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La Révolution française
Louis XV 1710-1715- 1774 Louis XVI (1754-1774- 1793) Marie- Antoinette Le Grand Trianon Le Petit Trianon Une société d’ordres
Clergé 120 000 (0,5 %) 10 % des terres
Noblesse 400 000 (1,5 %) 25 % des terres Tiers état 25 000 000 (98 %) Bourgeoisie Peuple des villes Paysannerie 40 % des terres Les États généraux Le sermen t du jeu de paume, par David La prise de la Bastille La Grande peur Comte de Mirabeau : noble représentant le tiers état. Pour une monarchie constitutionnell e. Marquis de Lafayette (le héros de l'Amérique) : noble éclairé, pour une monarchie constitutionnelle Desmoulins : journaliste, un des fondateurs de la République. Danton: avocat, jouera un rôle fondamental dans l'établissement de la République. Jean-Paul Marat: médecin et journaliste, révolutionnaire radical, l'un des grands vainqueurs de la monarchie. Maximilien Robespierre (dit "L'incorruptible") : avocat, défenseur des opprimés, sera le chantre de la Terreur. 1. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. 2. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression. 3. Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément. 4. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi. 5. La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas. 6. La Loi est l'expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents. 7. Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance. 8. La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée. 9. Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. 12. La garantie des droits de l'Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée. 13. Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés. 14. Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux- mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée. 15. La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration. 16. Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution. 17. La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité. La Garde nationale et la cocarde tricolore Le palais des Tuilerie s L’Assemb lée nationale constitua nte La constituti on civile du clergé Pie VI La nuit de Varenn es Le retour de Louis XVI à Paris (Le Boulanger, la Boulangère et le petit Mitron) Les sans-culottes Le peuple aux Tuileries Les massacres de septembre L’exécuti on de Louis XVI L’exécution des Girondins L’exécution de Marie-Antoinette Une arrestation sous la Terreur L’exécution de Danton
« Tu montreras ma tête au peuple,
bourreau. Elle en vaut la peine. » L’exécution des quatre sœurs La Métairie à Nantes Le 9 Thermidor, la chute de Robespierre et la fin de la Terreur