GLOBAL FINANCE

En 2006, la société RAFACMIC (Réseau des Femme et Amis du Cameroun pour


le Micro-Crédit) ouvre ses portes en tant qu’une microfinance de première catégorie.
À la suite de soucis financiers, en 2018 les actionnaires de RAFACMIC ont décidé
de léguer leurs actions à dix nouveaux membres. Ceux-ci vont décider de changer le
nom de la société et elle deviendra NEW DEAL FINANCES avec un capital de
33.000.000FCFA. Plus tard, suite à des problèmes de gestion, les actionnaires de
NEW DEAL FINANCE vont décider de vendre leurs actions lors de la cession qui se
tiendra le 02 février 2021 au GROUP SIMB. C’est ainsi que NEW DEAL FINANCE
deviendra GLOBAL FINANCES S.A le 10 mai 2021 ; GLOBAL FINANCES ouvre ses
portes en tant qu’une micro finance de deuxième catégorie avec un capital de
500.000.00FCFA. Le but de GLOBAL FINANCE S.A est centré sur une approche de
gestion sur la clientèle. GLOBAL FINANCE S.A investi beaucoup du personnel, des
produits et services pour satisfaire en permanence les besoins actuels et futurs des
clients. L’ambition à long terme de celle-ci est de devenir une banque par ailleurs
leader en solution digitale en Afrique centrale afin d’offrir encore plus de services
innovants à sa clientèle.

B-evolution

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FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

2-Les offres commerciales

a) Les produits proposés

Au sein de la micro finance GLOBAL FINANCES S.A, il en existe plusieurs parmi


lesquels :

- Le compte épargne qui est ouvert aux personnes physiques pour leur
permettre de constituer des épargnes quotidiennes et de percevoir les
intérêts produits par celle-ci à concurrence de 5% l’an, calculé en deux
tranches de 25% tous les six moi. Les membres titulaires de ce type de
compte ont la possibilité d’entrer en possession de leurs fonds à tout
moment ;
- Le compte chèque qui est mis à la disposition des personnes physiques

Exerçant une activité professionnelle à titre habituel pour leur permettre à travers un
chéquier d’effectuer les opérations de retraits dans leur compte ou de bénéficier des
facilités de caisse et découverts.

- Le compte salaire qui permet aux salariés de l’entreprise :


 De toucher leur salaire en temps voulu après la fin du mois sans se stresser ;
 De bénéficier des micro-crédits sociaux (crédit scolaire, d’équipement,
maladie, mariage, acquisition de terrain…) :
 D’obtenir des avances sur salaire sans déranger leur employeur

- Le compte entrepris qui permet aux personnels moraux :


 De déposer les recettes de leurs activités ;
 D’effectuer des opérations de remise chèque ;
 De bénéficier des découverts, des facilités de caisse pour l’acquisition des
marchandises, les dédouanements de celles-ci

 Le compte association qui est offert uniquement aux associations pour


permettre aux signataires désignés par leur assemblée d’y effectuer des
mouvements financiers de leur choix.
 Le compte d’épargne journalière ou << collecte journalière >> qui offre des
avantages tels que :

Rédigé et présenté par : MIMBO LEWIS Artel Griffine


FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

 La sécurité pour les déposants ;


 L’optimisation du temps de concentration sur leurs activités ;
 La proximité avec le banquier qui par ce fait embrasse plus aisément cette

grosse niche constituée de tous petits débrouillard en majeur partie, et dont les
activités très souvent négligées et inconnues du secteur bancaire se trouvent
désormais considérées et soutenues à travers les micro-crédits .

b) Les services offerts

GLOBAL FINANCE S.A offre des services tels que :

- Collecte et sécurisation de l’épargne des clients ;


- L’octroi des divers crédits à savoir : crédit scolaire, évènements, micro-
crédit
- Transfert d’argent partout dans le monde
- Le virement par chèque
Section2 organisation et fonctionement
A organisation

Pour mener à bien ces activités, la société a besoin d’un certain nombre de
ressources à savoir

- Les ressource humaines composées d’un personnel qui se veut travailleur


multifonction et jouissant en partie d’une bonne santé

- Les ressources financières composées d’un capital de plus

de 500.000.000 FCFA et de plusieurs produits hautement concurrentiel sur le


marché

-Les ressources matérielles composées des locaux de haute

technologies qui permettent de faciliter la gestion des données , d’attribuer un cadre


de travail parfaitement adapté à l’évolution de la technologie avec des ordinateurs,
imprimantes, perforateurs papiers, téléphones fixes, meubles, connexion internet, de
plusieurs agences aussi.

Tableau 2 : Réseau d’agences de Global Finances S.A au Cameroun

Rédigé et présenté par : MIMBO LEWIS Artel Griffine


FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

REGIONS VILLES NOMBRE D’AGENCES


CENTRE YAOUNDE 02
LITTORAL DOUALA 02
OUEST BAFFOUSSAM 01
SUD KRIBI 01
TOTAL 06
SOURCE : Global Finance SA

b fonctionnement

L’organigramme de Global Finances et celui de l’agence seront

représentés en annexe 1 et 2

POSTES FONCTION OU ROLES


Le conseil Fixer les programmes d’actions par rapport par rapport aux
D’administration Objectifs globaux ;
Valider ou non les rapports d’activités annuelles dresses par
la direction générale ;
Confirmer le budget et arrêter de façon définitive les comptes
et états de chaque exercice.

