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Chimie - Oussama Essahili

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Chimie

Générale
Organique
Chimie générale – Pr. Gueddari
Nombres quantiques :
Chapitre 1 : Atomistique Nombre quantique principale « n »
Nombre entier non nul
Les isotopes : Les couches ou les niveaux d’énergie (Taille de l’orbite)
 Même nombre de protons
→ Nombre maximale d’e- dans une couche :
 Même propriétés chimiques
 Propriétés physiques différentes, masse différente, stabilité différente
 Caractère radioactif ou stable pour certains isotopes Valeur de « n » 1 2 3 4 5 6 7
Couche K L M N O P Q
N.B :
H (A=1, Z=1, N=0) : Hydrogène Nb d’électrons 2 8 18 32 50 64 98
H (A=2, Z=1, N=1) : Deutérium
H (A=3, Z=1, N=2) : Tritium

La masse atomique :
Définitions :
Nombre quantique secondaire « L »
 La masse d’un mole d’atome Nombre entier
 La masse d’un atome gramme Sous-couches (Forme et symétrie de l’orbitale)
 La masse molaire atomique → Nombre de sous-couches dans une couche n :
 La masse de 𝑁𝐴 atomes
Ex : Pour n = 1 => L = 0 (1 ss-couche) | Pour n = 2 => L = 0, 1 (2 ss-couches)
Unité :
 Unité masse atomique (u.m.a ou u) → Nombre maximale d’e- dans une sous-couche :
Evolution des modèles atomiques :
Valeur de « l » 0 1 2 3
Modèle de • Soleil = noyau s p d f
Sous-couche
Rutherford • Planètes = électrons « sharp » « principal » « diffuse » « fondamental »
Nb d’électrons 2 6 10 14
•Les électons sont sur des orbites (trajectoire circulaire)
Modèle de •Perte d'énergie : les e- tombent sur les orbites
Forme de Forme Symétrie Symétrie
Niels Bohr •Gain d'électron : les e- gagnent une autre orbite
l’orbitale sphérique axiale complexe

•Certaines couches (niveaux d'énergie) se présentent


Modèle de sous forme de sous couches
Sommerfield •La première couche est sans sous-couches

1|Page
Nombre quantique magnétique « m » Couches de valence et électrons de valence :
Nombre entier
Nombre de case (Orientation de l’orbitale)
Couche de valence = Couche électronique externe = Couche périphérique
→ Couche où se trouvent les électrons de valence, couche électronique partiellement
→ Nombre d’orbitales pour une sous-couche L : ou totalement remplie.
Ex : Pour L = 0 => m = 0 (1 case) | Pour L = 1 => m= -1, 0, 1 (3 cases) Electrons de valence = Les + éloignés du noyau
→ Nombre d’orientations :
Représentation de Lewis :
Nombre quantique magnétique « 𝒎𝒔 » ou « s » X (A, Z) est entouré de :
Sens de rotation de l’électron sur lui-même Un point (•) : les électrons de valence (only les célibataires)
Il prend la rotation de +1/2 (↑ orienté vers le haut) Un trait (▬) : les électrons de la dernière couche (only les appariés)
ou -1/2 (↓ orienté vers le bas)
Exemple :
*Orbitales dégénérées : orbitales ayant le même niveau d’énergie Cl (Z=17)
*Orbitale à 2 électrons : électrons appariés
*Orbitale à 1 électron : électron célibataire
Configuration électronique la plus stable :
(Règles et principes)
Règle de KLECHKOWSKI ◼ Le remplissage des orbitales se fait par
valeur croissante de (n+L) X3 ▬ X1 •
◼ En cas d’égalité, le remplissage se fait
d’abord dans la couche de plus petit « n »
◼ Ordre de remplissage :
1s 2s 2p 3s 3p 4s 3d 4p 5s
*Halogène : monovalent (besoin d’un électron de valence pour saturer la
dernière sous-couche.
Principe de PAULI ◼ Deux électrons d’un même atome ne *Chalcogène : divalent (besoin de deux électrons de valence pour saturer la
peuvent pas avoir leur quatre nombre dernière sous-couche.
quantiques identiques
◼ Au maximum, il y’a deux électrons sur
une orbitale : différent de nombre
quantique « 𝑚𝑠 » (les deux électrons sont
antiparallèles ou appariés)
Règle de stabilité de HUND ◼Pour des orbitales de même niveau
d’énergie, les électrons de spin identique
occupent un maximum d’orbitales.

