Onfray Contre Histoire de La Philo
Onfray Contre Histoire de La Philo
Onfray Contre Histoire de La Philo
JC)
Il est célèbre pour un poème en vers, De la nature, qui eut une influence notable sur la pensée de son époque. Ses découvertes intellectuelles,
en particulier l'introduction de la logique dans la pensée hellénique, à côté de la philosophie milésienne de la nature et des théories
arithmétiques de Pythagore, font de Parménide l'un des philosophes les plus considérables dans l'histoire de la philosophie grecque[2]. Platon a
consacré un dialogue qui porte son nom, le Parménide, pour traiter la question de l'Être, dont Parménide a inlassablement répété qu'il est,
tandis que le Non-Être n'est pas.
Il oppose ainsi la logique à l'expérience : la raison est selon lui le critère de la vérité. La pensée (il identifie âme et intellect), en suivant les règles
de la logique, établit ainsi que l'être est, et qu'il faut lui prédiquer des attributs non-contradictoires : il est intelligible, non-créé et intemporel, il
ne contient aucune altérité et est parfaitement continu. Si cette conception de l'être est de l'ordre de la pensée, Parménide le représente aussi
comme une réalité physique, finie et sphérique. Cette doctrine fait de lui le penseur de l'Être par excellence, et tranche par sa froideur
rationnelle avec les autres penseurs grecs, un Empédocle d'Agrigente par exemple. La doctrine de Parménide ne donne cependant pas
d'explications relatives aux origines des êtres.
Sommaire
1 Les conférences
o 1.1 Cycle 1 — L'Archipel pré-chrétien
o 1.2 Cycle 2 — La Résistance au christianisme
o 1.3 Cycle 3 — Les Libertins baroques
o 1.4 Cycle 4 — Les Ultras des Lumières
o 1.5 Cycle 5 — L'Eudémonisme social
o 1.6 Cycle 6 — Le Siècle du Moi
o 1.7 Cycle 7 — La Construction du Surhomme et Nietzsche
o 1.8 Cycle 8 — Freud
o 1.9 Cycle 9 — Le Siècle du nihilisme
o 1.10 Cycle 10 — Les consciences réfractaires
o 1.11 Cycle 11 — L’autre pensée 68
o 1.12 Cycle 12 — La pensée post-nazie
o 1.13 Cycle 13 — La résistance au nihilisme
Sommaire du cycle 1 : L'Archipel pré-chrétien
Les Abdéritains
a. Leucippe de Milet (vers -460 -370)
Elève de Parménide ? influence Pythagoricienne ?, élève de Zénon d’Elée ?
Inventeur de l’atomisme, position physique qui débouchera sur les principes hédonistes (principe philo du plaisir) et/ou eudémoniste (ppe
philo du bonheur /béatitude)
Il arrime les hommes à la seule dimension du réel
Toute est agencement d’atomes produisant des simulacres stimulant les 5 sens humains, la vérité = phénomènes
Maitre de Démocrite
b. Démocrite d’Abdère (-460/-370)
Matérialiste, considéré comme le père de la science moderne, savoir encyclopédique (maths, physiques, cosmologie, médecine,
botanique, zoologie). Ecrits des traités (aujourd’hui perdus) sur ces sujets.
Connu d’Aristote, et de Platon (qui voulait détruire ses livres), aurait écouté Socrate à Athènes sans s’en faire connaître
Grand voyageur, aurait rencontré les gymnosophistes en Inde, des mages Perses
Son caractère rieur devint légendaire et on l'opposa au caractère irritable d'Héraclite
Il rencontre Protagoras, portefaix vers Abdère, le trouve malin car il a inventa un système d’équilibre pour porter ses charges, et il le
prend comme disciple
Les Sophistes
c. Antiphon d’Athènes (-480/-410)
Inventeur d’une forme de psychanalyze : méthode d'interprétation des rêves ainsi que d'une thérapie de l'âme fondée sur le discours. Il
prétendait guérir les maladies humaines par l'expression des sentiments par les mots, et l'interprétation rationaliste des rêves.
Enseigne, et démontre dans ses œuvres, des procédés techniques pour faire un bon discours utilisables dans toutes les plaidoiries.
Pour aller vers le bonheur, vers l'hédonisme libertaire, il prône une vie selon la Nature.=> Sophiste hédoniste
il recommande d'aller à l'encontre des conventions sociales.
Il est ainsi également un précurseur du concept de droit naturel que développeront plus tard Hobbes, Locke et Rousseau.
Les Cyrénaïques
d. Aristippe de Cyrène (-435/-356)
Disciple de Socrate puis fondateur de l’école cyrénaïque (hédoniste). Sa fille Arété de Cyrène lui succède, puis son petit fils, Aristippe le
Jeune
Accepte de l’argent => considéré comme un Sophiste
Les Cyrénaïques se différencient de la définition d'Épicure en prenant le plaisir comme un mouvement avec sensation et non pas une
ataraxie. Ils reprochent à l'ataraxie, ou à l'apathie stoïcienne, d'être non pas un plaisir mais une anesthésie et une simple privation de
douleur.