La direction Implémenter les décisions stratégiques du conseil


Général d’administration
Le chef Développer le plan de développement de l’entreprise ;
D’agence Mettre en œuvre les directives reçues de la direction
générale sur tous les compartiments ;
Assurer la vente des produit et service de l’agence
La guichetière Accueillir et être à l’écoute des clients ;

Rédigé et présenté par : MIMBO LEWIS Artel Griffine


FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

(Customer service) Recevoir des ordres de virement, M


Le contrôleur Contrôler/ surveiller les transactions effectuées par les clients
Interne chaque jour
La caissière Réceptionner les versements en espèces des clients ; payer
en espèce des chèques et autres pièces de retraits

I. L’ENVIRONNEMENT EXTERNE DE GLOBAL FINANCE S.A


A- LES FOURNISSEURS ET CLIENTS
1- LES fournisseurs

Global Finance S.A étant une micro finance ne s’approvisionne ni en matières


premières ni en marchandises. Ainsi seules les entreprises qui viennent lui revendre
leurs services tels que : la création des bordereaux de versement et de retrait, les
chéquiers, les prospectus et les transactions à l’international peuvent être
considérées comme des fournisseurs. Nous pouvons ainsi citez : UBA, ETS KEGNE
AND SON, TRUVISION SARL.

2- Les clients

Elle possède plusieurs types de clients à savoir :

Les clients salariés dont les salaires passent directement dans leur compte global
finance

- Les clients épargnants qui souscrivent aux comptes


d’épargne
- Les clients commerçants qui sont ceux exerçant une activité
commerciale
B- Les autres partenaires

On peut citer entre autres :

- Les banques comme UBA ; BANGE BANK, CCA BNK


- Les assureurs comme SONAM ASSURANCE qui facilite

L’amortissement du crédit des clients en cas d’incident majeur (décès ou accident


grave).

c) – LA CONCURRENCE

Rédigé et présenté par : MIMBO LEWIS Artel Griffine


FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

Selon le petit robert en page 143, la concurrence se définit comme étant <<un
rapport entre producteur, commerçants qui se disputent une clientèle.>>. Dans
le secteur de la micro finance, la concurrence est réelle bien qu’elle ne soit pas à
l’échelle des activités commerciales. Au Cameroun en particulier, on compte plus de
quatre cent micros finance. Ainsi global finance EMF de 2 e catégorie utilise donc la
compétence professionnelle en mettant une emphase sur le contrôle de qualité pour
offrir une prestation différenciée de celle des concurrents comme : ACEP
CAMEROUNE S.A ou encore ADVANS CAMEROUNE.

Nous avons présente dans cette section une approche sur l’historique,
l’organisation, les activités et l’environnement externe de GLOBAL FINANCE.
Nombreuse ressource repartie au sein de ses différents services afin d’assure sa
rentabilité et sa compétitivité face à une rude concurrence. La suite de notre travail
sera consacrée à la description des activités que nous avons menées pendant la
durée de notre stage.

CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STADE

Rédigé et présenté par : MIMBO LEWIS Artel Griffine


FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

Ce chapitre met en relief l’évolution de notre stage et se subdivise en deux


sections dont la première qui se base sur l’orientation de l’accueil a Global Finance
et la seconde sur l’évolution du stage

SECTION1 : ACCEUIL ET ENVIRONEMENT

ACCEUIL ET IMPREGNATION

L’intégration professionnelle offre une expérience du monde réel a ceux qui


désirent acquérir les connaissances et compétences nécessaires pour entrer dans
un domaine particulier. Les stagiaires sont affectés à un superviseur qui leur assigne
des taches spécifiques et évalue l’ensemble de travail. A notre arrivée dans
l’entreprise, nous avons été accueillis par le chef d’agence et le personnel. Ensuite,
nous avons été oriente sur le fonctionnement de l’entreprise, en précisant l’heure
d’arrivée, de travail et l’heure de fermeture qui s’étend de sept heure trente à dix-
sept heures

L’ors de notre stage nous avons effectué plusieurs taches et missions suivant :

Tableau 3

SEMAINES TACHES EFFECTUEES


1er -Réception des factures
-Accueil de la clientèle au guichet
-Remplissage des bordereaux de retrait et de versement pour le
client.
2e -Descente sur le terrain pour prospection
-Remplissage du registre de MAD
-Accueil des clients du guichet
3e et 4e -Descente sur le terrain pour prospection
-Ouverture d’un compte journalier
-Rédaction du rapport journalier
5e et 6e -Descente sur le terrain pour prospection
-Consultation du solde du client et remplissage de son chèque

Rédigé et présenté par : MIMBO LEWIS Artel Griffine


FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

7e et 8e -Relance téléphonique pour les clients qui veulent ouvrir leurs


comptes journaliers
-Consultation du solde des clients
-Remplissage du cahier MAD
Source : Pas nos soins

