DROIT DE l’information et de la communication 2

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DROIT DE l’information et de la communication

Introduction générale :
le droit de l’information et de la communication , peut-définie comme l’ensemble des règles qui
visent des situations dans lesquelles un émetteur et un récepteur sont mises en relation grâce à
un support de communication qui permet de véhiculer l’information.
L’information et la communication sont libres en principe. mais la loi prévoit les limites pour
préserver la dignité de la personne l’ordre public et les bonnes mœurs. L’État assure la
régulation du secteur par le droit mais aussi par une autorité administrative comme CNRA.
Le droit de l’information et de la communication définis droits de l’émetteur(professionnel des
médias); les droits du récepteur et les sanctions applicables en cas de violation des limites.

Chapitre 1:Les droits de l’émetteur :Le professionnel des médias


L’émetteur jouit d’un droit à une expression libre et le droit particulier reconnu aux
professionnels des médias.

Section 1:Droit à une expression libre


Nous étudierons d’une part le contenu qui recouvre cette liberté d’expression, et d’autres part,
les limites qui lui sont apportées.

Paragraphe 1:Définition de la liberté d’expression


Au terme de l’article 10 de la constitution du Sénégal, «Chacun a le droit d’exprimer et de
diffuser librement ses opinions par la parole, la plume, l’image, la marche pacifique, pourvu
que l’exercice de ses droits nous porte atteinte, ni à l’honneur et à la considération
détruit,ni à l’ordre public»
Cet article n’est que l’éco de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, qui
consacre à son article 11 : « La Libre communication des pensées et des opinions ». Ainsi tous
citoyens peut donc parler, écrire, imprimer librement ses pensées, sauf à répondre de l’abus de
cette liberté. Le droit à une libre expression comprends la liberté d’opinion et la liberté de
recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence
d’autorité public.En effet si besoin en est ,faudra-t-il rappeler que la presse joue un rôle
indispensable dans la consolidation de la démocratie.
La liberté d’expression garantie par la constitution, c’est impose aux autorités
administratives, dépositaire d’un pouvoir de police administratif, telles que le président de la
république, le ministre de l’intérieur, le gouverneur, le préfet et le maire.
Loi qui porte manifestement atteinte à cette liberté. Peut-être différé à la censure du conseil
constitutionnel. Qu’il en bas de même de tout acte illégalement pris par une autorité
administrative qui peut rapporter par le juge judiciaire gardien de liberté, du juge
administratif (contrôle de proportionnalité.)
Si cette liberté est inscrite au fronton des textes les plus célèbres, elle admet néanmoins des
limites.

Paragraphe 2:Les limites


Il sied distinguer des limites apportées à cette liberté en temps normal, et en cas de
circonstance exceptionnelle administratives.

1-Les mesures inhérentes à la protection de la dignité de la personne


Cette liberté d’expression ne saurait porter atteinte, ni à la vie privée, ni à l’image, ni à la
présomption d’innocence

a-Le droit à la vie privée


Toute personne a droit au respect de sa vie privée est un familial au secret des correspondances
et de son domicile. Ainsi, aucune publication de SŒUR et de Nguer est publié la vie privée d’une
personne sans son consentement. La jurisprudence que c’est la personne a le droit de fixer, ce
qui peut être divulgué ou pas dans sa vie intime. C’est exigences votants pour les particuliers
que pour la personne publique. Toutefois, cette protection en est accordé si et seulement si, la
présence prise en cause est clairement identifiable.

B-Le droit à l’image


Toute personne dispose sur son image et sur l’utilisation qui en est fait d’un droit exclusif de
s’opposer à sa diffusion, sans son autorisation expresse est spécial. Le droit à l’image et donc
le droit que chacune passer sur la reproduction ou utilisation de sa propre image. Ainsi, toute
publication de l’image d’une personne ici pour donner à son autorisation préalable. Toutefois
cette protection, on est accordé, si la personne est identifiable de par l’image.

