SysteÌme cardio-vasculaire
SysteÌme cardio-vasculaire
SysteÌme cardio-vasculaire
I / Présentation générale
1) Organisation systémique.
Le système cardio-vasculaire est clos, formé de différentes catégories de vaisseaux reliés entre
eux par des réseaux capillaires. Ces catégories sont : les artères, les capillaires, les veines.
Les artères apportent le sang, elles partent du cœur pour arriver au réseau capillaire
pulmonaire. Les veines ont un rôle d’efférence, elles emportent le sang vers les réseaux
capillaires c'est-à-dire vers le cœur.
Voir polycopié schéma page 6
Dans le SCV on a deux types de circulations : la grande et la petite circulation.
La grande circulation (circulation systémique) : les vaisseaux transportent le sang vers les
tissus de l’organisme et le rapporte au cœur.
La petite circulation (circulation pulmonaire) : elle est destiné aux échanges respiratoires /
gazeux. Les vaisseaux apportent le sang dans les poumons et l’en retirent.
Le côté droit du cœur est la pompe de la circulation pulmonaire et le côté gauche est la
pompe de la circulation systémique.
2) Fonction de la circulation.
Le SCV est un système de pompe et de conduit qui va permettre la circulation du sang dans
les conduites. La circulation du sang permet le bon fonctionnement de l’organisme et le
protège.
-Fonction de transport : transport d’O2 combiné avec l’hémoglobine pour l’apporter aux
cellules, de nutriments du système digestif aux cellules, d’hormones. La circulation va
également permettre l’élimination de CO2, des déchets azotés qui seront transportés jusqu’au
rein.
-Fonction de régulation : en effet il y a régulation de la température corporel grâce à la
convection (déplacement de la chaleur vers la périphérie, puis petit à petit le corps obtient une
même température), il s’opère une vasodilatation des vaisseaux afin de transporter plus
rapidement la chaleur. Maintien également l’homéostasie, du ph sanguin. Il règle l’espace
liquidien.
-Fonction de protection : il maintien la pression sanguine et le débit. Protection contre les
hémorragies. Lutte contre les infections à travers le transport d’anticorps.
II / Le cœur.
1) Données morphologiques
1-1 : Fonction
C’est une pompe placée au point de raccordement entre la petite et la grande circulation. Il a
pour fonction de chasser le sang dans les artères. Il a un rôle de pompe refoulante, aspirante
(favoriser le retour du sang).
1-2 : structure :
Le cœur est un muscle creux. A l’intérieure de ce dernier il y a 4 cavités, 2 oreillettes et 2
ventricules. Ces 4 cavités vont former deux cœurs : le droit et le gauche. Ils sont séparés en
haut par la cloison inter-oriculaire (entre les deux oreillettes) et en bas séparé par la cloison
inter ventriculaire. Pas de communication entre le cœur gauche et le droit. En revanche il y a
communication entre le ventricule et l’oreillette correspondante.
Se sont les veines caves qui arrivent à l’oreillette droite (va vers le cœur). Partant du cœur
droit on a une artères pulmonaires qui est le départ de la petite circulation
Le ventricule gauche pompe pour la grande circulation. L’artère qui part du cœur gauche
est appelée l’aorte. Les veines qui pénètrent dans l’oreillette gauche forme la majeure partie
de la base du cœur. Ces veines ramènent le sang des poumons vers le cœur.
Rappel : dans l’oreillette droite, le sang revient vers le cœur à travers les veines caves. Dans le
ventricule droit on trouve l’artère pulmonaire qui éjecte le sang vers la petite circulation.
Dans l’oreillette gauche, le sang arrive au cœur par les veines pulmonaires. Dans le ventricule
gauche on trouve l’aorte, qui éjecte le sang vers la grande circulation.
Les ventricules constituent presque toute la masse du cœur. Ils ont une forment coniques,
leurs contenances est plus importante que les oreillettes entre 150 et 225 ml. Le volume va
dépendre du remplissage. Le VD s’enroule autour du VG. Ils n’ont pas exactement la même
forme.
