NUTRITION SUR MESURE Les 7 Règles D'or de La Nutrition
NUTRITION SUR MESURE Les 7 Règles D'or de La Nutrition
NUTRITION SUR MESURE Les 7 Règles D'or de La Nutrition
Introduction p.3
1- Je soutiens mon système immunitaire p.4
2- Je compense le stress oxydatif p.7
3- Je veille au bon équilibre de mes cellules p.9
4- Je nourris mon microbiote intestinal p.11
5- Je soulage mon foie p.20
6- Je surveille l’index glycémique p.24
7- Je limite les aliments acidifiants p.26
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Introduction
Soulager ou soigner ses problèmes de santé par l’alimentation : qui n’en a
pas rêvé ?
Très vite, vous constaterez les effets d’une alimentation personnalisée sur
votre corps et votre mental !
C’est d’abord en maîtrisant ces 7 règles d’or que vous pourrez agir durable-
ment sur votre santé pour :
• Prévenir les maladies comme le cancer ou Alzheimer ;
• Calmer les réactions inflammatoires et éteindre vos douleurs chro-
niques (arthrose, migraines, névralgies…) ;
• Retrouver une digestion fluide et sans douleur (reflux, spasmes, bal-
lonnements...) ;
• Diminuer drastiquement votre risque de syndrome métabolique qui
augmente vos risques d’infarctus, AVC, diabète, surpoids… ;
• Regagner de l’énergie en journée pour mener vos activités et trouver
le sommeil la nuit ;
Activez ces règles d’or et faites passer vos voyants de santé au vert dès au-
jourd’hui avec ce guide de la Nutrition-Sur-Mesure !
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1ÈRE RÈGLE D’OR :
JE SOUTIENS MON SYSTÈME IMMUNITAIRE
4
En pratique : 9 principes pour renforcer votre immunité
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de poids depuis plusieurs mois, c’est une habitude tout à fait adaptée pour
mieux contrôler l’inflammation et soutenir l’immunité. Le cas échéant, je
vous déconseille d’initier seul (sans accompagnement par un profession-
nel formé) un tel changement dans une période de faiblesse immunitaire.
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2E RÈGLE D’OR :
JE COMPENSE LE STRESS OXYDATIF
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• le tabac,
• les pesticides,
• les polluants,
• les médicaments,
• les UV du soleil.
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3E RÈGLE D’OR :
JE VEILLE AU BON ÉQUILIBRE DE MES CELLULES
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De toute évidence, les gens qui consomment davantage de fruits et de lé-
gumes frais, aliments qui contiennent de fortes quantités d’antioxydants,
sont les sujets qui affichaient les taux sanguins les plus élevés d’antioxydants.
C’est tout à fait logique lorsqu’on comprend que le stress oxydatif constitue
la cause principale de plus de 70 maladies dégénératives chroniques.
Mieux manger pour protéger ces cellules consiste à cibler certaines vita-
mines :
• A (sous forme de provitamine A ou Béta Carotène : tous légumes et
fruits de couleur orange, jaune et vert),
• B9 (légumes verts à feuilles),
• B12, C (crudités, agrumes, kiwi, fruits rouges),
• D (poissons gras, jaune d’œuf) et E (huile d’olive, graines et oléagi-
neux)
• Et quelques minéraux tels que le zinc, le sélénium et le magnésium
(oléagineux dont noix de cajou, de brésil, noix de Grenoble, huîtres et
autres produits de la mer), le cuivre (algue, œuf, cacao, shiitaké, fro-
mages de chèvre, pois secs, moule, huître, germe de blé) pour activer
les défenses antioxydantes de notre organisme : Superoxyde dismus-
tase (SOD) et Glutathion.
