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Barème TC à tirer

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BAREME BAC BLANC TC

EXERCICE 1

1) a-Nom du mouvement : c’est un réflexe inné


b-Déduction du caractère des excitants :
L’excitant électrique est dit absolu et l’excitant lumineux est neutre
2) a-Analyse :
*1er jour

De la première à la cinquième expérience : on associe le stimulus lumineux et le


stimulus électrique. Seul l’excitant absolu provoque la flexion.

De la sixième à la onzième expérience : le chat fléchit la patte une première fois à


l’excitant lumineux et une 2e fois à l’excitant électrique.

De la 12e à la 14e expérience : l’excitant lumineux seul provoque la flexion de la patte.

De la 15e à la 18e expérience : le chat ne répond plus à l’excitant lumineux.

*2e jour

De la 1e à la 2e expérience : il n’y a pas de réponse à l’excitant lumineux seul.

De la 3e à la 4e expérience : le stimulus lumineux n’entraine pas de flexion ; seul le


stimulus électrique entraine une flexion.

De la 5e à la 6e expérience : le chat répond au stimulus lumineux et au stimulus


électrique.

De la 7e à la 14e expérience : le chat répond à l’excitant lumineux seul.

De la 15e à la 18e expérience : l’excitant lumineux n’entraine plus de réponse.

b- Caractères du reflexe étudié : ce type de reflexe exige :

-une période de conditionnement : il n’est donc pas inné.

-un entretient pour son maintien ; il n’est donc pas permanent car il s’éteint.

c- Interprétation

L’influx nerveux provoqué par l’excitant lumineux ne peut être conduit jusqu’au muscle
pour permettre la flexion .en effet entre l’aire visuelle et l’aire de la motricité, il n’y a
pas de liaison nerveuse fonctionnelle. Le conditionnement a permis la mise en place de
nouvelle connexion nerveuse fonctionnelle entre ces deux aires nerveuse cérébrale.
Ainsi l’influx nerveux créé au niveau des yeux peut être conduit jusqu’aux muscle te
provoquer la flexion. Ces connections nerveuses ont une activité temporaire. Le
conditionnement n’étant pas repris elles deviennent de moins en moins fonctionnelles
et cessent de fonctionner : le réflexe s’éteint. Le reconditionnement est plus rapide (2e
jour) parce que ces connexion ont déjà fonctionné.

d- Schéma simplifié du trajet


nouvelle connexions
fibre nerveuse (fibre sensitive)
Airesensitive
visuelle
Œil (récepteur) Aire de la motricité
Lumière (excitant conditionnel)
fibre sensitive
Nerf sciatique (fibre motrice
Muscle (effecteur) Moelle épinière (centre nerveux)

Flexion (reflexe condionnel)

EXERCICE 2
1-a- Définition de glycolyse : la glycolyse est la chaine de réaction qui transforme le glucose en
acide pyruvique.

b- Importance de la glycolyse : les réactions de la glycolyse produise de l’ATP. Les molécules


d’acide pyruvique formées sont dégradées soit par des réactions de fermentation soit par des
réactions de fermentation. Dans ce dernier cas il y a production de 36 molécules d’ATP.

c- Le s autre voies de restauration de l’ATP :

La voie de la myokinase : ADP +ADP myokinase ATP +AMP

La voie de la phosphocréatine :

ADP + Phosphocréatine phosphocréatinekinase ATP + créatine

2- a-Analyse des résultats

Avant la contraction, la dose de chacune des substances : glycogène, ATP, phosphocréatine, acide
lactique est la même dans les trois muscles. Par contre, on a certaines variations après la
contraction.

Pour le muscle n’ayant subit aucun traitement : la contraction ne provoque pas de variation des
taux de phosphocréatine et d’ATP. Au contraire la quantité de glycogène diminue alors que celle de
l’acide lactique augmente. La contraction est de longue durée

Pour le muscle dont on a bloqué la glycolyse : le taux de phosphocréatine diminue alors que les
quantités des autres substances sont restées constantes. La durée de la contraction diminue.

Pour le 3e muscle : la quantité d’ATP s’épuise totalement et la contraction est de courte durée. Les
quantités de glycogène, de phosphocréatine et d’acide lactique restent constantes

b- Interprétation

Un muscle qui se contracte consomme de l’énergie sous forme d’ATP qui est constamment
régénéré à partir de la respiration et de la fermentation du glucose.cette dernière libère dans le
sang de l’acide lactique. La quantité de glucose est constamment restaurée à partir de l’ hydrolyse
du glycogène des muscles. La contraction peut alors se prolonger.

