Audit

ENCG
L ’AUDIT COMPTABLE
& FINANCIER
Animé par : Mr K. RADI
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OUTILS ET TECHNIQUES D ’AUDIT
 Les outils d ’examen et d ’analyse du
contrôle interne
 Les outils de vérification du contrôle
interne
 Les supports de l ’auditeur
 Le rapport d ’audit
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Présentation générale
Outils de relevé d ’informations

Outils d’identification
Outils de description de
processus
Questionnaires, Grilles
Outils d’analyse Analyse quantitative
et de synthèse
Matrices de synthèse
Vérification du
Outils de vérification fonctionnement du CI
Vérification des comptes
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Les outils aux différentes phases de la mission
n
Outils de relevé des
Phase d ’Etude informations Outils de description des
processus
Outils d’analyse et de
synthèse
Outils de vérification du
Phase travaux fonctionnement du CI
Terrains Outil de vérification
des données
Techniques de
Phase de rédaction de rapports Techniques de conduite
Conclusion de réunions
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1 - LES OUTILS D ’EXAMEN ET
D ’ANALYSE DU CONTRÔLE INTERNE
 LES OUTILS D ’IDENTIFICATION DU CI

 Les interview d ’audit
 Les questionnaires de prise de connaissance
 Les Flow-Charts ou diagrammes de circulation
 LES OUTILS D ’ANALYSE ET DE SYNTHESE

 Les Grilles de séparation des tâches
 Les Questionnaires de Contrôle Interne
 Les matrices d’analyse et de synthèse
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1.1. LES OUTILS D ’IDENTIFICATION DU
SYSTEME DE CONTRÔLE INTERNE
 Servent à relever l ’existant de façon à en permettre et en faciliter l’analyse.
 Ces outils peuvent être classés comme suit :
 Outils de relevé d ’informations :
 Questionnaire de prise de connaissance
 Interviews
 Observations Physiques (est également un outil de vérification)
 Consultation des documents
 Consultation de fichiers informatiques
 Outils de description de processus :

 Approche narrative :
 Description des tâches, fonctions, activités
 Description des procédures, circuits de documents
 Approche graphique :
 Méthode des flow-charts ou Diagramme de circulation
 Organigramme fonctionnel
 Schémas d’écritures comptables
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LES OUTILS D ’IDENTIFICATION
A - Les interviews d ’audit
Phases de déroulement des interviews
I - PLANIFICATION
 Thème
 Organisation matérielle
II - CONDUITE DE L’INTERVIEW
 Relations entre les interlocuteurs
 Les questions doivent permettre d’obtenir la bonne réponse sans la
suggérer
 un entretien comporte réponses verbales, attitudes et expression générales
 Attention aux attitudes irritantes : Critiques, condescendance, jargon
professionnel.
III - CONCLUSION
 Résumer et synthétiser
 Laisser la porte ouverte pour des compléments.
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Les interviews d ’audit
Lignes directrices pour la conduite d’interviews
 Première règle : L’interview d’Audit Interne n’est ni une
conversation, ni un interrogatoire.
 l’interview d’audit est organisée et centrée sur les objectifs à atteindre qui sont
l’obtention d’un certain nombre d’informations.
 L’atmosphère d’une interview d’Audit Interne doit être une atmosphère de
collaboration.
 Deuxième règle : Il faut respecter la voie hiérarchique.
 L’information préalable se fait au cours de la réunion d’ouverture de la Mission.
 Troisième règle : Rappeler clairement la mission et ses
objectifs.
 Ne rien cacher des objectifs poursuivis.
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 Quatrième règle : Les difficultés, les points faibles, les

anomalies rencontrées seront évoqués avant tout autre
chose.
 Rappeler les résultats des dernières missions d’audit.
 Cinquième règle :Les conclusions de l’interview, résumées

avec l’interlocuteur, doivent recueillir son adhésion avant
d’être communiquées à sa hiérarchie.
 Sixième règle :Conserver l’approche système.

• En vertu de ce principe, l’auditeur n ’évalue pas les hommes mais les systèmes
: dépassionner les débats en évitant toute attaque personnelle
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1 - La planification de l’interview
Règle absolue : une interview d ’audit ne s’improvise pas, elle
se prépare.
 Définir au préalable l’objectif de l’interview
 Quelles sont les informations que l’auditeur souhaite obtenir ?
 Parfaire sa connaissance du domaine à auditer
 Connaître son sujet.
 Apprécier tel ou tel point de contrôle interne,
 Valider une information déjà reçue.
 Connaître la personne que l’on va rencontrer
 Identifier l’interlocuteur approprié
 Quelles sont ses activités, ses responsabilités, sa place dans la hiérarchie...
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 Connaître l’objet de l’entretien
Disposer d’informations quantitatives sur l’activité concernée et son
environnement
 Elaborer les questions.
Poser les bonnes questions pour obtenir les bonnes réponses.
• Toutes les questions doivent être, en principe, préparées et rédigées .
 Prendre rendez-vous
• C’ est un acte indispensable pour un bon déroulement de l’interview.
• Lorsque cela est utile, fournir à l’interlocuteur des informations sur les
problèmes que vous souhaitez aborder avec lui.
 L’interview se déroule obligatoirement chez l’audité
• Dans son bureau, l’interlocuteur se sent “ chez lui ” et le climat de
confiance s’instaure plus facilement.
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2 - La conduite de l’interview
2 - 1 - Préliminaires
 Présentez-vous et expliquez que vous faites partie de la Société.

 Expliquez vos objectifs et les raisons pour lesquelles vous avez choisi
d’interroger la personne qui est en face de vous.
 Faites en sorte que l’entretien se déroule dans un endroit permettant à votre
interlocuteur d’aborder des sujets confidentiels.
 Expliquez la méthode que vous allez adopter et les raisons pour lesquelles
vous avez besoin de prendre des notes .
 Mettez votre interlocuteur à l’aise.
 Manifestez de l’intérêt pour votre interlocuteur.
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2-2 - Stratégie pour poser vos questions
 Utiliser les questions ouvertes, non fermées.

