Dossier Rapport Roca
Dossier Rapport Roca
Dossier Rapport Roca
4 IAII
& informatique industrielle
Année universitaire
2023/2024
Service : Maintenance
Période : Du 24/06/2024 au 24/08/2024
En résumé, ce rapport offre une vue d'ensemble des améliorations proposées pour
optimiser le contrôle des pièces sanitaires, en intégrant des avancées techniques et des solutions
d'automatisation pour améliorer la performance et l'efficacité de la production chez Roca.
Abstract
This report examines the enhancement, design, and automation of a sanitary parts control
unit for the Roca company. It begins with an introduction to the company, outlining its history,
reasons for setting up in Morocco, and the technical aspects of its production process.
The report then analyzes the current state of the sealing machine used for inspecting
sanitary parts, identifying issues and proposing solutions. This analysis includes the use of
SysML modeling methods to structure the needs and requirements.
Finally, the report explores technological solutions for modernizing the system. It covers
3D modeling of the proposed system, mechanical studies of components, speed control methods,
and technologies for detecting parts. Automation is addressed through the development of
GRAFCETs, programming of PLCs in Ladder language, and implementation of a supervision
system, including verification tests to ensure the system operates correctly.
4
LISTE DES FIGURES
5
LISTE DES TABLEAUX
6
INTRODUCTION GÉNÉRALE
7
CHAPITRE 1 : Présentation de la
société Roca
8
1. HISTORIQUE
La société ROCA RADIADORES, créé en 1917 par les frères ROCA en Espagne,
pour la fabrication des radiateurs en fonte, s’est rapidement développée dans
d’autres domaines visant l’amélioration du confort de l’habitat.
En 1925, la société a réalisé ses premières baignoires en fonte puis en 1936, elle
démarre la production de la robinetterie sanitaire. En 1936 ROCA RADIADORES
s’introduit dans le marché de la robinetterie et de l’air conditionné pour se lancer
après dans la production du carrelage céramique et des cabines de douches et
hydro-masseurs.
Le Maroc grâce à ses potentialités en tant que marché émergent a suscité l’intérêt
du groupe pour y implanter une unité industrielle de porcelaine ROCA MAROC SA.
Située à Settat, sur une superficie de 25000 𝑚2 elle détient un capital de 220 millions
de dirhams à 100% espagnol.
ROCA MAROC propose une gamme très large de produits dans les articles
sanitaires, les baignoires, la robinetterie, les accessoires de salles de bain. Il est à
noter que la filiale marocaine produit outre la série VICTORIA et quelques articles
très variés comme les éviers, les lave mains, les vasques, les bidets, les couvercles,
les abattants, les cuvettes, les urinoirs…
9
2. L’organigramme de roca .
10
3. Pourquoi Roca au Maroc ?
Le MAROC est un pays qui aujourd’hui s’est ouvert à tous les niveaux, sur le
monde extérieur et qui ne cesse d’évoluer positivement (modernité, mode de vie,
évolution des mentalités...).
ROCA Maroc c’est une entreprise dont le secteur évolue dans un cadre assez
vaste. il évolue en fonction du secteur de bâtiment et celui de matériaux de
constructions
4. Fiche Technique
Fiche technique
Fabrication des
Raison Sociale Roca Maroc Activité
appareils sanitaires
Forme juridique
Société anonyme Téléphone 0523 40 59 41
1993 mais son activité a
Date de fondation Effectif 424
démarré en 1995
M.Enrique Egea
Directeur général C.N.S.S 2295071
Paradell
2,5 Km Route de
Siège social Marrakech, B.P Patente 40128391
57126000 SETTAT
Registre de
Capital 350000000,00 DHS 529 Settat
commerce
11
Figure 1 : processus de production
6. Conclusion
12
CHAPITRE 2 : Identification des
besoins et analyse fonctionnelle
13
1. INTRODUCTION
La figure 2 présente une photo de la machine d’étanchéité actuelle qui contrôle les
pièces sanitaires.