Ils sont le point de départ de la circulation du sang. En se contractant les ventricules projettent
le sang hors du cœur, dans les vaisseaux. Le VD éjecte le sang dans le tronc pulmonaire,
qui achemine le sang dans les poumons en vue des échanges gazeux. Le VG propulse le
sang dans l’aorte qui est la plus grosse des artères dont les ramifications successives
alimentent tous les organes. Le VG à une paroi plus épaisse que celle du VD car la pression
est plus importante du faite que le sang est envoyé plus loin.
Les valvules se situent entre l’oreillette et les ventricules. Elles empêchent le reflux du sang
dans les oreillettes quand les ventricules se contractent.
La valve auriculo-ventriculaire droite ou valve tricuspide est composé de trois clapets, la
gauche autrement app valves mitrales est composé de deux clapets.
Quand le cœur est relâché, le sang s’écoule dans les oreillettes, traverse passivement les
valves ouvertes et entrent dans les ventricules.
Il n’y a pas de valvules aux orifices des veines.
Les fibres musculaires du myocarde sont striées mais elles vont se distinguer des autres car
elles sont plus épaisses. Les cellules du muscle cardiaque sont rattachées par des fibres de
tissu conjonctif qui forment des faisceaux spiralés ou circulaires. Ces faisceaux relient toutes
les parties du cœur. Les fibres du tissu conjonctif tissent un réseau dense, le squelette fibreux
de cœur qui renforce le myocarde. Il y a aussi des capillaires.
Les fibres musculaires cardiaques sont rattachées les unes aux autres aux disques intercalaires
ce qui constitue deux éléments.
2) L’excitabilité cardiaque.
2-4 : la coordination.
Schéma 2, page 8
Le nœud auriculo ventriculaire se contracte 50 fois par minute.
Le faisceau auriculo ventriculaire se contracte 35 fois par minute.
Les fibres de conduction cardiaque se contractent 30 fois par minute.
Plus on avance dans le cœur plus les fréquences diminuent. Si le nœud sinusal ne fonctionne
plus les autres systèmes peuvent prendre le relais. Cependant on a pu remarquer que si
l’influx nerveux part du faisceau, les oreillettes et les ventricules vont se contracter en même
temps ce qui va engendrer un dysfonctionnement.
Le PA chemine dans le cœur mais pas partout en même temps.
Le centre rythmogène permet le relais.
3) La révolution cardiaque :
La révolution cardiaque c’est le cycle de phénomène qui se reproduit au niveau du cœur qui
est animé de phase de contraction appelé systole et de phase de repos appelé diastole.
Pendant une systole auriculaire et ventriculaire il y a contraction des oreillettes et des
ventricules ce qui leurs permet d’éjecter le sang. L’oreillette éjecte dans le ventricule, et le
ventricule dans les artères. Pendant les diastoles, l’oreillette et le ventricule sont relâchés ce
qui permet aux cavités de ce remplir de sang.
La révolution cardiaque : systole et diastole auriculaire ajouté à une systole et diastole
ventriculaire.
La contraction de l’oreillette initie le phénomène de contraction du cœur. La systole
auriculaire est l’origine du cycle.
Il y a synchronisation des phases dans le sens transversal (horizontal), les deux oreillettes
se contractent en même temps. Par contre phase d’activité et de repos sont successives
dans le sens longitudinal (vertical).
Systole auriculaire en première car permet de remplir les ventricules.
La circulation du cœur est régit par des variations de pression qui sont elles même du à
l’alternance contraction - relâchement.
Cette pression provoque l’ouverture et la fermeture des valves qui vont orienter la circulation.
Phase de repos et de remplissage. Le sang passe dans les cavités cardiaques et le sang
provenant de la circulation s’écoule passivement dans les oreillettes par les valves auriculo –
ventriculaire ouvertes, dans les ventricules. Les valves de l’aorte et de la cavité pulmonaire
sont fermées. Les ventricules se remplissent à environ 70 % pendant cette période.
