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Andrea Olivero

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Andrea Olivero
Illustration.
Andrea Olivero en 2012
Fonctions
Vice-ministre italien des Politiques agricoles, alimentaires et forestières

(4 ans, 3 mois et 4 jours)
Président du Conseil Matteo Renzi
Paolo Gentiloni
Gouvernement Renzi
Gentiloni
Prédécesseur Maurizio Martina (secrétaire d'État)
Président national des Associations chrétiennes de travailleurs italiens

(6 ans, 8 mois et 11 jours)
Prédécesseur Luigi Bobba
Successeur Gianni Bottalico
Sénateur de la République italienne

(5 ans et 7 jours)
Élection 24-25 février 2013
Législature XVIIe
Groupe politique Per le Autonomie - PSI - MAIE
Biographie
Date de naissance (54 ans)
Lieu de naissance Coni (Piémont, Italie)
Nationalité Italienne
Parti politique Choix civique pour l'Italie (2013)
Populaires pour l'Italie (2013-2014)
Démocratie solidaire (depuis 2014)
Diplômé de Université de Turin
Profession Enseignant

Andrea Olivero, né le à Coni, est un enseignant et un homme politique italien.

Après un diplôme de lettres classiques de l'université de Turin, Andrea Olivero devient professeur dans la province de Coni. En 2006, il devient président des Associations chrétiennes des travailleurs italiens (ACLI), un important mouvement catholique, fonction dont il démissionne le pour entrer en politique et soutenir l'Agenda Monti pour l'Italie.

Le , il est élu sénateur sur la liste Avec Monti pour l'Italie. À la même époque, il devient coordinateur politique du nouveau parti Choix civique pour l'Italie qu'il quitte en pour rejoindre le groupe parlementaire Pour l'Italie et le nouveau parti Populaires pour l'Italie début 2014, puis Démocratie solidaire en 2015.`

Le , il est nommé ministre délégué auprès du ministère des Politiques agricoles, alimentaires et forestières du gouvernement Renzi et conserve cette fonction dans le gouvernement Gentiloni en 2016.

Le , il est l'un des fondateurs de la Liste Civique populaire avec la ministre de la Santé Beatrice Lorenzin, Pier Ferdinando Casini, Giuseppe De Mita et Lorenzo Dellai en vue des élections générales de 2018. Le résultat de celle-ci, de l'ordre de 0,50 % des voix dans chaque chambre, ne lui permet pas d'avoir des élus et Olivero doit quitter le Sénat.