– On ne demande pas: “ Est-ce que les gardiens contrôlent bien les
visiteurs ? ”
– Mais : “ comment s’effectue le contrôle des visiteurs ? ”
– La question : “ Y a-t-il une procédure d’appel d’offres pour le choix des
fournisseurs ”
– va se traduire dans l’interview par “ comment s’effectuent le choix et la
sélection des fournisseurs ? ”.
 Eviter
 De suggérer la “ bonne réponse ” dans votre énoncé de la question.
 De tourner des questions de manière polémique.
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2-3- Utilisation des réponses obtenues
 A faire :
 Rechercher les indices non verbaux (comportement, gestes, “ écouter ” entre les
lignes, etc.)
 Utiliser les techniques suivantes :
• Répétition
• Acceptation
• Renvoi des messages
• Résumé
• Silence.
 Demander à votre interlocuteur de vous expliquer tout terme technique ou issu de
son jargon professionnel.
 Entretenir une atmosphère détendue
 Evaluer l’information correctement
 Pratiquer l ’écoute active, garder un « scepticisme serein ».
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FICHE TECHNIQUE « L ’ECOUTE ACTIVE »
Plus de la moitié des communications orales débouchent sur un
malentendu. Il ne suffit donc pas d’écouter ce qui se dit, mais d’écouter
attentivement ce que les gens nous disent.
• Ecoute passive : ceci constitue déjà un pas en avant : laisser l'autre parler,
l'écouter, sans intervention particulière.
• Ecoute active : en plus d'écouter, le récepteur participe, mais toujours en tant
que récepteur.
– Montrer à l'autre qu'on accepte ses opinions et qu'il a bien fait de les exprimer
– Vérifier qu'on a bien compris ce que dit l'autre
– Aider l'autre à préciser ce qu'il dit, en reprenant ses propos
– Créer une atmosphère de confiance
L'idée d'écoute active n'interdit pas bien sûr l'expression de ses propres opinions,
l'affirmation de soi, bien entendu dans le cadre approprié (réunion de validation)
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 A ne pas faire :
 Eviter de conclure hâtivement.
 Critiquer, manifester votre désaccord
 Utiliser votre jargon professionnel
 Etre condescendant
 Interroger comme on interroge un candidat
 Mettre en doute l’intégrité de votre interlocuteur.
3 - La conclusion de l’interview
 Résumer l’information que vous avez obtenue durant l’interview.
 Remercier votre interlocuteur.
 Laisser la porte ouverte à d’éventuelles questions complémentaires que vous
pourriez avoir à poser.
 Mettez vos notes au propre le plus vite possible.
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B - Le questionnaire de prise de connaissance
 Les QPC sont utilisés au cours de la phase de “ prise de
connaissance ” en vue de :
 permettre la collecte des informations,
 bien définir le champ d’application de la mission,
 prévoir l’organisation du travail,
 préparer l’élaboration des questionnaires de Contrôle Interne.
 Les QPC peuvent comprendre aussi bien des questions

ouvertes que des questions fermées
 Question ouverte : Comment sont communiquées les instructions de la
direction générale ?
 Question fermée : disposez- vous d ’un manuel de procédures ? Est-il mis à
jour régulièrement ?
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Le questionnaire de prise de connaissance
 Le QPC est généralement centré sur les trois aspects
suivants :
 Connaissance du contexte socio-économique :
 Taille et activités de l’entreprise
 Situation financière
 Situation commerciale
 Effectifs et relations du travail.
 Connaissance du contexte organisationnel interne :
 Organisation générale
 Organigrammes et délégations de pouvoirs
 Environnement informatique.
 Connaissance du fonctionnement de l’entité auditée :
 Méthodes et procédures
 Informations réglementaires
 Système d’information
 Problèmes passés ou en cours
 Réformes en cours ou prévues.
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C - Les Flow-Chart ou diagramme de circulation
C’est la représentation graphique, à l’aide de symboles
normalisés, des opérations relatives à une procédure.
• Le Flow-chart permet :
de représenter la circulation des documents et informations
entre les différentes fonctions.
d’indiquer le type de traitement effectué pour chaque document
et informations aux différentes étapes de traitement.
de visualiser ainsi le cheminement complet des informations
depuis leur origine jusqu’à leur destination finale.
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Les Flow-Chart ou diagramme de circulation
Le flow-chart est un outil de description mais également

d’analyse de processus du système de contrôle interne.
 Outil de description, il peut être utilisé :

 directement par l’auditeur pour consigner la description des
procédures, au cours des entretiens;
 dans une seconde phase, comme outil de transcription de procédures
écrites ou de procédures saisies par l’auditeur par la méthode
narrative.
 Outil d’analyse, il est utilisé dans la phase d’évaluation du contrôle

interne afin de remplir les Q.C.I.
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AVANTAGES ET INCONVENIENTS DU FLOW-CHART
 Avantages du Flow-chart :
 Mettre en évidence les insuffisances que l’auditeur éprouve dans la
compréhension des processus (outil d’auto-contrôle).
 Identifier les discontinuités dans le flux des informations, grâce à un suivi

complet du cheminement de chaque information.
Exemple : non traitement d’un exemplaire d’un document.
 Repérer et évaluer les contrôles effectués, par la mise en évidence des

points forts et point faibles :
Exemples : document inutilisé, absence de contrôle, redondance dans les contrôles,
cheminement trop long ou trop compliqué des documents, adéquation du type de traitement
(manuel ou informatique), insuffisance de circulation des informations etc.
 Apprécier la séparation des tâches.

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• Inconvénients du Flow-chart :
 C’est une technique difficile à mettre en œuvre, qui nécessite une

longue pratique pour être efficace.
Il existe néanmoins des progiciels spécialisés permettent de faciliter leur

usage.
 Le diagramme doit être complété parfois par une description narrative

car tout ne peut pas être représenté sous forme de symboles.
.
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DIFFERENTS TYPES DE FLOW-CHART

Diagramme vertical
• Le circuit de cheminement est présenté dans une seule colonne, les
opérations se succédant dans l’ordre chronologique de leur réalisation.
 Avantages
– Facilité relative de réalisation
– Aucune préparation préalable n’est nécessaire, les opérations étant
transcrites au fur et à mesure de leur description par l’audité.
 Inconvénients
– Méthode peu visuelle qui s’étend souvent sur plusieurs pages.
– Ne permet pas l’analyse des tâches par fonction.
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Diagramme Vertical
DESCRIPTION DESCRIPTION GRAPHIQUE DES OBSERVATIONS
NARRATIVE OPERATIONS
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Diagramme horizontal
• Le circuit de cheminement est présenté en autant de colonnes qu’il y a
d’intervenants dans le circuit, faisant apparaître pour chacun les tâches
qu’il réalise.
 Avantages
• Permet une analyse aisée du système de contrôle interne et notamment la
détection des dysfonctionnements liés à la séparation des tâches.
 Inconvénients
• Plus difficile à mettre en œuvre car il suppose une identification préalable des
intervenants.
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Diagramme horizontal
OPERATION SERVICE SERVICE SERVICE SERVICE OBSERVATIONS
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PROCESSUS DE MISE EN ŒUVRE DES FLOW-CHARTS
1. Décomposer la mission en modules et chaque module en étapes en
respectant l'enchaînement du processus (découpage modulaire).
2. Identifier les fonctions et les personnes intervenant dans chaque
opération. Exemple :
 Intervenants internes : M. x Chef service utilisateur, M. Y Directeur Technique, M. Z Directeur
Général, M. W Directeur des Achats Marchés, M. V Chef Service marchés etc.
 Intervenants externes : Fournisseur, Client, Banque
3. Identifier l’objet de l’information créée, son support de circulation et les