La pression dans le ventricule gauche est = à 0. Le sang qui arrive par les veines pulmonaires
va remplir l’oreillette qui va ensuite la distribuer aux ventricules.
2ème temps : les valves auriculo – ventriculaires commencent à monter vers la position fermée.
Tout est prêt pour la systole auriculaire. Les oreillettes se contractent donc elles éjectent le
sang qui reste (30 % manquant) et finissent de remplir le ventricule. Puis les oreillettes vont à
leur tour se relâcher et commence leur diastole.
La propagation de l’influx nerveux entraîne par la suite la contraction du ventricule.
Entre deux diastoles générales ont va avoir des variations de potentiel électrique.
Pour enregistrer l’électrocardiogramme on va poser deux électrodes, qui permettent de définir
des dérivations qui donnent un tableau global des activités du cœur.
Voir polycopié page 10.
C’est l’enregistrement à la surface du corps en des points standardisés des augmentations de
potentiels qui vont être induites par l’activité électrique cardiaque. L’ECG va traduire le
processus d’excitation du cœur qui précède sa contraction.
L’intervalle de temps entre le P et le R correspond au temps que l’influx nerveux met pour
aller des oreillettes aux ventricules.
La dépolarisation se produit environ à 1/10 de secondes avant la contraction. La repolarisation
est contemporaine avec l’évacuation ventriculaire.
P : excitation des oreillettes.
QRS : excitation des ventricules qui va masquer la repolarisation des oreillettes.
T : retour à l’état de repos des ventricules.
Les répétitions de R correspondent à la fréquence cardiaque.
4) Le débit cardiaque.
4-1 : Définition.
C’est le volume de sang expulsé par un ventricule au cours d’un systole en une minute :
Q = VES * Fc
Le débit cardiaque est égal au volume de sang expulsé par unité de temps.
Fc : fréquence cardiaque.
VES : volume d’évacuation systolique. Volume de sang éjecté par un ventricule par
battement.
VTD : volume télédiastolique : c’est le volume de sang présent dans un ventriculaire à la fin
de la diastole ventriculaire. Déterminé par la durée de la diastole ventriculaire et la pression
veineuse, environ égal à 120 mL. Le VTD augmente quand s’opère une augmentation de
remplissage, et une augmentation de la pression artérielle.
VTS : volume télésystolique : c’est le volume de sang qui reste dans un ventricule à la fin de
sa contraction. Il est déterminé par la force de la contraction ventriculaire, environ égal à 50
mL. Il augmente quand la force de contraction ventriculaire augmente.
Il y a toujours du sang dans les ventricules. Plus la diastole est longue plus le ventricule peut
se remplir. Par contre lors de l’exercice physique la diastole est plus courte, par conséquent le
ventricule se remplit à plus faible quantité. Plus la pression veineuse est importante plus
elle éjectera de sang.
Plus la contraction ventriculaire est important plus le VES sera important
Loi de starling : c’est le degré déterminent des cellules myocardique juste avant leur
contraction. C’est le facteur déterminant du VES.
Plus les fibres musculaires sont étirés plus la contraction sera ensuite forte.
VES augmente grâce au système nerveux sympathique. Plus la force de contraction cardiaque
augmente plus le VTD diminue.
Page. 12
Structure des gros troncs artériels : exemple l’aorte.
Les parois sont très épaisses et ont une très grande élasticité du à la présence d’élastine dans
les trois tuniques.
Fonction : plus le calibre est gros plus ça diminue la résistance.
L’abondance d’élastine permet de compenser les fluctuations de pression qui ce produisent
dans ces vaisseaux. Si on n’avait pas d’élastine dans c tronc le sang circulera par giclée. Ces
troncs s’étirent à la diastole ce qui permet l’écoulement par la suite.