C-La pré jonction d’innocence

Le traitement de par la presse de certaines personnes affaires judiciaires à donner lieu de


certaines dérives, présentant une personne poursuivi ou accusé comme coupable avant, même que
celle-ci est été condamné par une instance judiciaire (pré jonction de culpabilité).
Afin de parer à ces dérives la loi à posée les principes de la pré jonction d’innocence qui
voudrait que la personne poursuivie ou accusé soir, présumé innocent jusqu’à ce que sa
culpabilité et était l’également établie. Néanmoins, la presse pour relater ou relayer les
informations, rien très haut relative aux décisions prises par les autorités judiciaires ou
policières.

d-Les actions en justice pour violation des droits inhérentes à la dignité de la personne

L’action en justice pour atteinte à la vie privée ou droits à l’image et à la pré jonction
d’innocence, peut-être porté devant le juge des référés ou devant le juge du fond.Le juge des
référés,juge de l’urgence, à l’issue d’une procédure contradictoire, cinq est statuer sur le
fond du litige prononcer des mesures immédiates et prévisoir destiné à prévenir à faire sucer
les effets dommageables mais parfois irréparable d’un trouble manifestement illicite, note-moi
la saisie des publications ou l’astreinte. De ce fait, il pour lui des dommages et intérêts un
titre de provisions.

2-Les pouvoirs de police des autorités administratives


Les autorités investis d’un pouvoir de police administrative, notamment le maire et le préfet
ont été amenés au nom de l’État à pratiquer des interdictions des publications pour assurer le
maintien ou le rétablissement de l’ordre public. Lors ce que la diffusion de la publication est
de nature a perturbé la quiétudes public.
C’est Mesures grave, attentatoire à la liberté, sont soumises au contrôle du juge administratif
de l’exact qualification au fait

B-Les limites inhérente au temps de crise


La loi reconnaît aux autorités des pouvoirs qui excèdent largement ce reconnu en temps normal
lorsque subviennent certaines circonstances exceptionnelles : État d’urgence et état de siège
1-Etat d’urgent
La constitution permet au président décrété en conseil des ministres l’état d’urgence lorsque
advienne certaines circonstances qui se par leurs gravités ou leurs caractères revêtent les
contours d’une calamité publique en pareille circonstance l’urgence requière que les pouvoirs
police des autorités administratives civiles soient accrues se faisant certaines mesures
attentatoires peuvent être prises par les autorités civiles dont le pouvoir dépasse ceux qui
leurs sont habituellement reconnus.Ces mesures d’une extrême gravité sont couvertes par le
décret qui décrète l’état d’urgence qualifiés d’acte de gouvernement
2-Etat de siège
En vertu de la constitution,le président de la république peut par décret prit en conseil des
ministres prononcé l’état de siège lorsque la adviennent des circonstances exceptionnelles dû à
une guerre étrangère ou à une insurrection armée.En pareille circonstance les militaires se
substituent aux autorités civiles dans l’exercice des pouvoirs de police ainsi l’armée prendra
toutes les décisions qui s’imposent notamment l’interdiction de réunions,la saisie de
publication…Aussi toutes personne en complicité avec l’ennemi ou qui incite à la désobéissance
civile sera passible d’une condamnation pénale
Section 2:Les droits des professionnels des médias :Le journaliste
La loi reconnaît aux professionnels des médias certains droits particuliers aussi bien qu’en
cours d’exercice qu’à la rupture de leurs contrats de travail.
Ces droits ne sont applicables que dès lors on vous reconnaît la qualité de journaliste
professionnel.