principales caractéristiques du support.
 Objet de l’information : Expression de besoin d’achat
 Support de l’information : Demande d’achat sur support papier
 Caractéristiques : imprimé normalisé, prénuméroté, en 3 exemplaires
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4. Identifier les traitements effectués; en général six types de traitement :
 Création d’un document
 Transmission d’une information
 Décision alternative
 Traitement manuel d’un document (vérification, signature, enregistrement, ajout
d’informations complémentaires )
 Traitement informatique d’un document (saisie, traitement des données, édition)
 Archivage d’un document (classement provisoire ou définitif)
5. Utiliser les symboles normalisés pour représenter le cheminement de

l’information.
On utilise 3 types de symboles en audit :
 Les symboles de base, représentant les documents et leur traitement
 Les symboles de liaison, permettant de représenter le mode de circulation de
l’information
 les symboles informatiques.
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6. Noter sur une colonne spéciale vos observations, en face de l’opération
concernée, consistant :
 Soit en une précision complémentaire pour mieux comprendre le
traitement de l’information concernée (nature, fréquence, délais).
 Soit un commentaire particulier relatif à l’évaluation du système de
contrôle interne.
 Soit une note afin d’attirer l’attention sur un point devant faire l’objet
d’une validation ou d’un contrôle spécifique ultérieur.
7. Faire valider le diagramme par l’audité et/ou par utilisation de la
technique de la “ piste d’audit ” ou du test de conformité.
8. Analyser par la suite chaque opération afin de relever les points forts
et les points faibles du contrôle interne
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SYMBOLES UTILISES EN AUDIT
1 - SYMBOLES DE BASE :
Document en cours de circulation
Création d ’un document en plusieurs exemplaires

Un chiffre en bas à droite indique le N° de l ’exemplaire
Création d ’un document

Préciser le nom du document dans le cadre
Un chiffre dans le coin en bas à gauche indique le nombre
d ’exemplaires
Auditas Toufik Hajoui 30

Traitement d’une opération administrative

Faire une brève description de l ’opération dans le cadre
Contrôle d ’une opération : ce symbole n’est utilisé
que si la matérialisation du contrôle est réelle (signature,
tampon etc.)
Classement définitif : une lettre dans le triangle
indique le type de classement
Classement provisoire : une lettre dans le triangle
indique le type de classement (A : alphabétique -
N : numérique - C : Chronologique)
Registre ou fichier manuel : grand-livre, tarif,

livre d ’inventaire etc.
2 - SYMBOLES DE LIAISON :
Point de départ d’un circuit
Renvoi à une autre page,

à un symbole identique portant la même lettre
Alternative ou décision ou embranchement

Indiquer à ’intérieur du cadre l’alternative sous forme de question
Circulation physique d’un document

Circulation d ’informations (orales, téléphonique)
Sortie du circuit : envoi aux client, fournisseurs etc.
Renvoi de bas de page : indiquer le numéro de la page suivante
3 - SYMBOLES INFORMATIQUES :
Bande magnétique
Disque magnétique
Traitement informatique d ’une opération

Inscrire à l ’intérieur du cadre le type de traitement : saisie, consultation
édition etc.
Traitement à distance

EXEMPLES D ’UTILISATION DES SYMBOLES
Bon Report sur

d’expédition fichier stocks
Fiche
de
stock
Bon de Signature
commande 1 BC Fournisseur
2
3 BC 3 BC2
N C

EXEMPLES D ’UTILISATION DES SYMBOLES
Bon de Vérification
commande 1 BC
2
3
Non
BC > Signature BC1
100 KDH ? Fournisseur
BC
BC 3
Oui
N BC2
Rejet C
BC

PRINCIPALES SITUATIONS A ANALYSER A TRAVERS UN FLOW-CHART
 Séparation suffisante des tâches entre les différents intervenants.

 Création de l’information pertinente au bon moment et par la personne idoine.
 Matérialisation de l’information sous forme du support adéquat.
 Existence des caractéristiques essentielles du support permettant de garantir la
fiabilité et l’exhaustivité des informations, compte tenu des risques liés à leur circulation.
 Validité et efficacité du flux de l’information, permettant d’obtenir une réponse
satisfaisante aux questions suivantes :
- Les personnes concernées reçoivent-elles l’information nécessaire au bon moment ?
- N’existe-t-il pas des lourdeurs administratives que l’on peut éviter, telles que circuits trop longs,
opération inutile, redondances, points de blocage etc. ?
- Le circuit est-il complet ou bien une opération a-t-elle été omise ?
 Qualité des traitements effectués en insistant notamment sur les points de contrôle :
Supervision, Vérification, Autorisation, Protection matérielle, Enregistrement, Archivage, Contrôle
et reporting

CONSEILS PRATIQUES POUR ETABLIR UN FLOW-CHART
1. Respecter l’ordre chronologique des opérations.

Le respect de la chronologie des opérations permet à l’auditeur de déceler les
insuffisances de contrôle.
Exemple : Le contrôle de solvabilité d’un client doit être effectué avant l’autorisation de livraison
et non pas après.
2. Soigner la présentation du Flow-chart et l’aérer afin d’éviter les erreurs
d’interprétation, permettre son utilisation par d’autres auditeurs et son
contrôle par le chef de mission .
Les symboles doivent être clairs et ne pas prêter à confusion.
Si les liaisons sont éloignées, utiliser les symboles de renvoi.
3. Ne présenter que ce qui est utile à l’objet de la mission.

Si le circuit de certains documents ou d’un exemplaire d’une liasse n’intéresse pas l’objet de
l’audit, il suffira de noter son existence avec une observation dans la colonne concernée.

4. Lorsque l’opération est compliquée par l’existence de plusieurs choix :
 Présenter chaque choix dans un diagramme séparé en utilisant le symbole de liaison.
 Ou bien ne présenter que l’option principale et décrire brièvement les autres options
dans la colonne observations.
 Utiliser la technique de “ l’agrandissement ” (développer dans un diagramme séparé
un point précis du diagramme principal).
5. Tous les documents sont sensés rester dans la ligne de flux jusqu’au
moment de leur sortie ou de leur classement définitif.
 Au cas où plusieurs documents suivent le même cheminement (ex : facture, bon de
commande, bon de livraison), les représenter par trois symboles de documents en y
indiquant le libellé.
 Si un des documents devait à un moment donné suivre un cheminement différent, le
représenter par son symbole afin qu’il prenne sa propre ligne de flux.

6. Référencer les diagrammes

 Affecter un numéro à chaque diagramme
 Numéroter chaque page du diagramme (utiliser le symbole de renvoi de bas
de page)
 Numéroter les différentes opérations dans l’ordre chronologique de leur
réalisation.
 En cas d’utilisation de la technique de l’agrandissement ou de connexion
de deux diagrammes, utiliser le symbole de renvoi à une autre page en y
insérant aux deux bouts la même numérotation alphabétique.
 Pour tout document prénuméroté, indiquer le lettre N.

