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== Culture locale et patrimoine ==
== Culture locale et patrimoine ==
=== Lieux et monuments ===
[[Fichier:TheatreLillebonne.jpg|vignette|Le [[théâtre antique de Lillebonne]]]]
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* Le théâtre antique : <br>Le théâtre gallo-romain de Lillebonne a connu trois états de construction, d'après les connaissances actuelles, entre les {{s2|I|er|III|e}} de notre ère. Elles ne sont pas encore entièrement datées, d'où l'utilité des fouilles archéologiques menées entre 2007 et 2010, par Vincenzo Mutarelli.<br>Le premier état, aujourd'hui très partiellement dégagé, était semble-t-il un petit théâtre de type romain, qui fut vite remplacé par un autre édifice, plus grand, qui correspond aux états II et III identifiés par les archéologues. Cette évolution architecturale s'adapte à la demande, ce qui explique qu'il a la forme d'un « théâtre-amphithéâtre », c'est-à-dire qu'il possède un « orchestra » plus grand que pour un théâtre, pouvant servir d'arène, mais conserve un bâtiment de scène, aujourd'hui inaccessible car situé sous une route<ref>Selon les rapports de M. Mutarelli : ''Etude préliminaire'', ''Historique des fouilles'', ''Rapport de fouilles programmées 2009''.</ref>.
* Le théâtre antique : <br>Le théâtre gallo-romain de Lillebonne a connu trois états de construction, d'après les connaissances actuelles, entre les {{s2|I|er|III|e}} de notre ère. Elles ne sont pas encore entièrement datées, d'où l'utilité des fouilles archéologiques menées entre 2007 et 2010, par Vincenzo Mutarelli.<br>Le premier état, aujourd'hui très partiellement dégagé, était semble-t-il un petit théâtre de type romain, qui fut vite remplacé par un autre édifice, plus grand, qui correspond aux états II et III identifiés par les archéologues. Cette évolution architecturale s'adapte à la demande, ce qui explique qu'il a la forme d'un « théâtre-amphithéâtre », c'est-à-dire qu'il possède un « orchestra » plus grand que pour un théâtre, pouvant servir d'arène, mais conserve un bâtiment de scène, aujourd'hui inaccessible car situé sous une route<ref>Selon les rapports de M. Mutarelli : ''Etude préliminaire'', ''Historique des fouilles'', ''Rapport de fouilles programmées 2009''.</ref>.

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Lillebonne
De haut en bas et de gauche à droite : Juliobona, musée gallo-romain de Lillebonne avec le centre-ville en fond, pris depuis le théâtre antique ; théâtre antique ; église Notre-Dame de Lillebonne ; Apollon découvert à Lillebonne ; château médiéval de Lillebonne.
Blason de Lillebonne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Caux Seine Agglo
(siège)
Maire
Mandat
Christine Déchamps
2020-2026
Code postal 76170
Code commune 76384
Démographie
Gentilé Lillebonnais
Population
municipale
8 729 hab. (2021 en évolution de −2,61 % par rapport à 2015)
Densité 595 hab./km2
Population
agglomération
22 080 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 08″ nord, 0° 32′ 03″ est
Altitude Min. 0[1] m
Max. 133[1] m
Superficie 14,66 km2
Type Centre urbain intermédiaire
Unité urbaine Lillebonne
(ville-centre)
Aire d'attraction Lillebonne
(commune-centre)
Élections
Départementales Bolbec
Législatives 5e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Lillebonne
Géolocalisation sur la carte : France
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Lillebonne
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Lillebonne
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Lillebonne
Liens
Site web https://www.lillebonne.fr

Lillebonne [lil(ə)bɔn(ə)] est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime, en région Normandie.

Lillebonne, de son nom latin Juliobona, fut une grande cité marchande à l'époque gallo-romaine, elle en garde des vestiges remarquables dont un théâtre antique.

