Aller au contenu

Discussion utilisateur:Vdrpatrice

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 25 mars 2007 à 11:03 et modifiée en dernier par Vdrpatrice (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Bonsoir Vrdpatrice,

Je ne sais pas si vous vous rappelez de ça, mais maintenant vous avez sept jours pour le relire et le méditer, puisque vous êtes à nouveau bloqué. En espérant toujours vous voir revenir avec de meilleurs intentions (si, si, on y croit !), --bsm15 24 mars 2007 à 00:35 (CET)[répondre]


Je me rappelle fort bien, et contrairement à vous, je l'ai lu avec attention. Mais comme, de toute évidence, vous ne savez pas lire une fois les informations correctement du premier coup, alors je recopie, ici, le "verdict" des arbitres en mettant en gras les informations essentielles concernant la période de mon blocage et mon interdiction du publier sur les articles Sigmund Freud et Critique de la psychanalyse. Vous y constaterez que je suis concerné par "x" ; "z" et "n", alors que Chestov par "y" ; "z" et "n" à partir du ...11 décembre 2006 à 01:22 :




Proposition 1

Je pense que tout le monde partage la même opinion : bien plus de torts chez Vdrpatrice que chez Chestov, mais celui-ci a lui aussi largement dépassé les limites du tolérable. Alain r 8 décembre 2006 à 18:05 (CET)

Proposition :

Considérant :

  • que les contributions de l'utilisateur Vdrpatrice s'avèrent presque exclusivement motivées par le but d'imposer un point de vue personnel sur Wikipédia, en violation du principe fondateur de la neutralité de point de vue,
  • que cet utilisateur s'est comporté de façon inacceptable en éditant la page utilisateur de Chestov,
  • que l'utilisateur Chestov a fait preuve de grandes maladresses et s'est plus récemment rendu responsable de divers vandalismes et provocations,
  • que Chestov a fait usage d'un faux nez (Utilisateur:Bettibossi) pour éditer les articles où il était partie prenante et plus généralement a souvent fait des éditions sous IPs rendant l'historique des contributions plus difficile à lire purement provocatrices.

le comité d'arbitrage demande :

  • que l'utilisateur Vrdpatrice soit bloqué pour x semaines
  • que l'utilisateur Chestov soit bloqué pour y semaines
  • que le compte Bettibossi soit bloqué indéfiniment
  • que les deux utilisateurs soient interdits d'édition sur les articles Sigmund Freud et Critique de la psychanalyse et pages de discussion associées pour z mois à compter de leur déblocage respectif. Toute violation de cette interdiction sera assortie d'un blocage de n jours.

Vote :

  • Oui, avec x = 8, y = 8, z = 2 et n = 5. Alain r 8 décembre 2006 à 18:05 (CET)
  • Oui, avec x = 9, y = 8, z = 2 et n = 5 — Erasoft24 9 décembre 2006 à 06:48 (CET)
  • Oui, avec x = 4, y = 2, z = 2 et n = 5. (je vous trouve bien sévères! que chacun fasse son tarif, on fera un vote sur la moyenne ensuite ;-)). Bradipus Bla 9 décembre 2006 à 10:29 (CET)
  • Oui, avec x = 2, y = 3, z = 2 et n = 5. Je propose qu'on fasse une moyenne en jours arrondie à l'unité la plus proche Alvaro 9 décembre 2006 à 17:17 (CET)
o J'ai biffé une phrase dans la proposition, parce que rendre les historiques difficiles à lire ne me semble pas un crime majeur. J'ai ajouté le morceau en gras ;D Alvaro 9 décembre 2006 à 17:17 (CET)


  • oui, avec x = 2, y = 2, z = 4 et n = 15 schiste 11 décembre 2006 à 01:22 (CET)


CONCLUSION : J'AI DONC PURGE MA PEINE ET VOUS N'AVIEZ PAS A ME BLOQUER A NOUVEAU. DONC JE VOUS DEMANDE DE ME DEBLOQUER AU PLUS VITE.

--Vdrpatrice 24 mars 2007 à 14:05 (CET)[répondre]

Juste un rappel : l'énoncé de la décision, ce n'est pas ce que vous citez, mais ça :

"Considérant :

que les contributions de l'utilisateur Vdrpatrice s'avèrent presque exclusivement motivées par le but d'imposer un point de vue personnel sur Wikipédia, en violation du principe fondateur de la neutralité de point de vue, que cet utilisateur s'est comporté de façon inacceptable en éditant la page utilisateur de Chestov, que l'utilisateur Chestov a fait preuve de grandes maladresses et s'est plus récemment rendu responsable de divers vandalismes et provocations, que Chestov a fait usage d'un faux nez (Bettibossi) pour éditer les articles où il était partie prenante et plus généralement a souvent fait des éditions purement provocatrices sous IP, le comité d'arbitrage demande :

que l'utilisateur Vrdpatrice soit bloqué pour 35 jours que l'utilisateur Chestov soit bloqué pour 32 jours que le compte Bettibossi soit bloqué indéfiniment que les deux utilisateurs soient interdits d'édition sur les articles Sigmund Freud et Critique de la psychanalyse et pages de discussion associées pour 72 jours à compter de leur déblocage respectif. Toute violation de cette interdiction sera assortie d'un blocage de 7 jours. Le comité d'arbitrage annule l'arbitrage yugiz-Vdrpatrice."