1-2 LES OUTILS D ’ANALYSE ET DE SYNTHESE
A - Les grilles de séparation des tâches
C’est la photographie a un moment donné de la

répartition des tâches entre différents
responsables appartenant à une même fonction,.
OBJECTIF :
• Vérifier si le système de contrôle interne permet la
sauvegarde des actifs, grâce à une répartition
adéquate des responsabilités, en mettant en évidence
le cumul des tâches incompatibles.
LES OUTILS D ’ANALYSE ET DE SYNTHESE
Les grilles de séparation des tâches
MODE OPERATOIRE DE LA GRILLE
1 - Concevoir une grille pour chacune des fonctions ou processus étudiés
Ainsi, par exemple, chacune des modules suivants fera l’objet d’une grille : Achats, Ventes,
Personnel,Trésorerie,Investissements, Stocks, Emprunts
2 - Découper les opérations de façon séquentielle en respectant l’ordre

chronologique.
3 - Tracer un tableau en deux grandes parties
•Indiquer sur la première partie la nature des tâches effectuées.
•Indiquer sur deuxième partie, divisée en autant de colonnes qu’il y a
d’intervenants, les personnes concernées, en précisant leurs fonctions.
4 - Analyser pour chaque personne les tâches effectuées et identifier le cumul
de tâches incompatibles.
5 - Noter vos conclusions au bas de la grille de séparation des tâches.
Les grilles de séparation des tâches
Directeur Directeur Service Service Directeur Chef
Général Technique matériel utilisateur Financier Comptable
1 - ACQUISITION DES IMMOBILISATIONS
• Approbation des budgets d’investissement
• Autorisation des dépassements sur budgets
• Emission des commandes ou marchés
• Réception du matériel/équipements
• Approbation finale des factures
• Enregistrement des entrées
2 - GESTION DES IMMOBILISATIONS
• Responsabilité de la gestion du matériel
• Autorisation des mouvements du matériel
• Tenue du fichier des immobilisations
• Rapprochement des fiches avec la comptabilité
• Réalisation de l’inventaire physique
• Rapprochement des fiches avec l’inventaire physique
• Approbation des ajustements des comptes après inventaires
3 - SORTIES D’IMMOBILISATIONS
• Demande de mise en réforme
• Approbation des sorties et mises en réforme du matériel
• Consultation des acheteurs de matériel réformé
• Décision de cession
• Emission des factures de cession
• Comptabilisation des sorties d’immobilisation
• Mise à jour des fichiers d’immobilisations

A - Les Questionnaires de Contrôle Interne
 Les Q.C.I. permettent, pour chaque fonction :

d’identifier les dispositifs spécifiques de contrôle essentiels.
 de dégager les observations qui vont conduire à l’élaboration
du diagnostic.
 de révéler à travers le traitement des réponses, les points
faibles et les points forts de tel ou tel dispositif de contrôle
interne qui feront l’objet d’analyse grâce à des outils spécifiques
tels le TFfA.
 Le Q.C.I. n’est pas constitué par :
des questions que l’on pose,
mais par des questions que l’on se pose.
Les Questionnaires de Contrôle Interne
Les Q.C.I. peuvent être des documents à élaborer ou
des documents préétablis (check-list).
 Avantages de la check-list :
 Elle permet d’aller plus vite puisque l’on part d’un document préétabli.
 Elle est sécurisante car elle donne l’assurance que les points de contrôle les plus
importants ne sont pas omis.
 Elle facilite la transmission du savoir.
 Inconvénients de la check-list :
 C’est un document figé et qui va donc devenir rapidement obsolète.
 Il n’attire pas l’attention sur les problèmes ou phénomènes, ou changements de
structure nouveaux.
 Il ne stimule pas l’imagination et la recherche.
Dans la pratique, une fois saisies sur PC, les Q.C.I. peuvent être enrichies pour
obtenir un produit nouveau (on ajoute, on modifie, on supprime, on met à jour ).
STRUCTURE ET PREPARATION DES QCI
1 - Décomposer la fonction ou processus audité en tâches élémentaires.

2 - Choisir parmi toutes ces tâches celles qui dont l ’importance des risques
nécessite une maîtrise de la part de l ’entité auditée.
3 - Elaborer pour chaque tâche élémentaire les questions permettant de tester
les points de contrôle.
L’élaboration de ces questions peut se faire sur la base des “ cinq questions
universelles ”.
4 - Poser des questions fermées auxquelles on doit répondre exclusivement
par “ oui ” ou “ non ”:
La réponse par oui correspond en général à une force du système de contrôle interne
La réponse par non est une faiblesse du système de contrôle interne.
FICHE TECHNIQUE SUR LES CINQ QUESTION UNIVERSELLES
 Elles permettent de regrouper l’ensemble des interrogations concernant les

points de contrôle, en couvrant tous les aspects :
 Qui ? l’opérateur
Pour répondre à cette question, l’auditeur utilise l’organigramme hiérarchique et fonctionnel,
l’analyses de postes, les grilles d’analyse de tâches.
 Quoi ? l’objet de l’opération
 Où ? lieux de stockages, lieux de traitement, sites industriels.
 Quand ? début, fin, durée, saisonnalité, planning...
 Comment ? description du mode opératoire.
 Elles constituent la trame commune permettant d’élaborer les questions
spécifiques pour chaque tâche élémentaire.
 A partir de ces questions qui couvrent l’ensemble de la fonction ou du
processus, on va identifier les points de contrôle à tester.

LES OUTILS D’ANALYSE ET DE SYNTHESE
CAS SUR L’ELABORATION D’UN QCI DU MODULE PROCESSUS ACHATS
I - DECOUPAGE DU MODULE EN TACHES ELEMENTAIRES
• Besoin
– Planification des besoins
– Etude des besoins
– Formulation des besoins
– Autorisation des besoins
• Consultation
– Définition du cahier des charges
– Choix des fournisseurs à consulter
– Lancement des consultations
– Réception des offres
• Choix du fournisseur
– Ouverture des plis
– Tableau comparatif des offres
– Jugement
• Commande
– Rédaction des termes de la commande
– Autorisation de la commande
– Envoi de la commande
• Réception des marchandises
– Réception quantitative
– Réception qualitative
• Traitement des factures
– Réception des factures
– Vérification facture/commande
– Vérification facture/réception
– Autorisation de paiement
• Comptabilisation facture
– Vérification des pièces
– Imputation des pièces
– Enregistrement au journal Achats
– Vérification des imputations

• Paiement
– Suivi des échéanciers de paiement
– Autorisation du mode de paiement
– Etablissement du titre de paiement
– Signature du titre de paiement
– Remise du titre de paiement au fournisseur
• Comptabilisation des paiements
– Vérification des pièces
– Imputation des pièces
– Enregistrement aux journaux financiers
– Annulation des pièces
– Vérification des imputations
– Lettrage des comptes fournisseurs
– Analyse et justification des soldes fournisseurs
• Avoirs
– Réclamation
– Vérification
– Autorisation
– Comptabilisation
– Suivi
II - ELABORATION DU Q.C.I. - Etape Commande
 Qui ?
 Qui autorise la commande ?
– La commande est-elle autorisée par la personne adéquate ?
 Qui rédige la commande ?
– La passation de la commande est-elle confiée à une autre personne que celle qui en a exprimé
le besoin ?
 Qui reçoit la commande ?
– Le service comptable reçoit-il un double des bons de commande au fur et à mesure de leur
envoi aux fournisseurs ?
 Quoi ?
 Quels sont les éléments qui figurent sur la commande ?
– Les termes de la commande sont-ils suffisamment précis pour protéger la Société en cas de
litige ? (Bénéficiaire, Objet de la commande, Quantité commandée, Prix, Mode de paiement :
Délais de paiement, Modalités de livraison, Délais de réception, Garantie )

 Où ?
 Où sont enregistrées les commandes ?

