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Exposer de yacine

Th
éme : La mondialis
ation
Plan :
Introduction
1. Contexe et historique
2. Concept de la mondialisation
3. les enjeux et défis de la
mondialisation
4. les b
Conlusion

Introduction
La performance globale de l'économie mondiale qui s'avère satisfaisante

s'explique par le concours de plusieurs facteurs : le progrès réalisé dans la

mondialisation de l'examen mondial, l'engagement ferme des


gouvernements

du monde à poursuivre de sérieuses politiques budgétaires et monétaires

pour la promotion de l'équilibre. Mais la mondialisation de cette économie

s'est déroulé de façon rapide et ferme, faisant de notre monde un univers de

plus en plus intégré et interdépendant, bref un village planétaire.La


mondialisation ou la globalisation est un processus géoéconomique
relativement récent, qui permet de mettre en relation différentes parties du
monde tout en suscitant espoirs et craintes face à l’homogénéisation et
marginalisation des territoires et les populations.

La mondialisation est considérée comme inégale, car tout en accélérant le


rôle des différents acteurs déjà en réseaux, elle accentue les inégalités de
territoires enclavés.

I -Contexe et historique
La mondialisation ou globalisation signifie l'intégration des pays développés

et des pays en développement en un seul marché mondial régi par la libre

concurrence et accessible à tous les agents économiques du monde.

Cependant, une formidable croissance des investissements et des échanges

internationaux au cours des 20 dernières années ont vu le jour, combinés à

une véritable explosion des communications et de technologies au niveau

planétaire, c'est ainsi que la plupart des gens voient la mondialisation.

HISTOIRE : C’est un processus qui s’est mis en place par étape dès l’Antiquité ! Il
s’agit des premières routes commerciales entre l’occident et l’orient, comme la
route de la soie. Puis le commerce triangulaire entre l’Europe, l’Afrique et
l’Amérique a posé les bases d’une réelle économie capitalisme globale.

Mais c’est seulement à partir de 1850 qu’elle s’accélère. La première firme


transnationale (FTN : entreprise qui possède des filiales dans plusieurs pays) est
alors créée, et la France et le Royaume-Uni sont les deux plus gros investisseurs
mondiaux à l’origine de multiples projets partout dans le monde.

La période qui suit la seconde guerre mondiale sera également favorable à la


Mondialisation, notamment avec les accords de Bretton Woods au bénéfice de
l’économie florissante des États-Unis.

Finalement, un nouveau regain d’énergie renforce le phénomène à la fin du XXème


siècle grâce aux progrès spectaculaires des moyens de transport et des
technologies de la communication, ainsi qu’à l’essor des zones de libre-échange,
mais aussi au recul des politiques communistes.

GEOGRAPHIE : C’est un phénomène complexe car il est le résultat de deux


logiques opposées :
l’intégration de nouveaux territoires aux échanges économiques, culturels ou
humains à l’échelle mondiale. Par exemple, la construction d’un aéroport va
accroître les échanges entre le reste du monde et la région qui accueille cette
nouvelle infrastructure.

l’exclusion de territoires à l’échelle locale. Par exemple, une nouvelle ligne de


chemin de fer favorise les échanges entre les villes connectées par des gares mais
exclue toutes celles où le train ne s’arrête jamais. Les communes non desservies se
trouvent alors plus enclavées que les autres.

Ainsi, les impacts de la mondialisation sur les territoires sont très inégaux, et offrent
toute une palette de situations très diversifiées : des centres bien définis, des
périphéries plus ou moins bien intégrées et dominées, et des marges délaissées.

II- le concept de la mondialisation


On parle souvent de la mondialisation comme un phénomène économique et
financier (avec le développement du commerce et des échanges monétaires
et financiers) mais le phénomène englobe un champ bien plus large que
celui de la simple circulation des biens et services et des capitaux. La
mondialisation a en fait plusieurs volets :

La mondialisation économique : développement des échanges commerciaux,


avec des acteurs transnationaux comme les entreprises transnationales.