Tout être recherche son plaisir et le plaisir est toujours en soi un bien, même si sa cause est mauvaise. « Les plaisirs du corps sont plus
importants que ceux de l'âme[8]. » Onfray s’oppose à ce concept de plaisir sans limite chez les cyrénaiques :
Anecdote d’un philosophe qui se promène sur l’Agora parfumé et déguisé en femme =>ne pas se soucier du jugement d’autrui
Oublié par toutes les histoires de la philo. Hegel : « Diogène ou Aristippe de Cyrène n’ont pas d’épaisseur philosophique, il n’y a que des
anecdotes. »
Réhabilite le corps dans toutes ses dimensions : monisme matérialiste
Sa cave valait sa bibliothèque
25 siècle de silence éditorial sur les cyrénaïques (aucun texte publié, ca serait Onfray qui aurait fait en sorte de les publier …?)
« Ennemi intime » de Platon (tous les cyniques, cyrénaiques, matérialistes et sophistes sont anti-platon)
Les cyrénaiques prennent Ulysse comme modèle (concept du KAIROS : moment principe) : il est capable d’être dans l’instant et de saisir
les opportunités, iles fort, il est courageux.
Les Cyniques
e. Antisthène
Fondateur du cynisme (-444/-365)
f. Diogène le cynique (-412/-327)
Il n’était pas dans un tonneau (le tonneau n’existe pas encore), vivait chichement. Porte une lanterne pour trouver les « idées pures» de
Platon.
Anti platonicien
Nomos : loi & culture donc Platon
Fusis : nature / Sophistes, Cyniques
La nature nous incite à l’innocence et la simplicité, la culture nous impose les mots, les faux semblants => Diogène pratique la
masturbation en publique pour satisfaire ce besoin naturel.
D’après Onfray : matérialiste, atomiste et hédoniste
Ascèse
KEY POINTS
Mouvements dominants de la philosophie
1. PLATONICISME
2. CHISTRIANISME
3. IDEALISME ALLEMEAND
Platon
Platon : aristocrate, dans la République promeut un ordre aristo/travailleurs/militaires. Régime quais totalitaire
Platon => idealisme et transcendace des idées et des concepts, suprématie des idées sur la matière et le corps => prépare le
Christianisme
Triangle subversif au platonicisme:
1. Diogène
2. Socrate(indépendamment de Platon, qui aurait fabriqué un personnage conceptuel avec Socrate)
3. Aristippe de Cyrène
Les Sens
Tradition idéaliste et platonicienne hiérarchise les sens : ouie et vue sont les sens « nobles » (correspondent à des « beaux arts », sont
« médiatisés » par le concept, l’idée, la théorie. Ce sont des sens de la mise à distance, qui ont structurés un imaginaire et donnent
naissance à une esthétique.
Les autres sens sont « dénigrés », ceux que les matérialistes hédonistes réfutent (donc une cave aussi importante que la bibliothèque chez
Aristippe de Cyrène.
Les « précurseurs » d’Epicure
Les abderitains (Leucippe et Democrite) => Matérialisme
Le Cyrénaiques (Aristipe de Cyrène) => Hédonisme
Antiphon => le pouvoir de la parole
Les Cyniques (Diogène) => la simpicité et le retour vers la nature et le corps (Fusis vs. Nomos)
Dialogues de Socrate (de Platon (-428/-348))
Ridiculise les hédonistes (eg le philèbe qui met en scène Protarque, l’hédoniste ridiculisé) alors que l’hédonisme d’un Aristippe de Cyrène est
bien différent et Platon raconte l’histoire à sa façon. Socrate lui propose un choix manichéen : vie de plaisir ou vie de reflextion, protarque
choisit le plaisir, et Socrate dit qu’il vit les deux.
Bilan
Trajet du matérialisme Abdéritain jusqu’à Epicure = archipel (iles/ilots/séparés même si semblables). Lecture alternative de l’histoire e la philo
en face de la philo dominante de Platon des presocratique jusqu’au 2ème siècl ap JC.
Platonisme= idéalisme, monde intelligible pur et parfait concept qu’on retrouvera dans l’idéalisme chrétien , manichéisme.Transcendance,
Idéal ascétique (procède de Pythagore et Parménide) (voir Phédon de Platon)
Cette philosophie est au cœur de tous les programmes de philo.
Epicure prendra le contre pied dans la Lettre à Ménécée , le réel un point c’est tout : monisme, matérialisme, unité du réel, idéal hédoniste (vs.
Ascétique). Ce courant sera négligé dans l’historiographie officielle (impossible de retrouver Philodème de Gadara).
