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2024-03-06

Proto :
Bouger 3 trou guidage bas en dessous de la barre rectangle

Machines asynchrones
Schéma équivalent moteur à cage

Schéma Identique à la machine à bobine

Les seules différences avec les moteurs à bobine :


"Effet de peau" (checker l'orthographe)
Plus la fréquence est élevée, plus l'épaisseur qui va concentrer le courant est
faible.
Une sorte d'effet qui modifie la répartition du courant autour de la cage, surtout
au démarrage

Caractéristiques

Puissance électromagnétique = Puissance absorbée - Pertes joules stator -


Pertes frottements stator = Pertes joules rotor + Pertes frottements rotor +
Puissance mécanique
&
Puissance électromagnétique = Pertes Joules Rotor / g = Couple
électromagnétique * vitesse de synchronisme

Puissance méca = Couple électromagnétique Vitesse de rot


Dans une machine non asynchrone on a égalité entre puissance mécanique et
électromagnétique, donc pas ici*

En pratique on contrôle C par la tension statorique, pas par le courant


em

rotorique - on préférera donc une équation selon la tension

Le courant statorique à vide d'un moteur asynchrone est très élevé (env 40% du
nominal). En effet, par tension induite, ce courant (appelé courant magnétisant)
sert à créer la tension rotorique.

Frein à contre courant

Revient à débrancher, à inverser, et rebrancher 2 phases lors du fonctionnement


du moteur. C'est extrêmement brutal, et implique un glissement supérieur à 1

Contradiction

Entre le comportement nominal (qui exige un R faible) et le comportement au


r

démarrage (qui exige un R élevé). Le dimensionnement peut être compliqué.


r

On va donc dimensionner selon la comportement nominal, car le démarrage est


court donc on ne s'embête pas avec avec.
Cela implique un R et un X faible dans une machine asynchrone.
r f

Mais cela implique aussi un courant de démarrage très élevé (4 à 8 fois celui du
nominal).
Le démarrage devient compliqué
On peut jouer sur

un R variable - sur le moteur à rotor bobiné. => Utilisation d'un rhéostat


r

variable
un V qui diminue
s

ajout d'une résistance série (à éviter car diminue les rendements)


utilisation d'un autotransformateur (comme au TP4 avec la grosse
boîte) - c'est un "transformateur potentiomètre", encombrant & pas
pratique
Faire un branchement Etoile-Triangle - plus complexe mais ne réduit
pas la durée de vie de la machine, moins de chances de casser
Utilisation d'un gradateur
une construction spécifique (
Double cage : présence d'une cage interne & externe, ayant des
dimensions ou des matériaux différents, changeant leurs propriétés R
et X. Une cage est bonne au démarrage et l'autre en nominal. On
peut 'choisir' laquelle serait utilisée grâce à l'effet de peau. Une
vitesse de rotation qui augmente déplace la concentration de courant
(effet de peau élevé), et va 'dans la cage'. La forme des barres
influence aussi tout ça. L'objectif étant d'influencer le graph
Cem = f (Ω) .

Cage profonde
par alimentation à ω variable (par contrôle de la source électrique qui n'est
s

donc plus le réseau).


- Moteur alimenté à fréquence variable : on est plus alimenté sur le réseau,
on crée notre propre source. Permet de varier la vitesse de synchronisme.
L'augmenter déplace la valeur crête de C vers la droite, et la diminue
em

légèrement aussi. On retrouve une relation C = f (Ω) similaire à celle d'un


moteur DC.
Ainsi le démarrage n'est pas du tout dimensionnant, il sera piloté par
l'électronique de puissance variant ω s

On peut aussi varier la vitesse en intervertissant le nombre de pôles entre


2 & 4 par exemple.
Remarque : C em est inversement proportionnel à X f

Machines synchrones
A pôles lisses

Pas de saillance, donc pas de réluctances


Pôles lisses : même chemin réluctant le long de l'axe du flux
2 familles de rotor à aimants permanents surfaciques (périphériques):

Aimants permanents => grand entrefer, mécanique (air), magnétique


(aimants). Défluxage compliqué qui permet difficilement d'aller au-delà de
la vitesse nominale
Rotor bobiné => Défluxage aisé qui permet d'aller facilement au-delà de la
vitesse nominale

A pôles saillants

L'angle β du flux est un paramètre crucial de commande


A retenir : l'axe E est perpendiculaire à Ψ f
Défluxage : c'est pour aller au dela de la vitesse nominale, car

Ω = E/f lux

Etudier du DC Brushless c'est appliquer les mêmes équations qu'au MCC

Remarques
La variable 'fiabilité / durabilité' a disparu de nombreuses applications comme
dans l'électroménager ou la télévision.
Lanfranchi qui a dit qu'une marque de télé savait qu'un mauvais placement des
transiistors & des capacités entraînent une surchauffe qui diminue la durée de
vie. Pour autant, rien n'était fait changer ce 'mauvais' design.
La low tech c'est surtout regarder ce qui a été fait avant

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