Paragraphe 1:Identification du journaliste professionnel


Celle ci passe par la définition du journaliste professionnel d’une part et la précision de la
nature et du type d’activité exercé.
A-Définition du journaliste professionnel
Au termes de l’article 4 du code de la presse :<Est journaliste au sens du présent code :
Toute personne diplômée d’une école de journalisme reconnue par l’état et dont l’activité
principale régulière et rétribuée consiste en la collecte,au traitement et à la diffusion de
l’information ;
Toute personne titulaire d’un diplôme de licence ou équivalant,suivie d’une pratique
professionnelle de 2ans dans la collecte,le traitement et la diffusion de l’information au sein
d’une entreprise de presse,sanctionnée par une commission de validation des acquis de
l’expérience>
B-La nature et le type d’activité exercée
Si la loi donne la définition du journaliste elle ne précise pas la nature et le type d’activité
qui relève d’activité journalistique.Ainsi la jurisprudence s’évertue à préciser la nature de
cette activité sur la base ou en dégageant 3 critères cumulatifs:

_Une activité intellectuelle consistant à mettre à la disposition des lecteurs des informations
susceptibles de les intéressés et qui ont un lien avec l’actualité;
_Un caractère informatif primordial consistant en un recueil et une diffusion d’information au
public;
_Une activité de collecte et de diffusion d’information ayant une relation étroite avec
l’actualité.
Cette activité doit avoir pour contrepartie des appointements ou salaires fixes.
Paragraphe 2:Les droits du journaliste professionnel
Le journaliste professionnel jouit de droit qui dépasse ce habituellement reconnut au
particulier.Ces privilèges l’égaux lui sont accordés aussi bien en cours d’exercice de son
activité qu’à la rupture de son contrat de travail.

A-Le droit au secret des sources professionnels


En vertu de cet adage :<Qui cite ses sources les tarit>la faculté de ne pas à avoir à révéler la
source ni le nom de leurs informateurs elle est reconnue aux journalistes.Cela signifie non
seulement qu’un journaliste ne peut être contraint contre son gré les conditions dans lesquelles
il a pu obtenir telle ou telle information et qu’il a le libre choix de ce qu’il souhaite
révéler le public et du moment où il le fera mais ,également qu’il ne doit pas le faire pour ne
pas risquer de mettre son informateur en péril.
D’après la jurisprudence:<Seul un motif prépondérant d’intérêt public permet de lever le secret
des sources.>
Ce pendant le juge peut ordonner des perquisitions dans les locaux de l’agence de presse et
ordonner la remise de pièces.
En outre,le juge,pour contourner le refus du journaliste a révéler ses sources,peut le
poursuivre sur le fondement du secret professionnel (recel)ou le recel de violation du secret de
l’instruction un tel stratagème lui permet le contraindre de journaliste à lui révéler le nom de
son informateur.
B-Les privilèges légaux du journaliste dans le cadre de la rupture de son contrat de travail
Dans certaines situations bien précises,la rupture du contrat de travail à l’initiative du
journaliste ne lui prit guère du payement de son indemnité de licenciement.Ainsi en est-il
lorsqu’il invoque d’une part la clause de session et d’autre part la clause de conscience.

1-La clause de session


Il y’a session lorsque s’opère un transfert de propriété.La clause de session devrait permettre
aux journalistes de ne pas à avoir collaborés avec le nouveau maître dont la doctrine pour la
personne ne convienne pas.Malgré la résiliation du contrat de travail à l’initiative du
journaliste ce dernier va bénéficier du versement à son profit d’une indemnité de licenciement.
2-La clause de conscience
Fleuron du statut des journalistes,cette clause de conscience leur permet en cas de changement
notable dans leur caractère ou l’orientation générale ou journaliste ou du périodique,si ce
changement crée pour la personne employée une situation de nature à porter atteinte à son
honneur ,à sa réputation ou d’une manière générale à ses intérêts moraux de résilier le contrat
de travail tout en bénéficiant d’une indemnité de licenciement.
Ce changement notable peut revêtir ou porter sur le genre de publication (Littéraire à
scientifique),le tendance politique (de gauche à droite)de ligne éditoriale (familial à
sensationnelle.)Dans tous les cas,ce changement doit nuire ou risque de nuire à la réputation ou
à la considération du journaliste.
[Le destinataire de l'information dispose de certaines droits tant sur le plan civile que sur le
plan pénal ]