Les chrétiens garderont le platonicisme et rejetteront l’hédonisme => seul Spinoza viendra réintroduire la pensée épicurienne via ce que MO
appelle immanence panthéiste, Dieu est partout où est la nature (donc invente l’athéisme).
Les Epicuriens
a. Epicure (-342/-270) né à Samos
Épicure, né à Samos, Son père, Néoclès, enseignait la grammaire et sa mère, Chérestrate, était magicienne. Épicure semble avoir été élevé
à Samos (son père étant un colon athénien), puis il vint à Athènes pour y accomplir son service militaire vers l'âge de 18 ans, avant de
partir rejoindre son père à Colophon, au nord de Samos, en 323 av. J.-C.. Il y resta jusqu'en 321 av. J.-C. et y reçut les leçons de
Nausiphane. Il gagne ensuite Mytilène où il commence à enseigner. Sa philosophie suscite alors l'hostilité (mais il y rencontre son disciple
et futur successeur Hermarque) et il part rapidement pour Lampsaque où il vivra de 310 à 306 av. J.-C. Il y rencontre Colotès, Métrodore
et Idoménée de Lampsaque qui le suivront à Athènes.
En 306 av. J.-C., à 35 ans, il vient s'installer à Athènes et il y acheta un jardin pour 80 mines ; l'école du Jardin devint le centre des études
épicuriennes. Il y passa le reste de sa vie. C'est pendant cette dernière période qu'il écrit un très grand nombre de ses œuvres et de ses
lettres ; il est l'un de ceux qui ont le plus écrit dans l'Antiquité (300 ouvrages semble-t-il).
Souverain bien = ataraxie = plaisir venant de l’absence de douleur. Satisfaire ses besoins naturels nécessaires (boire et manger).
En logique ou épistémologie, Épicure considère que la sensation est à l'origine de toute connaissance et annonce ainsi l'empirisme.
Ses écrits furent détruits lors de l'avènement du christianisme, instauré religion d'État de l'Empire romain, à partir du règne Constantin Ier ,
mais surtout sous le règne de Théodose Ier (379-395), car ses écrits n'étaient pas compatibles avec la conception chrétienne de l'Homme
et du monde. Cet autodafé fut si fort, que de nos jours, il ne subsiste que des fragments de l'œuvre d'Épicure, souvent rapportés par
Diogène Laërce, auteur du IIIe siècle.
Malgré cette œuvre considérable (300 livres), et bien qu'Épicure eût élaboré l'une des doctrines cardinales de l'histoire de la civilisation
européenne, il ne nous reste que trois lettres de ce philosophe (Lettre à Hérodote, Lettre à Pythoclès et Lettre à Ménécée), et quelques
maximes (40 Maximes Capitales et 81 Sentences Vaticanes) découvertes pour la plupart à la fin du XIXe siècle. Des fragments du De la
nature (Peri phuseos) furent également découverts à Herculanum en 1752 (à une époque où la morale épicurienne, longtemps
combattue, revenait en force).
La doctrine d'Épicure peut être résumée par ce que les épicuriens ont appelé le tetrapharmakon (quadruple remède, ou « quadruple
poison » : car tout est question de posologie), que fit graver Diogène d'Œnoanda sur le mur d'un portique, formulé ainsi :
1. Les dieux ne sont pas à craindre ;
2. La mort n'est pas à craindre ;
3. On peut atteindre le bonheur ;
4. On peut supprimer la douleur.
Classification des désirs selon Épicure
Pour le bonheur Pour la tranquillité du Pour la vie Variation des plaisirs, ex. : richesse, ex. : désir
(ataraxie) corps (aponie) (nourriture, sommeil) recherche de l'agréable gloire d'immortalité
L’épicurisme Campanien
b. Philodeme de Gadara (-110/-40)
philosophe épicurien originaire de Gadara, dans l'ancienne Syrie (dans la Jordanie actuelle). D’origine orientale mais fortement hellénisé, il
romanise la pensée épicurienne. Il part à Athènes pour suivre l‘enseignement de Zénon de Sidon, philosophe qui dirige le Jardin d'Épicure
autour de 90 av. J.-C. Il s’établit ensuite en Campanie vers 80. Protégé par Pison, homme politique influent,
Jusqu’au XVIIIe siècle, et pratiquement jusqu’aujourd’hui, on ne disposait que de sources fragmentaires ou très partiales sur Philodème de
Gadara, comme sur tous les épicuriens. De lui, les copistes médiévaux n’avaient conservé que trente-quatre de ses épigrammes au sein de
l’Anthologie grecque, sans qu’on puisse déterminer si le fond (philosophique) ou la forme (poétique) y avaient le dessus. Sa pensée était
en outre accessible par les écrits des stoïciens et des Pères de l’Église, qui font de lui quelques courtes citations pour l’attaquer et
condamner sa pensée, à la manière dont tous les épicuriens ont été condamnés par les auteurs chrétiens2.