Décision rendue le 16 janvier, vous ne deviez donc pas éditer Critique de la psychanalyse jusqu'au 16 avril, et vous l'avez édité le 20 mars. Donc vous êtes bloqué pour 7 jours. C'est aussi simple que ça. Alors avant de prétendre apprendre à lire aux autres, hein, entre nous... --bsm15 24 mars 2007 à 18:01 (CET)[répondre]

Le règne sans partage de l'obscurantisme

Avec la remise au goulag (ou à l'asile...) de Vdrpatrice, les Lumières ont donc été remises sous l'éteignoir...


...pour le plus grand bonheur des Léon99, Ouicoude, et tout le reste de cette inénarrable clique.

Ici, comme sur l'article "Critique de la psychanalyse", c'est donc le règne sans partage de l'obscurantisme, de la pensée unique, et de tous leurs corolaires : provocations, attaques personnelles, diabolisation, diffamation, caviardage, vandalisme, censure.

Vdrpatrice n'a pourtant qu'un seul objectif : faire connaître, sur Wikipédia, les critiques les mieux informées sur Freud et sa psychanalyse. Il travaille à la plus grande richesse et qualité d'information possible, loin de tous les tabous, les idéologies, tout en affichant honnêtement et sans détour un parti pris : celui de la critique.

Vdrpatrice a bien conscience que d'entrée de jeu, ce parti pris (celui de la critique) pose un problème évident de neutralité. C'est pourquoi il s'attache toujours à fournir des citations sourcées, contextualisées et en nombre, en laissant s'exprimer les deux parties en opposition sans jamais les ventriloquer. Il s'attache également à formuler ses propos au conditionnel (sauf quand il y a des éléments indiscutables et définitifs, et il y en a...), en ne laissant jamais s'exprimer dans les articles où il publie, ses propres convictions, ses engagements personnels. Mais, par soucis d'honnêteté et de transparence, il croît utile d'exprimer ses convictions, uniquement dans les pages discussions.

On ne peut donc faire indéfiniment l'amalgame entre l'attitude de Vdrpatrice dans les articles et la sienne dans les pages discussion.

Vdrpatrice n'attache plus désormais à Wikipédia, l'importance cruciale qu'il lui accordait au début. Après discussion, par mail, avec quelques intellectuels de renom qu'il connaît, il a acquis la certitude que l'intolérance, et une certaine forme de refus du changement et de renouvellement des idées régnaient indiscutablement dans Wikipédia et même dans sa version anglo-saxonne. Il avait donc demandé de l'aide auprès de quelques autres "Freud Scholars" qu'il connait personnellement, mais ces derniers l'ont convaincu, que sur Wikipédia, le jeu n'en valait pas la chandelle.

C'est donc sur d'autres terrains que la libre expression des critiques informées et impartiales pourra s'exprimer et avoir une plus large audience.

Voici ce qui a été jugé comme "bousillant" l'article sur le refoulement (freudien)

Le problème de l’inconscient freudien

L'inconscient tel que Freud l'a imaginé dépend d'un déterminisme psychique absolu, excluant tout hasard et tout non-sens. Freud s'est appuyé avec une "foi inébranlable" sur cette version intenable du déterminisme pendant toute sa vie. Cette forme du déterminisme, parce qu'elle exclue tout hasard et tout non-sens, se révèle totalement dépourvue de pouvoir descriptif, explicatif, et bien entendu prédictif. Comme le démontra Karl Popper dans "L'univers irrésolu, plaidoyer pour l'indéterminisme", elle ne peut être d'aucune utilité pour la science en ce qu'elle ne peut permettre la réussite d'aucun projet qui soit conforme à ses exigences de départ. Par conséquent, elle rend la théorie de l'inconscient de Freud sans aucun fondement possible, puisque il est impossible de calculer les conditions initiales d'un test avec le degré de précision exigé par un déterminisme absolu. Tout test étant impossible, il n'existe donc rien sur quoi se fonder pour croire en la fausseté ou en la proximité à la vérité de cette théorie de l'inconscient. La théorie de l'inconscient de Freud ne peut donc jamais être fausse, et peut toujours être confirmée par n'importe quel fait. Personne ne peut donc savoir comment elle peut être fausse et jusqu'à quel point elle peut être vraie.


Critique de la notion de refoulement via la notion de censure

Pour Freud le refoulement est donc une action exclusivement inconsciente et qui seule justifie l'intervention extérieure d'un analyste. C'est, comme l'écrivit Freud, « la clé de voute » de toute la psychanalyse.

