Pourquoi La Batterie Thermique

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Les taches

Etat • Etude
bibliographique

d’art
• Description de
projet et prototype

Concept • Conception
mécanique

ion
• Conception ETAPE DE CON
thermique CEPTION.pdf

Etude
de • Simulation de
performance

perform
• Tests
expérimentaux

ance
Hollands, Sulliva
n et Shewen, 198
4.pdf
Cahier de charge client

Modelé mathématique pour la


simulation

Analyse de performance

Test expérimental
Pourquoi la batterie thermique
?
La chaleur
dans
l’industrie
contexte generale 3.pdf
Chaleur fatale : type de rejets
Chaleur fatale : sous quelles formes ?

Basse température : Moyenne température Haute température :


eaux de : eaux de purges de chaudières,
LIQUIDES

refroidissement refroidissement condensats de vapeur,


REJE TS gazeux REJE TS

(compresseurs air et (pièces à haute etc.


froid, four à température, moule de
induction, etc.) et fonderie, etc.)
lavage

Air chaud : de séchage, Essentiellement gaz de combustion


de compresseur (froid et (four industriel, chaudière, incinérateur, turbine, etc.)
air comprimé), de
refroidissement de pièces
La chaleur fatale perdue peut coûter doublement cher !

1. Elle a été produite et a donc un coût : achat de combustible, coût


de production…
2. Une fois rejetée, elle doit très souvent être refroidie : Son
refroidissement présente lui aussi un coût qui vient s’additionner
au coût de production pour, au final, une énergie qui ne sert à rien !
Valorisatio
n de la
chaleur
fatal
Cogeneration
Cogénération_1.pdf
Cogénération_2.pdf
Systèmes de stockage thermique
contexte generale.pdf
Le stockage de chaleur thermochimique et par chaleur
latente présentent
•+Densités de stockage plus élevées
•+Une température de fonctionnement quasi-constante.
•-Encore au stade de développement et ne sont pas
technologiquement matures pour des applications de
grande échelle.

=>Le contexte particulier du projet prend en compte autres


paramètres tels que le cout, la complexité du système et la
disponibilité du matériau, a cet égard le stockage de
chaleur sensible semble l’option la plus adéquate.
Profil des client intéressé

j.apenergy.2015.01.147 (1).pdf
Batterie thermique
Etude_bibliographique__Copy_ (7).pdf
• Système de stockage de chaleur sensible
-Système de stockage de chaleur sensible à deux réservoirs
-Système stockage de chaleur sensible régénératif

• Systèmes de stockage thermique régénératif


-Températures seuils
-Cyclage
-Stress thermo-mécanique
-Types de Lit : structurés et non structurés

• Installations existantes
Les paramètres
• Circulation du fluide
• Forme géométrique
• Débit du fluide
• Diamètre des particules
• Facteur de forme
• Conductivité thermique
• Isolation thermique
Sensibilité des paramètres a lire therocline.pdf

• Inputs L, ks and (rCp)s have a strong influence with non-linear


and/or interaction effects, since m and s are of the same order of
magnitude
• Inputs dp, kf, ε, (rCp)f and t have a moderate influence on the
output. Further, the order of importance of the variables may not be
clearly determined, as the mean has a similar magnitude for these
inputs.
Matériaux de stockage
• Une grand capacité calorifique
• Une conductivité basse => permet une bonne stratification
Notre critère de choix du matériaux de stockage le plus important est le critère économique
=>Les résidus des centrales électriques à charbon : cendres de foyer & cendres volantes
Les principaux résidus provenant des centrales thermiques à charbon classés comme
produits de combustion comprennent les cendres volantes, les cendres de foyer et les
scories de chaudière.
=>La stratification thermique est influée par la forme, les
stratification dimensions et la position de l’entrée
Fluide caloporteur
• limite inférieure de température basse
• limite supérieure de température élevée (température d’évaporation/limite de stabilité thermique) à basses
pressions (température de solidification)
• conductivité thermique élevée → température du récepteur proche de la température du FH
• faible viscosité → besoins moindres en puissance de pompage
• densité et capacité thermique élevées → possibilité d’utilisation comme fluide de stockage
• possibilité d’utilisation comme fluide de travail
• compatibilité chimique (faible corrosivité) avec les matériaux de contact
• faible coût, grande disponibilité
• faible toxicité, inflammabilité, explosivité et danger pour l’environnement
Choix du fluide caloporteur