Entre 378 et 410, l'essentiel de sa création littéraire fut détruite par des chrétiens fondamentalistes, et ce qui restait, conservé dans des
monastères de l'Empire byzantin fut détruit, ou a disparu, entre 1204 et 1453.
Par un hasard exceptionnel, une bibliothèque de 1838 rouleaux de papyrus a été retrouvée dans une villa appartenant à Pison à
Herculanum, la villa des Papyrus. Cette bibliothèque contient principalement des textes épicuriens, dont certains en plusieurs
exemplaires, ce qui suggère que cette partie de la bibliothèque de Pison appartenait à Philodème. Cette bibliothèque nous est
exceptionnellement parvenue grâce à l’éruption du Vésuve en 79 apr. J.-C., éruption qui contrairement à Pompéi n’a pas recouvert de
cendres Herculanum (cendres qui ont consumé tous les papyrus à Pompéi), mais de boue. Ces rouleaux de papyrus ont été découverts
dans les années 1752-1754.
c. Lucrece (-98/-55)
Auteur d'un seul ouvrage en six parties, le De rerum natura (De la nature des choses, qu’on traduit le plus souvent par De la nature), un
long poème passionné qui décrit le monde selon les principes d'Épicure.
« On entend dans son vers les spectres qui s'appellent1 », dit Victor Hugo. Son tempérament angoissé et passionné est presque à l’opposé
de celui du philosophe grec. Il vit dans une époque troublée par les guerres civiles et les proscriptions => pages sombres du De rerum
natura sur la mort, le dégoût de la vie, la peste d’Athènes, de là aussi sa passion anti-religieuse qui s’en prend avec acharnement aux
dieux, aux cultes et aux prêtres (passion que l’on ne retrouve pas dans les textes conservés d’Épicure)
Il explique de façon matérielle les objets et le vivant, qui prennent forme via des combinaisons d'atomes. Surtout, Lucrèce unit à la science
épicurienne, souvent difficile, la douceur et la dimension visionnaire de la poésie
Quatre des six livres du poème s'ouvrent sur l'éloge du maître. Le poème est un exposé de la doctrine d'Épicure. C'est essentiellement
grâce à lui que nous connaissons sa pensée. Il ne reste pratiquement rien de l'œuvre considérable d'Épicure — 300 ouvrages selon
Diogène Laërce (les livres antiques se présentant sous la forme de rouleaux de papyrus) — peu recopiée par les moines du Moyen Âge.
Seuls subsistent, grâce à Diogène Laërce qui les a reproduits dans ses Vies et doctrines des philosophes illustres, le testament du
philosophe, 3 lettres à ses amis qui sont des abrégés de sa doctrine25 et 40 Maximes capitales, ainsi que les Sentences vaticanes,
découvertes en 1888 dans un manuscrit du Vatican datant du XIVe siècle. Ajoutons des fragments du De la nature d'Épicure en trente-sept
livres (l'équivalent, a-t-on calculé26, d'une dizaine de volumes dans une collection moderne de textes classiques) récupérés de l'importante
bibliothèque de la Villa des Papyrus à Herculanum que l'éruption du Vésuve en 79 a à la fois carbonisée et protégée.
Le paradoxe est que Lucrèce a écrit un long poème tout entier consacré à l'exposition de la doctrine épicurienne alors que le maître, qui
se méfiait de la poésie, en déconseillait la pratique à ses disciples
d. Diogène d’Œnanda
épicurien grec du IIe siècle qui a fait graver un résumé de la philosophie d'Épicure sur un mur de portique dans la ville antique de Œnoanda
en Lycie, dans la tétrapole des Milyens (Asie Mineure, en Turquie actuelle). Les fragments du mur retrouvé, qui s'étendait initialement sur
80 mètres, constituent une importante source de la philosophie épicurienne.
Sommaire du cycle 2 : La Résistance au christianisme
Montaigne (1533/1592)
3 ans de nourrice chez des paysans puis éducation 100% en latin (n’apprend pas le Français !), inspiré de « de pueris instituendis » d’Erasme
(sorte de Montessorri de l’époque), de 3 à ans. Puis collège de Guyenne de 6 à 13 ans à Bordeaux (en Français), bonne relation (pédophile ?)
avec un pédagogue qui lui fait lire des dramaturges latin (terrence, + italien).
Très belle bibliothèque (1000 livres)
De 22 à 37 ans magistrat à la cour de Périgueux puis au parlement de Bordeaux (fait du droit a la demande de son père)
Rencontre la Boétie à 25 ans (il meurt 6 ans plus tard)
Se retire à 35 ans à la mort de son père (1558) pour écrire et devenir 2 x maire de bordeaux : il considère que sa vie commence, et peut partir à
la quête de soi.