La mondialisation financière : émergence d’une finance mondiale, avec


échanges financiers internationaux, échanges monétaires…

La mondialisation culturelle : interpénétration des cultures dans toute leur


diversité, mais aussi émergence d’une supraculture mondialisée.

La mondialisation politique : développement et influence croissante des


organisations internationales telles que l’ONU ou l’OMS, ainsi que des ONG.

La mondialisation sociologique : circulation de l’information en temps réel,


interconnexion et interdépendance des événements et de leurs
conséquences.

La mondialisation géographique : nouvelle organisation et hiérarchisation


des différentes régions du monde, en constante évolution.
Un des effets bien visible de la mondialisation est l’uniformisation des modes
de vie. Que se soit en termes de consommation, de loisir, ou de culture, les
habitudes des citoyens tendent à se calquer sur les standards occidentaux,
c’est pourquoi on entendra souvent parler « d’occidentalisation du monde« .

Les grandes métropoles sont devenues des symboles évidents de ce


phénomène. En effet, elles s’organisent de plus en plus selon le modèle des
villes Nord-Américaines : un centre des affaires avec des hauts buildings
ultra-modernes (CBD : central business district), une profusion de centres
commerciaux identiques, et une périphérie de plus en plus pauvre.

Néanmoins, la mondialisation culturelle est à relativiser grâce aux batailles


menées aux échelles locales pour conserver les singularités et valeurs
sociales, linguistiques, religieuses ou artistiques qui rendent notre humanité
si belle !

III- les enjeux et défis de la mondialisation


La mondialisation n'est certes pas une nouveauté dans l'histoire. Mais

l'époque actuelle de la mondialisation se distingue des clairement

précédentes. Les distances se rétrécissent, les délais se raccourcissent et les

frontières disparaissent, ce qui intensifient, approfondit et rend plus

immédiates les relations entre les hommes.

a -Les enjeux sur les marchés mondiaux :


Plusieurs milliards de dollars changent chaque jour de mains sur les marchés

mondiaux de devises et les échanges mondiaux concernent près d'1/5 de

biens et de services produits chaque année à l'échelle planétaire. Autrement

dit, la mondialisation est beaucoup plus les mouvements d'argent ou de

marchandises : c'est l'interdépendance des habitants du monde.

Néanmoins, la mondialisation est un phénomène qui ne concerne pas

seulement l'économie, mais aussi la culture, la technologie et la

gouvernance.
b-Les enjeux des échanges
Si la mondialisation n'est pas une nouveauté, plusieurs formes d'échanges se

distinguent de l'époque à plusieurs égards :

-Les nouveaux marchés: Il s'agit des marchés financiers et des changements

qui sont interconnectés à l'échelle mondiale. Ils fonctionnent 24h/24 et les

les transactions se font à distance en temps réel.

-Les nouveaux outils:

Ce sont :

Les liaisons internet,

Les téléphones portables.

-Les nouveaux acteurs:

Ce sont :

L'OMC (Organisation Mondiale du Commerce) devient

opérationnelle en 1985 et dont l'autorité s'exerce sur les

gouvernements nationaux, mais aussi les entreprises

les multinationales dont le pouvoir économique dépasse celui de

bien de pays.

Les ONG et d'autres groupements transcendant les frontières

nationales.

-Les nouvelles règles:

Ces règles font partie des accords multilatéraux sur les échanges des

services et la propriété intellectuelle et qui s'appuient sur les

mécanismes d'application puissants et plus contraignants pour les

gouvernements nationaux, avec pour effet de réduire la marge de

manœuvre des politiques nationales.

c-Les enjeux sur les perspectives


La mondialisation offre des perspectives majeures de progrès à l'humanité

mais seulement à condition de renforcer les moyens de gouvernance. Cette

mondialisation telle que nous la connaissons aujourd'hui est porteuse d'un

grand nombre d'opportunités pour des milliers de personnes dans le monde

entier :

- Les nouvelles technologies

- L'augmentat- Le développement des médias et des autoroutes de l'information


sont

autant de facteurs qui alimentent la croissance économique et le progrès de

l'humanité

- La mondialisation des idées, de la solidarité peut enrichir la vie des

individus partout dans le monde et élargir considérablement leurs possibilités

de choix.