Géographie

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Localisation

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Lillebonne est située à 35 km en amont du Havre, sur la rive droite de la Seine, mais en retrait de quelques kilomètres du fleuve.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Quillebeuf-sur-Seine, La Frénaye, Gruchet-le-Valasse, Lintot, Port-Jérôme-sur-Seine, Saint-Antoine-la-Forêt, Saint-Jean-de-Folleville et La Trinité-du-Mont.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 824 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Petiville à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 844,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité

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Au , Lillebonne est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lillebonne[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[10],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lillebonne, dont elle est la commune-centre[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Ses 1 466 ha[1] sont répartis ainsi : 48 % de surface agricole utile (709 ha), 20 % de surface urbanisée (298 ha), 15 % d'infrastructures (219 ha) et 15 % de surface boisée (211 ha).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (49,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (35,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (31,8 %), forêts (18,6 %), zones urbanisées (18 %), prairies (11,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), terres arables (6,8 %), eaux continentales[Note 4] (6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 4 475, alors qu'il était de 4 456 en 2015 et de 4 281 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 92,4 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 50,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 48,3 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lillebonne en 2020 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,9 %) inférieure à celle du département (4,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 35,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (35,8 % en 2015), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Lillebonne en 2020.
Typologie Lillebonne[I 2] Seine-Maritime[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 92,4 87,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,9 4,1 9,7
Logements vacants (en %) 6,7 8,1 8,2

Voies de communication et transports

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Risques naturels et technologiques

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Qualité de l'environnement

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Lillebonne est mentionnée au IIIe siècle dans la Géographie de Ptolémée[14] sous le nom gallo-romain de Juliobona, à l'origine du nom actuel.

Juliobona est composé de deux éléments :

  • Julio-, forme préfixée de l'anthroponyme Julius, donné en l'honneur de Jules César (Caius Julius Caesar) ;
  • bona, terme gaulois (celtique) désignant soit une « fondation urbaine » soit une « source »[15].

Juliobona est donc « la ville fondée sous Jules César » ou « la ville fondée en l'honneur de Jules César ».

Lillebonne a une longue histoire qui remonte à un peuple de la Gaule belgique, les Calètes (qui ont donné leur nom au pays de Caux), dont elle fut un temps la capitale.

Les Calètes choisirent d'implanter leur capitale sur un nœud de communication stratégique pour le commerce à destination de la Britannia par la mer et du centre de la Gaule par la Seine.

La période de la paix romaine (Ier et IIe siècles)

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Durant la période gallo-romaine, elle connut une grande prospérité liée à la présence d'un port sur la Seine.

Elle était environnée de riches villae et de domus ainsi que de quartiers d'habitations plus modestes, parfois péri urbains, dont la connaissance a sensiblement augmenté grâce à des interventions archéologiques récentes.

Le Bas-Empire

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Durant cette période de troubles (invasions, guerres civiles), les pierres des édifices gallo-romains furent réemployées pour la construction de murailles de protection (et beaucoup plus tard, pour la construction de l'abbaye de Jumièges). L'enceinte délimitait alors une aire urbaine d'environ 50 hectares.

Les vestiges

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Des fouilles effectuées tout au long du XIXe siècle permirent cependant de mettre au jour de nombreux vestiges. Depuis l'année 2007, de nouvelles fouilles sont en cours ; elles ont permis de mieux connaître l'attribution du théâtre[16].

Confirmation des décrets du concile de Lillebonne (1080) par le duc de Normandie Henri Beauclerc, entre 1106 et 1135.

Au Moyen Âge, un concile se réunit dans la bourgade en 1080. Rassemblant le clergé de la région, il rappelle un ensemble de règles sur la morale, le dogme et la liturgie.

Le XVIe siècle

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Pour Lillebonne, les guerres de Religion se finissent en , quand le capitaine de Bois-Rosé rallie la ville à Henri IV après sa conversion au catholicisme[17].