Systole augmentation de la pression, alors que lors de la diastole il y a une diminution de la
pression. Cela amortit la pression.
Le poids artériel : le pouls correspond à des ondes de pression par la dilatation et le
resserrement des artères se produisant à chaque systole des ventricules. Il permet donc de
mesurer la fréquence cardiaque.
Page. 14
Les capillaires constituent les lits capillaires.
- Se sont les plus petits vaisseaux sanguins. Font environ 1 mm de long, calibre de 8 à 10
micro – mètres.
Ils ont une paroi très fine. Tellement fine qu’elle est constitué de cellule endothélium.
Beaucoup de capillaire dans les tissus en générale (mais pas dans les tendons, les ligaments, le
cartilage, l’épithélium).
- Les lits capillaires sont généralement regroupés en réseau de capillaire. Constitué de 10 à
100 capillaires en moyenne. Composés de capillaires vrais avec au centre une métarteriole.
C’est au niveau des capillaires vrais que va se faire l’échange entre le sang et le liquide
interstitiel. La métarteriole relie en amont l’artériole terminale (d’où arrive le sang) à
l’artériole post capillaire en avale.
On a des manchons de fibres musculaires lisses : si se contracte le sang ne passe plus dans les
capillaires vrais. Voir page 14.
Etat post – prondial : besoin de sang dans le système digestif et donc le sang ne perd pas de
temps dans les capillaires vrais (c’est le balancement circulatoire).
Ramènent le sang des lits capillaires vers le sang. Le diamètre va en augmentant. On distingue
les vénules et ensuite les veines.
Les veinules ont un diamètre de 8 mm, elles sont composées d’endothélium elles sont donc
extrêmement poreuse de façon à permettre des échanges.
On a ensuite des grosses vénules qui ont deux couches.
Les veines sont composées de trois tuniques, ont les comparent donc aux artères.
La paroi va être plus mince et la lumière sera donc plus grande que pour les artères avec un
niveau équivalent (même diamètre, taille…).
La tunique moyenne des veines va être plus mince que celle des artères, elle contient peu de
muscle lisse et d’élastine par elles ont une tunique externe plus épaisse. La structure des
vaisseaux sanguins est adaptée à leurs fonctions.
Les veines sont des réservoirs de sang, elles contiennent environ 65 % du volume sanguin.
Le but c’est d’avoir le moins possible de résistance à l’écoulement c’est pour ça que les parois
sont fines.
Le sang doit revenir au cœur, c’est dur à cause de la pesanteur, par conséquent les valvules
viennent aider les veines. Ces valvules sont situées dans la tunique interne. Lorsque ces
valvules ne sont plus trop fonctionnelles il y a apparition de varices.
Ces valvules facilitent le retour du sang et évitent le reflux du sang.
2) Les déterminants du débit sanguin
2-1 : définition
C’est le volume de sang qui s’écoule en un temps donné dans les vaisseaux ou dans un
organe.
DS (débit sanguin) : différence de pression entre deux points par les résistances périphériques.
Plus ces résistances seront importantes, plus sa va affecter le DS.
↔ Plus le delta de pression sera important plus le DS le sera aussi.
La plasticité des artères donne l’énergie cinétique lors de la systole, il y a une différence entre
les deux pressions, ça donne le gradient de pression app pression différentiel, cette pression
permet de pousser le sang dans les artères.
Si la pression n’augmente pas les artères ne pourraient pas se dilater.
Schéma page. 14
La pression systémique diminue tout au long de la circulation pour atteindre un niveau nul au
niveau des veines caves.
Diminution du gradient de pression entre la pression systolique et la pression diastolique.
Plus les résistances à l’avancement sont importantes moins le sang avance donc augmentation
de la pression.
- Facteurs influant sur la pression artérielle :
Rappel : le débit sanguin = delta P/R
R : Résistance.
Delta P : débit sanguin * R. Delta correspond à une différence.
