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FONDEMENT DE L’EGLISE

Le fondement de l’église date des temps anciens. Le village de


Niambezaria est composé de six (6) familles. Quelqu’un de ses famille
appeler KRIZOUA BATRE est allé à Bohiko, sous préfecture de
FRESCO, prendre l’évangile et associer ces frères implanter la première
église. Ce sont : BLACKSON KOLOUBA, BISIRI DOUKOURE qui
apporte la première cloche DEDO DAKOURI ABRAHAM, MATHIEU
AGBO, MATHIEU GNABA, (GNAGBO DEDO BERNARD et DJOHN
MEMEGNE tous deux (02) prédicateurs.) après il y a eu les premiers
catéchistes du nom de JAMES. Il vient d(AWETI. Il était basé à
GOBERY. En suite, BERNARD LOBOUE, DAVID SERY (DIDA)

BATHELIMY AKA (lozoua)


JAQCUES ZEHI (DJIMON), PIERRER GODO, MOISE GNABA
(LOZOUA)
Evangéliste VICTOR DAGO(Kogbatroko) ; Marc MACAGNON
(Djimon)
Félix SOKOURI (KOTCHERI), ALBERT GOULET (KAZEBERI)
Premier pasteur stagiaire : ANDRE AKE et JACQUE AGNIMEL
(ADIOUKROU)
Evangéliste SYLVANUCE AHIMA (DIVO)
Pasteur AMARIL LOUIS (ADIOUKROU)
Pasteur ERNET GNAGNE (ADIOUKROU)
Evangéliste SIMEON BOGRO (GODIE)
Le Catéchiste JACOB LOI (KOGBATROKO)
Le Catéchiste DANIEL GNADJA (KAHOUE)
Le Catéchiste JACOB TOHOURI (KOTCHERIE)
Catéchistes bénévole MAURICE TAKRE (lobogrou)
CHARLES DJAH (Neko)
Catéchiste SERAPHIN BOSSE (ZOZO)
Catéchistes APPOLOS GOGO ( Djokolilié)
Evangéliste OWIGNAN
Pasteur THIERRI LOBA (Adioukrou)
Pasteur DANIEL AKPA (Adioukrou)
Pasteurs SIMEON BORGO (Godie)
Evangéliste APPOLINAIRE KOBENAN (DIVO)
Catéchistes GERMAIN DOGA (Dida)

V) L’HISTOIRE PROTESTANTE EN COTE DIVOIRE


C’est à partis de 1890 que ce mouvement a commencé de se
développer en CI grâce a la présence, sur le sol ivoirin des immigrés
méthodiste des pays limitrophes anglophones (GHANA, LIBERIA,
SIERRA LEONE…) dans les ports florissants d’assinie, Grand Bassam
et Grand Lahou.

Cependant l’avènement du méthodisme sur le territoire ivoirien n’est de


prime abord, par l’œuvre d’européens. Ce sont des ghanéens d’ethnie
fanti et n’Zima qui installe, vers la fin XIXe siècle, les premiers lieux de
culte méthodiste plus ou moins précaires dans des villages ivoiriens
frontaliers de la Gold Coast (Ghana). Puis des lieux de cultes plus
stables dont signalés à Allongouanon en 1872 et à Biléouloukro près
d’Aboisso. Ces espaces sont fréquentés en majeur partie par des
immigrés africains méthodistes originaires des colonies anglaises des la
Gold Coast, du Liberia, de la sierra Leone qui par la suite étendent
l’implantation de leurs communautés religieuses à Assinie, Grand-
Bassam et Grand-Lahou vers 1890. Le premier temple méthodiste fut
inauguré en 1895 par le chairman DIKSON de la Gold coast est érigée
en 1914 en circuit rattaché au district de gold coast. Presque au même
moment en 1914-1915, la zone côtière du pays est balayée par le
succès d’une campagne d’évangélisation menée par William Wadé
Harris, un prédicateur laïc de l’église épiscopale du Liberia. Toutefois
cette campagne d’évangélisation n’aboutit pas à la création d’église
protestante mais plutôt a la naissance du harrisme.