Chronologie d'ensemble

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D'après Jean Mesqui, Lillebonne a joué un rôle important dans l'histoire normande[18] :

  • Ier siècle : démarrage précoce de l'urbanisation, dès la période d'Auguste, suivie de la construction de l'amphithéâtre à la fin du Ier siècle.
  • IIe et IIIe siècles : développement urbain, avec extension maximale de la ville.
  • Fin du IIIe siècle : incendie et réduction conséquente de la surface de la cité. Construction de l'enceinte gallo-romaine (castrum).
  • XIe siècle : le château de Lillebonne fait partie des résidences préférées par les ducs de Normandie. Guillaume Le Conquérant y aurait rassemblé les nobles de Normandie pour décider de partir à la conquête de l'Angleterre en 1066. En 1080, le duc-roi tient un concile à Lillebonne.
  • 1162 : séjour au château d'Henri II Plantagenêt, qui y tient un concile.
  • Vers 1187 : le château est donné par Henri II Plantagenêt à Renaud de Dammartin.
  • 1211 : confiscation du château par Philippe Auguste et construction du donjon circulaire.
  • 1226 : Philippe Hurepel de Clermont, comte de Boulogne, confirme avoir reçu le château du roi Louis VIII.
  • Vers 1275 : Lillebonne passe à la maison d'Harcourt, par mariage de Jeanne, vicomtesse de Châtellerault, héritière de Mahaud de Dammartin, et de Jean II d'Harcourt, dit le Preux.
  • 1418 : le château est pris par les Anglais. Il est attribué à Thomas Beaufort, duc d'Exeter, puis, en 1422, à Jean de Lancastre, duc de Bedford, gouverneur de Normandie et régent de France.
  • 1449 : Charles VII reprend Lillebonne aux Anglais. Lillebonne revient à la famille d'Harcourt.
  • 1496 : Jean IV de Rieux, petit-fils de Jeanne d'Harcourt et de Jean III de Rieux, se voit confirmer la possession de Lillebonne à la suite d'un procès qui durait depuis un demi-siècle avec Marie d'Harcourt, sœur de Jeanne, et ses descendants.
  • 1517 : construction de l'église Notre-Dame en dehors de l'enceinte du castrum gallo-romain, afin de se trouver dans l'agglomération.
  • 1532 : Louise de Rieux apporte Lillebonne à René de Lorraine, marquis d'Elbeuf et comte de Brionne. La vicomté, puis comté de Lillebonne demeure ensuite dans les possessions des ducs d'Elbeuf. Charles II, banni en 1631, mourut en 1657 couvert de dettes, et pendant cinquante ans les créanciers et leurs descendants tentèrent de récupérer leurs mises.
  • 1701 : les créanciers des ducs d'Elbeuf vendent le comté de Lillebonne à Marie-Angélique Fabert, marquise de Mailleraye, épouse de François d'Harcourt, marquis de Beuvron, dont le fils Henri avait été promu duc d'Harcourt en 1700.
  • XVIIIe siècle : le comté de Lillebonne demeure dans les possessions de la famille d'Harcourt, jusqu'à François-Henri d'Harcourt, gouverneur de Normandie.
  • 1778 : visite de Louis XVI et Marie-Antoinette.
  • 1790 : M. Catel, curé de Lillebonne, devient le premier maire.
  • 1790 : émigration du duc d'Harcourt. Le domaine est vendu comme bien national et les terres servent à l'implantation d'usines. Le château est confisqué par la municipalité, qui le loue à un laboureur du Valasse. En 1802, le château est occupé par l'instituteur.
  • 1808 : le château est remis aux mains des descendants de Francois-Henri d'Harcourt.
  • 1823 :
  • 1829 : vente du château à Pierre-Abraham Levesque, manufacturier d'indiennes et de cotonnades.
  • 1856 : le projet de construction d'un port d'abordage est approuvé le  ; il reçoit le nom de Port-Jérôme[20].
  • 1861 : excursion à Port-Jérôme de l'empereur Napoléon III[21] (borne souvenir au passage d'eau du même nom de la visite d'inspection du dont Le Moniteur rend compte dans ses colonnes[22]).
  • 1871 : occupation par les Prussiens.
  • Seconde Guerre mondiale : occupation de la ville par les troupes allemandes.
  • 1944 : bombardement de la ville par l'aviation britannique.
  • 1955 : construction du premier groupe HLM.
  • 1982 : nouveau plan de circulation et aménagement piétonnier.
  • 2005 : aménagement plan de circulation et route du Patrimoine.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement du Havre du département de la Seine-Maritime.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Lillebonne[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bolbec