La mondialisation est un passeport pour le commerce mondial et les

négociations commerciales. Les PED ont donc de grands défis à relever.

Toutefois, si la mondialisation amplifie les conséquences de tout échec, elle

amplifie également les retombées de chaque succès. La mondialisation

permettre les relations commerciales multilatérales et a intensifié les intérêts

souveraineté des partenaires. L'abaissement des barrières douanières

les commerciales sont à la base même de la croissance et de la prospérité

référencés dans la plupart des pays.

VII-LES BIENFAITS ET LES NOUVELLES


MENACES DE LA MONDIALISATION :
La mondialisation offre des perspectives énormes en terme de gains de

productivité, tout comme elle procure de nouvelles menaces pour

l'humanité.
a -Les bienfaits de la mondialisation :
Des études effectuées par divers chercheurs au niveau des entreprises et des

secteurs montrent comment la libéralisation des échanges et l'intensification

de la concurrence des importations qui en découlent augmentent la

productivité et donc la croissance. La mondialisation réduit les rentes de

monopole. La libéralisation de l'agriculture fait augmenter les revenus ruraux

qui sont relativement faibles,entraînant à cet effet l'élargissement des

débouchés dans les pays pauvres où les marchés sont exigus. De nombreux

paie pour su saisir les opportunités de la mondialisation économique et

technologique. Outre les pays industrialisés, les «Tigres»sont-asiatiques sont

aujourd'hui rejoint par des pays tel que le Chili, l'Inde, la Turquieet bien

d'autres.

Au 21è siècle, le défi de la mondialisation ne consiste pas à bloquer

l'expansion des marchés mondiaux, mai à trouver les règles pour

l'épanouissement des ressources humaines, collectives et environnementales.ion


des échanges

1- l'éthique
La mondialisation des marchés doit aller de pair avec une gouvernance
mondiale responsable et souple, assurée par l’entremise d’institutions
capables de garantir à tous la jouissance des droits de l’homme – y compris
le droit à une alimentation adéquate et le droit d’être à l’abri de la faim. La
communauté internationale, par l’entremise de ses institutions et
organisations, doit reconnaître le devoir qui lui incombe d’atténuer les
conséquences négatives de la mondialisation dans un contexte de très forte
inégalité, ainsi que de promouvoir un environnement offrant des possibilités
égales à tous.A l’ère de la mondialisation, il n’est pas possible de lutter avec
succès contre le fléau de la faim si les Etats et la communauté internationale
constituée ne reconnaissent pas leur obligation d’adopter et d’appliquer des
règles appropriées. Au niveau international, il est essentiel de renforcer le
rôle d’institutions multinationales comme la FAO afin de prendre dûment en
considération les préoccupations de ceux qui ne bénéficient pas
actuellement de la mondialisation ou qui peuvent même avoir été lésés par
celle-ci.

D’un point de vue éthique, la priorité doit être accordée à ceux qui sont le
plus exposés à l’insécurité alimentaire, tout en veillant à ce que toutes les
mesures adoptées respectent la dignité de l’individu et soient
écologiquement rationnelles. Les problèmes que soulève la mondialisation
devraient être repensés comme exigeant l’engagement moral de la
communauté mondiale d’orienter les politiques en matière
d’investissements, d’assistance et d’échanges vers l’universalisation des
droits de l’homme, et en particulier le droit de chacun à l’alimentation et le
droit d’être à l’abri de la faim, et le respect de la diversité des cultures
humaines. Il pourrait être opportun d’élaborer un code de conduite pour la
mondialisation économique, afin d’éviter certaines conséquences négatives
et d’assurer un partage plus large et plus équitable de ses avantages dans
l’intérêt de tous.