Ainsi que ce que l’on appelle les supers aliments pour renforcer les dé-
fenses anti-âge : ail, oignon, thé vert, brocoli, kale, curcuma, gingembre,
raisin noir…et en retirer tous les éléments protecteurs : quercétine, N-acétyl
glucosamine, polyphénols, flavonoïdes, Resvératrol, et les tisanes qui
peuvent contribuer à cette protection cellulaire : chardon marie, ortie, gin-
ko biloba.
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4E RÈGLE D’OR :
JE NOURRIS MON MICROBIOTE INTESTINAL
S’il existe bien un organe qui a surpris le corps scientifique ces dernières
années, c’est l’intestin.
Ou plus précisément, ses habitants : le microbiote intestinal.
Une telle évolution des connaissances nous amène même à repenser l’ori-
gine de certaines maladies.
Citons simplement les principales pathologies associées à une dysbiose in-
testinale :
• Diabète
• Obésité
• Maladie cœliaque
• Syndrome du côlon irritable (SII)
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• Maladies auto-immunes et inflammatoires chroniques
• Maladies cardiovasculaires : insuffisance cardiaque, dyslipidémies,
hypertension artérielle.
• Insuffisance rénale
• Maladies d’Alzheimer
• Maladies de Parkinson.
• Troubles du spectre autistique.
• Troubles du comportement
• Troubles de l’attention avec ou non hyperactivité (TDA/H)
• Cancer
• Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
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• La sédentarité ou la pratique sportive intensive.
• Le stress chronique.
• La dette de sommeil.
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FRUITS Ananas +
Banane +
Coing
Fruits rouges (framboise +, fraise, myrtille, mûre)
Fruits secs (raisin, abricot, pruneau, figue, dattes)
Kaki
Mangue
Nectarine +
Pamplemousse +
Pêche +
Poire
Pomme
GRAINS Avoine (gluten)
Blé entier ++ (gluten)
Lin
Orge (gluten)
Seigle ++ (gluten)
RACINES Chicorée ++
Panais
Topinambour ++
OLÉAGINEUX Amandes, pistaches, noix
Et le gluten ?
Qu’il existe ou non une hypersensibilité, je vous conseille de
privilégier les produits à base de petit épeautre plutôt qu’au
froment, beaucoup plus riche en gluten, ainsi que les pro-
duits bruts afin de limiter l’apport de gluten via les produits
transformés industriels.
Nous sommes en effet actuellement fortement exposés au
gluten, ce qui peut expliquer en partie l’augmentation de l’hy-
persensibilité à cette protéine dans un contexte de perturbation
du microbiote intestinal.
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dérée de vin rouge chez l’homme exerce un effet positif sur la diversité
du microbiote intestinal. Les noix, et plus globalement les oléagineux,
sont reconnus comme étant des aliments particulièrement sains pour la
santé, notamment via leur action sur le microbiote. A l’inverse, une ali-
mentation riche en fructose issus de produits ultra-transformés semble
augmenter la perméabilité intestinale en altérant l’expression des gènes
occludine et zonula occludens-1 (ZO-1).
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Et les produits laitiers ?
Il existe dans les produits laitiers à base de lait de vache, certaines
protéines pouvant être également à l’origine d’hypersensibilité,
les caséines. Remplacer les produits laitiers à base de lait UHT par
des produits au lait cru d’origine fermière peut parfois suffire à
faciliter leur bonne tolérance. Je vous conseille de limiter votre
consommation de produits laitiers à 3 à 5 par semaine maximum,
fermentés (le lactose peut être responsable d’inconfort digestif)
et de les préférer à base de lait de chèvre, de brebis (yaourt ou
fromage) voire d’origine végétale.
A noter que, contrairement à ce qui est couramment véhiculé y
compris dans le corps scientifique, les produits laitiers ne sont nul-
lement indispensables au maintien d’une santé osseuse optimale.
Les acides gras saturés semblent plus impliqués que les huiles de pois-
son (chez la souris). Une alimentation riche en oméga 3, via une forte
consommation de saumon, ou en acides gras mono-insaturés issus
d’huile d’olive ne semble pas générer d’effets délétères. D’autres auteurs
ne trouvent pas de différence en fonction des acides gras consommés
dès lors que l’alimentation est riche en graisses.
