Château de Warkworth
Château de Warkworth | |||
Château de Warkworth | |||
Nom local | Warkworth Castle | ||
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Période ou style | Forteresse | ||
Début construction | XIIe siècle | ||
Propriétaire initial | Henri de Northumberland | ||
Propriétaire actuel | English Héritage | ||
Coordonnées | 55° 20′ 43″ nord, 1° 36′ 42″ ouest | ||
Pays | Royaume-Uni | ||
Nation constitutive | Angleterre | ||
Comté | comté de Northumberland | ||
Ville | Warkworth | ||
Géolocalisation sur la carte : Angleterre
Géolocalisation sur la carte : Northumberland
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Site web | http://www.english-heritage.org.uk/daysout/properties/warkworth-castle-and-hermitage/ | ||
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Le château de Warkworth est un bâtiment médiéval en ruine, situé dans la ville homonyme, dans le comté anglais du Northumberland. La ville et le château se trouvent sur une boucle formée par la Coquet, à moins d'un kilomètre de la côte nord-est de l'Angleterre.
La date relative à la fondation du château est incertaine: la tradition veut que sa construction remonte à l'époque du prince Henri d'Écosse, au milieu du XIIe siècle, mais il se peut qu'il ait été édifié par le roi Henri II d'Angleterre, lorsqu'il prit le contrôle des comtés du nord de l'Angleterre. Le château de Warkworth fut documenté pour la première fois dans une charte de 1157-1164, lorsque Henri II l'octroya à Roger fitz Richard. Le château en bois, considéré comme "fragile", fut laissé sans défense lors de l'invasion des Écossais en 1173.
Robert, le fils de Roger, hérita du château et l'améliora. Robert était un favori du roi Jean qu'il accueillit au château de Warkworth en 1213. Le château resta dans la lignée familiale, avec des périodes de tutelle lorsque les héritiers étaient trop jeunes pour contrôler leurs propriétés. Le roi Édouard Ier y passa la nuit en 1292 et John de clavering, descendant de Roger fitz Richard, fit de lui l'héritier de la Couronne. Lors du déclenchement des Guerres d'indépendance de l'Écosse, Édouard II investit dans des châteaux dont celui de Warkworth où il finança le renforcement de la garnison en 1319. En 1327, les Écossais assiégèrent le château à deux reprises mais leurs tentatives restèrent sans succès.
John de Clavering mourut en 1332 et sa veuve en 1345, date à laquelle Henry de Percy, 2nd baron Percy (en), prit le contrôle du château de Warkworth, après avoir reçu la promesse d'Édouard III d'obtenir la propriété de Clavering. Henry Percy, Ier comte de Northumberland, ajouta l'imposant donjon surplombant le village de Warkworth à la fin du XIVe siècle. Le quatrième comte remodela les bâtiments situés dans le mur d'enceinte et entreprit la construction d'une collégiale au sein du château, mais les travaux concernant cette dernière furent abandonnés après sa mort. Bien que Algernon Percy, 10e comte de Northumberland, soutînt le Parlement pendant la Première Révolution anglaise, le château fut endommagé durant le conflit.
Le dernier comte Percy mourut en 1670. Au milieu du XVIIIe siècle, le château se retrouva dans les mains de Hugh Smithson, qui épousa l'héritière indirecte de la Famille de Percy. Il adopta le nom de "Percy" et fonda la dynastie des ducs de Northumberland, dont les différentes générations se transmirent le château.
A la fin du XIXe siècle, les ducs rénovèrent le château de Warkworth et Anthony Salvi (en) fut chargé de restaurer le donjon. Alan Percy, 8e duc de Northumberland (en), confia la garde du château à l'Office of works en 1922. Depuis 1984, c'est l'English Heritage qui s'occupe du site, qui est un monument classé Grade I.