28 Février 1571 construit sa « tour » avec sa bibliothèque, sa chapelle, etc.et entame la rédaction des essais.
Œuvre subjective (s’intéresse à lui) comme les confessions de Saint Augustin.
Son projet : «le grand et glorieux chef d’œuvre c’est de vivre à propos»
Il passe 20 ans à écrire/dicter ses Essais
Plus latiniste qu’helleniste, il « déplatonise » Socrate et étudie les « pre socratiques ». Il trouve Platon verbeux et trop alambiqué, confus et trop
dense (à cette époque texte latin sans ponctuation). Il écrit avec comme projet de se peindre lui-même, ce qui est une première ormis st
augustin , il dicte son texte dont le style est naturel et simple.
Fagotage des essais (Montaigne) : histoire d’un moi qui se cherche, se trouve et parviens à l’universel en parlant de lui. Il dit n’écrire que pour
ses amis et sa famille. Il dit que c’est pour célébrer la Boétie et leur amitié, mais MO penses que non, et/ou que le but a changé.
ça ressemble plutôt aux P2M2 de Marc Aurèle (qui était le livre de chevet du père). Il dit qu’il dira toute la vérité (mais il ment parfois). Il dit
qu’il respectera les convenances. Ne parle ni de sa mère, ni de sa femme, ni de ses sœurs. Il a dicté les essais plutôt qu’écrit. Il lit assez peu (dit
qu’il n’aime pas et ne lit pas longtemps). Pas de plan aux essais. Il décrit son travail comme une libre digression. Il peut parler de ce qu’il mange
ou boit, de lectures ou de situations actuelles ou passées.
C’est le tout début de l’imprimerie, la parole est encore essentielle dans le passage des idées.
Il ment sur sa noblesse (achétée 15 ans plus tot et qu’il présente comme historique…), il a fait supprimer les mentions du nom d’origine
(Eyquem), une lignée de marchand de poissons fumés…
Le corps : petit corps, petit sexe, impuissant vers 50 ans, chaud lapin avant, calcul rénaux, se dit mauvais en sport, maladroit, incapable d’écrire,
de tailler sa plume ou de seller son cheval. Se dit « étranger à lui-même ». écrit les Essais pour « se rencontrer ». Rivalité avec le frère.
M se réclame plutôt du « flux » héraclitéen (on ne se baigne jamais dans le même fleuve) que de Parménide (pensée de l’être absolu)
Il déplatonise Socrate qu’il troupe lourd, alambiquée,
Bcp de place au cyrénaiques : culture du corp sans complexe
Montaigne est un stoiciste épicurien (points communs : la mort, l’ascèse, la douleur)
Référence à Marc Aurèle, une seule référence disant que c’est le philosophe de son père
Gérer la douleur par l’idée qu’on s’en fait
Réel incarné seulement et idée stoicienne qu’il faut faire la différence entre ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous.
Critique par contre le « dolorisme » des stoiciens (et donc des chrétiens)
MdM considère qu’il est catho mais qu’il aurait pu être islamique ou boudhiste si net aillerus
Laic et immanent, moniste et s’il n’est pas materialiste au sens « fort » il est hedoniste, ne croit pas à ideaux et aux dogmes (virginité, fidélité,
inquisistion, etc.).
Théorie des réligions : parle de « la grossière imposture des religions », explique qu’elles « exploitent la peur et la misère des hommes »
Eloge de Julien l’apostat et de Copernic
Il soumet son livre au pape qui demande des modifs que MdM ne fait pas.