2|Page
Tableau périodique : (Classification périodique ou Table Mendelienne) A Savoir :
Regroupe tous les éléments classé selon le numéro atomique du plus petit au plus  Les métaux de transition : la sous-couche « d » est non saturée.
grand.  Les métaux perdent des électrons
 Les non-métaux gagnent des électrons pour satifaire la règle de l’octet et
7 périodes ◼ C’est les 7 lignes horizentales
acquérir la structure des gazs rares.
◼ La période peut-être K, L, M, N, O, P, Q
Ou 7 niveaux d’énergie ◼ Le numéro de la période dans le tableau  La règle de l’octet : 8 électrons de valence. (Comme les gazs nobles)
est le plus grand nombre quantique
principale « n » dans la configuration
Propriétés périodiques des éléments :
électronique Energie ou potentiel Energie nécessaire à un atome pour arracher un
◼ Les éléments de la même période ont le d’ionisation (EI / PI )électron de sa couche de valence à l’état gazeux
même nombre quantique « n » et former un cation.
18 groupes ◼ C’est les 18 colonnes verticales Grandeur toujours positive
◼ Les éléments d’une même famille ont le Unités : eV ou J
Ou 18 familles même nombre d’électrons de valence. Affinité électronique Energie libérée par un atome qui capte un
◼ Le numéro de la famille dans la catégorie
est le nombre d’électrons de la couche de
(AE) électron.
Grandeur positive ou négative
valence. AE > 0 : si l’anion formé est moins stable que
(7ème famille = 7 électrons de valence)
l’atome.
◼ Les éléments d’une même famille sont à
AE < 0 : si l’anion formé est plus stable que
propriété chimique voisine.
l’atome et possède la structure des gazs rares
Electronégativité (EN) Capacité de l’élément à attirer les électrons lors
Les familles d’une liaison chimique avec un autre élément.
Numéro du groupe Couche externe Nom de la famille Concerne les non-métaux
1
𝑛𝑠 (1e-) Alcalins Exemple :
1 EN(Fluor) = 4 (Le plus éléctronégatif)
2
2 𝑛𝑠 (2e-) Alcalino-terreux
EN(Sillicon) = 0,5 (Le plus éléctropositif)
2 1
3 𝑛𝑠 𝑛𝑝 (3e-) Du Bore « Terreux »
 1eV = 1,6 x 𝟏𝟎−𝟏𝟗 J
2 2
4 𝑛𝑠 𝑛𝑝 (4e-) Carbonides
 Fluor fait parti de la famille des halogènes.
2 3
5 𝑛𝑠 𝑛𝑝 (5e-) De l’Azote « Prictogène »
 Echelle de PAULING : ordre d’électronégativité décroissante
6 𝑛𝑠 2 𝑛𝑝4 (6e-) Chalcogènes
F > O > Cl = N > Br > S > I > C > H > Si > Al > Mg > Na = Ca > Fr
𝟐 𝟓 Halogènes
7 𝒏𝒔 𝒏𝒑 (7e-) Fati o Clara n3sso brahech sghar
2 6
8 𝑛𝑠 𝑛𝑝 (8e-) Gaz nobles

3|Page
Variation de EI et EN dans le tableau périodique :
Z↗ EI ↗ r↘ A↗ EN ↗ Période
Z↗ Z↗ ↦ e- de couche externe ↗ ↦ liberté des e- ↘

EI↘
«n»↗

r↗
Liberté
A↘ des e- ↗

EN↘

Groupe
r : rayon de l’atome
A : nombre de nucléons
Z : numéro atomique
A retenir pour les configurations électroniques :
Couches Sous-couches e-
1 s 2
2 s 2
p 6
3 s 2
p 6
d 10
4 s 2
p 6
d 10
f 14