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

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Lillebonne était le siège de la communauté de communes de Port-Jérôme, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Caux vallée de Seine, transformée en 2016 en communauté d'agglomération. Celle-ci prend en 2017 le nom de Caux Seine Agglo, dont est donc membre la commune.

Tendances politiques et résultats

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Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Maritime[23], la liste DVD menée par Philippe Leroux obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 854 voix (51,25 %, 23 conseillers municipaux élus dont 7 communautaires), devançant très largement celles menées respectivement par[24] :
- Frédéric Noel (PS-PCF-EELV, 1 343 voix, 37,13 %, 5 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires) ;
- Mourad Bettahar (DVG, 420 voix, 11,61 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, 43,23 % des électeurs se sont abstenus.

Au premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste DVG menée par Christine Deschamps obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 242 voix (52,83 %, 22 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant de 133 voix celle DVD menée par le maire sortant Philippe Leroux, qui a recueilli 1 109 voix (1 109 voix (47,17 %, 7 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 59,76 % des électeurs se sont abstenus[25].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1789 1790 Catel    
1790 1792 Jean-Baptiste Derubey    
1792   Colard    
    Jean Vincent    
    Pierre-Etienne Gervais    
  1824 Guillaume Frossard    
1824 1837 Hébert    
1837 1840 Rouget    
1840 1843 Decaëns    
1843 1847 Pierre Pillet    
1847 1848 Grenet    
1848 1851 Gustave Lemaitre    
1851 1855 Henri Pinot    
1855 1856 Comonts    
1856 1860 Alfred Lemaitre    
1860 1870 Narcisse Pigné    
1870 1870 Comonts    
1870 1878 Bataille    
1878   Langer    
1882 1888 Florentin Lebigre    
1890 1910 Edmond Pigoreau[26],[27] Républicain Chevalier de la Légion d'honneur
1910 1919 Ernest Caron    
1922 1942 Henri Lemarcis Républicain  
1942 1944 Trançon    
1944 1945 Léon Deslandes MRP Notaire, et maire par intérim.
1945 1953 Flueury    
1953 1977 Léon Deslandes MRP Notaire
1977 1999 Paul Dhaille PS Professeur certifié
Député de la Seine-Maritime (6e circ.) (1986 → 1993 et 1997 → 2002)
Conseiller général de Lillebonne (1979 → 1992)
Président de la communauté de communes[réf. nécessaire]
1999 mars 2001 Michel Édouard PS informaticien
mars 2001[28] mars 2008 Philippe Leroux RPR puis UMP Ingénieur
Conseiller général de Lillebonne (1992 → 2004)
Président de la CC de Port-Jérôme (? → 2008)
mars 2008 avril 2014[29] Nicolas Beaussart PS Conseiller principal d'éducation
Conseiller général de Lillebonne (2004 → 2015)
Vice-président de la CC du Caux vallée de Seine (2008 → 2014)
avril 2014[30] mai 2020 Philippe Leroux UMP Cadre technique dans l'industrie chimique
Conseiller général de Lillebonne (1992 → 2004)
mai 2020[31] ,[32] En cours
(au 16 janvier 2024[33])
Christine Déchamps DVG Enseignante, suppléante du député PS Gérard Leseul

Équipements et services publics

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Eau et déchets

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Espaces publics

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Enseignement

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La commune relève de l'académie de Normandie. Lycée Guillaume-le-Conquérant.

