Resolution Numerique de Lequation de La
Resolution Numerique de Lequation de La
Resolution Numerique de Lequation de La
intitulé :
Introduction 3
Conclusion 17
Table des figures
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CHAPITRE 1
1 Introduction
La méthode des différences finies et la méthode d’Euler-Cromer sont d’anciennes méthodes
de simulation numérique utilisées pour trouver des solutions approchées d’équations aux déri-
vées partielles. Elles consistent à résoudre un système de relations (schéma numérique) reliant
les valeurs des fonctions inconnues en certains points suffisamment proches les uns des autres.
Ces méthodes sont basées sur la technique du développement en séries de Taylor, qui permet
d’approximer la valeur d’une fonction en un point donné si l’on connaît la valeur de cette fonc-
tion ainsi que toutes ses dérivées en un point voisin en espace ou en temps. Ces techniques
permettent de développer des schémas pour remplacer les dérivées premières et secondes des
équations aux dérivées partielles.
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de meme au voisinage de y :
et
∂f (x, y, t) f (x, y + ∆y, t) − f (x, y, t)
= + Φ(∆y) (1.6)
∂y ∆y
♦ schéma en arrière :
et
∂f (x, y, t) f (x, y, t) − f (x, y − ∆y, t)
= + Φ(∆y) (1.8)
∂y ∆y
avec :
et
∂f (x, y, t) f (x, y + ∆y, t) − f (x, y − ∆y, t)
= + Φ(∆y 2 ) (1.12)
∂y 2∆y
avec :
∆x2 ∂ 3 f (x, y, t) ∆x4 ∂ 5 f (x, y, t)
Φ(∆x2 ) = + (1.13)
3! ∂x3 5! ∂x5
et
∆y 2 ∂ 3 f (x, y, t) ∆y 4 ∂ 5 f (x, y, t)
Φ(∆x2 ) = + (1.14)
3! ∂y 3 5! ∂y 5
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Les expressions de la série de Taylor données par les équations precedantes peuvent être utilisées
pour développer des approximations de différence finie pour la dérivée seconde. Pour obtenir
l’approximation centrale par différences finies de la dérivée seconde on applique :
pour x :
de méme pour y :
∂2f ∂( ∂f
∂y
) f (x, y + ∆y, t) − 2f (x, y, t) + f (x, y − ∆y, t)
( ) = = + Φ(∆y 2 ) (1.16)
∂y 2 ∂y ∆y 2
La méthode d’Euler consiste à approcher l’intégrale par la méthode des rectangles à gauche :
Z tn+1
g(t, f (x, y, t))dt ≃ h × g(tn , f (x, y, tn )) (1.19)
tn
Alors on trouve :
g(x, y, tn+1 ) = f (x, y, tn ) + hg(tn , f (x, y, tn )) (1.20)
donc :
f (x, y, tn+1 ) − f (x, y, tn )
g(tn , f (x, y, tn )) = (1.21)
h
et avec :
df (x, y, t)
= g(x, y, t) (1.22)
dt
df (x, y, t) f (x, y, tn+1 ) − f (x, y, tn )
= (1.23)
dt h
et on peut écrire :
df (x, y, t) f (x, y, tn ) − f (x, y, tn−1 )
= (1.24)
dt h
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4 schémas en notation indicielle
pour simplifier l’ecreture dans les parties suivantes on change les notation vers les notations
indicielles suivantes :
t
f (x, y, t) = fi,j (1.25)
∆x = ∆y = h (1.26)
∆t = l (1.27)
t
f (x ± ∆x, y, t) = fi±1,y
t
f (x, y ± ∆y, t) = fi,y±1
t±1
f (x, y, t ± ∆t) = fi,y
t t t
∂2f fi,j+1 − 2fi,j + fi,j−1
=
∂y 2 h2
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CHAPITRE 2
1 Introduction
Un transfert thermique, appelé plus communément chaleur, est l’un des modes d’échange
d’énergie interne entre deux systèmes, l’autre étant le travail. C’est untransfert d’énergie ther-
mique qui s’effectue hors de l’équilibre thermodynamique. Il existe trois modes essentiels de
transfert de chaleur :
• La conduction : se produit au sein d’un solide ou entre deux solides en contact lorsque se
présente un gradient de température.
• La convection : désigne un transfert de chaleur se déroulant dans un fluide, qu’il soit sous
forme liquide ou gazeux, induite par un déplacement de matière. Il existe deux types : convec-
tion naturelle (ou libre) et convection forcée.
• Le rayonnement : désigne les interactions énergétiques entre un système matériel el le champ
électromagnétique environnant. Deux processus élémentaires conduisent à ces échanges : l’émis-
sion et l’absorption.
dans notre projet va attaquer la phénoméne de conductivité.
l’equation de la chaleur dans ce cas est donner par :
dT
α△T = (2.1)
dt
avec : T est la Temperature et t le temps et α une canstante depand de materiau,
Cette equation rest difficile de resourdre analytiquement pour cela nous avons essay de resourdre
avec les methodes numerique Defferences finies et Euler-Cramer.