Pour MdM être chrétien c’est être juste, bon, et charitable
CD Piste Titre Durée
1 1 Presentation d erasme 00:06:14
1 2 L influence de l valla 00:02:30
1 3 Celebration de la folie 00:04:58
1 4 Anticlericalisme et philosophie du christ 00:04:14
1 5 L hedonisme d erasme 00:04:26
1 6 L epicurien manifeste du christianisme epicurien 00:04:51
1 7 Le colloque une invention formelle d erasme 00:05:59
1 8 Une critique chretienne du christianisme 00:07:34
1 9 Le dialogue entre hedon et spudee 00:05:40
1 10 Vrais et faux plaisirs 00:06:01
2 1 Les six banquets d erasme 00:06:29
2 2 Presentation des lieux le jardin d erasme 00:03:27
2 3 Metaphore du jardin 00:04:43
2 4 Le jardin une meditation sur les elements 00:07:25
2 5 Le jardin une invitation a la reflexion sur le cre 00:07:38
2 6 Un jardin pour la recherche intellectuelle et 00:05:33
2 7 La salle des cartes et l hopital 00:04:37
2 8 Les personnages du banquet religieux 00:01:58
2 9 Un banquet chretien epicurien 00:07:34
2 10 Conclusion cd 2 00:03:07
3 1 L atheisme peut il etre une religion 1 00:09:06
3 2 L atheisme peut il etre une religion 2 00:06:44
3 3 L atheisme peut il etre une religion 3 00:02:30
3 4 L education laique des enfants 1 00:10:19
3 5 L education laique des enfants 2 00:02:13
3 6 Erasme et la dignite des femmes 1 00:02:38
3 7 Erasme et la dignite des femmes 2 00:06:17
3 8 Erasme et la notion de penitence 00:05:47
3 9 L humanisme d erasme rabelais 1 00:03:35
3 10 L humanisme d erasme rabelais 2 00:03:56
4 1 Recapitulatif et point methodologique 00:03:48
4 2 La pratique de l autoportrait chez montaigne 00:06:04
4 3 Le corps du philosophe 00:10:14
4 4 Le temperament du philosophe 00:02:07
4 5 Physique de la metaphysique 00:01:47
4 6 Un personnage absent du monde 00:07:23
4 7 Un personnage psychiquement fragile 00:04:42
4 8 L enfance de montaigne 1 00:04:05
4 9 L enfance de montaigne 2 00:05:40
4 10 Mort du pere et naissance de soi 00:05:17
4 11 Seances a venir 00:01:58
5 1 Les essais un livre pour qui 00:07:02
5 2 Une certaine idee de la verite 00:08:01
5 3 Fabrication d un roman familial 00:03:19
5 4 Les essais une oeuvre dictee par montaigne 00:03:56
5 5 Quel lecteur etait montaigne 00:05:00
5 6 Les essais une oeuvre sans plan 00:05:29
5 7 La langue de montaigne 00:03:49
5 8 Un livre cathartique et psychanalytique 00:03:44
5 9 Passion pour l oralite et ecriture chez montaigne 00:04:28
5 10 Jugement de montaigne sur les essais 00:05:14
5 11 Montaigne ecrivain ou philosophe 00:02:46
6 1 La librairie de montaigne 00:07:31
6 2 Influences de l antiquite 00:04:03
6 3 Preference pour le latin 00:03:19
6 4 Critique de pythagore et de platon 00:07:13
6 5 Critique elogieuse de socrate 00:03:28
6 6 Le doute chez montaigne 00:06:07
6 7 L absence d aristote 00:02:01
6 8 Influences cyniques et cyrenaiques 00:07:48
6 9 Stoicisme epicurien 00:07:11
6 10 Et epicurisme stoicien 00:05:06
7 1 Introduction cd 7 00:02:31
7 2 Retour sur quelques idees fausses 00:08:02
7 3 Invalidation de la theorie de la recuperation 00:02:13
7 4 Montaigne un catholique modere 00:03:23
7 5 Une vie catholique 00:03:33
7 6 Montaigne fideiste 00:06:05
7 7 Montaigne un chretien epicurien 00:04:24
7 8 Critique des positions chretiennes 00:05:50
7 9 Eloge de julien et de copernic 00:04:50
7 10 Lecture des essais par le christianisme 00:07:02
7 11 Le catholicisme ouvert de montaigne 00:04:50
8 1 Montaigne et la sagesse 1 00:05:21
8 2 Montaigne et la sagesse 2 00:08:23
8 3 Idee du suicide chez montaigne 1 00:03:25
8 4 Idee du suicide chez montaigne 2 00:03:05
8 5 Le scepticisme chez montaigne 1 00:04:06
8 6 Le scepticisme chez montaigne 2 00:02:49
8 7 La notion de tragedie et de tragique 00:08:10
8 8 Passion pour montaigne 00:09:17
8 9 Construction de la subjectivite 00:07:29
9 1 Introduction cd 9 00:02:43
9 2 Le concept de hapax existenciel 00:04:34
9 3 L accident de cheval 00:06:52
9 4 Une conception singuliere du corps 00:02:41
9 5 Critique de la medecine hippocratique 00:06:04
9 6 Chirurgie etiologie materialiste et prevention 00:06:42
9 7 Decouverte d un homme psychique et prescience 00:06:48
9 8 Prescience du refoulement et de la pulsion 00:03:21
9 9 Prescience de l ideal du moi et de la sublimation 00:05:08
9 10 Prescience du deni et de l analyse 00:03:40
9 11 Soma et psyche dans une meme chair 00:03:50
10 1 Haute conscience de la mort chez montaigne 00:04:19
10 2 Philosopher c est apprendre a mourir 00:01:36