14
2.1. Principe de fonctionnement de la machine
Chaque 30 seconde l’opérateur reçoit une pièce du service de production à
travers un convoyeur puis il l’arrange dans un espace libre près de La machine
d’étanchéité afin de la contrôler.
Si la pression durant cette période dépasse 2bar, l’opérateur transmis la pièce vers
la deuxième partie de la machine pour contrôler sa solidité en appliquant une force
qui arrive jusqu’à 2000N pendant une durée de 15s.
Une fois que l’opérateur fait ce contrôle, il envoi la pièce vers le service
« emballage » à l’aide du convoyeur vert dans le cas où la pièce est bonne. Dans le
cas contraire, il renvoie la pièce défectueuse vers le service de production pour le
recyclage en utilisant le convoyeur rouge.
15
2.2. Exemples des pièces sanitaires à contrôler
La figure ci-dessous illustre les différentes pièces sanitaires que la machine
d’étanchéité peut contrôler.
3. Problématique
• Le gaspillage de temps
• Nécessité d’un grand effort par l’opérateur à cause du poids des pièces.
4. Solution proposée
16
• Rapidité de production
5. Analyse SysML
17
Le diagramme ci-dessous, met en évidence les exigences du cahier des charges
et la relation entre eux.
18
Le diagramme de définition de bloc suivant représente les composants principaux
du système, afin de répondre aux exigences citées avant.
7. Conclusion
19
CHAPITRE 3 : Analyse des
solutions technologiques
20
1. Introduction
2. Système proposé
➢ De deux convoyeurs :
21
Figure 10 : modélisation du système proposé sous SolidWorks
➢ Deux réducteurs.
➢ Rouleaux.
22
Figure 11 : Modélisation cinématique de la motorisation des convoyeurs
3. Etude Mécanique
Longueur de
la surface de
Nom de la Largeur Langueur La masse Hauteur
contact avec
pièce (mm) (mm) (Kg) (mm)
convoyeur
(mm)
23
D’après « l’annexe 1 », la pièce à transporter doit être supporté par trois rouleaux.
Les rouleaux de pression doivent supporter la masse de la pièce plus la contrainte
appliquée par les vérins de la machine d’étanchéité, tandis que les rouleaux de
transport doivent supporter seulement la masse de la pièce à transporter.
Les calculs des réactions d’appui permettent de définir les efforts subis par les
rouleaux de pression du convoyeur. Et pour les faire, on va utiliser le schéma
suivant:
𝑙
∑ 𝑀𝑒𝑥𝑡/𝐴 = 0 => −𝑞𝑙 (𝑎 + ) + 𝐹𝑏(2𝑎 + 𝑙) = 0 (2)
2
𝑞𝑙⁄
D’après les équations (1) et (2) : 𝐹𝑎 = 𝐹𝑏 = 2
Torseur de cohésion
𝑞
𝑙 𝑞𝑙
𝑇𝑦 = −𝐹𝑎 =- 𝑇𝑦 = 𝐹𝑏 =
2 2
𝑞𝑙 x∈ [D,B]
x∈ [A,C] 𝑀 (𝑥) = 𝐹 𝑥 = 𝑥 𝑞𝑙
𝑓𝑧 𝑎 2
𝑀𝑓𝑧(𝑥) = 𝐹𝑎𝑥 = - 2 𝑥
𝑞𝑙
𝑇 (𝑥) = −𝐹 + 𝑞(𝑥 − 𝑎) = + 𝑞(𝑥 − 𝑎)
𝑦 𝑎 2
(𝑥 − 𝑎)
x∈ [C,D] 𝑀 (𝑥) = 𝑞𝑙 𝑥 − 𝑞(𝑥 − 𝑎)
𝑓𝑧
2 2
𝑞𝑙
Finalement on trouve le moment de flexion maximal qui 𝑀𝑓𝑚𝑎𝑥 = (𝑎 + 𝑙/4)
2
vaut :
24
Calcul de la contrainte maximale
JIS-STKM
235 7800 982.03
(1.0038)
25
3.2. Dimensionnement du système chaine-pignon
Ce type de transmission de puissance permet de véhiculer l’énergie mécanique entre
deux arbres parallèles et relativement éloignés, parmi les avantages de ce type de
transmission :
La distance que doit occuper les deux convoyeurs est 5 m (4m pour le convoyeur
de contrôle et 1m pour le convoyeur de transport) avec un pas de 111mm entre les
rouleaux. Les résumés de calcul sont représentés dans le tableau suivant :
Convoyeur
de 36 0 36 35 31.95 5.82 21.6
contrôle
Convoyeur
de 10 0 10 9 8.34 1.497 6
transport
26
3.3. Choix du moteur et réducteur du convoyeur de contrôle
Cette partie a pour objectif de trouver le dimensionnement adéquat de la
motorisation et de limiter le glissement des pièces sanitaires lors du démarrage. Pour
se faire, il nous a fallu poser des hypothèses afin de pouvoir réaliser les calculs
nécessaires.
