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William Empson

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Sir William Empson
Biographie
Naissance

Hawdon, dans le Yorkshire
Décès
(à 77 ans)
Londres
Nom de naissance
William Empson
Nationalité
Formation
Activité
Poète, critique littéraire, professeur d'université
Père
Arthur Reginald Empson (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Laura Mickelthwait (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Charles Empson (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Helta Crouse
Enfants
[William Hendrick] Mogador Empson (d)
Jacobus Arthur Calais Empson (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Mouvement
New Criticism
Distinctions
Œuvres principales

“Seven Types of Ambiguity” “Milton’s God” “The Structure of Complex Words” “The Gathering Storm”

“Some Versions of Pastoral”

Sir William Empson, né le au hameau de Yokefleet (Yorkshire) (en) à proximité de Hawden, non loin de Goole dans le Yorkshire, mort le , à Londres est un poète, critique littéraire, animateur de radio et professeur d'université britannique. Il s'est fait connaître et reconnaître par sa contribution au renouveau de la critique littéraire, notamment par le mouvement dit New criticism. Il est anobli en 1979.

Jeunesse et formation

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William Empson est né en 1906, il est le benjamin des cinq enfants de Arthur Reginald Empson (1853-1916), un propriétaire terrien, membre de la gentry du Yorkshire, magistrat et de Laura Mickelthwait Empson (1865-1944)[1],[2].

Après ses études primaires à Yorkfleeet, William Empson entre à la Folkestone Preparatory School dans le comté du Kent, brillant élève où il est le lauréat d'un prix de littérature anglaise, bien qu'il soit avant tout spécialisé en mathématiques. Grâce à l'obtention d'une bourse d'études, il peut se présenter au Winchester College où il est admis en 1920. En 1924, William Empson quitte le Winchester College avec un prix de mathématiques[1],[2].

L'université de Cambridge

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En 1925, William Empson est le bénéficiaire d'une bourse d'études qui lui permet de poursuivre des études de mathématiques au Magdalene College rattaché à l'Université de Cambridge. Son directeur de recherche est Arthur Stanley Ramsey (en), le père du mathématicien Frank Ramsey. William Empson passe les examens appelés Mathematical Tripos en 1926 à 1928 où il finit second de sa promotion[1].

Parallèlement, William Empson s'inscrit au cours de Ivor Armstrong Richards[3], l'auteur de Principles of Literary Criticism[4] publié en 1924 et de Science and Poetry publié en 1926[1]. En , il remporte un concours littéraire du Magdalene College comme premier un exploit remporté également par Muriel Bradbrook la même année. Ce prix permet à William Empson d'obtenir à nouveau une bourse pour finaliser ses études[1].

Le scandale

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William Empson est surpris comme détenteur de préservatifs, il est par ailleurs soupçonné de faire entrer une jeune femme dans sa chambre universitaire et d'y pratiquer des relations sexuelles. Le scandale déclenche, en urgence, une réunion des instances dirigeantes du Magdalene College. Il est décidé de le renvoyer de l'établissement, de lui retirer sa bourse d'études et d'effacer son nom sur tous les documents du Magdalene College[1],[5].

Années 1929-1930

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Après son expulsion du Magdalene College, William Empson emménage à Londres, où il décide de devenir un écrivain. Il étudie et développe sa connaissance des auteurs tels que T.S. Eliot, Virginia Woolf et Harold Monro (en)[1].

William Empson écrit de nombreux articles de recensions, de critiques de livres, de films et de pièces de théâtres pour la Cambridge Review et The Granta et lance avec Jacob Bronowski, Humphrey Jennings et Hugh Sykes Davies un magazine traitant de l'avant garde, la revue Experiment. William Empson devient le président d'une société The Heretics, un groupe d'échanges humanistes[1].

William Empson est, à son corps défendant, présenté comme un rival du poète W. H. Auden, or lui-même se considère comme un poète mineur. Ses premiers poèmes sont publiés en 1929 au sein de la revue Cambrige Poetry, éditée et diffusée par la maison d'édition Hogarth Press, fondée et dirigée par Leonard Woolf et Virginia Woolf. L'intensité métaphysique et la force émotionnelle qui se dégagent de sa poésie sont remarquées par le critique littéraire F. R. Leavis qui lui consacre un article dans la revue Cambridge Poetry où il considère William Empson comme le successeur du poète John Donne. La première édition de son recueil de critiques littéraires, Seven Types of Ambiguity (en), qu'il a commencé à rédiger en 1928 est édité en , essai qu'il oppose à l’esthétique de Ivor Armstrong Richards. Seven Types of Ambiguity est considéré comme le fondement du mouvement de critique littéraire dit New criticism[1].