– Les commandes sont-elles enregistrées dans un fichier permettant d’en assurer le
suivi ?
 Quand ?
 Quel est le planning des différentes opérations ?
– Les délais de passation des commandes sont-ils compatibles avec les besoins des
utilisateurs ?
 Comment ?
 Comment les commandes sont-elles passées ?

– Les bons de commandes sont-ils tirés d’une suite chronologique permettant de
s’assurer de leur exhaustivité ?
– Vérifie-t-on les éléments de la commande avant son envoi au fournisseur ?

QUESTIONNAIRE DE CONTRÔLE INTERNE CLIENT :……………… Module : ACHATS / FOURNISSEURS Exercice :………….
QUESTIONS Oui / NA Non Réf. FT COMMENTAIRES
A – Commande d’achat
1. La commande est-elle autorisée par

la personne adéquate ?
2. La passation de la commande est-
elle confiée à une autre personne que
celle qui en a exprimé le besoin ?
3. Le service comptable reçoit-il un

double des bons de commande au fur
et à mesure de leur envoi aux
fournisseurs ?
4. Les termes de la commande sont-ils
suffisamment précis pour protéger la
Société en cas de litige ?

2 - LES OUTILS DE VERIFICATION DU
CONTRÔLE INTERNE
 LES TESTS D’EXISTENCE
 LA PISTE D’AUDIT
 L’OBSERVATION PHYSIQUE
 LES TESTS DE PERMANENCE

2 - LES OUTILS DE VERIFICATION DU CI
• Les outils de vérification du contrôle interne ont pour

objectif :
soit de s’assurer de l’existence effective d’un dispositif
soit de s’assurer de l’application permanente d’un
point fort du système.

LES OUTILS DE VERIFICATION DU CI
Les tests d ’existence
• LES TESTS D’EXISTENCE ONT POUR OBJET DE S’ASSURER

DE L’EXISTENCE EFFECTIVE DES DISPOSITIFS DE
CONTRÔLE INTERNE TELS QUE DECRITS PAR L’AUDITE.
• LE TEST D’EXISTENCE PERMET DE VALIDER UN FAIT

DECRIT ET NON LA VERIFICATION DE SON APPLICATION
PERMANENTE .
• LE TEST D’EXISTENCE CONSISTE A VALIDER LE

DEROULEMENT D’UNE OPERATION TEMOIN EN SUIVANT LE
PROCESSUS DE SON DEBUT A SA FIN.

Les tests d ’existence
• LES TECHNIQUES UTILISEES SONT :
 LA COLLECTE D ’UN EXEMPLAIRE DES SUPPORTS MATERIELS

UTILISES PAR L’ENTITE AUDITEE (FORMULAIRES, DOCUMENTS,
FICHES DE SUIVI ETC.);
 L’OBSERVATION PHYSIQUE ET LA VALIDATION DE LA REALITE DE
LEUR CONTENU;
 LA CONSULTATION DIRECTE DES DOSSIERS, FICHIERS
INFORMATIQUES, JOURNAUX COMPTABLES ETC.
 LA CONFIRMATION VERBALE, ECRITE OU PAR RECOUPEMENT DES
CIRCUITS OU DES OPERATIONS AUPRES DES PERSONNES QUI Y
INTERVIENNENT ET DES RESPONSABLES.

B - La piste d ’audit
• LA TECHNIQUE DE LA PISTE D ’AUDIT (OU CHEMIN D ’AUDIT)
CONSISTE A RECONSTITUER UNE OPERATION EN PARTANT DE SON
RESULTAT FINAL POUR REMONTER A SA SOURCE, EN PASSANT PAR
TOUS LES STADES INTERMEDIAIRES.
• LA PISTE D’AUDIT EST UN TEST D’EXISTENCE REALISE EN SENS

INVERSE DU DEROULEMENT DU CIRCUIT.
• LE TEST EST EFFECTUE SUR LE TERRAIN OU SUR LA BASE DU DOSSIER,

EN SUIVANT UNE TRANSACTION TYPE DE SA FIN A SON ORIGINE, EN
VERIFIANT A CHAQUE ETAPE L’EXISTENCE DES TRAITEMENTS
DECRITS.

La piste d ’audit
EXEMPLES :
 VERIFICATION D’UN TRAITEMENT INFORMATIQUE DE LA PAIE EN
PARTANT DES JOURNAUX DE PAIE EDITES POUR REMONTER JUSQU’A
LA FEUILLE DE POINTAGE DU PERSONNEL ET LES ELEMENTS DU
FICHIER PERMANENT.
 VERIFICATION DU PROCESSUS DE FABRICATION D’UN PRODUIT EN
PARTANT DU PRODUIT FINI EMBALLE JUSQU’A LA RECEPTION DES
MATIERES PREMIERES SERVANT A SA FABRICATION.
• VERIFICATION DE LA PROCEDURE DE REGLEMENT D’UNE FACTURE
EN PARTANT DE L’ECRITURE DANS LE JOURNAL DE BANQUE JUSQU’A
LA DEMANDE D’ACHAT.

C - L ’Observation Physique
OUTIL D’AUDIT PERMETTANT DE S’ASSURER DE LA REALITE D’UN ELEMENT OU
D’UN FAIT PAR LA CONSTATATION MATERIELLE DE SON EXISTENCE.
QUE PEUT-ON OBSERVER ?

• 1. UN ELEMENT MATERIEL DU PATRIMOINE
 LES STOCKS.
 LES IMMOBILISATIONS.
 LES VALEURS (ESPECES, CHEQUES, EFFETS, TITRES, CREANCES, DETTES).
• 2. UN PROCESSUS
 LE POINTAGE DU PERSONNEL
 LA RECEPTION DES MARCHANDISES
 L’ACCUEIL DE LA CLIENTELE
 LE REGLEMENT DES DEPENSES PAR CAISSE
• 3. DES DOCUMENTS
 DOCUMENTS INFORMATIQUES
 DOCUMENTS COMMERCIAUX
 DOCUMENTS COMPTABLES
 DOCUMENTS TECHNIQUES
• 4. DES ELEMENTS IMMATERIELS
 DIFFICULTES D’ACCOMPLISSEMENT DE CERTAINES TACHES
 AMBIANCE DE TRAVAIL
 QUALITE DES RELATIONS SOCIALES
L ’Observation Physique
POURQUOI OBSERVER ?
• L’OBSERVATION PHYSIQUE PERMET DE VERIFIER :

 LA REALITE D’UN ELEMENT (UN BIEN, UN PROCESSUS, UN
COMPORTEMENT)
• MAIS N’APPORTE PAS OU PEU D’INFORMATIONS SUR :

 LA PROPRIETE (SAUF TITRES, BIEN COMPORTANT DES
PLAQUES D’DENTIFICATION ETC.)
 L’EVALUATION (SAUF EN CAS D’ARTICLES DEFECTUEUX,
PERIMES, OBSOLETES ETC.)
 L’EXHAUSTIVITE (SAUF CAS PARTICULIER DE BIENS
EXISTANTS NON COMPTABILISES).