La distance parcourue par la pièce jusqu’à la machine d’étanchéité égale a 3m, cette
distance doit être parcourue dans une durée de 10s pour respecter le débit de
production. En utilisant la loi « trapèze 1/3-1/3-1/3 », on trouve :
On suppose que la pièce est soumise seulement aux actions de la pesanteur 𝑃⃗→ et
la force de réaction 𝑅⃗→ appliquée par les rouleaux du convoyeur et que le système est
en équilibre.
27
A partir du schéma ci-dessus, on peut appliquer le Principe Fondamental de la
Statique sur une pièce :∑ 𝑭𝒆𝒙𝒕 = 𝟎 => 𝑭𝑹 = 𝑷. 𝝁𝒔
Avec :
• a : l’accélération
• P : la force dû au poids de la pièce
• 𝒎𝒕 : la masse totale des solides en mouvement (2piéces, rouleaux,
chaine/pignons)
• a = 0,135 𝒎⁄𝒔𝟐 𝐶𝑅𝑜𝑢𝑙𝑒𝑎𝑢 = (0,135 . 139,37 + 2 . 0,4 . 40 . 9,81). 1,5 . 30,1 . 10−3
• 𝒎𝒕 : 139,37 kg
𝐶𝑅𝑜𝑢𝑙𝑒𝑎𝑢 = 15,03 𝑁𝑚
• 𝒈 = 𝟗,81 𝒎⁄𝒔𝟐
Le système présente un couple résistant de 15.03 Nm, donc le réducteur qui est
proche de nos spécifications est le modèle référencé « HPGP-20 » de la société
«Harmonic Drive AG » « voir Annexe 6 » qui a les caractéristiques suivantes :
𝐶𝑅𝑜𝑢𝑙𝑒𝑎𝑢 15.03
𝐶𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟 = .𝜂 = 11 . 0,97. 0,85 = 1.657 𝑁𝑚
𝑖 . 𝜂 𝑐ℎ𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑅𝑒𝑑𝑢𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟
𝑉𝑅𝑜𝑢𝑙𝑒𝑎𝑢 60 0,45 60
𝛺 (𝑡𝑟⁄𝑚𝑖𝑛) = . 𝑖. = . 11. = 1571 𝑡𝑟⁄𝑚𝑖𝑛
𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟
𝑅 2𝜋 30,1 . 10−3 2𝜋
28
• Puissance nominale P=500 w
• Vitesse de rotation nominale 𝛺𝑚 = 2500 𝑡𝑟⁄𝑚𝑖𝑛
• Couple nominal 𝐶𝑚 = 1.96 𝑁𝑚
Pour faire varier la vitesse de rotation d'un moteur à courant continu, il faut faire
varier la valeur de sa tension d'alimentation. Une solution pour réaliser ça consiste à
alimenter le moteur par l'intermédiaire d'un hacheur, puisque le hacheur permet la
variation de la valeur moyenne de la tension aux bornes de la charge.