2- L'intégration
Cette intégration dans la mondialisation permet également à l'État de
multiplier les éléments d’intégration grâce à de nombreux aménagements et
à l’essor de nouveaux secteurs d’activités. Ainsi, Dubaï, la capitale du pays,
est devenue une place financière internationale et un espace stratégique du
tourisme de démesure.

Les pays développés sont les premiers à intégrer les réseaux mondialisés, ils
les dominent. Toutefois, la croissance économique des pays émergents et
leur multiplication fragilisent la hiérarchie établie au sein des réseaux
mondialisés. Ces derniers sont désormais polycentriques et témoignent
d’une organisation mondiale multipolaire.

Des métropoles intégrées à différentes échelles

Les métropoles sont des territoires au cœur de la mondialisation. Elles


concentrent les fonctions de commandement économique, politique, culturel
voire financier. Leur degré d’intégration à la mondialisation varie en fonction
du rayonnement, de l’attractivité et des infrastructures de transports dont
dispose la métropole. Elles peuvent donc être des centres de
commandement majeurs ou secondaires des réseaux mondialisés.

Métropoles : grandes villes dont l’activité et le pouvoir de décision s’étendent


sur un très large territoire.
4- la viabilité
Ces évolutions ont débloqué un immense potentiel latent de création de
valeur dans l’économie mondiale. Les activités de production ont été
décomposées en de multiples étapes, chacune d’entre elles se déroulant là
où il était le plus efficace de le faire. Grâce à cette réorganisation de la
production, il est devenu possible de produire davantage en utilisant la
même quantité de ressources. Au même moment, la concurrence étrangère
a incité les entreprises à accroître leur productivité. Pour leur part, les
consommateurs ont eu accès à un éventail plus large de biens à des prix
plus abordables.

La plupart des économistes estiment que la mondialisation (et plus


particulièrement les réformes du commerce) a eu un effet global positif sur la
croissance, surtout dans les pays qui étaient précédemment moins intégrés.
Les pays en développement ont plus particulièrement bénéficié de la
possibilité qui leur a été donnée de participer aux chaînes de valeur
mondiales (grâce à l’expansion planétaire des réseaux de production), parce
que cette segmentation de la production leur permettait d’exporter des
produits plus sophistiqués sans avoir à développer localement des industries
entièrement nouvelles. Pendant la période d’accélération de la
mondialisation, les niveaux de revenus mondiaux ont convergé et les taux de
pauvreté sont passés de 47 % en 1980 à 16 % en 2010.

5- Le développement
La mondialisation a entraîné une nette augmentation des échanges
commerciaux et économiques, mais également une multiplication des
échanges financiers.

Cette accélération des échanges économiques a été à l’origine d’une forte


croissance économique mondiale. Elle a permis un développement industriel
global rapide. Selon certains analystes, la mondialisation a aussi contribué à
améliorer les conditions économiques globales, en créant de nombreuses
richesses économiques.

À partir des années 1980, sous l’impulsion des politiques néo-libérales, le


monde de la finance s’est progressivement ouvert. De nombreux Etats (les
Etats-Unis sous Ronald Reagan, le Royaume-Uni sous Margaret Thatcher) ont
mis en place ce que l’on appelle la « Politique des 3D » : Désintermédiation,
Décloisonnement, Déréglementation. Il s’agissait de simplifier les règles de
la finance, de supprimer les intermédiaires financiers et de faire tomber les
barrières entre les différentes places financières afin de faciliter les échanges
de capitaux entre les différents acteurs financiers de la planète. Cette
globalisation financière a contribué à l’émergence d’un marché financier
mondial où se sont multipliés les échanges de titres et de capitaux.