Le refoulé a pour contenu tous les souvenirs traumatiques, les émotions, les représentations vécues dans l'enfance de manière traumatisante, et qui seraient des agents pathogènes source de symptômes, parce qu'inconsciemment refoulés. Pour Freud, c'est donc la levée cathartique des refoulements (donc l'accès de la conscience au refoulé) qui permettrait au patient de prendre conscience de ses traumatismes enfouis, de les contrôler et de guérir de ses symptômes. Le refoulé serait donc la partie la plus archaïque, dynamique (donc pathogène), mais aussi permanente de la personne. Le matériel qui intéresse donc, au premier chef l'analyste, est le refoulé inconscient, et ce qui est censé représenter son contenu « manifeste » (dans le conscient) : les rêves (leur contenu manifeste) et les névroses du patient.

Mais les actions de refoulement (et le refoulé), doivent, pour être maintenues dans leur statut inconscient, subir l'action d'un autre niveau supérieur d'interdit. C'est là qu'intervient, selon Freud, la censure. Cette censure située à la frontière du conscient doit elle aussi avoir un statut inconscient, car si la censure était consciente, alors le sujet pourrait avoir un accès direct à son refoulé inconscient, lequel ne serait donc plus inconscient et ne justifierait donc plus l'intervention d'un analyste ni même la psychanalyse toute entière. Si donc la censure doit elle aussi être inconsciente, c'est qu'une autre force la maintient dans son statut inconscient en l'empêchant de devenir consciente. Cette autre force, dont Freud ne parle pas et qui doit pourtant logiquement exister, doit elle aussi être, à son tour, inconsciente (et maintenue en tant que telle), sinon, le sujet pourrait avoir accès à sa censure inconsciente, puis à son refoulé inconscient, etc.

On a donc bien un problème de régression à l'infini et il est impossible de justifier la notion de censure. Par conséquent, cette notion injustifiable s'effondre totalement, et avec elle, la théorie du refoulement freudien. (Comme le démontra, notamment, Adolf Grünbaum dans « La psychanalyse à l'épreuve »).

Il n'y a donc ni censure, ni refoulement, ni refoulé qui soient inconscients, et surtout qui soient réglés par un déterminisme psychique absolu excluant tout hasard et tout non-sens comme Freud l'affirma explicitement dans son livre « Psychopathologie de la vie quotidienne ».

Il n'y a donc pas de psychanalyse, ou, comme l'écrit Mikkel Borch-Jacobsen dans « Le dossier Freud. Enquête sur l'histoire de la psychanalyse » : « la psychanalyse est une théorie zéro ».

Jean-Paul Sartre avait déjà vu le problème lié à la notion de censure. Il écrit, à propos de la mauvaise foi, in : « L'Etre et le Néant » :

« La censure, pour appliquer son activité avec discernement, doit connaître ce qu'elle refoule. Si nous renonçons en effet à toutes les métaphores représentant le refoulement comme un choc de forces aveugles, force est bien d'admettre que la censure doit choisir et, pour choisir, se représenter. D'où viendrait, autrement, qu'elle laisse passer les impulsions sexuelles licites, qu'elle tolère que les besoins (faim, soif, sommeil) s'expriment dans la claire conscience ? Et comment expliquer qu'elle peut relâcher sa surveillance, qu'elle peut même être trompée par les déguisements de l'instinct ? [...] En un mot, comment la censure discernerait-elle les impressions refoulables sans avoir conscience de les discerner ? [...] Il faut que la censure soit consciente d'être consciente de la tendance à refouler, mais précisément pour n'en être pas consciente. Qu'est-ce à dire sinon que la censure doit être de mauvaise foi ? »


Comme le fait comprendre Sartre, il est donc impossible que pour Freud, la censure ne soit pas en contact direct avec le refoulé. Mais, à l'insu du sujet, elle agirait pourtant avec une étonnante capacité de discernement (et même de jugement) qui serait même totalement infaillible si l'on s'en tient au déterminisme psychique absolu de Freud. Sartre montre qu'à un tel niveau « d'intelligence » il est peu plausible que la censure ne soit pas, en fait, consciente. Mais cette intelligence infaillible de la censure, en liaison avec le déterminisme absolu de Freud, n'est-elle pas analogue à celle du Démon de Laplace ? Sartre n'entrevoit certes pas le problème de la régression à l'infini, mais celui de la capacité d'un agent supposé inconscient, comme la censure, à effectuer les mêmes actions complexes de jugement, de discrimination et de représentation qu'un agent conscient. Mais comme pour Sartre il est impossible de n'être pas conscient de faire quelque chose consciemment sans être de mauvaise foi, il assimile donc la censure à de la simple mauvaise foi.

Il ressort néanmoins de l'analyse de Sartre, que la censure est bien inconsciente. Par conséquent on ne peut que retomber dans le problème insoluble de la régression à l'infini exposé plus haut.


--Vdrpatrice 25 mars 2007 à 11:01 (CEST)[répondre]