Lorsque la glycolyse est bloquée,la régénération de l’ATP par la respiration et la fermentation du


glucose n’est plus possible. Il n’y a ni utilisation de glucose et de glycogène, ni production d’acide
lactique. La production de l’ATP se fait par les autres voies ; ce qui réduit le taux de
phosphocréatine mais aussi la durée de la contraction.

Lorsque la voie de la phosphocréatine est aussi bloquée, la régénération se fait uniquement par la
voie de la myokinase à) partir de l’ADP disponible. Le taux d’ATP s’épuise alors rapidement et la
contraction s’arrête.

II/ 1- Les conditions

La fermentation a lieu en milieu anaérobie et la respiration en milieu aérobie. Ces deux voies
utilisent du glucose.

2-a- identification de l’organite : il s’agit d’une mitochondrie

2-b-Annotation

1= membrane externe ; 2=matrice ; 3=crête ; 4= membrane interne ; 5= enzyme ; 6= ADN


mitochondrial ; 7= espace intermembranaire ; 8= schéma d’une mitochondrie

2-c- La voie qui nécessite la mitochondrie est la voie de la respiration.

EXCERCISE 3
1) Annotation

a =vésicule synaptique, b= fente synaptique, c= membrane postsynaptique, d= récepteur à


neuromédiateur, e= membrane présynaptique, f= vésicule d’exocytose, g= neuromédiateur.

2) a –Noms de P1 et P2
P1 est le potentiel d’action présynaptique et P2 le potentiel postsynaptique excitateur.
b –Identification de T : le temps T est le delai synaptique.
c –Justification du délai synaptique
le délai synaptique est la durée de transmission de l’influx nerveux à travers la fente synaptique.
d – explication : P2 est un potentiel postsynaptique excitateur. Sa valeur est inférieure au seuil
d’excitabilité du neurone postsynaptique.
3) a – Comparaison : Au niveau des deux neurones : présynaptique et postsynaptique, on enregistre
deux potentiels d’action de même amplitude et sans délai synaptique.
b- Hypothèse : Entre les deux neurones qui établissent cette synapse, il n’y a pas d’espace
synaptique.
Remarque : Il s’agit d’une synapse électrique. L’espace synaptique est très étroit. De plus, les
membranes présynaptique et postsynaptique sont reliées par des jonctions lacunaires. Le potentiel
d’action au niveau de la membrane présynaptique dépolarise directement la membrane
postsynaptique sans recourt à un médiateur chimique.

EXERCISE 4

1) Annotation du document
1=cerveau ; 2=antéhypophyse ; 3=gonadostimuline hypophysaire (FSH et LH);
4=pavillon ; 5=trompe de Fallope (ou oviducte) ; 6=ovaire ; 7=hormones
ovariennes (œstrogène te progestérone) ; 8=cavité utérine ; 9=muqueuse utérine
(ou endomètre) ; 10=myomètre ; 11= col de l’utérus; 12=vagin ; 13=orifice
vaginal.
2) Au cours de la phase folliculaire du cycle féminin :
a) L’organe A (l’antéhypophyse) stimule, par l’intermédiaire de la FSH, la
croissance et la maturation des follicules ovariens et par conséquent la
production d’œstrogènes par ces follicules.
b) L’organe B (l’ovaire) stimule, par l’intermédiaire d’œstrogènes, la prolifération
de l’endomètre et les contractions du myomètre.
3) Au cours de la phase lutéinique du cycle féminin :
a) L’organe A (l’antéhypophyse) stimule, par l’intermédiaire de la LH, la
transformation du follicule ovulé en corps jaune et la sécrétion de la
progestérone.
b) L’organe B (l’ovaire) stimule, par l’intermédiaire de la progestérone, la
prolifération maximale de l’endomètre qui entraine la formation de la dentelle
utérine et provoque le silence utérin.
4) Au 28eme jour du cycle féminin :
a) en cas de non fécondation :
- en A, baisse de la sécrétion des gonadostimulines hypophysaires (FSH et
LH)
- en B, baisse de la sécrétion des hormones ovariennes (œstrogène et
progestérone) et disparition du corps blancs.
- en C, desquamation (ou régression) de la dentelle utérine = menstruation.
b) En cas de fécondation
- en A, augmentation de la sécrétion des gonadostimulines hypophysaires
(FSH et LH)
- en B, augmentation de la sécrétion des hormones ovariennes (œstrogène
et progestérone) .
- en C,nidation.

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