4|Page
Chapitre 2 : Liaisons chimiques
I. Liaisons interatomiques 5)- Complexe de coordination :
Le complexe est formé de :
1)- Liaison covalente : met en commun des e- venant chacun d’un A. Un atome centrale : cation métallique avec un orbital vide.
atome. B. Ligands : ions ou molécules, porteurs de doublets libres.
Deux types : Recouvrement axial 𝝈 et Recouvrement latéral 𝝅 C. Liaison semi-polaire : relie l’atome et le ligand.
La liaison 𝜎 est plus forte que la liaison 𝜋 (𝝈> 𝝅)
La liaison 𝜋 ne permet pas la rotation de la molécule. Types :
Complexe électrons Champ Hybridation Géométrie
◼ Les types d’hybridations : magnétique
Hybridation Liaisons covalentes Géométrie Angle entre orbitales Paramagnétique Célibataires Attiré 𝑠𝑝3 𝑑 2 Octaédre
3
𝑠𝑝 4𝜎 Tétraèdre 109° Diamagnétique Appariés Repoussé 𝑑 2 𝑠𝑝3 (90° entre
𝑠𝑝2 3𝜎 et 1𝜋 Coplanaire 120° les orbitales)
𝑠𝑝 2𝜎 et 2𝜋 Linéaire 180°
6)- Liaison métallique
◼ S’effectue entre atomes d’électronégativités voisines et faibles.
2)- Liaison covalente polarisée : ◼ Concerne les métaux de transitions (ions positifs qui ont tendance à perdre les
◼ S’effectue entre 2 atomes différents, d’électronégativité légèrement électrons)
différente. ◼ Les électrons perdus des atomes formtent un bain d’électrons.
◼ L’atome le plus électronégatif attire le doublet de liaison de son côté :
un de charge partielle – et l’autre de charge partielle + II. Liaison intermoléculaire
1)- Liaison Hydrogène Intermoléculaire
3)- Liaison ionique ou électrovalente : Entre un atome très électronégatif Intramoléculaire
◼ S’effectue entre 2 atomes différents, d’électronégativité largement (N,O,Cl) et un hydrogène.
différente.
2)- Liaisons de VAN DER WAALS Interaction de Keeson - Force
◼ L’atome le plus électronégatif attire totalement le doublet de liaison d’orientation : deux molécules polaires
de son côté. Interaction de Debye - Force
d’induction : une polaire et une apolaire
4)- Liaison semi-polaire ou dative ou de coordinance : Interaction de London – Force de
◼ S’effectue entre 2 atomes différents : un donneur de doublet et un dispersion : deux molécules apolaires
ayant un orbitale vide.
◼ Flèche du donneur vers l’orbitale vide. ◼ Monovalent : une liaison simple avec un autre atome (ex : Halogènes)
◼ Pas d’attraction électrostatique ◼ Divalent : deux liaisons simples avec un autre atome (ex : Oxygène O)
◼ Trivalent : trois liaisons simples avec un autre atome (ex : Azote N)

5|Page
Chimie organique – Pr. IbenMoussa Nomenclature des alcanes :
1 Méthane 11 Undécane 30 Triacontane
Chapitre 1 : Notion de fonction et nomenclature 2 Ethane 12 Dodécane 40 Tétracontane
Principales fonctions : 3 Propane 13 Tridécane 50 Pentacontane
4 Butane 14 Tétradécane 60 Hexacontane
Hydrocarbures Alcanes (saturés) 𝐶𝑛 𝐻2𝑛+2
Cyclanes (saturés et insaturés) 𝐶𝑛 𝐻2𝑛
5 Pentane 15 Pentadécane 70 Heptacontane
Alcènes (insaturés) 𝐶𝑛 𝐻2𝑛 6 Hexane 16 Hexadécane 80 Octacontane
Alcynes (insaturés) 𝐶𝑛 𝐻2𝑛−2 7 Heptane 17 Heptadécane 90 Nonacontane
Fonctions Hydroxylée (Alcool primaire, secondaire, tertiaire) R- OH 8 Octane 18 Octadécane
univalentes Ether-oxyde R- O –R’ 9 Nonane 19 Nonadécane
Halogénée R- X (X : F, Cl, Br, I)
10 Décane 20 Eicosane
Aminée (Amine primaire, secondaire, tertiaire) R – NH2
Fonctions Carbonylée (Cétone R- CO –R’) (Imine R- CO –H)
Imine R- C = N - R
Hydrocarbures saturés et insaturés :
bivalentes
Fonctions Acide R- COOH Hydrocarbures Hydrocarbures
trivalentes Dérivés d’acide (ester, anhydride, amide, halogénée) saturés insaturés
Nitrile R – C ≡N Familles Alcanes Alcènes Alcynes Cyclanes
Types des Hydrocarbures : Suffixe « -ane » « -ène » « -yne »
Saturés : contiennent des liaisons simples
Préfixe « Cyclo- »
Insaturés : contiennent des liaisons doubles et triples
Radicaux « -yle » « -ylidène » « -ylidyne » « -yle »
Primaire/Secondaire/Tertiaire : (Voir le nombre de R)
◼ Exemple : Amine
Monovalents 1 Hydrogène Liaison simple
Radicaux Divalents 2 Hydrogènes Liaison double
Trivalents 3 Hydrogènes Liaison triple