À partir des années 1960 et surtout 1970 c’est l’ouverture des économies
mondiales et le développement des politiques de libre-échange qui ont
vraiment lancé l’accélération de la mondialisation. Entre 1950 et 2010, les
exportations mondiales ont ainsi été multipliées par 33 ce qui a contribué
largement à augmenter les interactions entre les différents pays et régions
du monde.

La mondialisation est un phénomène qui ne peut pas être complètement


séparé des autres grands processus socio-économiques, notamment du
20ème siècle. En effet, la mondialisation va de paire avec la croissance
économique, mais aussi avec l’urbanisation de plus en plus rapide des
territoires, et même avec la métropolisation. Elle est aussi liée à la transition
démographique : c’est à la fois la croissance de la population et des
échanges (qui s’entretiennent mutuellement) qui ont facilité les phénomènes
transnationaux comme la mondialisation.

b- Les nouvelles menaces


La mondialisation est un phénomène complexe, profond et global. À ce titre,
elle a donc une influence considérable sur la réalité des sociétés
contemporaines et des conséquences marquées dans presque tous les
domaines.

Ce n’est pas un phénomène à prendre à la légère car il modifie rapidement


les rapports de forces économiques et politiques entre les territoires, pays et
grandes régions du monde.

D’une part, il est moteur de croissance économique, donc créateur de


richesses. Les effets sont particulièrement visibles pour les pays émergents,
et notamment les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, et Afrique du Sud) où
des millions de personnes ont pu sortir de la pauvreté.

D’autre part,la mondialisation différencie et hiérarchise les territoires. Ainsi,


elle favorise l’augmentation des inégalités à toutes les échelles. Ses
bénéfices ne s’appliquent réellement qu’à une poignée de pays déjà riches :
les pays de la Triade (Amérique du Nord, Europe de l’Ouest et du Nord, et
Asie de l’Est), et quelques pays émergents. Tandis que le reste du monde
reste peu concerné par l’accroissement des échanges, et subi
l’accaparement des richesses par la minorité.

VIII - Globalisation et mondialisation


A la différence du français, l’anglais utilise un seul mot pour désigner les
deux concepts : « globalization« . Ce dernier a donné naissance au mot «
globalisation » en français, que nous utilisons, notamment, pour désigner les
interdépendances entre les États, suite au processus de mondialisation.

L’uniformisation des enjeux, suggérés par la globalisation, nécessite d’être


abordée par l’angle du multilatéralisme et du principe de responsabilité de la
communauté internationale. Néanmoins, les deux mots sont souvent utilisés
de manière indifférenciée, les nuances qui les différencient étant souvent
floues et dépendantes du contexte dans lequel ils sont utilisés.

Uniformisation des modes de vie

Uniformisation des modes de vie

Conclusion
La mondialisation telle qu’elle existe aujourd’hui a des effets écologiques et
sociaux très négatifs. Les changements climatiques en sont une
manifestation, mais aussi l’accroissement de la pauvreté et l’accroissement
des distances économiques et sociales entre groupes humains. C’est la
logique du système capitaliste qui est en jeu et par conséquent c’est cette
dernière qu’il faut délégitimer. Il ne suffit plus, comme dans la Doctrine
sociale traditionnelle des Eglises chrétiennes de condamner le capitalisme «
sauvage », c’est-à-dire dans ses excès et abus, mais bien de remettre en
question sa logique fondamentale, pour que la recherche d’alternatives soit
l’objectif premier d’un enseignement social. Il est vrai que cela ne se fera pas
en un jour, mais si la recherche de l’utopie (c’est-à-dire ce qui n’existe pas
aujourd’hui mais peut exister demain) n’est pas au centre des
préoccupations des chrétiens, leur message n’aura guère de signification
pour les plus pauvres de la planète, alors que l’évangile annonce
précisément le contraire.

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