Postes et télécommunications

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Justice, sécurité, secours et défense

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 8 729 habitants[Note 5], en évolution de −2,61 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5546006527722 9243 5803 6715 1245 144
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
5 0895 0955 0494 8155 3966 1086 7896 5006 450
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6 4256 1805 6565 4885 3735 3345 7755 9566 391
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
7 7579 61510 2419 6229 3109 7389 7699 6519 190
2014 2019 2021 - - - - - -
9 0188 7978 729------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,3 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 4 185 hommes pour 4 660 femmes, soit un taux de 52,69 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,90 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,0 
6,8 
75-89 ans
10,1 
14,2 
60-74 ans
16,2 
20,3 
45-59 ans
20,3 
17,2 
30-44 ans
16,1 
21,1 
15-29 ans
17,8 
19,5 
0-14 ans
17,5 
Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,8 
6,7 
75-89 ans
9,6 
16,7 
60-74 ans
18 
19,4 
45-59 ans
19 
18,5 
30-44 ans
17,5 
19,2 
15-29 ans
17,4 
18,9 
0-14 ans
16,7 

L' industrie pétrolière est présente dans le paysage de la commune, du fait de :

En outre, le bac de Port-Jérôme relie Lillebonne à la rive gauche de la Seine à hauteur de Quillebeuf-sur-Seine.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le théâtre antique de Lillebonne
  • Le théâtre antique :
    Le théâtre gallo-romain de Lillebonne a connu trois états de construction, d'après les connaissances actuelles, entre les Ier et IIIe siècles de notre ère. Elles ne sont pas encore entièrement datées, d'où l'utilité des fouilles archéologiques menées entre 2007 et 2010, par Vincenzo Mutarelli.
    Le premier état, aujourd'hui très partiellement dégagé, était semble-t-il un petit théâtre de type romain, qui fut vite remplacé par un autre édifice, plus grand, qui correspond aux états II et III identifiés par les archéologues. Cette évolution architecturale s'adapte à la demande, ce qui explique qu'il a la forme d'un « théâtre-amphithéâtre », c'est-à-dire qu'il possède un « orchestra » plus grand que pour un théâtre, pouvant servir d'arène, mais conserve un bâtiment de scène, aujourd'hui inaccessible car situé sous une route[40].
  • Le château ducal[41]
    Il s'est implanté à l'angle de l'ancienne cité gallo-romaine. Il en demeure aujourd'hui une tour maîtresse de Philippe Auguste[42](Logo monument historique Classée MH (1862)), qui a été modifiée dans ses parties hautes au XVe siècle. La tour octogonale date de la fin du XIIIe siècle ; elle peut être attribuée à Jean II d'Harcourt. La tour du Chartrier du XIIIe siècle a été transformée vers 1870 ; le magnifique logis roman, qui datait probablement d'Henri II, a été définitivement détruit en 1832, et une maison de maître[43] a été construite dans l'enceinte du château par Théodore Huchon[44], vers 1870, pour le propriétaire Pierre Gustave Lauger, sur le modèle du « château des Aygues » d'Étretat[45], construit quelques années auparavant pour Amédée Boyer, le propriétaire de l'eau de Mélisse[18].
L'église Notre-Dame.
  • L'église Notre-Dame[46] a été construite pour remplacer l'église Sainte-Marie-du-Château détruite à la fin de la guerre de Cent Ans. Elle a été consacrée en 1517. Le clocher est terminé en 1537 par Michel Delafosse, maçon, avec du calcaire de Plaimbosc et Antoine Cachedieu, charpentier. En 1540, le maçon Michel Delafosse exécute les meneaux des baies et termine la voûte de la tour avec le maçon Michel Combart. Le portail est refait en 1553 par Henry Deshayes, maçon. En 1562, les verrières cassées par les Protestants sont refaites par Joseph Gueroult. En 1594, Richard et Jehan Lemarchand réparent et refont des verrières. Les chapelles latérales de la nef sont construites à la fin du XVIe siècle. En 1622, une verrière (conservée) est faite par Jean Lemarchand peintre-verrier. En 1729 est construite la sacristie avec les matériaux du jubé et le berceau de la nef est refait. En 1825 le côté sud de la nef est refait avec les matériaux de démolition de l'église Saint-Denis par Louis Vessel, maçon. En 1873, l'architecte Simon reconstruit le chœur. En 1884, le clocher est restauré[47] Logo monument historique Classé MH (1846).
Le musée municipal
  • Le Juliobona, musée gallo-romain de Lillebonne.
    On peut admirer dans ce musée municipal des collections de poteries, de verrerie, de mobilier funéraire ainsi qu'une exposition de monnaies romaines parmi lesquelles un unique et très rare[48] denier de Galba trouvé dans la région.
    Au deuxième étage sont présentés des objets d'art et traditions populaires avec une large place à la poterie de Mélamare.
  • L'église-musée aménagée dans l'ancienne église du Mesnil, et consacrée à la minéralogie et aux fossiles trouvés essentiellement dans le pays de Caux Val de Seine.
  • Conservatoire à rayonnement départemental (CRD) de Caux Seine Agglo.