Amine primaire Amine secondaire Amine tertiaire


A Savoir :
◼ Pour n = 1, n = 2 ou n = 3 : il y’a une seule structure possible.
◼ A partir de n = 4 : il y’a une structure linéaire et une structure
ramifiée.
6|Page
Concernant la nomenclature des alcanes : Concernant la nomenclature des alcynes :
◼ Les substituants sont cités par ordre alphabétique. ◼ Il y’a l’exception de HC ≡ CH qu’on appelle acétylène et non
◼ Les termes multiplicatifs des chaînes latérales (di, tri…) ne sont éthyne.
pas pris en compte dans l’ordre alphabétique. De même pour les ◼ La numérotation des doubles et triples liaisons se fait de façon à ce
termes multiplicatifs des ramifications des chaînes latérales (bis, que la chaîne soit numérotée avec la somme d’indices la plus petite.
tris, tétrakis..) et ces chaînes latérales ramifiés doivent avoir même Et en cas de même somme d’indices, les indices de positions les plus
nom et numéro pour avoir un terme multiplicatif faibles doivent être aux doubles liaisons.
◼ Le carbone lié directement à la chaine principale porte le numéro
1 (ex : le C de COOH de l’acide carboxylique) Concernant la nomenclature des cyclanes :
◼ Le nom prioritaire entre deux chaînes latérales ayant la même ◼ Lorsque le nombre de carbones du substituant alkyl est plus grand
première lettre, est celui ayant le numéro le plus petit. que le cycloalkane lui-même : cyclo alkyl alcane
(ex : « 1 – méthylpropyl » passe avant « 2 – méthylpropyl ») Les cycloalcanes insaturés sont nommés comme les acènes et
alcynes.
Les composés aromatiques les plus importants :
Concernant la nomenclature des alcènes :
◼ Il y’a l’exception de H2C = CH2 qu’on appelle éthylène et non
Benzène 𝑪𝟔 𝑯𝟔 Toluène
éthène.
◼ La chaîne est numéro de façon à donner l’ensemble des indices le
plus bas pour les doubles liaisons / ! \
◼ On note pour plusieurs doubles liaisons : Phényl 𝑪𝟔 𝑯𝟓 Acide
« alc-chiffres-diène, alc-chiffres-triène » benzoique
Exemple : prop-2-ènyle (Benzène +
◼ Il existe des liaisons doubles dans quelques cas pour : COOH)
Les radicaux bivalents (= R)
H2C = méthylène Phénol
Les radicaux univalents (- R et le R contient double liaison)
H2C = CH – : éthylène ou vinyle
H2C = CH – CH2 – : prop-2-ènyle ou allyle
H2C = C(CH3) – : isopropènyle