COMMENT OBSERVER ?
• L’OBSERVATION EST EN PRINCIPE DIRECTE C-A-D EFFECTUEE PAR
L’AUDITEUR LUI-MEME.
• CEPENDANT, DANS CERTAINS CAS ELLE PEUT ETRE INDIRECTE ET SE FAIRE

PAR L’INTERMEDIAIRE D’UN TIERS DU FAIT QUE :
 L’AUDITEUR NE POSSEDE PAS FORCEMENT LES COMPETENCES TECHNIQUES LUI
PERMETTANT D’DENTIFIER LES ELEMENTS A OBSERVER.
 CERTAINS ELEMENTS SONT DIFFICILEMENT “OBSERVABLES ”. EXEMPLE : LES TRAVAUX
EN COURS.
 LES TECHNIQUES DE DENOMBREMENT SONT VARIEES ET PARFOIS LES MOYENS DE
DENOMBREMENT NE SONT PAS DISPONIBLES .
EXEMPLE : ARTICLES DENOMBRES PAR PESEE, EN VOLUME, EN SURFACE ETC.
 L’OBSERVATION PHYSIQUE PEUT PARFOIS EXIGER DES MOYENS HUMAINS
IMPORTANTS, NOTAMMENT DANS LES ENTREPRISES IMPORTANTES DISPOSANT DE
PLUSIEURS SITES ELOIGNES GEOGRAPHIQUEMENT.

Etapes de l ’observation physique des travaux d ’inventaire

a) CONTRÔLE AVANT LA PRISE D'INVENTAIRE
Objectif : Contrôle de l ’existence d ’instructions et procédures d ’inventaire.
L'absence de procédures écrites ou des procédures jugées insuffisantes peuvent conduire
à formuler des conseils et avis aux dirigeants sur la nécessité de rédiger des instructions
ou de les rendre plus fiables.
b) CONTRÔLES PENDANT LA PRISE D'INVENTAIRE

Objectif : Vérification de la façon dont les procédures sont appliquées :
Observation de la composition des équipes et du mode opératoire
Vérification par sondage de la qualité des informations portées sur les fiches ou feuilles
de comptages
Réalisation d ’un certain nombre de décomptes qu'il consigne dans ses dossiers pour
contrôle ultérieur avec l'inventaire définitif.
L ’auditeur organise ses contrôles pour s'assurer que :
- tout élément existant physiquement est correctement recensé,
- tout élément recensé existe physiquement.

c) CONTRÔLES APRÈS LA PRISE D'INVENTAIRE
Objectif : s'assurer que les résultats de l'inventaire physique sont correctement

centralisés par l'entreprise pour établir l'état détaillé des stocks qui sera utilisé pour
valoriser l'inventaire.
Les différentes étapes de ce contrôle sont les suivantes :

vérification du report de toutes les fiches sur l'état des stocks, par sondages à partir
des fiches, ou par contrôle des séquences numériques,
vérification que seules les fiches d'inventaire ont été reprises sur l'état des stocks;
 pointage des sondages effectués lors de l'observation physique avec l'état des
stocks;
 sondages avec l'inventaire permanent;
contrôle de la séparation des exercices;
contrôle des méthodes de valorisation des stocks
vérification de la dépréciation des stocks.
CAS PARTICULIER
Lorsque l'inventaire a eu lieu à une date antérieure à la clôture, le contrôle des

quantités comprendra, outre les contrôles précédents:
une vérification des mouvements intervenus depuis la date de l'inventaire physique,
un contrôle de la séparation des exercices à la date de clôture, et si nécessaire, des
sondages physiques des quantités à la clôture qui figurent sur l'inventaire permanent.
CONCLUSION DE L ’OBSERVATION PHYSIQUE DE L ’INVENTAIRE :

Informer l'entreprise des corrections qui pourraient être nécessaires à la suite des
contrôles effectués sur les quantités et les valeurs.
Mesurer les conséquences sur l ’opinion de l ’auditeur si, en raison du manque de
fiabilité des procédures et/ou des anomalies constatées, la conclusion est que l'on ne
peut se fier aux quantités et aux valeurs inventoriées.

Les tests de permanence
LES TESTS DE PERMANENCE SONT MIS EN OEUVRE POUR :
 VERIFIER LE FONCTIONNEMENT REGULIER DES POINTS FORTS DU
SYSTEME DE CONTROLE INTERNE
 IDENTIFIER ET QUANTIFIER LES CAS DE NON FONCTIONNEMENT OU
DE DYSFONCTIONNEMENT.
MODE OPERATOIRE
1. LES TESTS DE PERMANENCE SONT DEFINIS DANS LE PROGRAMME DE
VERIFICATION ISSU DES CONCLUSIONS DU T.F.f.A.
2. ILS CONSISTENT, A TRAVERS LA VERIFICATION D’UN ECHANTILLON

DETERMINE SELON LES TECHNIQUES DE SONDAGE, A CONSTATER
L’APPLICATION EFFECTIVE ET PERMANENTE DES POINTS FORTS DU SYSTEME
DE CONTROLE INTERNE.

Les tests de permanence
3. CE QUI SUPPOSE DE DEFINIR AU PREALABLE:

 L’OBJECTIF DU CONTROLE (EXHAUSTIVITE, REALITE, PROTECTION ETC.)
 LA POPULATION A CONTROLER (DOCUMENTS EN GENERAL)
 LES POINTS DE CONTROLE A VERIFIER (AUTORISATIONS, INFORMATIONS,
CIRCUIT, TRAITEMENT ETC.).
 LES ELEMENTS NECESSAIRES A LA DETERMINATION DE LA TAILLE DE
L’ECHANTILLON (NIVEAU DE CONFIANCE, TAUX D’ERREUR ACCEPTABLE, TAUX
D’ERREUR ATTENDU)
4. LES RESULTATS DES TESTS DE PERMANENCE SONT CONSIGNES DANS DES

FEUILLES DE TRAVAIL DONNANT TOUTES LES INFORMATIONS SUR LES
CONTROLES EFFECTUES.
5. LES CONCLUSIONS DU TEST DOIVENT ETRE QUANTIFIES (POPULATION

CONCERNEE, TAILLE DE L’ECHANTILLON EXAMINE, ANOMALIES OBSERVEES
POUR CHAQUE POINT DE CONTROLE EN NOMBRE ET EN POURCENTAGE).

