Expo Guts
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Th
éme : La mondialis
ation
Plan :
Introduction
1. Contexe et historique
2. Concept de la mondialisation
3. les enjeux et défis de la
mondialisation
4. les b
Conlusion
Introduction
La performance globale de l'économie mondiale qui s'avère satisfaisante
I -Contexe et historique
La mondialisation ou globalisation signifie l'intégration des pays développés
HISTOIRE : C’est un processus qui s’est mis en place par étape dès l’Antiquité ! Il
s’agit des premières routes commerciales entre l’occident et l’orient, comme la
route de la soie. Puis le commerce triangulaire entre l’Europe, l’Afrique et
l’Amérique a posé les bases d’une réelle économie capitalisme globale.
Ainsi, les impacts de la mondialisation sur les territoires sont très inégaux, et offrent
toute une palette de situations très diversifiées : des centres bien définis, des
périphéries plus ou moins bien intégrées et dominées, et des marges délaissées.
gouvernance.
b-Les enjeux des échanges
Si la mondialisation n'est pas une nouveauté, plusieurs formes d'échanges se
Ce sont :
Ce sont :
bien de pays.
nationales.
Ces règles font partie des accords multilatéraux sur les échanges des
entier :
l'humanité
de choix.
l'humanité.
a -Les bienfaits de la mondialisation :
Des études effectuées par divers chercheurs au niveau des entreprises et des
débouchés dans les pays pauvres où les marchés sont exigus. De nombreux
aujourd'hui rejoint par des pays tel que le Chili, l'Inde, la Turquieet bien
d'autres.
1- l'éthique
La mondialisation des marchés doit aller de pair avec une gouvernance
mondiale responsable et souple, assurée par l’entremise d’institutions
capables de garantir à tous la jouissance des droits de l’homme – y compris
le droit à une alimentation adéquate et le droit d’être à l’abri de la faim. La
communauté internationale, par l’entremise de ses institutions et
organisations, doit reconnaître le devoir qui lui incombe d’atténuer les
conséquences négatives de la mondialisation dans un contexte de très forte
inégalité, ainsi que de promouvoir un environnement offrant des possibilités
égales à tous.A l’ère de la mondialisation, il n’est pas possible de lutter avec
succès contre le fléau de la faim si les Etats et la communauté internationale
constituée ne reconnaissent pas leur obligation d’adopter et d’appliquer des
règles appropriées. Au niveau international, il est essentiel de renforcer le
rôle d’institutions multinationales comme la FAO afin de prendre dûment en
considération les préoccupations de ceux qui ne bénéficient pas
actuellement de la mondialisation ou qui peuvent même avoir été lésés par
celle-ci.
D’un point de vue éthique, la priorité doit être accordée à ceux qui sont le
plus exposés à l’insécurité alimentaire, tout en veillant à ce que toutes les
mesures adoptées respectent la dignité de l’individu et soient
écologiquement rationnelles. Les problèmes que soulève la mondialisation
devraient être repensés comme exigeant l’engagement moral de la
communauté mondiale d’orienter les politiques en matière
d’investissements, d’assistance et d’échanges vers l’universalisation des
droits de l’homme, et en particulier le droit de chacun à l’alimentation et le
droit d’être à l’abri de la faim, et le respect de la diversité des cultures
humaines. Il pourrait être opportun d’élaborer un code de conduite pour la
mondialisation économique, afin d’éviter certaines conséquences négatives
et d’assurer un partage plus large et plus équitable de ses avantages dans
l’intérêt de tous.
2- L'intégration
Cette intégration dans la mondialisation permet également à l'État de
multiplier les éléments d’intégration grâce à de nombreux aménagements et
à l’essor de nouveaux secteurs d’activités. Ainsi, Dubaï, la capitale du pays,
est devenue une place financière internationale et un espace stratégique du
tourisme de démesure.
Les pays développés sont les premiers à intégrer les réseaux mondialisés, ils
les dominent. Toutefois, la croissance économique des pays émergents et
leur multiplication fragilisent la hiérarchie établie au sein des réseaux
mondialisés. Ces derniers sont désormais polycentriques et témoignent
d’une organisation mondiale multipolaire.
5- Le développement
La mondialisation a entraîné une nette augmentation des échanges
commerciaux et économiques, mais également une multiplication des
échanges financiers.
À partir des années 1960 et surtout 1970 c’est l’ouverture des économies
mondiales et le développement des politiques de libre-échange qui ont
vraiment lancé l’accélération de la mondialisation. Entre 1950 et 2010, les
exportations mondiales ont ainsi été multipliées par 33 ce qui a contribué
largement à augmenter les interactions entre les différents pays et régions
du monde.
Conclusion
La mondialisation telle qu’elle existe aujourd’hui a des effets écologiques et
sociaux très négatifs. Les changements climatiques en sont une
manifestation, mais aussi l’accroissement de la pauvreté et l’accroissement
des distances économiques et sociales entre groupes humains. C’est la
logique du système capitaliste qui est en jeu et par conséquent c’est cette
dernière qu’il faut délégitimer. Il ne suffit plus, comme dans la Doctrine
sociale traditionnelle des Eglises chrétiennes de condamner le capitalisme «
sauvage », c’est-à-dire dans ses excès et abus, mais bien de remettre en
question sa logique fondamentale, pour que la recherche d’alternatives soit
l’objectif premier d’un enseignement social. Il est vrai que cela ne se fera pas
en un jour, mais si la recherche de l’utopie (c’est-à-dire ce qui n’existe pas
aujourd’hui mais peut exister demain) n’est pas au centre des
préoccupations des chrétiens, leur message n’aura guère de signification
pour les plus pauvres de la planète, alors que l’évangile annonce
précisément le contraire.