INFORMATIQUE

A l’heure, actuelle, tout intellectuel est sensé de connaitre le

monde. Le 21è siècle, étant notre ère, demande à ce que chacun
parvient à maitriser certaine discipline technologique, lui permettant
de connaitre le monde.
L’informatique, faisant part de ces disciplines se donne
à maximiser les connaissances chez l’élite intellectuelle pour bien
connaitre le monde. Connaitre le monde n’est pas synonyme de se
promener pour visiter tous les pays qui existent dans le monde, mais
c’est s’informer, se former de ce qui se passe dans le monde.
Pourquoi doit – on connaitre le monde ?
Le monde, étant un tout, un exemple des biens visibles et
invisibles, des personnes, est responsable de notre être. Il est aussi
ensemble des mobiliers et des immobiliers qui nous entours, il englobe
ce que nous connaissons et ce que désirons connaitre. Il est
l’ensemble de l’existence dont dépendent les individus.
Parmi les différentes disciplines technologiques, l’informatique est
l’une qui puisse permettre aux intellectuels de mieux connaître le
monde. Alors, connaître le monde, c’est entrer en profondeur des
réalités, s’informer, se former aux réalités technologiques du monde
réel et irréel.
01 OBJECTIF GENERAL
D’une manière générale, le cours d’informatique vise à former
l’homme capable de manipuler certains outils technologiques dont
l’ordinateur est le principal.

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 En suite, faire passer l’homme de l’état d’analphabète fonctionnel
vers celui d’intellectuel opérant.
02 OBJECTIFS SPECIFIQUES
Au terme de ce cours, l’étudiant de G1 de toute filière qui aura
suivi avec attention et intérêt sera capable de :
 Connaître l’historique de l’informatique ;
 Définir les concepts fondamentaux ;
 Déterminer les sortes d’ordinateurs et préciser les grandes
parties ;
 Manipuler aisément l’ordinateur.
CHAPITRE PREMIER : GENERALITES SUR L’INFORMATIQUE
1.1 DEFINITION :
Ici, nous définissons quelques concepts tels que :
a) Informatique : étymologiquement, ce mot renferme deux
termes :
 Information : qui est une base de connaissance dans un domaine
de la vie de l’homme (politique, économique, culturel, religieux,
etc.)
 Automatique : ce qui est spontané, machinal ou instinctif.
Ainsi, l’informatique peut se définir comme la science du traitement
de l’information. Elle est aussi la technique de l’utilisation des
ordinateurs et on dira que l’informatique est la science du traitement
automatique de l’information d’une façon rationnelle.
b) traitement : action de manipuler, de modifier, d’analyser ou
de transformer une information.

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 c) Ordinateur : est une machine qui permet d’effectuer des
opérations, de traiter des données en exécutant un
programme.
Il est doté d’une capacité telle que :
 Accepter et garder l’information ;
 Manipuler, modifier et transformer l’information ;
 Restituer l’information.
1.2 HISTORIQUE DE L’INFORMATIQUE
Le développement de l’informatique est lié aux développements
des informations qui devraient être traitées par l’homme. La qualité de
ces informations étant proportionnelle aux structures et aux objectifs
de l’environnement professionnel de l’homme. La course au
développement de l’informatique est intimement liée à celui de
l’ordinateur, c’est-à-dire, au perfectionnement de la machine à traiter
l’information.
A)Des âges préhistoriques jusqu’en 1962 :
 La machine la plus ancienne pouvant être rangée dans la lignée
des ordinateurs est le boulier chinois (2OOO ans) ;
 En 1642, la machine à additionner de Pascal ;
 En 1671, la machine à multiplier de LIEBNIZ ;
 En 1786, invention du registre par Muller ;
 En 1804, invention des métiers à tisser contrôlés par la carte
JACQUARDS (carte perforée qui porte des informations permettant
de tisser avec un dessin déterminé) ;
 En 1830, invention de la machine à calculer de Thomas ;