Histoire
Histoire ancienne
Bien que le peuplement de Warkworth, dans le Northumberland, remonte au moins au VIIIe siècle, le premier château ne fut construit qu'après la conquête normande. La ville et son château occupaient une boucle de la Coquet. Le château fut construit à l'extrémité sud de la ville, protégeant le goulot étroit de la boucle. Un pont fortifié protégeait également l'entrée de la ville. La campagne environnante, formée de plaines, était favorable à l'agriculture. On ne sait pas vraiment quand et par qui le château fut fondé, bien que sa création soit généralement attribuée au prince Henri d'Écosse. La guerre civile sévissant dans le sud-ouest de l'Angleterre, le roi Étienne d'Angleterre avait besoin de s'assurer que le nord de l'Angleterre était sécurisé. À cette fin, le traité de Durham de 1139, entre l'Écosse et l'Angleterre, assura la paix. En vertu du traité, Henri d'Écosse, devint comte de Northumbrie, car en contrepartie, il avait cédé le contrôle des châteaux de Bamburgh et de Newcastle aux anglais. Sans eux, Henri avait besoin d'un nouveau siège pour exercer son autorité, et un nouveau château à Warkworth pouvait satisfaire à cette exigence. Cependant, des chartes montrent que Henri continuait de contrôler le château de Bamburgh après le traité et que, étant donné que Warkworth était un château modeste d'après les normes contemporaines, il se peut qu'il ait été fondé par quelqu'un d'autre.
Henri mourut en 1152 et son fils, Malcolm (couronné roi d'Écosse en 1153), hérita de ses terres. En 1157, Malcolm se rendit au château de Peveril, dans le Derbyshire, où il rendit hommage au nouveau roi d'Angleterre, Henri II. Malcom restitua les comtés du nord de l'Angleterre à Henri, dont les châteaux de Bamburgh, Carlisle, et Newcastle, et probablement ceux d'Appleby, Brough, Wark on Tweed et Warkworth, bien qu'il soit possible que Henri II ait fondé le château de Warkworth en 1157 afin de sécuriser ses terres dans le Northumberland; d'autres châteaux contemporains dans la région furent construits dans ce même but, comme ce fut le cas de celui de Harbottle (en).
Ce fut dans une charte datant de 1157-1164 établie par Henri II qu'il fut pour la première fois mention du château de Warkworth, charte dans laquelle le roi octroyait le château et la seigneurie environnante à Roger fitz Richard, membre d'une noble famille normande. On a laissé entendre que le terme de "château" a peut-être été utilisé dans cette charte pour décrire une résidence sur le site au statut élevé, datant probablement de l'époque anglo-saxonne, ce qui signifie qu'il est possible que Roger ait construit le château. Il possédait des terres sur une vaste étendue, et Warkworth fut peut-être de moindre importance en comparaison de ses autres propriétés. Lorsque les Écossais envahirent le Northumberland en 1173, le château de Warkworth ne fut pas défendu par sa garnison et ce, malgré la présence de Roger fitz Richard dans le comté. À cette époque, ses ouvrages défensifs étaient décrits comme "faibles". En 1174, Duncan II, comte de Fife (en), attaqua Warkworth. Le registre actuel ne fait pas mention du château, mais fait remarquer que les habitants de Warkworth ont cherché refuge dans l'église. Lorsque Roger fitz Richard mourut en 1178, son fils et héritier, Robert fitz Roger, était encore un enfant. Un tuteur s'occupa des propriétés de la famille jusqu'à ce que Robert arrivât à maturité en 1191. Il paya 300 marcs à la Couronne pour confirmer qu'il était le propriétaire de Warkworth, du château y compris. D'importants travaux de construction au château de Warkworth sont attribués à Robert. Ce dernier était un favori du roi Jean, il le reçut d'ailleurs au château de Warkworth en 1213.