↔ L’exercice physique fait augmenter le débit sanguin soit du faite de l’augmentation
fréquence cardiaque ou de VES.
Lorsque les résistances augmentent la pression augmentent aussi. Quand les artérioles vont
contracter les fibres musculaires lisses il y a réduction du diamètre et donc augmentation des
résistances.
Le volume sanguin joue aussi sur la pression. Par exemple : cas d’hémorragie, la pression
systémique diminue.
- Mesure de la pression artérielle :
Prise de tension : on comprime l’artère brachiale.
Trop comprimé, plus de pouls car le sang ne passe plus. On commence à dégonfler, on va
avoir un 1er pouls avec un souffle : ça correspond à la pression systolique.
Continue à dégonfler, des qu’il n’y a plus de souffle on a la pression diastolique.
Pression systolique : 110 à 140 mmHg
Pression diastolique : 70 à 80 mmHg.
Avec le vieillissement les veines sont moins souples, on aura donc une augmentation de la
pression systolique.
La pression varie selon le sexe (plus importante chez les hommes), la position (debout moins
important), les stress (hypertension), l’exo physique.
3) Le débit sanguin :
- Débit sanguin du cerveau : il doit être constant, les neurones supportent mal la diminution de
l’irrigation sanguine (ischémie). Il y a un mécanisme d’auto régulation avec des fibres
musculaires qui sont sensibles aux variations de pression.
- Débit sanguin coronarien : va irriguer le cœur. Les vaisseaux vont aller approvisionner le
cœur. Quand se contracte ça chasse le sang.
Les vaisseaux coronaires peuvent alimenter le cœur que pendant la diastole.
Si la systole est trop longue il y a une diminution de la diastole donc moins de temps pour
irréguer.
A l’exercice les coronaires sont vasodilatés, le cœur travail donc la diastole est plus courte.
- Débit sanguin musculaire : variable selon l’activité. Au repos : le débit est de 1 L / min,
seulement 25 % des réseaux capillaires sont sollicités. Par contre à l’exercice beaucoup plus
sont sollicités car augmentation du débit cardiaque. Très exigeant d’un point de vu cardio
vasculaire. Vasodilatation des artérioles musculaires qui permet une arrivée plus grande en
nutriment et en O2.
Se fait par l’adrénaline et différents ions. L’adrénaline est une hormone libérée par les glandes
surrénales qu’on trouve au dessus des reins. Elle est véhiculée par le sang et ça agit sur les
organes cibles.
Va avoir les mêmes effets sur le cœur que la noradrénaline. Ce libère quand le système
nerveux sympathique est activé.
Autres ions :
- Ca 2+ (calcium) : Hypocalcémie : déprime l’activité du cœur. Hypercalcémie : augmente
l’excitabilité.
- Na+ (sodium) : hypernatrémie : altère la concentration.
- K+ (potassium) : hyperkaliémie : altère la dépolarisation.
Facteur natriurétique auriculaire (référence aux oreillettes) : les oreillettes produisent une
hormone, le facteur natriurétique auriculaire est libéré sous l’influence de la distension des
oreillettes créée par l’augmentation de la pression artérielle.
Ce facteur stimule l’excrétion du sodium et de l’eau, ce qui entraîne la diminution du volume
sanguin et, par conséquent, de la pression artérielle. Le s’écoule moins bien.
- Directe : quand la pression augmente les reins excrètent de l’eau, il y a donc une diurèse plus
importante.
Si la pression diminue, les reins absorbent plus d’eau. Il s’opère donc une régulation par le
volume sanguin.
- Système rénine angiotensine : les reins libèrent de la rénine dans le sang, ce qui entraîne une
libération d’angiotensine (hormone vasoconstrictrice) qui entraîne elle-même une libération
d’aldostérone. Ce qui produit une réabsorption du sodium par le rein et ainsi l’eau qui
accompagne le sodium.
Cela permet une augmentation du volume sanguin et de la pression artérielle.