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2 Situation du problème
On considère une plaque solide de longueur X ,de largeur Y et de hauteur V d’un matériau
d’une bonne conduction thermique, dont les quatre coté sont maintenues à des températures
constantes. On donne :
∂2T ∂2T
dT λ
α + = avec α= (2.2)
∂x2 ∂y 2 dt ρc
∂2T ∂2T
dT λ
α + = avec α=
∂x2 ∂y 2 dt ρc
avec :
♦ Les condition ititiale :T (x, y, 0) = 20°C ∀xϵ[0, X] et yϵ[0, Y ]
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On effectue une discrétisation de l’espace :
xi = i × h; yi = i × h et : ti = i × l
t t−1
dT Ti,j − Ti,j
= (2.4)
dt l
on remplace dans l’equation de la chaleur :
t t t t t t
t t−1
Ti+1,j − 2Ti,j + Ti−1,j Ti,j+1 − 2Ti,j + Ti,j−1 Ti,j − Ti,j
α + = (2.5)
h2 h2 l
apres simplification on trouve :
avec
α×l
z=
h2
alors si on sait les valeurs de temperature dans l’instant t − 1 on peut trouver les valeur de
temperature à l’instant t .
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Figure 2.2 – Schema de methode.
remarque
á propos de la stabilité de cette methode il faut verifié la condition de stabilité CFL
(Courant-Friedrichs-Lewy) :
h2
l≤ (2.8)
4×α
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end do do j =2 , Y-1
!y=1 en bas !la temperature
do i = 1, X Tp(i,j,t) = z*(Tp(i+1,j,t-1)+Tp(i-1,j,t-1))+ &
Tp(i,1,t) = 20 z*(Tp(i,j+1,t-1)+Tp(i,j-1,t-1))+ &
end do (1-4*z)*Tp(i,j,t-1)
!x=X en droite !la quantité de chaleur
do j = 1, Y Q(i,j,t) = (Tp(i,j,t)-Tp(i,j,t-1))/l
Tp(X,j,t) = 20 write (2,*) t,i,j, Tp(i,j,t)
end do write (3,*) t, Tp(25,25,t)
!X=1 en guauche write (4,*) t,i,j, Q(i,j,t)
do j = 1, Y
Tp(1,j,t) = 20 end do
end do end do
end do end do
Les fichiers résultants de ce programme sont visualisés à l’aide du logiciel OCTAVE grâce
au programme suivant :
le programme OCTAVE pour la TEMPERATURE :
clear Tp_current=griddata(x,y,
% Load the result file temperature,X_grid,Y_grid);
data = load(’2d.txt’);
% les maximums valeurs de x et y % Plot the temperature variation
X = max(data(:, 2)); % as a surface with colormap
Y = max(data(:, 3)); surf(X_grid, Y_grid, Tp_current);
timesteps = unique(data(:, 1)); title(sprintf(’
Temperature Variation(t = %d)’,t));
figure;% création de figure xlabel(’x’);
ylabel(’y’);
for t = timesteps’ zlabel(’Temperature’);
indices = data(:, 1) == t; xlim([1 X]);
x = data(indices, 2); % ylim([1 Y]);
y = data(indices, 3); % zlim([20 25]);
temperature = data(indices, 4); %zlim([min(temperature), max(temperature)]);
% la surface de traçage
[X_grid, Y_grid] = meshgrid(1:X, 1:Y); colormap(jet); %jet : rouge vers blue
colorbar; % barre des coleurs
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view(); end
drawnow;
apès compuler les codes on OCTAVE on obtient deux annimations voilà des extraies des
ces annimation (pour la variation de la temperature et de quantité de chaleur) :
• La variation de la temperature :
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(a) La temperature a t = 2 (b) La temperature a t = 102
On peut observer à partir des figures que les frontières (gauche, droite, bas et haut) sont
maintenues à une température fixe de 20°C. La température augmente progressivement pour
atteindre son maximum au centre de la plaque. Cela indique que la chaleur se diffuse du centre
vers les extrémités jusqu’à ce que la température de toute la plaque soit égale à celle des
extrémités. Cette observation correspond bien à la réalité physique.
• La variation de la Quantité de chaleur :
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(a) La quantité de chaleur à t = 2 (b) La quantité de chaleur à t = 102
D’après les figures, on peut observer que les frontières (gauche, droite, bas et haut) ont une
température fixe de 20°C. Initialement, la plaque a une température plus élevée que celle des
frontières, ce qui crée un gradient de température. Cette différence de température entraîne
une augmentation de la quantité de chaleur. On remarque également que la négativité de Q
est due à la diminution de la température.le taux d’augmentation diminue avec le temps, car
le gradient de température diminue également jusqu’à ce qu’il s’annule.
• L’influance de la conductivité :
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Figure 2.5 – l’influance de la conductivité sur la variation de la temperature.
En observant ces courbes, il est clairement visible que si la conductivité augmente, la tem-
pérature diminue plus rapidement. Cela signifie qu’un matériau ayant une conductivité élevée
présente une faible résistance thermique.
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CONCLUSION
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