10 3 Agir sur la representation de la mort 00:03:30
10 4 Quelques solutions epicuriennes et stoiciennes 00:09:16
10 5 Philosophie tragique et hedonisme 00:05:50
10 6 Haine de la douleur 00:08:14
10 7 Desir du plaisir 00:04:04
10 8 Anatomie du plaisir 00:04:30
10 9 Strategies d evitement des deplaisirs 00:05:57
10 10 Excellence de la sagesse populaire 00:05:22
11 1 Que sont les exercices spirituels 00:02:34
11 2 Premier exercice l amitie 00:05:54
11 3 Le discours de la servitude volontaire 1 00:06:18
11 4 Le discours de la servitude volontaire 2 00:04:25
11 5 Un discours libertaire face a un montaigne conserv 00:04:45
11 6 Realite de l amitie entre montaigne et la boetie 00:05:08
11 7 Le mythe de l unique ami 00:03:08
11 8 Deuxieme exercice le commerce des belles et honnet 00:08:35
11 9 Usage des femmes chez montaigne 00:04:01
11 10 Troisieme exercice le commerce des livres 00:08:22
12 1 La mort de montaigne 00:07:22
12 2 Le corps du philosophe 00:03:56
12 3 Devenire europeen de l oeuvre de montaigne italie 00:06:56
12 4 Le devenir europeen de l oeuvre en allemagne et en 00:06:44
12 5 Descartes et montaigne 1 00:05:23
12 6 Descartes et montaigne 2 00:06:48
12 7 Descartes et montaigne 3 00:03:51
12 8 Pascal et montaigne 1 00:04:22
12 9 Pascal et montaigne 2 00:06:19
12 10 Conclusion cd 12 00:01:25
13 1 Introduction cd 13 00:03:02
13 2 Les relations entre montaigne et marie de gournay 00:07:29
13 3 Marie de gournay une personne calomniee 00:03:43
13 4 Une pensee feministe 00:04:07
13 5 Une existence feministe 00:07:32
13 6 La mediation libertine de marie de gournay 00:04:39
13 7 Potentiel polemique de l oeuvre de montaigne 00:06:55
13 8 Quelques prelevements libertins 1 00:06:13
13 9 Quelques prelevements libertins 2 00:04:38
13 10 Une pensee susceptible d etre revolutionnaire 00:04:34
Sommaire du cycle 3 : Les Libertins baroques
Coffret 5 : Les Libertins baroques (1) Coffret 6 : Les Libertins baroques (2)
1. Un autre grand siècle ( 9 novembre 2004) ; 1. Gassendi, prêtre et libertin ( 8 février 2005) ;
2. Restaurer Pierre Charron ( 16 novembre 2004) ; 2. Les violences d’un doux ;
3. Inventer une sagesse laïque ( 23 novembre 2004) ; 3. Ventriloquie d’Épicure ( 1er mars 2005) ;
4. Pour une volupté prudente ( 30 novembre 2004) ; 4. Questions des auditeurs ;
5. Questions des auditeurs 1 ; 5. Les anamorphoses de Cyrano ( 8 mars 2005) ;
6. La Mothe Le Vayer, le clair-obscur ( 7 décembre 2004) ; 6. Le panthéisme enchanté ( 15 mars 2005) ;
7. Du cabinet de curiosité ( 14 décembre 2004) ; 7. Une pensée en archipel ( 22 mars 2005) ;
8. Un hédonisme sceptique ( 4 janvier 2005) ; 8. Questions des auditeurs ;
9. Saint Evremond dans les plis ( 11 janvier 2005) ; 9. Qu’est-ce qu’un libertin ( 29 mars 2005) ;
10. Questions des auditeurs 2 ; 10. Spinoza l’épicurien ( 5 avril 2005) ;
11. Le philosophe désinvolte ( 18 janvier 2005) ; 11. Une force dans une forme ( 12 avril 2005) ;
12. Le divertissement épicurien ( 25 janvier 2005). 12. Que peut le corps ? ( 3 mai 2005) ;
13. Le crépuscule de Dieu ( 10 mai 2005).
Coffret 7 : Les Ultras des Lumières (1) Coffret 8 : Les Ultras des Lumières (2)
Coffret 19 : Albert Camus, Georges Politzer, Paul Nizan Coffret 20 : Camus, Sartre, de Beauvoir
1. Dialectique de Mai 68 ;
2. Le cheval de Vincennes ;
3. La dématérialisation structuraliste ;
4. Les Nouveaux Philosophes ;
5. Vies et survies de la philosophie ;
6. La gauche libertaire de Bourdieu ;
7. La première vie de Jankélévitch ;
8. La vie d’après ;
9. Autoportrait en ironiste ;
10. Anatomie d’une passion triste ;
11. Les litanies de l’amertume ;
12. Une épuration ontologique ;
13. Vie de Misrahi
14. Un château philosophique
15. Éthique politique et eudémonisme
16. Les limites d'une éthique
17. Mikel Dufrenne : une vie
18. Nihilisme et mort de l'homme
19. Au ras du perçu
20. Hadot, une révolution de velours
21. Démultiplier Socrate : Dernier séminaire de la contre-philosophie
Stephane Launay
Natixis
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Equity Derivatives
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Onfray
Epicure et Nietzche
3 période chez Nietzche
Salut Agnès,
Suite à notre échange de SMS au sujet de Onfray (MO=f(Epicure, Nietzsche ?), je suis allé écouter ce qu’il dit de Nietzche. Comme j’arrivais à
Spinoza dans son cours marathon qui s’étale sur une vingtaine d’année de conférence, j’ai du faire un parenthèse et sauter quelques années.