II. L’ENVIRONNEMENT EXTERNE DE GLOBAL FINANCE S.A

1-LES FOURNISSEURS ET CLIENTS

a- LES fournisseurs

Global Finance S.A étant une micro finance ne s’approvisionne ni en matières


premières ni en marchandises. Ainsi seules les entreprises qui viennent lui revendre
leurs services tels que : la création des bordereaux de versement et de retrait, les
chéquiers, les prospectus et les transactions à l’international peuvent être
considérées comme des fournisseurs. Nous pouvons ainsi citez : UBA, ETS KEGNE
AND SON, TRUVISION SARL.

b- Les clients

Elle possède plusieurs types de clients à savoir :

Les clients salariés dont les salaires passent directement dans leur compte global
finance

- Les clients épargnants qui souscrivent aux comptes


d’épargne
- Les clients commerçants qui sont ceux exerçant une activité
commerciale

2-Les autres partenaires

On peut citer entre autres :

- Les banques comme UBA ; BANGE BANK, CCA BNK


- Les assureurs comme SONAM ASSURANCE qui facilite

L’amortissement du crédit des clients en cas d’incident majeur (décès ou accident


grave).

Rédigé et présenté par : MIMBO LEWIS Artel Griffine


FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

3– LA CONCURRENCE

Selon le petit robert en page 143, la concurrence se définit comme étant <<un
rapport entre producteur, commerçants qui se disputent une clientèle.>>. Dans
le secteur de la micro finance, la concurrence est réelle bien qu’elle ne soit pas à
l’échelle des activités commerciales. Au Cameroun en particulier, on compte plus de
quatre cent micros finance. Ainsi global finance EMF de 2 e catégorie utilise donc la
compétence professionnelle en mettant une emphase sur le contrôle de qualité pour
offrir une prestation différenciée de celle des concurrents comme : ACEP
CAMEROUNE S.A ou encore ADVANS CAMEROUNE.

Nous avons présente dans cette section une approche sur l’historique,
l’organisation, les activités et l’environnement externe de GLOBAL FINANCE.
Nombreuse ressource repartie au sein de ses différents services afin d’assure sa
rentabilité et sa compétitivité face à une rude concurrence. La suite de notre travail
sera consacrée à la description des activités que nous avons menées pendant la
durée de notre stage.

SECTION2 : APPORTS ET DIFFICULTES LORS DU DEROULEMENT DU STADE

A- APPORTS
o Sur le plan académique

Le stage a été d’un rapport indéniable pour nous dans la mesure où nous avons
pu faire une comparaison entre la phase théorique apprise durant toute l’année
académique et la phase pratique acquise en entreprise.

o • Sur le plan personnel

Ce stage nous a permis de forger une certaine personnalité, notamment dans le


respect de la hiérarchie, la ponctualité au travail, le gout de l’effort, la vie en société

tout en intégrant les comportements diffèrent et l’établissement des priorités devant


une tâche à accomplir.

 La vie dans un milieu professionnel

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FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

 L’analyse d’un dossier de crédit


 Le principe de collecte journalière
 Les différents types de crédits qui sont octroyés
 Les différentes garanties qui peuvent être prises en compte
dans l’octroi d’un crédit (bien immobiliers, fonds de
commerce)
o Sur le plan professionnel

Durant ce stage nous avons a appris comment se tenir en milieu professionnel,


comment différencier les différents chèques, ainsi que leur remplissage. Tout de
même nous avons appris à connaitre gère les crédits, quelle attitude adoptée envers
un client comment l’assister, et enfin découvrir l’entreprise de par son
fonctionnement à travers le travail collectif, harmonie e le vivre ensemble.

b-DIFFICULTES

Durant le déroulement du stage nous avons eu à faire face aux difficultés parmi
les qu’elle

- La mise en pratique de nos cours théoriques a été


complique car certaines notions étaient différentes lors de
leur exécution

- La prise de responsa

DEUXIEME PARTIE : FACILITÉ DE CAISSE DANS


LES ETABLISSEMENT DE MICROFINANCE : CAS
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DE GLOBAL FINANCE S.A
FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

La première partie de notre travail a été consacrée à la partie théorique c’est


à dire à la présentation générale du cadre de l’étude et le déroulement du stage.

La deuxième partie aura pour objectif l’étude de l’analyse du risque de non-


remboursement du crédit.

Le facteur déterminant dans la décision d’action d’un crédit repose en grande


partie sur la confiance ; si celle-ci est faible dès le premier contact, il sera difficile de
la rétablir par la suite. L’agent du crédit doit donc s’assurer des valeur technique,
professionnels et moral de l’emprunteur.

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FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

CHAPITRE 3 : ASPECT THEORIQUE ET PRATIQUE DES


FACILITES DE CAISSE DANS UNE MICROFINANCE

Le processus d’octroi des facilités de caisse désigne les étapes suivies par les
institutions financières pour évaluer la solvabilité d’un emprunt potentielle et décide
s’il est éligible à un prêt. Autrement dit le processus d’octroi de crédit ce fait par sa
mise en approche conceptuelle (section 1) et par suivie par sa pratique au sein de
l’entreprise (section 2)

SECTION 1 : ASPECT THEORIQUE

I- NOTION DE CREDIT
A- Définition
Le crédit : est un arrangement financier dans lequel une partie, appelée le préteur,
met à disposition une somme d’argent, des biens ou des services a une autre partie,
appelée l’emprunteur, avec l’engagement que l’emprunteur remboursera le préteur a
une date ultérieure, généralement avec un supplément d’argent appelé intérêt.