[v] *SECTION n1 les droits du récepteur aux droits civile :UNE DROITS DE RÉPONSE

LE DROITS DE RÉPONSE permet à toutes personnes nommée où désigner (presse écrite et internet)ou
mise en cause (audiovisuel) exprimé son point de vue gratuitement dans les pages d'un journal,à
lentéde d'une radio ou télévision et sur internet.
ON étudiera les conditions d'ouverture,et d'exercice d'une part l'insertion ou le refus
insertions d'autres part
[v] PARAGRAPHE 1:LES conditions d'ouverture et d'exercice d'une droit de réponse :
[v] A:les conditions d'ouverture
Se droit de réponse est soumis à certaines conditions d'ouverture relative ou support
(media)considéré,au titulaire de l'action et à la mise en cause.

[v] 1:LE SUPPORT CONSIDÉRÉ : LES MÉDIAS


DANS la presse écrite la loi prévoitLA CONDITIONS ESSENTIELLES DE LA PÉRIODICITÉ exclus toutes
les publications non périodique
[v] Exemple affiche, livre.
Dans l'audiovisuel le droits de réponse s'applique à tous services de communication mis à la
disposition du public sous forme de son ou de vidéo paresan à intervalle régulier.
Dans les services de communication aux publics en ligne,le droits de réponse est consacré sauf
si les utilisateurs sont en mesure,du fait de la nature,du service de communication en ligne,de
formulair directement les observations qu'appelle de leur part les messages qui les mais en
cause c'est t'as dire linter-activité.

[v] 2:LES TUTILLAIRE DU DROITS DE RÉPONSE


TOUTES personnes nommée ou désigné dans un journal où écrire périodique où dans un service de
communication où publique en ligne dispose d'un droit de réponse sens préjudice des demandes de
correction où de suppression quel peu adresser aux services de presse concerné.
La personne doit être identifiable. En effet,le droit de réponse est personnelle. Donc seul les
personnes nommée où désigné où mises en cause peuvent elle même l'exercer sauf dans certains cas
précis ou se droit es reconnu aux héritier et à certains associations.
Le droits de réponse exclus les produits et les marques non doté d'une personnalité jerodique et
les collectivités indéterminée (police,magistrats,enseignement).
[v] 3:LA MISE EN CAUSE (C'EST LE FAIT D'ACCUSÉ QUELQU'UN)
1. DANS LA PRESSE ou sur le net,le droit de réponse peut être exercer en l'absence de toute
attaque. Il suffit juste que la personne soit nommément désigné. Dans l'audiovisuel le droit de
réponse n'es ouvert à une personne que en cas dinpitation ou délégation susceptible de porté
atteinte à l'honneur ou à la réputation de la personne mise en cause.
[v] B:LES CONDITIONS D'EXERCICE DE RÉPONSE :
l'exercice d'une droit de réponse repose sur l'introduction d'une demande dans un délai précis
qui toutes fois doit respecter une certaine longueur est une teneur précise
[v] 1: La demande
La demande d'insertion de réponse doit être adressé au directeur de publication. La lettre doit
être adressé au siège du media concerné.
La demandeur doit indiquer les inpitations sur lesquels il souhaite répondre,et la teneur de la
réponse qu'il se propose de faire et indiquer les références du message litigieux
(date,l'heure,surconstance de diffusion).
Pour facilité la préve de linpitation(accusations) la loi oblige le difiseur à une obligation ou
devoir d'enregistrement et de conservation pendant un délai au moins de 15j.

[v] 2: LE DELAI D'EXERCICE DU DROITS DE RÉPONSE ES DE 3 MOIS:


A COMPTER de la mise en cause dans la presse,la diffusion du message contenant linpitation qui
la fonde dans l'audiovisuel et à partir de la mise à disposition du message à l'internet
[v] 3:LA LONGUEUR DE LA RÉPONSE
Elle es limitée à la longueur du message qui la provoquer ou lorsque se lui si ne se présente
pas sous une forme alphanumérique(l'être illisible)à celle de sa transcription sous forme d'un
texte.

[v] 4:LA TENEUR OU CONTINUE DE LA RÉPONSE :


elle obélie à certaines

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