Le château de Warkworth continua de se transmettre dans la lignée familiale lorsque Robert fitz Roger fut remplacé par son fils John en 1214, qui fut à son tour remplacé par son fils Roger en 1240. Roger mourut en 1249, son fils était alors âgé de un an, un tuteur fut donc nommé pour s'occuper des biens de la famille: Guillaume de Valence, demi-frère du roi Henri III. Le château, qualifié à cette époque par le chroniqueur Matthieu Paris de "noble", resta sous la tutelle de Valence jusqu'en 1268, date à laquelle il revint à Robert fitz John. Le roi Édouard Ier d'Angleterre passa une nuit au château de Warkworth en 1292. On demanda au roi d'Angleterre de servir de médiateur dans un différend concernant le trône d'Écosse et il fit sa propre requête, conduisant aux guerres d'indépendance de l'Écosse. Après la victoire écossaise lors de la bataille du pont de Stirling en 1297, Robert et son fils, John de Clavering, furent capturés. Ils furent par la suite libérés, et en 1310, John prit le contrôle des propriétés familiales. Un an plus tard, John prit des dispositions pour que, à sa mort, le roi reçût tous ses biens.
Entre environ 1310 et 1330, les anglais luttèrent pour faire face aux attaques écossaises dans le nord de l'Angleterre. L'importance des grands châteaux pendant les guerres écossaises était telle, que la Couronne subventionna leur entretien et même leur construction. En 1319, le roi Édouard II paya une garnison pour le château, constituée de quatre hommes d'armes et huit Hobelars, afin d'améliorer la force existante composée de douze hommes d'armes. Ralph Neville (en) était le gardien du château de Warkworth en 1322. Étant marié à la fille de John, Euphemia, Ralph espérait peut-être hériter des biens Clavering, mais ce ne fut pas le cas. En 1327, les forces écossaises assiégèrent deux fois le château mais leurs tentatives furent vaines.
La famille Percy
À cette époque, la Famille de Percy devenait la dynastie la plus puissante du Northumberland. Henry de Percy, 2e baron Percy, qui était au service d'Édouard III, recevait à vie la somme de 500 marcs par an pour être à la tête d'une compagnie d'hommes d'armes. En échange de cette cotisation annuelle, Percy obtint la promesse en 1328 d'obtenir des droits sur les biens appartenant à la famille Clavering. Le Parlement déclara ces contrats illégaux en 1331, mais immédiatement après avoir abandonné sa demande, Percy obtint l'autorisation spéciale d'hériter. John de Clavering mourut en 1332 et sa veuve en 1345, date à laquelle les biens de la famille revinrent à la famille Percy. Alors que les Percy étaient propriétaires du château d'Alnwick, considéré comme plus prestigieux, Warkworth était leur lieu de résidence préféré. Pendant la période Percy, un parc pour la chasse fut créé à proximité, et à l'intérieur du château deux blocs résidentiels, décrits par l'historien John Goodall comme étant «d'une qualité et d'une sophistication inégalées dans le Northumberland». Le deuxième baron mourut à Warkworth en 1352.
En 1377, le quatrième baron Percy, également appelé Henry, fut déclaré premier comte de Northumberland (devenant ainsi la première famille du nord de l'Angleterre à se voir accorder un titre de comte), en reconnaissance de sa grande puissance dans les Scottish Marches (en), le long de la frontière entre l'Angleterre et l'Écosse. Ayant un réseau de contacts et de dépendances, la famille Percy était la famille prééminente dans le nord de l'Angleterre au XIVe siècle. Henry Percy ordonna la construction du fameux donjon peu de temps après avoir obtenu le titre de comte de Northumberland. Il est possible que Percy ait amélioré son château principal pour rivaliser avec Jean de Gand, qui reconstruisit le château de Dunstanburgh, situé tout près, ou avec la famille Neville, dont la puissance ne cessait de croître dans le nord de l'Angleterre, et qui entreprit un programme de construction relatif aux châteaux de Brancepeth, Raby, Bamburgh, Middleham, et Sheriff Hutton. Des similitudes architecturales entre le donjon de Warkworth, le château de Bolton, et les bâtiments à usage domestique du château de Bamburgh, suggèrent que John Lewyn fut le maître maçon responsable de la construction du donjon de Warkworth.