7|Page
Ordre de priorité des fonctions : Chapitre 2 : Représentation des molécules et
I. Acide carboxylique (acide alcanoïque) -COOH analyse conformationnelle
II. Ester (alcanoate de alkyle) R- COO –R’
III. Amide (Alcanamide) R – CO – NH2 Représentation des molécules
IV. Aldéhyde (alcanal) R – CHO –R’ Projective
V. Cétone (oxo-/alcanone) R – CO – R’ (CRAM)
VI. Alcool (alcanol/hydroxy-) R - OH
VII. Thiol (mecarpto-) R - SH
VIII. Amine (amino-) R - NH2
IX. Halogénée (fluoro- chloro- bromo- iodo-) R – X

Loic est l’ami de Daltone Perspective Très utilisé dans les


cycles
N.B Deux plans : Avant
et arrière.
= : ène ≡ : yne

Newman Permet de montrer


la rotation autour
d’une liaison

Fisher Cram à Fisher


1. Chaîne principale
verticale et en
arrière.
2. Les autres liaisons
horizentales et en
avant.
3. L’élément le plus
oxygénée haut.

8|Page
Analyse conformationnelle Gradient de stabilité (du – stable au + stable)
Eclipsée Eclipsée Décalée Décalée
totale partielle gauche anti

𝜃 = 0° 𝜃 = 60° 𝜃 = 120° A savoir :


1- Eclipsée totale 2- Décalée gauche 3- Eclipsée partielle  (1) (2) (3) (4) sont appelés des conformères/rotamères.
 Le (1) et (3) sont les – stables : il y’a un gène stérique.
 Le – stable est toujours l’éclipsée totale.
 Le + stable est :
En absence de liaison hydrogène Décalée anti
En présence de liaison hydrogène Décalée gauche

𝜃 = 180° 𝜃 = 240° 𝜃 = 300°


4- Décalée anti 3- Eclipsée partielle 2- Décalée gauche

9|Page
Chapitre 3 : Isomérie II. Isomérie optique :
The hardest one »» On consulte le carbone α, il doit y avoir au minimum un carbone asymétrique
(CHOH/CHNH2)
Isomérie de constitution  C’est un objet chiral, l’atome est asymétrique : centre asymétrique
Isomérie de fonction Diffèrent par leurs fonctions (ex : CO/COOH) portant 4 substituants différents
Isomérie de chaînes Même fonctions, même nombre de carbones, diffèrent Molécule Chirale Achirale
par la chaîne principale
Superposable à son image X ✓
Isomérie de position Même fonctions, même chaînes, diffèrent par la
position du groupement fonctionnel (ex : Cl sur C1 ou Plan de symétrie X ✓
C2 | Double liaison sur C1 ou C3)  L’inverse optique est obtenue par permutations de 2 carbones.

N.B : Un stériomère peut-être un isomère géométrique et optique en même temps.


Stériomérie Nomenclature des stériomères
I. Isomérie géométrique : 1)- Configuration relative D et L
»» On consulte les substituants, il doit y avoir une double liaison et les molécules » On consulte la position de OH ou NH2.
de chaque côté de la double liaison doivent être différents.
1)- Mêmes substituants (Cis – Trans)

(D)- …………… (L)- …………


CIS (Sisters, proches) TRANS - Pour mémoriser (D) : Droite (L) : Left
2)- Substituants différents (Z – E)
2)- Configuration relative R et S

Isomére Z Isomère E
On classe les substituants par ordre prioritaire (selon électronégativité)
1. Cl 2. COOOH 3. CH3 4. H On classe les substituants par ordre prioritaire (selon électronégativité)
Si les deux premiers sont du même côté par rapport à l’axe horizentale : Z Pour mémoriser : R comme Rolex (montre)
Si les deux premiers sont de côtés opposés par rapport à l’axe horizentale : E En Fisher, on inverse le sens, si on obtient R, c’est S. Si on obtient S, c’est R.