En bref, le crédit consiste à obtenir quelque chose maintenant en échange d’une


promesse de remboursement futur. Il peut prendre diverses formes, telles que des
prêts bancaires, des cartes de crédits, des marges de crédit, des crédits à la
consommation, des crédits commerciaux, etc.

Le crédit : est un outil financier essentiel qui permet aux individus et aux entités
d’accéder à des ressources supplémentaires pour réaliser des achats importants,
des investissements, des projets, ou pour faire face à des besoins financiers
ponctuels, en étalant le remboursement sur une période donnée avec des intérêts
associes.

Un emprunteur : est une personne, une entreprise ou une entité qui contracte un
prêt ou un crédit auprès d’un préteur, généralement une institution financière, dans

Rédigé et présenté par : MIMBO LEWIS Artel Griffine


FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

le but d’obtenir des fonds ; des biens ou des services pour répondre à ses besoins
financiers.

Un préteur : est une personne, une institution ou une entité qui accorde des fonds,
des ou des services a un emprunteur en échange d’un engagement de
remboursement ultérieur, généralement avec intérêt, selon des conditions
convenues entre les deux parties.

Taux intérêt : est le cout du crédit ou le rendement de l’épargne exprime en


pourcentage, généralement sur une base annuelle. Il représente le montant que les
emprunteurs doivent payer en plus du montant initial emprunte, ou le montant que
les épargnants peuvent gagner en plaçant leur argent dans un produit financier.

B- Risque du crédit
La notion de crédit implique plusieurs risques tant pour les préteurs que pour les
emprunteurs. Voici quelques-uns des risques courants associes à l’octroi de crédit

1- Risque de crédit : c’est le risque que l’emprunteur ne rembourse pas le


montant emprunte conformément aux termes du prêt. Ce risque peut être pu
a des difficultés financières de l’emprunteur, des changements économiques
imprévus, ou une mauvaise évaluation de sa capacité de remboursement.
2- Risque de taux d’intérêt : les variations des taux d’intérêt peuvent entrainer
des fluctuations dans les couts de remboursements pour l’emprunteur, ce qui
peut impacter sa capacité à honorer ses engagements financiers.
3- Risque de liquidité : il s’agit du risque lie à l’incapacité d’un emprunteur à
convertir des actifs en liquidités pour rembourser sa dette, ce qui peut
entrainer des problèmes de solvabilité.
4- Risque opérationnel : ce risque concerne les erreurs, les fraudes, les
défaillances des processus interne, ou les évènements imprévus qui peuvent
impacter la capacité à octroyer et à gérer les crédits de manière efficace.
5- Risque de contrepartie : il se réfère au risque que la partie avec laquelle on a
un contrat financier ne respecte pas ses engagements, ce qui peut affecter la
valeur des actifs ou le flux de paiements.
6- Risque de change : dans le cas d’emprunts en devises étrangères, les
fluctuations des taux de change peuvent impacter le cout du remboursement

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de la dette, introduisant un risque supplémentaire lie aux variations de


devises.
Ces risques sont essentiels à prendre en compte lors de l’octroi de crédit, et c’est
pourquoi les intuitions financières mettent en place des mécanismes de gestion des
risques pour atténuer ces impacts potentiels. Une évaluation approfondie des
risques et une gestion prudente sont essentielles pour assurer une activité de crédit
saine et durable.

A- TYPES DE CREDIT AUX COMMERCANTS

1- CREDITS D’EXPLOITATION

Les crédits d’exploitation sont des crédits à court terme donc moins de deux ans.
Les crédits à court terme sont des crédits par trésorerie ou par vente de
marchandise amortissables dont la durée n’excède pas 12 mois, y compris
d’éventuels diffères. Ces crédits sont conçus pour répondre aux besoins de liquidités
à court terme.

Quelques points clés pour mieux comprendre les crédits d’exploitation :

1- La mobilisation des créances sous forme soit d’escompte ou des


créances :
C’est une pratique financière courante qui permet aux entreprises de
transformer leurs créances en liquidités.
Voici une explication de ces deux formes de mobilisation des créances

 Mobilisation des créances sous forme d’escompté : l’escompte est une opération
de crédit par laquelle le banquier met à la disposition de l’entreprise porteuse
d’un effet de commerce non échu, contre remise de cet effet, le montant de l’effet
diminue des intérêts et des commissions.
Le cédant restant garant du paiement, l’escompte fait intervenir trois
parties :
 Le cédant : qui est l’entreprise bénéficiaire de l’escompté
 Le céder : qui est le débiteur de l’effet
 Le cessionnaire : c’est-à-dire le banquier
Dans d’une opération escompte le banquier est créancier cambiaire il est
bénéficiaire dans les cas de :

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a- Transmission de l’approvisionne :
Qui est le créancier du fournisseur débiteur

b- La solidarité des signatures :


le porteur d’un effet peut réclamer son paiement a tous deux qui ont à poser
la signature
c- Inopposabilité des exceptions :
le débiteur ne peut opposer au porteur les litiges éventuels qu’ils ont avec les
créancier le débiteur ne peut opposer au porteur les litiges éventuels qu’ils ont avec
les créanciers.
Les avantages de l’escompte pour l’entreprise :

L’escompte permet à l’entreprise la liquidité de créance et son coute est en principe


moins élevé que le découvert.