Le comte Henry apporta son concours pour détrôner Richard II et le remplacer par Henri IV. Le comte et son fils aîné Henry "Hotspur" Percy se brouillèrent avec le nouveau roi, et finirent par se rebeller. Suite à la mort de Hotspur à la Bataille de Shrewsbury en 1403, son père s'enfuit à Warkworth. Le comte se rendit finalement à York afin de se soumettre au roi. Il fut arrêté et le roi tenta d'installer ses propres hommes dans les châteaux d'Alnwick, Langley, Prudhoe et Warkworth. Le fils du comte, âgé de 14 ans, affirma qu'il était loyal envers le roi, mais n'était pas habilité à remettre officiellement le château qui resta donc sous le contrôle de la famille Percy. Henry fut gracié en 1404.
Le comte Henry se révolta à nouveau en 1405, se joignant cette fois-ci à la révolte infructueuse de l'archevêque Scrope. Alors que Henry fuyait vers le nord suite à l'échec de la rébellion, ses châteaux offrirent une certaine résistance avant de se soumettre aux forces royales. Warkworth lui-même était bien approvisionné et la garnison refusa dans un premier temps de se rendre. Cependant, selon une lettre d'Henri IV, écrite de Warkworth après sa chute, sept coups partis de ses canons suffirent à faire capituler les défenseurs. Le château fut confisqué par la Couronne, et fut utilisé par un des fils du roi, Jean, duc de Bedford, qui fut nommé pour diriger la région. Il resta dans les mains de la Couronne jusqu'à ce que Henri V le rendît à la famille Percy en 1416, et dans le même temps, nommât le fils de Henry "Hotspur", un autre Henry Percy, deuxième comte de Northumberland. On sait que le deuxième comte résida à Warkworth et qu'il y entreprit des travaux de construction, mais on ignore ce qu'il a vraiment réalisé.
Les Percy soutinrent la Maison de Lancastre pendant la guerre des Deux-Roses, et le second comte ainsi que son successeur, Henry Percy, 3e comte de Northumberland, furent tués respectivement lors des batailles de Saint-Albans en 1455 et de Towton en 1461. Le nouveau roi, Édouard IV, publia un acte d'attainder à l'encontre de la famille, et leurs biens furent confisqués. Après la bataille de Towton, le titre de comte de Northumberland fut attribué au Yorkiste John Neville, Ier marquis Montagu. Son frère, Richard Neville, 16e comte de Warwick, utilisait Warkworth comme base à partir de laquelle les châteaux de Northumberland, Alnwick, Bamburgh et Dunstanburgh, détenus par les Lancastriens, furent attaqués, et leurs sièges coordonnés. En 1470, Édouard IV rendit les domaines Percy au fils aîné du troisième comte, qui s'appelait également Henry Percy. Un an plus tard, Henry obtint le comté de Northumberland.
Peu après 1472, il rénova le mur d'enceinte. Il prévit également de construire une église collégiale au sein du château, mais les travaux furent abandonnés après sa mort. Lorsque le quatrième comte fut assassiné en 1489, son fils, Henry Algernon, hérita et entretint le château. Au début du XVIe siècle, Henry Percy, 6e comte de Northumberland, fut chargé de faire disparaître l'église collégiale fondée par son grand-père, mais laissée inachevée par le cinquième comte.
Thomas Percy, frère du sixième comte, fut exécuté pour le rôle qu'il avait joué lors du pèlerinage de Grâce en 1536. Lorsque Henry Percy mourut l'année suivante, sans laisser d'héritier, les biens de la famille furent transmis à la Couronne. Bien que toujours utilisé par les officiers royaux, vers 1550, le château était tombé en ruine. En 1557, les domaines Percy furent rendus aux descendants de Thomas, et le neveu du sixième comte, un autre Thomas Percy, reçu le titre de comte. Il commença un programme de réparations au château, au cours duquel il démantela "le château et d'autres maisons de fonction".