Lillebonne dans les arts et la culture

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Littérature

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Lillebonne est citée dans le poème d'Aragon, Le Conscrit des cent villages.

Plusieurs peintres ont été inspirés par Lillebonne :

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Lillebonne Blason
De gueules à deux fasces d'or[52].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Abbé Héronval, Lillebonne (Juliabona ou Juliobona), Paris-Auteuil, Imprimerie des orphelins-apprentis, , 502 p. (BNF 34120063, lire en ligne), sur Gallica.
  • Claude Lechevalier, Gérard Fosse, Jean-Pierre Watté, Eric Follain, Jacques Le Maho, Jean-Marie Cahagne, Alain Avenel et al, Lillebonne : des origines à nos jours, Lillebonne, Ville de Lillebonne, , 155 p. (ISBN 2950401805, BNF 35570454).

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Lillebonne comprend deux villes-centres (Lillebonne et Port-Jérôme-sur-Seine) et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Lillebonne ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Lillebonne » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Lillebonne - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Lillebonne - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Seine-Maritime » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. a b et c « Répertoire Géographique des Communes (Rev 2) - 2010 », sur le site de l'IGN.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Lillebonne et Petiville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Petiville » (commune de Petiville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Petiville » (commune de Petiville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Lillebonne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lillebonne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Ptolémée, Géographie, Livre II, 8, 11
  15. Comme Ambenay / Ambonnay qui vient de *ande-bona-ako ou Vienne (Autriche), de Vindobona « la ville blanche »
  16. « Specula ».
  17. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, présentation en ligne). p 388
  18. a et b Jean Mesqui, Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLII : Le château de Lillebonne, des ducs de Normandie aux ducs d'Harcourt, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 178 p. (ISBN 978-2-9510558-4-1 et 2951055846, présentation en ligne, lire en ligne [PDF]).
  19. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. in Rapports et délibérations / Conseil général de l'Eure, 1861.
  21. « Borne dite Borne Commémorative de Napoléon III », notice no IA00075987.
  22. Le Moniteur, no 150, .
  23. « Municipales à Lillebonne (76) : quatre candidats pour un fauteuil : Cette ville de 9.000 habitants semble attirer les convoitises. L'actuel maire PS ne se représente pas. Mais quatre têtes de listes s'affrontent », France 3 Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Nicolas Beaussart, maire PS de Lillebonne n'a pas obtenu la majorité au sein du PS pour se représenter. C'est donc Frédéric Noël qui part au combat à la tête d'une liste d'union PS-PRG-Front-de-Gauche-EELV. (...) En face, l'ancien maire UMP de Lillebonne Philippe Leroux se présente mais cette fois à la tête d'une liste sans étiquette ».
  24. Résultats officiels pour la commune Lillebonne
  25. « Seine-Maritime (76) - Lillebonne », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  26. « Notice LH d'Edmond Pigoreau », base Léonore, ministère français de la Culture.
  27. Bulletin Officiel du Ministère de l'Intérieur, Paris, (lire en ligne), p. 408.