10 | P a g e
3)- Configuration érythro et thréo et méso:
Chapitre 4 : Effets électriques

• lié à la polarisation d'une liaison 𝜎


Effet Inductif • s'affaiblit au bout de quelques liaisons
(4 carbones)
(EI) • n'est pas due à la conjuguaison
D- Erythro L- Thréo Méso • ne fait pas appartenir de charges (+/-)
 La configuration D et L est obtenu grâce à la molécule OH inférieure.
 Un même composé (même substituants des 2 côtés) peut avoir : 2 Thréo et 1 Méso
• dues à la délocalisation des électrons 𝜋 𝑜𝑢 𝑛
 Le compsoé Méso contient un axe symétrique
 Pour mémoriser : Ery = United
Effet Mésomère • ne s'affaiblit pas
(EM) • est due à la conjuguaison 𝜋𝜎𝜋/𝜋𝜎𝑛
• fait appartenir des charges (+/-)
Notion d’énantiomères et diastéréomères :
Enantiomères : Permutatoin de substituants dans 2 carbones asymétriques
Diastéréomères : Permutation de substituants dans 1 carbone asymétrique
N.B : Effet Mésomère l’emporte sur l’Effet Inductif (Mes > Ind)
N.B :
Le nombre de stéréomères optiques ayant « n » centres aysmétriques : 𝟐𝒏 Effet Inductif (EI) EM Mésomère (EM)
EI Donneur (+I) EI Attracteur (-I) EM Donneur (+M) EM Attracteur (-M)
Atomes moins Atomes plus Les atomes plus Les atomes plus
électronégatfs que électronégatifs que électronégatifs éléctronégatifs
le carbone. le carbone. donnent une récupèrent une
- Les métaux : Na, F, Cl, Br, I, OH, liaison au carbone liaison du carbone
Mg, Li.. NH2, CN, NO2,
- Les groupements Phényl..
alkyles :
CH3, C2H5..

11 | P a g e
Chapitre 5 : Notion de mécanismes réactionnels Règles de Markovnikov et Anti-Markovnikov
Markovnikov Anti-Markovnikov
Types de réactions chimiques : Réaction : Addition ionique Réaction : Addition radicalaire
Elimination 1 réactif → 2 produits Fixation du nucléophile sur le C En présence du peroxyde
(déshydratation) Composé insaturé → Composé saturé le ++ substitué (peu de H) Présence de température
Acide fort à chaud avec un alcool Fixation du nucléophile sur le C
Produit mineur : le – substitué (beaucoup d’hydrogène) le – substitué (bcp de H)
Produit majeur : le ++ substitué (peu d’hydrogène)
Réduction Cétone → Alcool
Décarboxylation Acide oxaloacetique → Pyruvate Les réactifs
1 carbone disparait (-1C) Acide (Lewis) ► a une orbitale vide et capable de reçevoir un
Substitution 2 réactifs → 2 produits
Alcool tertiaire avec acide orthophosphorique très
doubet non liant d’une base
dillué à froid. Base (Lewis) ► porte un doublet non liant (libre)
On remarque qu’un élément d’un réactif a été Réactif ►Entité qui est susceptible de fournir : des
substitué par un autre. nucléophile anions et des bases de Lewis
Ex : CH3 – CH2 – OH devient CH3 – CH2 - Cl ►Ils attaquent un site chargé posititvement
Addition 2 réactifs → 1 produit Anions 𝐻𝑂− 𝐶𝑙 − 𝐵𝑟 − 𝐶𝐻3𝑂𝐻
Composé saturé → Composé insaturé
Base de Lewis Porte une paire d’électrons
On remarque dans les produits qu’un élément d’un
réactif, apparaît dans l’autre réactif. Réactif ►Entité qui est susceptible de perdre : des
Ex : CH2 = CH2 devient CH3 – CH2 - Cl électrophile cations et des acides de Lewis
Désamination Amine → Alcool Cations 𝐻+ 𝐻3𝑂+ 𝐴𝑙𝐶𝑙3
Acide de Lewis Contiennent des orbitales vides
N.B :
𝑅é𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛
Acide → Alcool
𝑂𝑥𝑦𝑑𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛
Alcool → Acide Moment dipolaire (Pour savoir le type, on dessine la molécule et on
nomme des flèches sur les liaisons du moins électronégatif vers le plus
Addition H2O en milieu acide :
électronégatif)
 Obéit à la loi de Markovnikov 1. Non nul : Si les flèches sont réunis au milieu comme H2O
 Conduit à un alcool secondaire 2. Nul : Si les flèches sont vers le dehors comme CF4 et Cl2

12 | P a g e

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