Les avantages pour la banque :

La banque bénéfice d’un double recours (recours cambiaire et de droit commun) il


peut se refinancer et peut accroitre tous ces dépôts.

2- Le crédit par caisse qui a la forme découverte ou facilite de caisse est


une forme de financement proposée par les institutions financières pour
permettre aux entreprises ou aux particuliers de disposer de liquidités
supplémentaires en cas de besoin.
Voici une explication de ces deux concepts :

a- Découvert bancaire
Il permet à l’entreprise de régler ses besoins de trésorerie. C’est autorisation que la
banque donne à son client de tirer des moyens de paiements pour un montant
supérieur à la provision de son compte (compte débiteur jusqu’à un certain plafond).
Souvent les entreprises ont recours au découvert pour des besoins non affectes et
irréguliers. Il est plus risque pour la banque avec un taux élevé et un intérêt post
compte calculer au prorata de l’utilisation modulable en fonction des besoins,
supportes par le client(entreprise). Pouvant craindre de financer des pertes, en
accordant ce crédit sans échéance précise, le banquier se montrera exigeant pour

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autorisation de découvert : la situation de l’entreprise, l’ancienneté des relations


avec la banque, les garanties proposes sont autant d’éléments qui seront examinés.
Le banquier peut donner son accord par écrit (pour une durée en principe d’un an)
et, dans ce cas, l’entreprise paie généralement une commission de confirmation de
0,5 à 1,5% du montant autorise.

Comme la facilite de caisse, le découvert présente l’avantage d’être un crédit en


donnant lieu au paiement d’intérêts que sur les utilisations réelles. Toutefois, au taux
du découvert s’ajoute, lors de l’arrête trimestriel du compte de l’entreprise, la
« commission de découvert » et la « commission de mouvement » de compte, cela
accroit considérablement le cout de cette forme de crédit, dont le taux d’intérêt est
toujours supérieur à celui d’un crédit mobilisation de créances.

b- Facilite de caisse
Elle est essentiellement destinée à donner à la trésorerie une élasticité de
fonctionnement. Elle permet aux entreprises de faire face aux décalages de très
courte durée qui les touchent souvent à certaines périodes quand il s’agit des délais
de leurs fournisseurs, du salaire du personnel ou de fois des règlements de la TVA.
C’est autorisation ponctuelle et effectuée par un forçage. Couvrant des décalages
ponctuels et très limites dans le temps entre dépenses et recettes, la facilite de
caisse peut être périodiquement reconduite mais, comme tout crédit bancaire, doit
faire l’objet d’un objet

3- Les financements de l’activité


Les mouvements de trésorerie des recettes sont accès régulier. Leur importance
varie d’un mois à l’autre. L’entrepreneur pour bien gérer son affaire doit prévoir ces
mouvements de façon à mettre à œuvre, et a tant, les solutions les mieux adaptés. Il
peut en générale établit pour ce faire des tableaux de trésorerie. Ces tableaux
comprennent deux parties : les recettes et les dépenses. De Descartes en Descartes
(10 jours) ou de quinzaines en quinzaines, ou mois en mois, parfois de jour en jour.
La banque offre plusieurs techniques de financement des besoins à court terme
dans une entreprise et pour les quelle l’examen s’appuie beaucoup plus sur les
recettes et les dépenses à court terme il s’agit des engagements par caisse et
beaucoup plus pas les engagements par nature.

4- Les engagements par signature

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Tous les engagements de la banque n’ont pas une implication directe et immédiate
sur la caisse. Si le plus souvent la banque aide sa clientèle en mettant à sa
disposition des fonds sous forme de crédit de trésorerie peut aussi lui apporter son
concours sous forme d’engagement que l’on appelle des crédits par signature.

Dans cette forme de crédit, le banquier s’engage par lettre généralement auprès de
tiers, à satisfaire aux obligations contractées envers eux pour certains de ses clients
au cas où ces derniers n’y satisferaient pas eux-mêmes.

Ces engagements sont le plus souvent donnes sous forme de caution pour diffère
certains décaissements les éviter ou encore accélérer certaines rentrées de fonds.

Le banquier peut aussi s’engager par acceptation ou aval.

 Avantages et inconvénients des crédits par signature


1- Pour le banquier
 Avantages
Au moment de sa mise en place le crédit par signature évite toute sortie de fonds. Il
évite les contraintes, en cas d’encadrement de credit.il permet la perception des
commissions sur l’autorisations, voire l’utilisation.

 Inconvénients
Le risque est défilé à évaluer. Le suivi des engagements est lourdement géré

2- Pour le client
 Avantages
Ce type de concours permet une meilleure gestion de la trésorerie il y’a souvent
abaissement des couts financiers. Enfin, les engagements pris par la banque
valorisent l’image de marque de l’entreprise.

 Inconvénients
Paiement de commissions même en cas de non utilisation. Les garanties exigées.
Les concours sont parfois mis en place contre blocage de fonds.