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  De 1837 à 1883, invention de la machine à calculer et de
différence de BABBAGE ;
 De 1888 à 1900, HOLLERICH invente la carte perforée et la
machine à lire les cartes perforées ;
 De 1900 à 1920, utilisation de la carte perforée en comptabilité ;
 En 1962, PHILLIPE GREYFUS parle pour la première fois de
l’informatique.
b) L’informatique en R.D CONGO :
En R.D CONGO, l’informatique a évolué comme partout ailleurs.
Son évolution est partie de la machine de faible capacité à celle de
forte capacité. Ce principe s’appelle : « la miniaturisation », c’est-à-
dire, réduire les dimensions pour accroître les capacités de
recueillement et de traitement de l’information. L’informatique a
commencé dans notre pays en 1950 pou être rendu publique en 1976.
 En 1950, acquisition des machines classiques des informations,
on les trouve dans la météo, le service de statistique et les
offices de transport(OTRACO) ;
 En 1965, la BNCO acquiert un IBM 1401 qui est le premier
ensemble électronique importé au Congo à l’époque. La même
année, le département de finances, l’UNAZA et le service de
bureau de l’IBM achètent l’IBM 1401 ;
 En 1967, l’ONATRA acquiert un IBM de la même capacité ;
 En 1969, la BNCO achète un IBM 360/140 qui sera remplacé par
un IBM 370/145 ;
 En 1971, l’ONATRA acquiert le même IBM qui sera remplacé par
le même IBM ;

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 En 1972, le service présidentiel de l’information achète un IBM
370/145 qui sera remplacé en 1979 par HP 3000 III ;
 En 1976, sur ordonnance présidentielle, la création de COPZ
(conseil permanent du Zaïre) qui est un organe technico-
administratif d’encadrement de l’informatique ayant comme
mission :
 Concevoir, organiser et coordonner un plan directeur pour
l’encadrement de l’informatique au Congo ;
 Susciter et organiser les colloques, les conférences et des
séminaires pour l’enseignement de l’informatique ;
 Superviser la formation des informaticiens au Congo.
 En 1978, la SOZACOM achète un HP 3000 III suivi des autres
sociétés telles que : la SNEL,
 De 1979 à nos jours, le développement technologique s’observe
dans tous les plans, car la miniaturisation est devenue un principe
puissant dans la fabrication des matériels informatiques, c’est-à-
dire, à partir de cette date, l’on est parti de la grande dimension à
la conservation de la grande capacité.

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CHAPITRE DEUXIEME : L’ORDINATEUR
Le tout premier ordinateur, c’est ENIAC, fabriqué de 1940 à 1945 et
mis en vente en 1946. Il a été fabriqué par JOHN ECKERT MAUCHLEY
et JOHN VON NEUMAN. Cet ordinateur est considéré comme le tout
premier, parce qu’il fonctionnait avec le courant électrique et la
programmation.
2.1 DEFINITION DE L’ORDINATEUR
Comme nous l’avons dit très haut, l’ordinateur est une machine qui
permet à effectuer des opérations mêmes compliquées, de traiter les
données tout en exécutant un programme.
2.2 OBJECTIFS DE L’INVENTION DE L’ORDINATEUR
Comme l’ordinateur est capable d’accepter une information sous
une forme donnée, de la traiter et d’en produire les résultats, son
invention poursuivait les objectifs suivants :
 Conduire la guerre américaine ;
 Palier aux insuffisances en matière de calcul ;
 Aider l’homme dans la gestion et dans l’administration.
2.3 SORTES D’ORDINATEURS
On distingue généralement :
1. Les macroordinateurs : sont les ordinateurs de grande taille
physique ne pouvant fonctionner généralement et complètement
qu’en réseau ;

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 2. Les micro-ordinateurs : ce sont des ordinateurs de taille
physique réduite pouvant fonctionner en réseau comme par
indépendance. Ce sont les PC (personnal computer) ;
3. Les mini-ordinateurs : ce sont les calculatrices de poche ou les
ordinateurs de taille très réduite comme les téléphones et les
tablettes.
2.4 LES GRANDES PARTIES DE L’ORDINATEUR
Chaque ordinateur est composé de deux grandes parties,
notamment :
I.LE HAD WARE :
C’est la partie physique ou matérielle de l’ordinateur qui est
constituée aussi de deux parties :
A. L’unité centrale (UC) : qui est la partie la plus importante, car
étant même le cerveau de l’ordinateur :
B. Les périphériques : sont tous les organes de l’ordinateur qui
sont en dehors de l’unité centrale et qui sont connectés à celle-ci
pour l’effectivité du travail à faire sur la machine. On
distingue deux sortes des périphériques :
 Les périphériques d’entrer : tout organe ou toute partie externe
de l’ordinateur qui sert à faire entrer les informations dans la
machine. Ils sont : le clavier, le scanneur, la souris, le moniteur ou
écran.
 Les périphériques de sortie : tout organe ou toute partie externe
de l’ordinateur qui sert à faire sortir les informations de la
machine vers un support matériel. Ils sont : l’imprimante, l’écran
et la souris.