3 - UTILISATION DES LOGICIELS D ’AUDIT
ET D ’ANALYSE
• 1 - GENERALITES
• 2 - INTERROGATION DE FICHIERS
• 3 - L’UTILISATION DE LOGICIELS D ’AIDE A

L ’AUDIT
• 4 - L ’UTILISATION DES FONCTIONNALITES DE
REVISION PREVUES DANS LES LOGICIELS
COMPTABLES

L ’UTILISATION DES LOGICIELS EN AUDIT
GENERALITES
Exigences auxquelles doit face l ’auditeur du fait du volume

considérable des données et de la complexité accrue des
systèmes d’information utilisés par les entreprises:
 effectuer les tests répondant aux objectifs de l’audit

 transformer des masses de données en
informations : nécessité d ’utiliser les données
disponibles sur l’ensemble du système d’information
pour contrôler les comptes
 automatiser les travaux d’audit habituellement
effectués manuellement.

GENERALITES
Les logiciels d'aide à l'audit permettent à l'auditeur de
constituer, de façon plus ou moins étendue, un dossier
de travail électronique.
Ces techniques sont de nature à :
permettre l’obtention d’éléments probants dans un environnement dématérialisé
dépasser le stade du sondage dont l’exploitation est toujours délicate compte tenu des
difficultés de mise en œuvre et de la non exhaustivité des contrôles
identifier systématiquement toutes les anomalies répondant aux critères de sélection et /
ou de calcul retenus
procéder à des traitements par simulation pour mesurer l’impact de changements de
méthode
aborder des contrôles fastidieux et complexes sur des populations nécessitant un nombre
de calculs difficilement réalisables par une approche manuelle.
2 - INTERROGATION DE FICHIERS
Les logiciels d'extraction et d'analyse des fichiers permettent :
 d'observer une caractéristique donnée sur un échantillon important de la
population étudiée, voire sur son intégralité, avec un rapport coût/efficacité
plus favorable que les sondages.
 une obtention plus rapide du résultat recherché.
Le recours à ces logiciels est conditionné par :
 la faisabilité du contrôle informatique au regard du point à contrôler

 du coût que représente le recours à l'informatique
 de l'intérêt pour l'auditeur de réaliser un contrôle sur une population plus
étendue au regard de la validation des assertions d'audit et des risques
identifiés

INTERROGATION DE FICHIERS
L'utilisation des interrogations de fichiers nécessite :
que tous les éléments de la population sur laquelle l'auditeur souhaite
faire des observations figurent dans un fichier informatisé.
que les caractéristiques à observer sur la population apparaissent dans le
fichier (ou dans un fichier que l'on peut associer à celui contenant les
éléments de la population).
La vérification du respect de la continuité de la série numérique des factures suppose que le
numéro de facture figure dans les données du fichier.
que les fichiers soient facilement accessibles à l'auditeur en ce qui
concerne leurs caractéristiques techniques, le délai d'obtention des données
et les ressources techniques à mettre en œuvre.
Dans le cas contraire, l ’interrogation des fichiers peut conduire à un rapport
coût/efficacité non pertinent par rapport à l'assurance obtenue avec un
sondage.

Exemple de vérification par association de deux fichiers :
L'auditeur veut contrôler la valorisation des marchandises en stock.

Il doit disposer simultanément :
du fichier des références des marchandises en stock à une date donnée
en quantités
et du fichier des prix d'achat desdites références.
Si valorisation au coût d'achat moyen pondéré : la valeur de référence

pour la réalisation du contrôle d'audit sera le coût moyen d'achat porté sur les
factures d ’achat pour les références contrôlées.
Si valorisation au FIFO (premier entré premier sorti) : II sera nécessaire de

retraiter le fichier des prix d'achat pour ne retenir que celui correspondant aux
marchandises encore en stock.
 Les interrogations de fichiers seront généralement mises en œuvre par
l'auditeur en utilisant un logiciel utilitaire qui récupère et traite les données
contenues dans les fichiers de l'entité auditée.
Exemple de logiciels fonctionnant sur grands systèmes: PANAUDIT,
CULPIT
 Il est également possible d ’utiliser les logiciels bureautiques et notamment
EXCEL pour traiter les données importées à partir des fichiers informatiques
de l ’entité auditée, grâce à des fonctionnalités comme le tri, le filtre etc.
 Ces logiciels peuvent être utilisés tant pour la phase d'appréciation du
contrôle interne que pour la phase de révision des comptes.
 Les services rendus sont généralement :
– l'extraction et l'analyse de données
– la recherche de fraudes

L'extraction et l'analyse de données permet notamment:
Le tri et la stratification de données contenues dans des fichiers
La réalisation de contrôle d ’exhaustivité
La totalisation et le calcul de moyennes ou autres
La comparaison ou la fusion d ’informations issues de différents fichiers
La comparaison entre les données de plusieurs exercices
L ’échantillonnage pour la réalisation d'un sondage et l ’extrapolation des résultats
observés à l'ensemble de la population
La recherche de transactions multiples ou de rupture de séquences numériques
L’identification de tendances.
La préparation des circularisations
La plupart des logiciels disponibles permettent de mettre en forme les résultats de

façon claire et attractive, notamment sous forme graphique, et de les importer dans
des rapports préparés sous traitement de texte ou dans des dossiers d'audit
électroniques.

Par exemple pour la paie, les tests les plus utilisés sont :
 La recherche de doublons sur les noms des employés, sur les matricules
des employés, sur le numéro d'identification (numéro de sécurité sociale), sur
les numéros de compte bancaire.
 Le rapprochement entre les employés ayant une fiche de paie et ceux
apparaissant sur les listes tenues au service du personnel.
 La liste des employés sans numéro d'identification (sécurité sociale).
 Le rapprochement entre les employés qui apparaissent dans le fichier des
paiements et ceux qui n'apparaissent pas dans la paie.
 La liste des enregistrements pour lesquels le montant net sur les fiches
de paie diffère du montant payé par la banque au-delà d’un seuil donné.
la sélection aléatoire d’employés en vue de réaliser des tests sur les
dossiers.
Besoins de l’auditeur Intervention sur les données
 Analyser les stocks en fonction du dépôt, de la zone géographique, de la famille Agréger une population selon des critères numériques ou selon
d’articles, etc. la nature commune des éléments
 Répartir les stocks en valeur (faible, moyenne, importante)
Rechercher : Exporter les champs utiles dans un nouveau fichier
 Les stocks négatifs
 Les prix à valeur nulle
 Les montants les plus importants
 Les clients créditeurs
 Trier un fichier pour faciliter la lisibilité ultérieure Trier une population selon des critères numériques ou selon la
 Sélectionner les valeurs les plus importantes (factures, ventes, achats, clients) nature commune des éléments
 Rechercher les doublons (facture, salaire double, double facture fournisseur) Agréger une population selon des critères numériques ou selon
 Créer des fichiers cumulés (par exemple : balance clients à partir d’un grand livre la nature commune des éléments pour création d’un fichier
auxiliaire client) exploitable
 Exploiter les données sous un autre logiciel Exporter certains champs du fichier dans un nouveau fichier de
format différent et exploitable sur un autre logiciel
 Rassembler dans un seul fichier les informations qu’un client fournit dans Mettre plusieurs fichiers les uns à la suite des autres dans un
plusieurs fichiers nouveau fichier
 Disposer de statistiques (moyenne, somme et nombre de valeurs positives et Calculer la moyenne, minimum, maximum et les valeurs
négatives, valeurs extrêmes, etc.) extrêmes
 Mise en place d’algorithmes (valorisation et dépréciation des stocks, dépréciation Insérer un champ calculé dans le fichier
des stocks, comptes clients, dotations aux amortissements, etc.)
 Confirmation clients et fournisseurs Sélectionner statistiquement des données dans le fichier
 Inventaire statistique (stocks, immobilisations)
 Comparer des fichiers pour détecter les anomalies (expédition sans vente, Rapprocher deux fichiers disposant d’une même clé
réception sans achat)
 Rassembler dans un seul fichier les informations issues de deux autres fichiers :
valorisation des stocks avec quantités dans l’un et prix de revient dans l’autre
La recherche de fraudes
Basée sur l'utilisation de la loi statistique de Benford, selon
laquelle un chiffre donné, a une probabilité connue de figurer
dans une population de nombres sélectionnés au hasard.
Le logiciel met en évidence les différences entre les données
réelles d'une population et les données attendues selon la loi de
Benford.
Les résultats permettent à l'auditeur d'identifier les données qui
nécessitent des explications supplémentaires et qui peuvent
conduire à la découverte de fraudes ou d'erreurs.