Le système proposé déplace les pièces sanitaires dans un seul sens ce qui
indique que le moteur a besoin d’une tension unipolaire. Dans la phase de
décélération le couple moteur devient négatif, c’est-à-dire que le courant aussi
négatif puisque 𝐶𝑚 = 𝐾𝜙𝐼. Donc le hacheur qu’on va utiliser est un hacheur deux
quadrant réversible en courant.
Le hacheur qui est proche de nos spécifications est le modèle référencé « LMG
1205 » de la société « TEXAS INSTRUMENTS », qui permet de fournir des tensions
arrivent à 80V avec un courant de sortie de l’ordre de 5A.
29
Le schéma ci-dessous met en évidence l'organisation structurelle et fonctionnelle
des différents composants nécessaires à la mise en œuvre de l'asservissement de
vitesse.
30
Figure 17 : Schéma bloc du moteur à courant continu
𝐾
𝐻(𝑝) = 𝛺 𝑝 =
( ) 𝐾2 + 𝑅𝑓
𝑈(𝑝) (1 + 𝜏 𝑝)(1 + 𝜏 𝑝)
𝑒 𝑚
𝐿
Avec 𝜏 = constante de temps électrique et 𝜏 =
𝑅𝐽 constante de temps mécanique
𝑒 𝑅 𝑚 𝑅𝑓+𝐾2
1 1 𝐽𝑅 𝛺𝑚
𝐸𝐶𝑅−𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟 = . 𝐽𝑅 . 𝛺𝑅 2 = . . ( )2
2 2 𝜂𝑝. 𝜂𝑟 𝑖
31
1 1 𝐽𝑅 𝛺𝑚 2
𝐸𝐶𝑃−𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟 = . 𝐽𝑝 . 𝛺𝑝 2 = . . ( )
2 2 𝜂𝑟 𝑖
𝐽𝑝 𝐽𝑅
𝐽𝑡𝑜𝑡 = 𝐽𝑚 + 𝐽𝑖 + + = 0.002073 𝐾𝑔. 𝑚2
𝜂𝑟 . 𝑖2 𝜂𝑝 . 𝜂𝑟 . 𝑖2
𝐾
𝐻(𝑝) = 𝑋 𝑝 =
( ) 𝐾2 + 𝑅𝑓 0.002563
. 𝑖. 𝑅𝑎𝑦𝑜𝑛𝑅𝑜𝑢𝑙𝑒𝑎𝑢 =
𝑈(𝑝) (1 + 𝜏 𝑝)(1 + 𝜏 𝑝)𝑝 (1 + 0.001964𝑝)(1 + 0.003788𝑝)𝑝
𝑒 𝑚
32
5.5. Commande en boucle fermée du système
Le schéma bloc de la boucle fermée est représenté ci-dessous :
A partir de ces résultats, le système a une erreur très importante entre la vitesse
sortie et la vitesse de consigne, donc il est nécessaire d’intégré une correction pour
corriger cette erreur.
5.6. Correction proportionnelle
Ce correcteur permet de régler le gain de la fonction de transfert en boucle
𝑈(𝑝)
ouverte. La fonction de transfert du correcteur est : 𝐶(𝑝) = =𝐾
𝜉(𝑝) 𝑝
33
La fonction de transfert en boucle ouverte du système s’écrit comme suit :
𝐴
𝐹(𝑝) =
𝑝² 2. 𝑚
+ .𝑝+1
𝜔02 𝜔0
𝐾𝑒𝚐.𝐾𝑝
• 𝐴= Le gain statique du système bouclé
1+𝐾𝑒𝚐.𝐾𝑝
1+𝐾𝑒𝚐.𝐾𝑝
• 𝜔0 = √ La pulsation propre du système
𝜏𝑒.𝜏𝑚
Puisqu’on désire un système bouclé sans dépassement, et être le plus rapide possible, on
va choisir un coefficient d’amortissement unitaire, ce qui donne :
1 (𝜏𝑒 + 𝜏𝑚)2
𝐾𝑝 = . ( 4. 𝜏 . 𝜏 − 1) = 43.60759
𝐾𝑒𝑞 𝑒 𝑚
34
Il est clair que l’erreur est trop importante, et pour avoir une erreur nulle en régime
permanent, il nous faut un gain 𝐾𝑝 qui tend vers l’infini, ce qui est irréalisable
pratiquement, alors on a recours à une correction intégrale.