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 II LE SOFT WARE :
C’est la partie intelligente de l’ordinateur. Elle est composée des
logiciels qui sont un ensemble des programmes. Et le programme n’est
rien d’autre qu’un ensemble des instructions ou des commandes. On
distingue deux sortes de logiciels :
1. LE LOGICIEL DE BASE (Système d’exploitation) : l’ensemble des
programmes contenant des instructions qui gèrent et
coordonnent toutes les applications de l’ordinateur, c’est-à-dire,
ils gèrent et les matériels et les logiciels. On distingue plusieurs
sortes de logiciels de base tels que : DOS (disc operating
system), WINDOWS, ZEUS, UNIX, UNIFLEX.
2. LE LOGICIEL D’APPLICATION (programme) :
C’est l’ensemble de programmes et instructions permettant aux
utilisateurs d’exécuter telle ou telle autre activité. Ainsi, le logiciel
d’application est un sous logiciel de base d’où MICRO SOFT WARE,
EXCEL, POWER POINT, INTERNET, ACCESS. Micro software est un
nom alloué au produit fourni par une femme américaine appelée
« BILL GET »
2.5 LE DEMARRAGE ET LA FERMETURE DE L’ORDINATEUR
2.5.1L’OUVERTURE DE L’ORDINATEUR
Elle se fait de la manière suivante :
 Se rassurer si l’ordinateur est en bon état, c’est-à-dire, si les
câbles sont branchés :
 Appuyer sur la touche « démarrer »

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  Attendre quelques instants après avoir appuyer pour que la
machine se prenne en charge et pour que les messages sauvés
dans la mémoire morte soient apprêtés dans la mémoire active.
2.5.2LA FERMETURE DE L’ORDINATEUR
Quand on a fini à faire son travail, on doit suivre la procédure
suivante pour parvenir à fermer sa machine :
 Pointer sur l’icône « arrêter » au coin en haut de la machine,
puis cliquer ;
 Le menu va sortir un sous menu « démarrer » cliquer là et
sélectionner « arrêter » ;
 Une fois sélectionner cette opération, une boîte de dialogue va
s’afficher avec comme commande : arrêter, redémarrer,
mettre en éveille ;
 Activer la commande « arrêter » et directement l’ordinateur va
s’éteindre.
2.6 LA SOURIS ET LE CLAVIER
Parmi tous les périphériques, la souris et le clavier jouent le rôle
incontestable et irremplaçable, c’est ainsi que nous présentons en bref
le rôle que chacun de ces périphériques et surtout la manière de s’en
servir.
2.6.1 LA SOURIS
Elle est soit incorporée ou soit détachée. La souris a son dos et son
bas ayant deux touches appelées : « clic », ainsi, on a le clic gauche et
le clic droit.
C’est pourquoi, on doit s’habituer aux termes liés à l’utilisation de
cet élément si important de l’ordinateur :

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  Cliquer : appuyer une fois sur la touche droite de la souris ;
 Double cliquer : appuyer deux fois de suite sur la touche
droite de la souris ;
 Sélectionner : appuyer sur la touche gauche et glisser
légèrement sur le dos de la souris.
N.B : c’est la souris qui dirige le curseur et oriente le pointeur à
l’endroit voulu.

2.6.2 LE CLAVIER
Le clavier est le plus grand moyen de passage de l’information
dans le sens d’utilisation à l’ordinateur. Il est le plus perfectionné et le
plus parlant, c’est-à-dire, il renferme les touches qui disent et donnent
l’ordre à la machine.
Les touches sont classées dans les pavés (blocs) ci-après :
 Le pavé alphanumérique : qui est constitué des touches
portant les lettres alphabétiques, les signes de ponctuation et
d’orthographe ainsi que les chiffres allant de 0 à 9 ;
 Le pavé numérique : qui est semblable à celui d’une
calculatrice, il est constitué des touches portant de chiffres allant
de 0 à 9, les quatre signes d’opération fondamentale et le signe
d’égalité ;
 Le pavé des touches de fonction : constitué des touches
portant F1 jusqu’à F12 ;
 Le pavé des touches de direction : constitué de quatre
touches portant les flèches de direction suivant les quatre points
cardinaux ;