  28. Blaise Diagne, « Saga des municipales : Lillebonne 2001, Philippe Leroux s’engage dans la brèche : Histoire. Les prochaines élections municipales auront lieu les dimanches 15 et 22 mars 2020. À l’approche de ce rendez-vous, « Paris-Normandie » ouvre son livre d’histoire politique locale et revient sur les scrutins précédents qui ont marqué les vingt-cinq dernières années. Pour chaque épisode, le récit d’une victoire ou d’une grande claque », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Philippe Leroux, chef de file sortant de l’opposition de droite lillebonnaise, lui a ravi la mairie dans un mouchoir de poche. 1 897 voix en sa faveur, contre 1 837 voix pour le maire socialiste sortant. Un coup de théâtre qui provoque alors le « chahut dans la salle », certainement parce qu’il met fin à 24 ans de mandature socialiste ».
  29. « Nicolas Beaussart : « Je ne me représente pas » : Dans cette interview, le maire de Lillebonne, Nicolas Beaussart, annonce qu'il ne briguera pas un second mandat. Il explique pourquoi et se lâche... », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Lillebonne : le nouveau maire multiplie les rendez-vous : Philippe Leroux multiplie les rendez-vous et les prises de contact pour mettre en œuvre, sans attendre, son programme… », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Lillebonne. Christine Déchamps, première femme maire de la ville », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consulté le ) « De son côté, Philippe Leroux faisait forcément grise mine. Le maire sortant, élu par deux fois auparavant (2001 et 2014), a finalement essuyé sa deuxième défaite après celle de 2008. Sans comparer ces deux échecs, il a insisté sur "le contexte particulier", intervenant au lendemain de l'allocution du Premier ministre et du passage au stade 3 dans la lutte contre le coronavirus  ».
  32. Laura Martin, « Municipales 2020. À Lillebonne, la nouvelle maire Christine Déchamps est installée : Mercredi 27 mai 2020, Christine Déchamps a pris ses fonctions de maire entourée de ses adjoints », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Christine Déchamps, première femme maire de Lillebonne, a été élue avec 22 voix et 7 votes blancs ».
  33. « Que sera l’année 2024 à Lillebonne ? La maire Christine Déchamps annonce des travaux « ambitieux » : Alors que l’année 2024 débute, nous avons demandé aux maires des plus importantes communes du pays de Caux de nous parler de leurs projets à travers quatre thématiques : la culture, les familles, les associations, l’aménagement du territoire. Aujourd’hui, Christine Déchamps, maire de Lillebonne. », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lillebonne (76384) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Seine-Maritime (76) », (consulté le ).
  39. http://www.exxonmobilchemical.com/public_pa/WorldwideEnglish/WhoWeAre/WhereWeOperate/EU/OC_who_operate_EU_NDG.asp
  40. Selon les rapports de M. Mutarelli : Etude préliminaire, Historique des fouilles, Rapport de fouilles programmées 2009.
  41. Notice no IA00075895.
  42. Notice no PA00100729.
  43. Notice no PA00100731.
  44. Théodore Huchon, 1824-1895, sur AGORHA.
  45. Notice no PA76000028.
  46. Notice no IA00075899.
  47. Notice no PA00100730.
  48. « Denier de Galba ».
  49. Société des Aquafortistes. Eaux-fortes modernes. Œuvres inédites sur Gallica - Vue 66
  50. (en) « ‘Lillebonne’, Joseph Mallord William Turner, c.1823 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Tate.org.uk.
  51. (en) « ‘The Castle at Lillebonne, Normandy’, Joseph Mallord William Turner, c.1832 », sur Tate.org.uk.
  52. « Blason de Lillebonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur GASO la banque du blason.