Le soulèvement du Nord de 1569 vit les nobles catholiques du nord de l'Angleterre se rebeller contre la reine protestante Élisabeth Ire. Le catholique Thomas Percy rejoignit la rébellion, et les partisans se rassemblèrent dans les châteaux d'Alnwick et Warkworth. Sir John Forster (en), alors Gardien des marches, ordonna à ceux qui se trouvaient à l'intérieur de partir et les châteaux furent remis à son contrôle. Au cours du conflit qui suivit, Warkworth resta sous contrôle royal. Forster pilla le château, le dépouillant de ses poutres et de son mobilier. Le donjon ne subit au moins pas ce sort, mais en avril 1572, Henry Carey, Ier baron Hunsdon, déplora le traitement infligé aux châteaux Percy, écrivant au principal ministre de la reine, "Il est vraiment dommage de le voir piller les châteaux d'Alnwick et de Warkworth... Je suis honorablement informé de son intention de les détériorer complètement tous les deux." Un acte d'attainder fut émis contre Thomas Percy, si bien que lorsqu'il fut en garde à vue en Angleterre, il fut exécuté sans jugement le 22 août. En conséquence, le fils de Percy fut mis de côté, mais selon les termes mentionnés dans l'acte de mort civile, son frère fut autorisé à hériter. En 1574, Elisabeth accorda à Henry Percy (en) la permission d'hériter des biens de la famille et de prendre le titre de 8e comte de Northumberland.
Le château servit de toile de fond à plusieurs scènes de ''Henri IV, Partie 1'' (en) et Partie 2 (en), de William Shakespeare. Un autre Henry Percy hérita des propriétés familiales en 1585 et prit le titre de 9e comte de Northumberland. Après l'échec de la Conspiration des poudres de 1605, le comte fut emprisonné pour ses liens avec Thomas Percy, l'un des conspirateurs. Peu de temps avant sa condamnation, (il eut une amende de 30 000 £ et fut détenu dans la tour de Londres), le comte loua Château de Warkworth à Sir Ralph Gray, propriétaire du château de Chillingham, dans le Northumberland. Gray négligea le bâtiment et le laissa se délabrer davantage. Le plomb provenant des bâtiments situés dans la cour intérieure fut vendu en 1607 afin d'atténuer les problèmes financiers du comte. Lorsque Jacques Ier le visita en 1617, alors qu'il se rendait en Écosse, son entourage fut irrité par l'état lamentable du château. Avec l'Union des Couronnes sous un seul monarque, les comtes de Northumberland n'avaient pas besoin de deux grands châteaux près de la frontière anglo-écossaise; ils entretinrent Alnwick au détriment de Warkworth. Au cours du premier quart du XVIIe siècle, on se servit du donjon comme court de juridiction pour le manoir mais aussi pour y déposer de l'avoine.
Les détails concernant le rôle joué par le château de Warkworth lors de la Première Révolution anglaise ne sont pas clairs, mais le conflit ne fit qu'accentuer les dégâts sur la structure. Initialement détenu par les Royalists, le château était encore assez important, et lors de l'invasion des écossais en 1644, ces derniers eurent du mal à obtenir sa reddition. Algernon Percy, 10e comte de Nortumberland (en), était partisan du Parlement, qui a peut-être empêché les écossais de trop endommager le château. Les Parlementarians prirent le contrôle du château en 1648; lorsqu'ils se retirèrent, ils firent disparaître les portes du château ainsi que le fer afin que l'ennemi ne pût le réutiliser. Il se peut qu'ils aient également voulu détruire certaines parties du château, et sont peut-être à l'origine de son état actuel. Algernon Percy, fit une demande d'indemnisation en 1649 pour les dommages subis, mais sans succès.
Références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Warkworth Castle » (voir la liste des auteurs).