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  Le pavé des touches de gestion : composé de restes de
touches.
N.B : parmi toutes ces touches, il y en a celles qui sont actives et celles
qui sont mortes.
 Elles sont dites « actives », lorsqu’une fois les appuyer, elles
produisent directement un effet ;
 Elles sont dites « mortes », lorsque appuyer seules, elles ne
peuvent pas produire un effet. Et elles fonctionnent en
combinaison avec d’autres touches tout en augmentant la
capacité de fonctionnement du clavier pour produire les effets
spéciaux.
QUELQUES TOUCHES PLUS IMPORTANTES DANS L’UTILISATION
DE L’ORDINATEUR
1° ENTER : Elle active les commandes pour n’importe quelle
action ;
2° SHIFT : Elle permet à l’ordinateur d’accéder en majuscule ;
3° CAPS LOCK ou SHIFT LOCK : Elle bloque le clavier en capital ou
majuscule ;
4° TABULATION : Elle facilite le déplacement du curseur de
gauche à droite ou de droite à gauche ;
5° BARRE D’ESPACEMENT : Elle permet de séparer les
opérandes ou les mots et les données ;
6° BACK SPACE : Elle efface le caractère qui est à gauche du
curseur.

LA COMBINAISON DES TOUCHES

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 La combinaison des touches crée les raccourcis du clavier pour
Word permettant de gagner un temps précis pour la manipulation.
Avec ces raccourcis du clavier, on travaille efficacement et
rapidement. Il s’agit de :
 Ctrl+A = sélectionner les pages ou les textes ;
 Ctrl+Z = annuler la dernière action ;
 Ctrl+G = mettre en gras le texte ;
 Ctrl+I = mettre en italique le texte ;
 Ctrl+U = souligner le texte ;
 Ctrl+E = centrer le texte ;
 Ctrl+C = copier le texte ;
 Ctrl+V = coller le texte copié ;
 Ctrl+X = couper le texte ;
 Ctrl+N = ouvrir une nouvelle page ;
 Ctrl+S = enregistrer le fichier ;
 Ctrl+W = fermer la page ;
 Alt+F4 = fermer l’ordinateur.
2.7 LA CREATION D’UN FICHIER
Le fichier est un espace dans lequel on peut loger l’information. Pour
créer un fichier, on passe par les étapes suivantes :
1ere ETAPE : identification du fichier : c’est disponibiliser un
espace vide nommé par défaut. Ex : doc1, doc2,
Voici comment l’ordinateur nomme le fichier par défaut :
 En Word : ce sont des documents ;
 En EXCEL : ce sont des classeurs ;
 En POWER POINT : ce sont des représentations ;

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  En PROCESS : ce sont des compositions.
2ème ETAPE : personnalisation du fichier : c’est donner le nom et
une adresse au fichier.
Le fichier va alors loger dans le disque dur selon l’ordre alphabétique
dans le support de la mémoire interne, tandis que dans le support de
la mémoire externe, il va loger soit dans un flash disque ou disque
amovible, disquette ou soit dans le C.D ou D.V.D.
Avant de créer un fichier, il faut calculer la capacité de la
mémoire de l’appareil en kilobit ou mégabit et aussi sa longueur en
bit ou octet d’où :
 1024 OCTETS = 1KB
 1024 KB = 1MB
 1024 MB = 1GB
 1024 GB = 1 TB (trétébit).
CHAPITRE TROISIEME : NOTIONS DE PROGRAMMES ET
INSTRUCTIONS
Un programme est un ensemble d’ordres, de commandes donnés
à un ordinateur en vue de la résolution d’un problème bien déterminé.
Il est introduit dans l’ordinateur sous forme compréhensible par lui
selon le langage dans lequel on se situe.
L’instruction est l’un des ordres élémentaires composant le
programme et comporte généralement deux parties, notamment :
 Le code opérant : qui indique à l’ordinateur l’opération à
exécuter ;
 L’adresse opérante : qui indique où se situe en mémoire, la
donnée sur laquelle va porter cette opération.

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TYPES D’INSTRUCTIONS
Il existe cinq types d’instructions, notamment :
1) Les instructions arithmétiques : elles permettent d’effectuer les
calculs ;
2) Les instructions de mouvement : elles permettent de déplacer les
contenus d’une adresse vers une autre ;
3) Les instructions logiques : elles permettent d’exécuter les
opérations sur les opérandes ;
4) Les instructions de branchement : elles permettent à la machine
de sauter une opération à une autre. A l’absence de l’instruction
de branchement, le programme se déroule d’une façon
séquentielle :
5) Les instructions d’entrer et de sortie : ce sont elles qui permettent
de communiquer avec le monde extérieur par l’intermédiaire des
périphériques.

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