Un champ de mission britannique

Le révérend John PLATT, missionnaire anglais en provenance du


Dahomey-Togo ou était la société des missions Méthodistes de Londres
depuis 1842, arrive en cote d’ivoire en 19123, puis en 1924, le
missionnaire LETHEL, trois pasteurs africains, vingt catéchistes du
Dahomey et du Togo débanquèrent à Grand-Bassam et commencèrent
l’organisation et l’instruction des cette immense foule. Ainsi naquit
officiellement l’église protestant méthodiste en CI avec 50000 membres
pour plus de 150 églises. La colonie de la CI est érigée en champ de
mission outre-mer et vers 1930, le circuit de CI est rattaché au district de
l’Afrique occidentale française (AOF). En 1942, le révérend Marti n MEL
devient premier pasteur méthodiste ivoirien. Cinq années plus tard, en
1974, le siège di district de l’AOF est établi à Abidjan. L’évolution
numérique des méthodistes ivoiriens amènes en 1958 a érigé le CI en
district rattaché directement à la conférence méthodiste Britannique.

2- L’EGLISE PROTESTANTE METHODISTE DE COTE D’IVOIRE


(EPMCI)

En 1963, l’église Protestante Méthodiste en CI avec une équipe de 12


pasteurs ivoiriens qui prenne les relèves des missionnaires anglais,
français et africains. Son premier Chairman, révérend pasteur Samson
Agoh NANDHUI fut élu en 1964. Suivront les révérends pasteurs
Auguste Lambert ACKA (1974-1982) et Emmanuel Aboua Yando (1982-
1985) ; c’est le dernier qui a accéder à l’église à se pleine autonomie, 9
février 1985, par la signature de l’acte de l’autonomie au temple jubilé de
Cocody. L’église Protestante Méthodiste en cote d’ivoire est désormais
appelée « Eglise protestante Méthodiste de Cote d’ivoire » en abrégé
EPMCI. Ainsi se succéderons à la présidence de la conférence de
l’EMPCI les révérends pasteurs Emmanuel YANDO (1985-1990) ,
Lambert Akossi N’CHO (1990-1998) et Benjamin BONI (1998-2005)

3- l’église méthodiste unie cote d’ivoire (EMUCI)

La mondialisation loin d’être un épiphénomène qui peut paraitre un effet


de mode, est une réalité incontournable qui s’impose à l’Eglise
aujourd’hui. Dans la recherche d’une synergie efficace pour la réalisation
de sa vision missionnaire, la 9eme conférence tenue au jubilé de Cocody
du 18 au 23 décembre 2001, va décider d’intégrer pleinement le réseau
des Eglises Méthodiste Unie du monde. A la suite de plusieurs séances
de travail avec les responsables locaux, le général Board of Global
Ministries, l’organe de l’EMU chargé de la coopération internationale va
accepter l’intégration de l’EPMCI le 21 Octobre 2002. Ensuite, l’EPMCI
reçoit le statut d’une mission le 4 Octobre 2003 et son premier
responsable, celui de surintendant. La conférence générale, accord en
2004, une pleine adhésion à l’église de CI. Celle-ci devient un membre à
part entière le 07 Mai 2005 sous l’appellation : Eglise unie-cote d’ivoire
en abrégé EMU-CI.

Dont, le révérend pasteur Benjamin BONI est le premier bishop depuis le


13 mars 2005.

Cependant, l’EMU-CI doit son évolution sur le sol ivoirien et en dehors a


la bonne marche de ses départements et districts eux-mêmes rattachés
aux circuits qui ne sauraient exister sans les églises locales.

On dénombre cinq départements


- Les départements de l’évangélisation
- Les départements des la formation et de l’animation
- Les départements de la communication
- Les départements de la diaconie et des œuvres
- Les départements du développement et du patrimoine.

A ceux-ci s’ajoutent une intuition pour la formation et l’éducation, ainsi


que une fondation pour la santé.

Ses démembrement territoriaux sont des districts, l’EMIU-CI en compte


aujourd’hui vingt-cinq dont dix-sept district ordinaires (Abidjan sud,
Abidjan nord, yopougon, Abobo, Grand Bassam, Dabou, Grand lahou,
Divo, Anyama, Agboville, Adzopé, Songon, Aboisso, Jacqueville, Lakota,
Bongouanou et Sikensi) et huit district missionnaires (San-Pedro, Man,
Bouaké, Yamoussoukro, Daloa, Korhogo, Abengourou, et Gagnoa), eux-
mêmes subdivisés en circuit constitués pars les Eglise locales.

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