Une étude menée chez le rat met en évidence, qu’après 6 semaines d’ali-
mentation hyperlipidique, la formation d’acides gras à chaîne courte se
rétablirait à quelques nuances près (davantage de succinate et moins
de butyrate).
De plus, la nature du microbiote initial influence les effets de la consom-
mation des acides gras sur la production de métabolites bactériens.
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sont productrices d’acides gras à chaîne courte. Comparativement à
une alimentation riche en végétaux, un régime de type hyperprotéiné
diminue la population de Roseburia et d‘Eubacteries rectales, donc de
butyrate, ce qui est associé à une augmentation des risques d’inflam-
mations intestinales.
Il n’a pas été fait de distinction dans le type de poisson (gras ou maigre),
ce qui ne permet pas de considérer qu’un tel constat est lié à la consom-
mation de graisses associées, bien que ce soit une des hypothèses
principales. Par ailleurs, une alimentation riche en protéines favorise la
production d’acides biliaires et la modification du microbiote en consé-
quence.
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Ma liste de micronutriments pour
prendre soin de mon intestin
Voici mes recommandations par ordre de priorité :
• Les probiotiques
• La vitamine D : je vous recommande de faire doser votre
taux plasmatique afin de savoir si une supplémentation est
nécessaire ou non (75 UI par kg de poids corporel par jour).
• La glutamine : les quantités utilisées dans les études sont
particulièrement importantes. Or au regard des effets po-
tentiels d’un excès de glutamine sur le métabolisme des
cellules cancéreuses, je vous recommande un apport plus
modéré, environ 5 g par jour pendant 3 semaines. Une
forme de poudre à diluer dans un peu d’eau en dehors des
repas est plus économique. Ne pas utiliser de L-glutamine
sans avis médical en cas de grossesse, allaitement, maladie
hépatique, sensibilité au glutamate de sodium (syndrome
du restaurant chinois), insuffisance rénale, antécédents épi-
leptiques ou de cancer.
• Le zinc : Je vous recommande donc une supplémentation
de 10 à 15 mg de bisglycinate de zinc maximum et unique-
ment après avoir constaté un déficit par une prise de sang
(mesure du taux de zinc érythrocytaire). Un apport excessif
perturbe en effet l’équilibre du microbiote et augmente les
risques d’infection au Clostridium Difficil.
• La vitamine A : une vérification du taux plasmatique est
toutefois nécessaire avant d’envisager une supplémenta-
tion. Dans le cas de certaines infections comme HIV, la vita-
mine A pourrait en effet s’avérer délétère.
• La matricaire et l’argile verte : elles peuvent être propo-
sées en cas d’inflammation de la muqueuse intestinale, à
l’image de la matricaire (plus connue sous le nom de camo-
mille) aux vertus anti-diarrhéiques et antispasmodiques.
• La glycine : en cas d’inflammation intestinale ou d’hyper-
perméabilité. 5 à 10g par jour.
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• Les vitamines du groupe B : les vitamines du groupe B
peuvent être synthétisées par plus de 100 espèces bacté-
riennes, voire par 65% du microbiote selon certains auteurs.
Au-delà d’exercer des bienfaits pour notre santé en contri-
buant à satisfaire nos besoins, il semble que les bactéries
coopèrent pour échanger des vitamines B entre elles et ain-
si assurer la survie. Selon une publication récente de 2019,
plus de 20% de la population bactérienne serait totalement
dépendante de l’apport de vitamines B issues d’autres es-
pèces.
• Le fer et le cuivre : vérifier toute absence de déficit par
une prise de sang, d’une part pour éviter tout déficit et
d’autre part pour éviter toute prise de complément ali-
mentaire le cas échéant.