• Huiles synthétiques
• Les sels fondus
• Métaux liquides
• Autres gaz

Toujours notre principal critère de choix est le critère économique => air
Au delà de 600°C, seuls l’air et quelques fluides à très hautes températures comme les métaux fondus sont
susceptibles d’être utilisés. Cependant, les solutions à base de métaux fondus sont difficiles à mettre en œuvre
Sa densité
techniquement. Par conséquent, l’air est considéré comme fluide de transfert approprié.
énergétique est très faible, mais il est gratuit et ne possède pas de température
limite d’utilisation. L’air est le fluide gazeux le plus étudié. Cela s’explique par sa disponibilité
pratiquement infinie et par la vaste expérience acquise avec ce gaz en tant que fluide de travail et de transfert de
chaleur. Les températures de fonctionnement élevées du fluide permettent aux centrales à cycle combiné
d’atteindre des rendements élevés.
Notre prototype
Le logiciel de
simulation
intéressant ANSYS.pdf
Modélisation numérique

précisi
on Temp de
calcule
Il faut déterminer les hypothèse pris en compte dans
le modèle en fonction des paramètre à étudier afin
d’avoir une précision acceptable dans un temp de
calcule raisonnable
DNS (Direct Numerical Simulation) :

Les équations gouvernant l’écoulement sont une représentation mathématique des


principes physiques fondamentaux. L'approche la plus exacte pour la simulation de
la turbulence est de résoudre les équations sans modélisation de la turbulence. La
simulation numérique directe (Direct Numerical Simulation) est une méthode qui
consiste à résoudre les équations de Navier-Stockes sans faire la moindre hypothèse
sur les propriétés de la turbulence. Elle donne accès à toutes les informations
physiques de l’écoulement. La grande limitation de cette méthode réside dans
l’obligation de générer un maillage, au moins, aussi fin que le plus petit tourbillon
présent dans l’écoulement. Elle nécessite, donc, une mémoire de stockage
importante
Approches statistiques(RANS) :

C’est une approche basée sur la décomposition des variables décrivant le mouvement en leur
moyenne statistique et la fluctuation autour de cette moyenne. Dans une première approche, le
mouvement moyen est considéré stationnaire et la totalité du mouvement fluctuant est
considéré aléatoire. La moyenne effectuée pour les équations de Navier-Stokes régissant
l’écoulement associé à cette décomposition conduit à un système d’équations pour le
mouvement moyen. La présence des structures organisées dans les écoulements turbulents
conduit à ne plus considérer l’ensemble du mouvement fluctuant comme aléatoire, et ainsi, à
adopter des approches instationnaires. La première approche URANS ‟Un steady Reynolds
Averaged Navier Stokes‟ est la plus largement utilisée, et consiste à ne plus considérer le
mouvement moyen stationnaire et à appliquer les mêmes schémas de fermeture qu’en
modélisation RANS pour la modélisation des contraintes turbulentes. Les équations du
mouvement moyen sont les mêmes que les équations RANS, au terme temporel près. Cette
approche conduit souvent, dans le cas des écoulements décollés, à des faibles prédictions du
fait du manque d’adaptation des échelles de vitesse et de longueur du mouvement turbulent
utilisées pour ces modèles
Simulation des grandes échelles (Large Eddy Simulation LES) :

L'approche LES (Large Eddy Simulation) est une alternative aux deux autres méthodes
précédentes. Avec cette méthode, seules les grosses structures tourbillonnaires sont calculées à
partir des équations de Navier-Stokes filtrées et les petites échelles sont modélisées par un
modèle de sous-maille (SGS Model, Sub-GridScale Model). On accède ainsi à une physique
plus fine car les grosses structures de la turbulence sont les plus énergétiques. En pratique, le
modèle de sous maille est construit de manière à reproduire la partie du spectre de la
turbulence incalculable sur le maillage considéré. Cette méthode requière moins de ressources
que l'approche DNS mai beaucoup plus que la méthode RANS. Mais contrairement à
l'approche RANS qui fournit uniquement des résultats moyens, la méthode LES permet
d'accéder aux informations sur le comportement instationnaire de l’écoulement. Les intérêts de
cette méthode sont tout d'abord liés à une grande réduction des besoins informatiques par
comparaison à l'approche DNS et également aux informations supplémentaires apportées par
rapport à l'approche RANS

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