Le Lion: la destruction des valeurs et le remplacement des valeurs, la renonciation aux pulsions de mort : Epicurien
N critique l’hédonisme, mais celui du 19ème siècle
Après la rupture avec Wagner, N renoue avec la vie philosophique => lignage d’Epicure, fantasme de la communautée des esprits
Libre avec Rey et Lou Salomé
Lettre où il annonce qu’il va se dédier à la sagesse : il est question de se sauver soi, et de penser pour soi, nouveau père = Epicure
N s’identifie à un Epicure Transhistorique
N diagnostique le nihilisme et le christianisme de son époque, la vénération des pulsions de morts de la pensée Platonico-Christo-
Kantienne
Il y oppose sa vision qu’on peut comprendre comme épicurienne (mais dans sa modalité esthétique) : faut être le poéte de sa vie
L’enfant: Le surhomme Dyonisiaque, et là il y a toute une thèse à développer et je vais t’épargner ça.
Venons en au cœur du sujet, (et de ton objection) et le centre des objections de ACS.
Nietzche et la volonté de puissance : pour MO, c’est une réalisation de la réalité de notre fonctionnement, comme les plantes qui poussent
pour chercher la lumière, l’être vivant cherche à maximiser sa puissance.
Le néophyte que je suis est frappé par les similitudes avec d’autres penseurs :
C’est la volonté de croitre de Guyau (qu’ACS m’a fait découvrir, et qu’on devrait mieux connaitre il me semble)- Nietzche a peut-être
hérité son concept de Guyau qu’il avait lu attentivement (on a retrouvé ses livres annotés par FN) mais qu’il ne cite jamais (acte
manqué, ou calcul conscient destiné à effacer les traces…)
C’est aussi à bien des égards le conatus de Spinoza qu’ACS lui préfère
Mais la VdP peut déboucher sur la domination de l’autre. Et c’est cette tendance à la domination de l’autre, stigmatisée par quelques phrases
prises hors de leur contexte, ou des phrases issues de « la volonté de puissance », le livre falsifié par la sœur Elizabeth, qui amène ACS à se
positionner en tant que « non nietzchéen ». Et Onfray lui tape dessus de façon assez virulente en reprochant à ACS et Luc Ferry d’avoir écrit un
livre (« pourquoi nous ne sommes pas Nietzchéens »), le texte d’ACS citant à 24 reprises un livre illégitime. Il faudrait avoir un droit de réponse
de ACS pour comprendre s’il a fait l’exercice de s’assurer de l’authenticité des citations qu’il utilise, mais si, comme le sous-entend Onfray, ACS
inclue « La volonté de puissance » dans sa biblio ça ne sent pas très bon pour la crédibilité de ton philosophe préféré (en tous cas en ce qui
concerne Nietzsche)
Maintenant, la lecture de Onfray est que les rares élus qui comprennent vraiment le sens profond du concept de volonté de puissance
formeront des rhizomes, des microsociétés (à la Stiegler). Ces micro-sociétés Onfray les voit comme autant d’opportunité de créer des « Jardins
d’Epicure » et y voit un choix de Nietzche d’encourager un mode d’exercice de la philosophie proche du Samosien.
MO reconnait aussi un Tetrapharmakon Nietzchéen et un lignage épicurien « intempestif » (comme chez Montaigne). Nietzche d’après MO,
reprend le tetra pharmakon :
Les dieux ne sont pas à craindre puisqu’il les tue, en meme temps que le bien et la mal (et la du même coup la liberté disparait
aussi : plus de libre arbitre) , mort de Dieu, mort de la morale, mort du bien et du mal, mort de la pitié, mort de l’idéal ascétique (et
du même coup mort du Libre Arbitre, nous sommes complètement déterminés).
Voilà où j’en suis sur notre débat sur la conciliation, en apparence difficile, du jardinier des Faubourg d’Athènes et de l’apatride dyonisiaque
errant dans l’Europe du 19ème face à la décomposition de son système de valeur.
On en parle quand on se voit. Dans le parcours pédagogique des 20 années de cours de la Contre histoire de la philosophie, j’ai fait un détour
de quelques heures par Nietzche pour essayer de te répondre pas trop bêtement sur le sujet Onfray = f( Epicure, Nietzche). Mais je suis depuis
retourné dans le cour initial, et le problème c’est que là je suis dans Spinoza, et c’est un gros, gros morceau. Pas facile de trouver le temps pour
m’avaler les 10 heures de cours…