B-CREDIT D’INVESTISSEMENT
Les crédits d’investissements sont des crédits à long terme. Les crédits à long terme
sont les crédits par trésorerie ou par vente de marchandises amortissables dont la
durée de remboursement est supérieure à 12 mois, mais inférieure ou égale à 24

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mois, y compris d’éventuels différés, à classer dans les crédits à moyen terme. Et
au-delà de 24 mois se sont des crédits à long terme.

Comme crédit d’investissement nous avons :

1- Les emprunts bancaires à long terme


Sont des financements accordes –par des institutions financières aux entreprises ou
aux individus pour une période prolongée, généralement supérieure a cinq ans.
Voici quelques ponts important à retenir sur les emprunts bancaires à long terme :

 Durée : les emprunts bancaires à long terme ont une durée étendue, ce qui
donne aux emprunteurs un horizon de remboursement plus long, reparti sur
plusieurs années.
 Usage : ces emprunts sont souvent utilisés pour financer des projet d’envergure
tel que l’acquisition d’actifs à long terme (équipements, immobilier), le
développement d’infrastructures, l’expansion d’activités, ou d’autres
investissements importants.
 Garanties : en raison du montant plus élevé et de la durée prolongée de ces
emprunts, les banques peuvent exiger des garanties substantielles comme des
hypothèques, des cautions personnelles ou des suretés sur des actifs de
l’emprunteur.
 Le taux d’intérêt : les taux d’intérêt sur les emprunts bancaires à long terme
peuvent être fixes ou variables, dépendant des conditions de marche et des
négociations entre l’emprunteur et la banque.
 Remboursement : les remboursements des emprunts à long terme se font
généralement par des versements périodiques comprenant une portion du capital
emprunte ainsi que les intérêts, échelonnes sur la durée du prêt conformément
aux termes convenus
 Utilisation dans l’entreprise : les emprunts bancaires à long terme sont
essentiels pour financer la croissance et le développement à long terme des
entreprises, leur permettent d’investir dans des projets stratégiques et de
renforcer leur position sur le marché.
Ces emprunts offrent aux entreprises une source de financement stable et à long
terme pour soutenir leurs objectifs de croissance et d’expansion, tout en leur
permettant de planifier leurs remboursements sur le long terme.

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2- Les emprunts obligataires


Sont un moyen pour les entreprises ou les gouvernements de lever des fonds en
émettant des obligations sur le marché financier.
Voici des éléments clés à savoir sur les emprunts obligataires :

 Définition : les obligations sont des titres de créances émis par une entité
(entreprise, gouvernement) pour collecter des fonds auprès des investisseurs.
Les investisseurs qui achètent les obligations prêtent de l’argent à l’émetteur et
reçoivent en contrepartie des intérêts périodiques et le remboursement de capital
à l’échéance.
 Caractéristiques : les emprunts obligataires sont caractérisés par un montant
emprunte (valeur nominale), une durée de vie (échéance), un taux
d’intérêt(coupon), et des conditions de remboursement. Ils peuvent entre
négocies sur la marche secondaire avant échéance.
 Remboursement : les émetteurs d’obligations remboursent généralement le
capital emprunte à l’échéance, accompagne du paiement d’intérêt
périodiques(coupon) pendant la durée de vie de l’obligation.
 Risques et avantages : les emprunts obligataires offrent aux émetteurs un
moyen de financement à long terme, tandis que les investisseurs bénéficient des
revenus réguliers sous forme de coupons et d’un remboursement de capital à
l’échéance. Cependant, les obligations comportent des risques liés à la
solvabilité de l’émetteur et aux fluctuations des taux d’intérêt.
 Marche obligataire : le marché obligataire est une marche financière ou les
émetteurs peuvent émettre et les investisseurs peuvent émettre et vendre des
obligations. Il existe des obligations émises par des entités privées, des
gouvernements nationaux, locaux, ainsi que des organismes supranationaux.
En résume, les emprunts obligataires sont un moyen essentiel de financement pour
les défis à la fois pour les deux parties impliquées dans ces transactions sur le
marché financier.

3- Les crédits bail


Egalement connu sous le nom de leasing, est une forme de financement qui permet
à une entreprise ou à un individu d’utiliser un actif (un équipement, un véhicule, un
bien mobilier, etc.) en échange d’un loyer périodique. Voici quelques importants à
connaitre sur les crédits-bails :

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A- Définition et Avantage du crédit-bail

a. Définition

Le crédit-bail est un contrat par lequel le bailleur (souvent une institution financière
ou une société de crédit-bail) achète un actif pour le louer au preneur (l’entreprise ou
l’individu) moyennant des loyers convenus. A la fin du contrat, le preneur peut
généralement acheter l’actif à prix convenu (valeur résiduelle).

b. Avantages

 Pour le preneur
 Financement : le crédit –bail permet au preneur d’utiliser un actif sana avoir à
l’acheter directement, ce qui libère des fonds pour d’autres investissements.
 Gestion de trésorerie : les paiements réguliers du crédit-bail facilitent la
prévisibilité des couts et la gestion de trésorerie.
 Mise à jour technologique : les crédits-bails permettent de toujours disposer
d’équipement modernes sans avoir à supporter le cout total d’achat et les risques
liés à l’obsolescence.