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5E RÈGLE D’OR :
JE SOULAGE MON FOIE
Imaginez une usine de retraitement des déchets active 24h sur 24, assu-
rant plus de 500 fonctions différentes et en charge de filtrer tout ce que
vous buvez, mangez ou faites pénétrer dans votre organisme.
Cet organe actif tout au long de votre vie et pesant 1,5 kg, c’est votre foie.
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On comprend alors aisément pourquoi le foie a besoin d’autant d’énergie
pour fonctionner !
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la demi-vie du médicament (pour simplifier, sa durée d’action maxi-
male).
• Bien penser à aérer vos pièces de vie chaque jour. Afin de limi-
ter au maximum les pollutions intérieures, notamment à partir de
meubles en bois MDF (Medium Density Fiberboard) ou contreplaqué,
du manque d’aération, des retardateurs de flammes dans les matelas
ou canapés, etc.
• Favoriser les aliments soutenant vos fonctions hépato-biliaires :
- Le brocoli, plutôt sous forme de jeunes pousses, fraîches et peu
cuites, les choux de Bruxelles et tous les choux d’une manière gé-
nérale, les betteraves ;
- Le curcuma, l’ail frais ou mariné, le gingembre ;
- La pomme, les petites baies colorées (myrtilles, mûres, fram-
boise, etc.) ;
- Les algues (notamment la chlorella pour l’élimination des mé-
taux lourds);
• Privilégiez les aliments cuits à la vapeur douce ;
• Buvez (de l’eau). Au moins 1,5 litres d’eau de source faiblement mi-
néralisée par jour, en dehors de toute activité physique pour faciliter
le travail de votre foie ;
• Envisagez éventuellement un jeûne intermittent, de type 16/8 (16h
de jeûne, sans prendre de dîner ou de petit déjeuner), une restriction
calorique 2 jours par semaine (consistant à manger environ 500 kcal
par jour), voire plusieurs cures de jeûne de 2 à 3 jours par an ou da-
vantage. Concernant la pratique de jeûne, surtout de longue durée,
je vous recommande de recourir aux conseils d’un professionnel du
sujet, au moins la première fois, afin d’éliminer toute contre-indica-
tion potentielle vous concernant (notamment en cas de traitement
médicamenteux) et pour vous permettre d’acquérir les bons réflexes
(comme par exemple apprendre à bien préparer le jeûne une se-
maine avant, à réintroduire les aliments après celui-ci, etc.).
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VITAMINE B3, UNE VITAMINE INDISPENSABLE
POUR VOTRE FOIE
La vitamine B3, PP ou niacine, intervient dans le métabolisme
énergétique des macronutriments, dans la protection du système
nerveux ou encore dans le métabolisme du foie pour assurer l’éli-
mination des molécules toxiques. Ainsi, lorsque les sollicitations
hépatiques sont importantes, les besoins en vitamine B3 peuvent
fortement augmenter. L’organisme est alors en mesure d’en fa-
briquer à partir du tryptophane en acide aminé, dont j’ai déjà eu
l’occasion de vous parler en tant que précurseur de la sérotonine.
Principales sources : produits animaux d’une manière générale,
produits céréaliers complets, son d’avoine, amandes, légumi-
neuses. À noter donc que la vitamine B3 peut être synthétisée par
l’organisme à partir du tryptophane dont les aliments suivants
sont riches : soja, banane, graines de courge, citrouille, riz com-
plet, noix de cajou, graines de tournesol, légumineuses, chocolat,
noix de coco, poisson, œufs, veau ou poulet.
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6E RÈGLE D’OR :
JE SURVEILLE L’INDEX GLYCÉMIQUE
Qui n’a jamais entendu dire que les glucides complexes sont des sucres
« lents » et les glucides simples des sucres « rapides » ? Si seulement les
choses étaient aussi simples… En effet, si une notion est essentielle pour
bien comprendre le rôle de la nutrition sur la santé, c’est bien celle des glu-
cides et de leur effet – complexe – sur la sécrétion d’insuline.
