Barème TC à tirer
Barème TC à tirer
Barème TC à tirer
EXERCICE 1
*2e jour
-un entretient pour son maintien ; il n’est donc pas permanent car il s’éteint.
c- Interprétation
L’influx nerveux provoqué par l’excitant lumineux ne peut être conduit jusqu’au muscle
pour permettre la flexion .en effet entre l’aire visuelle et l’aire de la motricité, il n’y a
pas de liaison nerveuse fonctionnelle. Le conditionnement a permis la mise en place de
nouvelle connexion nerveuse fonctionnelle entre ces deux aires nerveuse cérébrale.
Ainsi l’influx nerveux créé au niveau des yeux peut être conduit jusqu’aux muscle te
provoquer la flexion. Ces connections nerveuses ont une activité temporaire. Le
conditionnement n’étant pas repris elles deviennent de moins en moins fonctionnelles
et cessent de fonctionner : le réflexe s’éteint. Le reconditionnement est plus rapide (2e
jour) parce que ces connexion ont déjà fonctionné.
EXERCICE 2
1-a- Définition de glycolyse : la glycolyse est la chaine de réaction qui transforme le glucose en
acide pyruvique.
La voie de la phosphocréatine :
Avant la contraction, la dose de chacune des substances : glycogène, ATP, phosphocréatine, acide
lactique est la même dans les trois muscles. Par contre, on a certaines variations après la
contraction.
Pour le muscle n’ayant subit aucun traitement : la contraction ne provoque pas de variation des
taux de phosphocréatine et d’ATP. Au contraire la quantité de glycogène diminue alors que celle de
l’acide lactique augmente. La contraction est de longue durée
Pour le muscle dont on a bloqué la glycolyse : le taux de phosphocréatine diminue alors que les
quantités des autres substances sont restées constantes. La durée de la contraction diminue.
Pour le 3e muscle : la quantité d’ATP s’épuise totalement et la contraction est de courte durée. Les
quantités de glycogène, de phosphocréatine et d’acide lactique restent constantes
b- Interprétation
Un muscle qui se contracte consomme de l’énergie sous forme d’ATP qui est constamment
régénéré à partir de la respiration et de la fermentation du glucose.cette dernière libère dans le
sang de l’acide lactique. La quantité de glucose est constamment restaurée à partir de l’ hydrolyse
du glycogène des muscles. La contraction peut alors se prolonger.
Lorsque la voie de la phosphocréatine est aussi bloquée, la régénération se fait uniquement par la
voie de la myokinase à) partir de l’ADP disponible. Le taux d’ATP s’épuise alors rapidement et la
contraction s’arrête.
La fermentation a lieu en milieu anaérobie et la respiration en milieu aérobie. Ces deux voies
utilisent du glucose.
2-b-Annotation
EXCERCISE 3
1) Annotation
2) a –Noms de P1 et P2
P1 est le potentiel d’action présynaptique et P2 le potentiel postsynaptique excitateur.
b –Identification de T : le temps T est le delai synaptique.
c –Justification du délai synaptique
le délai synaptique est la durée de transmission de l’influx nerveux à travers la fente synaptique.
d – explication : P2 est un potentiel postsynaptique excitateur. Sa valeur est inférieure au seuil
d’excitabilité du neurone postsynaptique.
3) a – Comparaison : Au niveau des deux neurones : présynaptique et postsynaptique, on enregistre
deux potentiels d’action de même amplitude et sans délai synaptique.
b- Hypothèse : Entre les deux neurones qui établissent cette synapse, il n’y a pas d’espace
synaptique.
Remarque : Il s’agit d’une synapse électrique. L’espace synaptique est très étroit. De plus, les
membranes présynaptique et postsynaptique sont reliées par des jonctions lacunaires. Le potentiel
d’action au niveau de la membrane présynaptique dépolarise directement la membrane
postsynaptique sans recourt à un médiateur chimique.
EXERCISE 4
1) Annotation du document
1=cerveau ; 2=antéhypophyse ; 3=gonadostimuline hypophysaire (FSH et LH);
4=pavillon ; 5=trompe de Fallope (ou oviducte) ; 6=ovaire ; 7=hormones
ovariennes (œstrogène te progestérone) ; 8=cavité utérine ; 9=muqueuse utérine
(ou endomètre) ; 10=myomètre ; 11= col de l’utérus; 12=vagin ; 13=orifice
vaginal.
2) Au cours de la phase folliculaire du cycle féminin :
a) L’organe A (l’antéhypophyse) stimule, par l’intermédiaire de la FSH, la
croissance et la maturation des follicules ovariens et par conséquent la
production d’œstrogènes par ces follicules.
b) L’organe B (l’ovaire) stimule, par l’intermédiaire d’œstrogènes, la prolifération
de l’endomètre et les contractions du myomètre.
3) Au cours de la phase lutéinique du cycle féminin :
a) L’organe A (l’antéhypophyse) stimule, par l’intermédiaire de la LH, la
transformation du follicule ovulé en corps jaune et la sécrétion de la
progestérone.
b) L’organe B (l’ovaire) stimule, par l’intermédiaire de la progestérone, la
prolifération maximale de l’endomètre qui entraine la formation de la dentelle
utérine et provoque le silence utérin.
4) Au 28eme jour du cycle féminin :
a) en cas de non fécondation :
- en A, baisse de la sécrétion des gonadostimulines hypophysaires (FSH et
LH)
- en B, baisse de la sécrétion des hormones ovariennes (œstrogène et
progestérone) et disparition du corps blancs.
- en C, desquamation (ou régression) de la dentelle utérine = menstruation.
b) En cas de fécondation
- en A, augmentation de la sécrétion des gonadostimulines hypophysaires
(FSH et LH)
- en B, augmentation de la sécrétion des hormones ovariennes (œstrogène
et progestérone) .
- en C,nidation.