 Pour le bailleur

 Génération de revenus : le bailleur perçoit des loyers réguliers sur la durée du


contrat
 Récupération de la valeur résiduelle : à la fin du contrat, le bailleur peut
récupérer une partie de la valeur de l’actif en vendant éventuellement l’actif au
preneur ou à un tiers

B. Les types de crédit-bail

 Crédit-bail financier : le preneur assume généralement la responsabilité de


l’entretien de l’actif et l’option d’achat à la fin du contrat est généralement à prix
symbolique.
 Crédit-bail opérationnel : le bailleur conserve la propriété de l’actif et assure
l’entretien. A la fin du contrat, le preneur a souvent l’option de rendre l’actif, de le
racheter ou de négocier un nouvel accord.

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C. Aspects juridiques et comptables

Les crédits-bails ont des implications juridiques et comptables spécifiques qu’il est
important de prendre en compte en fonction de la règlementation en vigueur.

C’est une option de financement flexible et attractive pour de nombreux types


d’entreprises, offrant des avantages financiers et opérationnels à la fois pour le
preneur et le bailleur.

C. PROCESSUS D’OCTROI DES CREDITS

Le processus d’octroi de crédit est une série d’étapes suivies par les préteurs pour
évaluer la solvabilité des emprunteurs, décide d’accorder ou non un prêt, déterminer
les modalités du prêt et gérer le remboursement.

Voici les étapes du processus d’octroi de crédit :

 Demande de crédit : le processus commence par la demande de crédit


soumise par l’emprunteur a l’institution financière.
 Collecte d’informations : l’institution financière collecte des informations
détaillées sur l’emprunteur, telles que ses états financiers, ses revenus, ses
antécédents de crédits, etc.
 Analyse de la demande : une analyse approfondie est réalisée pour évaluer
la demande de crédit, le risque associe et la capacité de remboursement de
l’emprunteur.
 Evaluation de la solvabilité : une évaluation de la solvabilité de l’emprunteur
est effectuée pour déterminer sa capacité à rembourser le prêt. Cela peut
impliquer des vérifications de crédit et d’autres évaluations financières.
 Détermination des modalités du prêt : en fonction de l’évaluation, les
modalités du prêt sont déterminées, y compris le montant du prêt, le taux
d’intérêt, la durée du remboursement, les mensualités, les conditions de
garantie, etc.
 Approbation du crédit : une fois que l’emprunteur est évalué et que les
termes du prêt sont définis, l’institution financière approuve refuse le crédit.

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 Décaissement des fonds : si le crédit est approuvé, les fonds sont


décaissés à l’emprunteur conformément aux modalités convenues.
 Suivi et gestion : l’institution financière surveille le remboursement du prêt,
fournit un support client, gère les paiements et assure un suivi régulier
pendant toute la durée du prêt.
 Remboursement : l’emprunteur rembourse le prêt selon les termes
convenus, en respectant les échéances et les modalités fixes.
Ce processus d’octroi de crédit permet aux préteurs d’évaluer soigneusement la
solvabilité des emprunteurs, de minimiser les risques et de gérer efficacement les
prêts pour garantir une relation financière solide et bénéfique pour toutes les parties
concernées.

SECTION 2 : ASPECT PRATIQUE

GLOBAL FINANCE S.A proposé des services financiers adaptes aux besoins des
micros, petites et moyennes entreprises, notamment les commerçants. Elle offre des
produits de crédit, d’épargne, de transfert d’argent et d’assurance. Il s’agit
notamment de :

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CHAPITRE IV : REMARQUES ET SUGGESTIONS

Au cours de notre stage a GLOBAL FINANCE S.A de l’argent de


BANAPRISO, nous nous sommes penché la gestion du risque de non-
remboursement dans l’octroi du crédit de roulement pas GLOBAL FINANCE S.A aux
TPE. Dans un diagnostic, nous avons pu soulever les dysfonctionnements
constatés, afin de formuler des suggestions visant à aider GLOBAL FINANCE S.A
dans son combat pour l’optimisation de la qualité et ses services.

SECTION 1 : ANALYSE CRITIQUE

Ici, nous parlerons des forces et des faiblesses de GLOBAL FINANCE S.A

1) FORCE DE L’ENTREPRISE

Durant notre séjour à GLOBAL FINANCE nous avons pu constater que celle-
ci avait beaucoup de force, si celles-ci sont mises à profit, elles pourraient davantage
fidéliser sa clientèle et conquérir d’autre.

1.1) LES FORECES LIEE A LA AU NON-REMBOURSEMENT DU CREDIT

- Le crédit pour être accorde n’est pas long, il est rapidement octroyé :
- Les conditions d’accès au crédit a GLOBAL FINANCE sont plus flexibles ;
- GLOBAL FINANCE S.A financé les petits entrepreneurs ;

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-
1.2) AUTRES FORCE
- Les agents de crédit sont très courtois ;
- Les employés en agent sont très disponibles ;
- Du chef d’agence jusqu’au gardien, chacun fait son travail avec les
contrôleurs qui y veillent, certes il y un peu de pression mais tout reste en
place
- Les conditions de travails sont plus ou moins respectées.
2) LES FAIBLESSES

Contrairement aux forces, certaines faiblesses tendent a faire perdre a GLOBAL


FINANCE sa notoriété et même une partie de sa clientèle.