24
Il est donc essentiel pour toute personne souhaitant optimiser son état
de santé, ses performances ou contrôler son poids de privilégier les ali-
ments glucidiques à l’origine d’une faible sécrétion d’insuline. Autant,
voire davantage que de veiller à limiter sa consommation alimentaire
en graisses.
Pour quantifier de manière plus précise l’effet d’un aliment glucidique sur
la glycémie, Jenkins de l’Université de Toronto a défini en 1981 « l’index gly-
cémique ». L’index glycémique d’un aliment est calculé en mesurant l’effet
sur la glycémie de 50g de glucides contenus dans un aliment par rapport
à l’ingestion de 50g de glucose pur (ou pain blanc selon les études) dont
l’effet sur la glycémie est utilisé comme référence (index glycémique = 100).
Plus l’index glycémique d’un aliment est élevé, plus la sécrétion d’insu-
line est importante, et inversement.
En clair : plus l’index glycémique d’un aliment est élevé, plus l’action de cet
aliment sur la glycémie se rapproche de celle du glucose.
Indices glycémiques faibles (< 39) Indices glycémiques moyens (40 à 59) Indices glycémiques élevés (>60)
Abricots (fruit frais) 30 Abricot (boîte, au sirop) 55 Ananas (boîte) 65
Abricots sec 35 Airelle rouge, canneberge 45 Baguette 70
Ail 30 Ananas (fruit frais) 45 Bananes (mûre) 60
Fruits oléagineux: amandes, cacahuètes, arachides, Avoine Barres chocolatées (sucrées)
noiselles, noix, noix de cajou, pistaches 15 40 70
Fruits rouges frais sans sucre: airelle, myrtille, fraise, Banane (verte) Betterave (cuite)
f ra m b o i s e , g ro s e i l l e , m û re 25 45 65
Artichaut 20 Banane plantain (crue) 45 Bière 110
Asperge 15 Barre énergétique de céréale (sans sucre) 50 Biscottes 70
Aubergine 20 Beurre de cacahuète (sans sucre ajouté) 40 Biscuit 70
Avocat 10 Biscuits (farine complète; sans sucre) 50 Bouillie de farine 70
Betterave (crue) 30 Biscuits sablés (farine, beurre, sucre) 55 Brioche 70
Brocoli 15 Blé (farine intégrale) 45 Carottes (cuites) 85
Nectarines (blancs ou jaunes; fruit frais) 35 Blé (type Ebly) 45 Céleri rave (cuit) 85
Cacao en poudre (sans sucre) 20 Boulgour, bulgur (blé, cuit) 55 Céréales raffinées sucrées 70
Carottes (crues) 30 Céréales complètes (sans sucre) 45 Châtaigne, marron 60
Cassoulet 35 Chayotte, christophine (purée de) 50 Chips 70
Céleri branches 15 Cidre brut 40 Confiture et marmelade (sucrée) 65
Céleri rave (cru, rémoulade) 35 Couscous intégral, semoule integrale 45 Corn Flakes, flocons de mais 85
Céréales germées (germes de blé, de soja...) 15 Couscous/sémoule complète 50 Courges (diverses) 75
Cerises 25 Epeautre (farine intégrale ancienne) 45 Crème glacée classique (sucrée) 60
Champignon 15 Epeautre (pain intégral) 45 Croissant 70
Chocolat noir (>70% de cacao) 25 Farine de kamut (intégrale) 45 Dattes 70
Chocolat noir (>85% de cacao) 20 Farine de quinoa 40 Doughnuts 75
Choux, choucroute, chou-fleur, choux de bruxelle 15 Fèves (crues) 40 Farine complète 60
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7E RÈGLE D’OR :
JE SURVEILLE L’INDEX GLYCÉMIQUE
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tuelle peuvent également perturber l’équilibre acido-basique du fait de
l’activité cellulaire intense.
Et bien sûr, votre alimentation.
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