Procédures d’interrogation des fichiers
1 - S’assurer que les critères choisis seront probants par rapport à l’objectif visé par le
test
2 - Mettre en forme et classer les données :
• agréger une population selon des critères numériques ou selon la nature commune des éléments (reconstitution de la balance
auxiliaire clients à partir du détail des écritures, calcul du total des ventes par produit en volume et en montant à partir du détail du
fichier des ventes etc.)
• trier une population selon les critères identifiés,
• créer un fichier à partir d’un autre en reprenant certains enregistrements et certains champs clés,
• mettre plusieurs fichiers les uns à la suite des autres dans un nouveau fichier,
3 - analyser les résultats :
• disposer de statistiques sur une valeur (moyenne, somme et nombre de valeurs positives et négatives, dispersion, etc.),
• insérer un champ calculé dans le fichier,
• sélectionner statistiquement des données dans le fichier,
• rapprocher deux fichiers disposant d’une même clé. Exemple : rapprocher le fichier des factures clients du fichier des adresses
clients, pour disposer de toutes les informations nécessaires à la confirmation directe des factures.
4 - présenter les résultats :
• éditer les résultats,
• exporter les champs utiles dans un nouveau fichier.

3-L’UTILISATION DE LOGICIELS D ’AIDE A L ’AUDIT
Les logiciels d'aide à l'audit permettent à l'auditeur de constituer, de façon plus
ou moins étendue, un dossier de travail électronique. Ce type de logiciel
permet généralement à l'auditeur :
- l'automatisation d'un certain nombre de tâches telles que la récupération de

la balance, l'édition des états financiers et des feuilles maîtresse ;
- la dématérialisation d'une partie du dossier, et notamment du dossier
permanent;
- la normalisation des dossiers de travail et des procédures en vigueur au sein
du cabinet;
-la mise en place d'une aide technique sous forme de base de données
documentaire associée ;
- l'accès à des modèles de rapports conformes aux normes de l’OEC ;
- la remontée automatisée des points d'audit en synthèse.
- la préparation de la revue ou examen analytique (voir logiciel).

3-L’UTILISATION DE LOGICIELS D’AIDE A L ’AUDIT
L'association de ce type de logiciel avec un outil de messagerie
électronique facilite l'échange des renseignements avec les
membres de l'équipe d'audit ou l'entité auditée.
La consultation des dossiers, la supervision et l'assistance aux

membres de l'équipe, y compris à distance, sont facilitées.
L'automatisation des tâches matérielles favorise les économies de

temps et les gains d'efficacité. L'auditeur peut ainsi concentrer ses
ressources sur d'autres aspects de la mission, notamment
l'analyse et l'interprétation des données, et améliorer la valeur
ajoutée du service rendu.

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ENCG

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Outils de relevé d ’informations

 LES OUTILS D ’IDENTIFICATION DU CI

 LES OUTILS D ’ANALYSE ET DE SYNTHESE

 Outils de description de processus :

 Quatrième règle : Les difficultés, les points faibles, les

 Cinquième règle :Les conclusions de l’interview, résumées

 Sixième règle :Conserver l’approche système.

 Présentez-vous et expliquez que vous faites partie de la Société.

 Utiliser les questions ouvertes, non fermées.

 Les QPC peuvent comprendre aussi bien des questions

Le flow-chart est un outil de description mais également

 Outil de description, il peut être utilisé :

 Outil d’analyse, il est utilisé dans la phase d’évaluation du contrôle

 Identifier les discontinuités dans le flux des informations, grâce à un suivi

 Repérer et évaluer les contrôles effectués, par la mise en évidence des

 Apprécier la séparation des tâches.

 C’est une technique difficile à mettre en œuvre, qui nécessite une

Il existe néanmoins des progiciels spécialisés permettent de faciliter leur

 Le diagramme doit être complété parfois par une description narrative

DIFFERENTS TYPES DE FLOW-CHART

3. Identifier l’objet de l’information créée, son support de circulation et les

5. Utiliser les symboles normalisés pour représenter le cheminement de

Document en cours de circulation

Création d ’un document en plusieurs exemplaires

Création d ’un document

Auditas Toufik Hajoui 30

Traitement d’une opération administrative

Registre ou fichier manuel : grand-livre, tarif,

Point de départ d’un circuit

Renvoi à une autre page,

Alternative ou décision ou embranchement

Circulation physique d’un document

Traitement informatique d ’une opération

Auditas Toufik Hajoui 33

Bon Report sur

Auditas Toufik Hajoui 34

Auditas Toufik Hajoui 35

 Séparation suffisante des tâches entre les différents intervenants.

Auditas Toufik Hajoui 36

1. Respecter l’ordre chronologique des opérations.

3. Ne présenter que ce qui est utile à l’objet de la mission.

Auditas Toufik Hajoui 37

Auditas Toufik Hajoui 38

6. Référencer les diagrammes

Auditas Toufik Hajoui 39

C’est la photographie a un moment donné de la

2 - Découper les opérations de façon séquentielle en respectant l’ordre

Auditas Toufik Hajoui 42

 Les Q.C.I. permettent, pour chaque fonction :

1 - Décomposer la fonction ou processus audité en tâches élémentaires.

 Elles permettent de regrouper l’ensemble des interrogations concernant les

Auditas Toufik Hajoui 46

I - DECOUPAGE DU MODULE EN TACHES ELEMENTAIRES

Auditas Toufik Hajoui 48

Auditas Toufik Hajoui 50

 Où sont enregistrées les commandes ?

 Comment les commandes sont-elles passées ?