2.1) LES FAIBLESSES LIEES A LA AU NON-REMBOURSEMENT

- Le manque de suivi permanent des clients par les agents de crédit


après leur avoir accordé le crédit.
- Le non-respect de la zone de travail ce qui entraine un mauvais suivi ;
- L’affluence des clients à l’Agence chaque quinze du mois ce qui
entraine le mauvais traitement de ceux-ci.

2.2) AUTRES FAIBLESSES

- Le cumul de fonction la gestionnaire de compte et en même temps……


- Le manque de liquidité périodique

SECTION 2 : SUGGESTIONS

1) SUGGESTIONS D’ORDRE GENERAL


Au regard nos constats, nous suggérons a global finance :

1.1) DE POUVOIR A LA LIQUIDITÉ IMMEDIATE

La micro finance pour garantir sa pérennité doit pouvoir maitriser les


meilleures techniques de gestion. L’utilisation du ratio de liquidité immédiate
permettrait a l’entreprise de mesurer règles et les dette a court terme. Le
ravitaillement devrait être dans les brefs délais. Pour éviter le manque a gagner non

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seulement vis-à-vis du client mais aussi de l’établissent. L’établissement pourrait


insister sur le fait que le client avise au, moins un jour avant le temps de régulariser
leur compte pour être sûre de les satisfaire et d’éviter tout désagrément.

1.2) AUGMENTATION DE LEFFECTIF EN PERSONNEL

Au vu du problème de l’affluence au niveau des caisses il est important pour


GLOBAL FINANCE d’augmenter les caisses ou d’ouvrir d’autre agence dans les
périphéries comme Bepanda, ndokotti…etc. ce qui augmenterai cette affluence et
favoriserait le gain des autres clients de cette zone qui a cause des distances
pouvaient ne pas accepter leur produits.

2) LES PROPOSITOINS EN VUE D’AMELIORER LE RISQUE DE NON-


REMBOURSEMENT DU CRDÉDIT

La gestion du risque pourrait s’améliorer si les points ci-dessous sont pris en


compte :

2.1) LE RESPECT DE LA ZONE DE TRAVAIL DE CHAQUE AGENT DE CREDIT

Le respect de sa zone serait un élément à ne pas négliger dans la gestion du


risque dans l’octroi de crédit. Il permet à la personne en charge de canaliser toute
son energie que soit au moment de l’analyse (avec toutes ses visites), ou au
moment du suivi et du recouvrement. Ce qui pourrait lui garantir d’atteindre ses
objectifs en termes de nombre de clients et de recouvrements. Il n’est pas ce
dispersé et la possibilité qu’il soit fatigué après la recherche de deux clients sont
faibles.

2.2) UNE BONNE COLLABORATION ENTRE LES

Elle est également importante. Elle fait en sorte que si un agent pendant sa
prospection, se rend compte que le prospect est de la zone de l’autre et pas sa
zone, a cause de cette collaboration son collègue lui passerait le dossier pour que
ce client soit suivi. Cela faciliterait la tache aux deux agents et vice versa.
L’établissement n’aura donc rien perdu. Au contraire gagnerait a conserver cette
politique qui favorise une bonne marge dans la conservation et le gain des clients.

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2.3) UN SUIVI PERMANENT DES DOSSIERS DE CLIENT

Cette étape permet de savoir si l’agent injecté produit l’effet escompte, si les
activités suivent leurs cours sans problèmes. Pour se préserver d’un éventuel
problème par les conseils que pourrait donner le gestionnaire a son client, sil
observe pendant le suivi un quelconque souci.

CONCLUSION GENERALE

Arrivée au crépuscule de notre réflexion, ce travail nous a permis de comprendre


la gestion du risque de non-remboursement dans l’octroi du crédit de roulement
dans les institutions de microfinance. A l’issue de la recherche que nous avons
menée, nous avons pu mieux comprendre les institutions de microfinance dans leur
volte gestion du risque de non-remboursement dans l’octroi du crédit de roulement.
En effet plus l’octroyeur, en l’occurrence GLOBAL FINANCE S.A s’informe
davantage sur la solvabilité du client, moins les risque encours sont grands. Le
recours préalable à l’enquête de moralité et à la connaissance d’antécédents
juridiques comme préalable à l’octroi d’un prêt réduit le risque crédit. C’est dans
cette optique qu’en première partie, nous avons présente le cadre institutionnel de
l’étude et le déroulement du stage.

Dans la deuxième partie, nous avons étudié la pratique de la gestion du


risque de crédit, l’analyse critique et suggestions. La gestion du risque de non-
remboursement dans l’octroi du crédit de roulement est point très sensible dans la
mesure ou elle nécessite un suivi permanent pour une amélioration de la qualité de
service et une bonne rentabilité.

En effet, la gestion du risque de non-remboursement dans l’octroi du crédit de


roulement par GLOBAL FINANCE S.A aux très petites entreprises serait propice non
seulement pour les employés, dans la mesure ou ils gagneront en temp et éviteront
les disputent avec les clients, mais aussi et surtout pour l’employeur qui verrait sa
rentabilité s’accroitre.

Rédigé et présenté par : MIMBO LEWIS Artel Griffine


FACILITE DE CAISSE DANS LES ETABLISSEMENTS DE MICRO-FINANCE : CAS
DE GLOBALE FINANCE

Rédigé et présenté par : MIMBO LEWIS Artel Griffine

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