1 + 𝑇𝑖𝑝
𝐶(𝑝) = 𝐾𝑝( )
𝑇𝑖𝑝
• 𝐾𝑝 qui n’agit que sur le gain, la courbe de gain est translatée verticalement ;
• 𝑇𝑖 qui agit principalement sur la phase.
1
𝐹(𝑝) = 𝜏𝑒. 𝜏𝑚 𝜏𝑚
𝐾𝑒𝑞. 𝐾𝑝 . 𝑝² + 𝐾𝑒𝑞. 𝐾𝑝 . 𝑝 + 1
𝐾𝑒𝚐.𝐾𝑝
• 𝜔0 = √ 𝜏 : la pulsation propre du système
𝑒.𝜏 𝑚
35
𝜏𝑚
• 𝑚 = 21 . √𝐾 .𝐾 .𝜏 : Coefficient d’amortissement du système bouclé
𝑒𝚐 𝑝 𝑒
𝜏𝑚
𝐾𝑝 = = 188.09486
4. 𝐾𝑒𝑞. 𝜏𝑒
Il est clair que le système suit la consigne sans dépassement malgré l’application
d’une perturbation à 𝑡 = 5𝑠. Ce correcteur est bien validé et il respecte bien les
exigences imposées par le cahier des charges.
Tout d’abord, il est nécessaire de déterminer si une pièce est présente ou non sur
les convoyeurs. Pour cette fonction, on va utiliser des détecteurs photo-électriques
de type proximité.
36
Figure 26 : Organigramme de choix des détecteurs
37
7. Automatisation de l’installation
38
Figure 29 : Grafcet niveau 1 de l'unité de contrôle
39
La deuxième étape c’est la saisie des variables a utilisé :
Pour pouvoir lire les données qui se trouvent dans l’automate on établit une liaison
entre HMI et la CPU.
40
Figure 33 : liaison IHM - CPU
41
Figure 35 : Plateforme de test
8. Conclusion :
42
REFERENCES
[8] https://perso.crans.org/laguionie/TP/PSIetoile/Capteurs-
Actionneurs_web/co/module_DT_8.html
43
TABLE DES ANNEXES
44
Annexe N° 1 : Méthode de sélection des convoyeurs à rouleaux par
la société «Neolution »
45
Annexe N°3 : caractéristique mécanique des matériaux utilisé pour
les rouleaux
46
Annexe N°4 : Résultat de simulation des efforts appliquer sur les
deux types de rouleaux sous « RDM7 »
47
Annexe N°6 : Réducteur HPGP-20 de « HARMONIC DRIVE »
48
Annexe N°8 : Capteur photo-électrique reflex de « OMRON »
49
Annexe N°9 : Convertisseur DC-DC LMG1205 de « TEXAS
INSTRUMENTS »
50
Annexe N°10 : Codeur incrémental BDK 16.24K200-L5-5 de
« Baumer »
51
Annexe N°11 : Fiche technique CPU 6ES7212-1AE40-0XB0 de
« SIEMENS »
52
Annexe N°12 : Caractéristiques des pièces sanitaires « ROCA »
53
54
55
56
Annexe N°13 : Paramètres du système sous Matlab
57
58
Annexe N°15 : Programme en langage LADDER sous Tia Portal
59
60
61
62
63
64
65
66
67
68