Années 1931-1939

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Diffamé par le puritanisme, William Empson part au Japon en 1931 enseigner la littérature anglaise à l'Université de Tokyo. Les relations entre le Japon et le Royaume-Uni se dégradant, il part en 1934 enseigner à l'Université Nationale de Pékin, il y restera jusqu'en 1948, date à laquelle il est embauché comme professeur de littérature anglaise au Kenyon College à Gambier dans l'Ohio. Durant la Seconde Guerre mondiale, il travaille pour la BBC comme rédacteur en chef pour le département de l'Extrême-Orient[6].

En 1952, il se décide à rentrer au Royaume-Uni, après un bref passage au Gresham College de Londres, il accepte en 1953, un poste de professeur à l'Université de Sheffield, il y restera jusqu'à sa retraite en 1972[1].

Années 1940-1952

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Années 1952-1984

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Vie privée

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En 1941, il épouse Ester Henrietta "Hetta" Crouse[1].

William Empson décède chez lui le des suites d'une cirrhose du foie. Sa dépouille est incinérée, ses cendres sont dispersées sur les terres du cottage de son fils Jacob à Harwood Dale dans le Yorkshire du Nord[1],

Le Winchester College, crée la "William Empson Society" en 1986.

Recueils de poèmes

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Essais et critiques littéraire

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Correspondance

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Années 1930-1939

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  • « Reflection from Rochester », Poetry, vol. 49, no 2,‎ , p. 68-69 (2 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « A London Letter », Poetry, vol. 49, no 4,‎ , p. 218-222 (5 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Review: Foundations of Despair », Poetry, vol. 49, no 4,‎ , p. 228-231 (4 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Bacchus IV », Poetry, vol. 49, no 4,‎ , p. 188-189 (2 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Correspondence », Poetry, vol. 49, no 4,‎ , p. 237 (1 page) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Review: A Masterly Synthesis », Poetry, vol. 55, no 3,‎ , p. 154-157 (4 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),

Années 1940-1949

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  • « Bacchus III », Poetry, vol. 56, no 1,‎ , p. 18 (1 page) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Basic English and Wordsworth (A Radio Talk) », The Kenyon Review, vol. 2, no 4,‎ , p. 449-457 (9 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Thy Darling in an Urn », The Sewanee Review, vol. 55, no 4,‎ octobre - décembre 1947, p. 691-697 (7 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « The Structure of Complex Words », The Sewanee Review, vol. 56, no 2,‎ , p. 230-250 (21 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Emotions in Words Again », The Kenyon Review, vol. 10, no 4,‎ , p. 579-601 (23 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Review: The Horrors of "King Lear" », The Kenyon Review, vol. 11, no 2,‎ , p. 342+344-346+348+350-354 (10 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Fool in "Lear" », The Sewanee Review, vol. 57, no 2,‎ , p. 177-214 (38 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Review: A Doctrine of Aesthetics », The Hudson Review, vol. 2, no 1,‎ , p. 94-97 (4 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Donne and the Rhetorical Tradition », The Kenyon Review, vol. 11, no 4,‎ , p. 571-587 (17 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),

Années 1950-1959

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  • « The Verbal Analysis », The Kenyon Review, vol. 12, no 4,‎ , p. 594-601 (8 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  • « Wit in the Essay on Criticism », The Hudson Review, vol. 2, no 4,‎ , p. 559-577 (19 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Sense in the Prelude », The Kenyon Review, vol. 13, no 2,‎ , p. 285-302 (18 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Dover Wilson on "Macbeth" », The Kenyon Review, vol. 14, no 1,‎ , p. 84-102 (19 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « "Hamlet" When New », The Sewanee Review, vol. 61, no 1,‎ hiver 1952-1953, p. 15-42 (28 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « "Hamlet" When New (Part II) », The Sewanee Review, vol. 61, no 2,‎ , p. 185-205 (21 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Falstaff and Mr. Dover Wilson », The Kenyon Review, vol. 15, no 2,‎ , p. 213-262 (50 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Review: The Pride of Othello », The Kenyon Review, vol. 16, no 1,‎ , p. 163-166 (4 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Review: Still the Strange Necessity », The Sewanee Review, vol. 63, no 3,‎ juillet - septembre 1955, p. 471-479 (9 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « The Theme of Ulysses », The Kenyon Review, vol. 18, no 1,‎ , p. 26-52 (27 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Donne the Space Man », The Kenyon Review, vol. 19, no 3,‎ , p. 337-399 (63 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Tom Jones », The Kenyon Review, vol. 20, no 2,‎ , p. 217-249 (33 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),

Années 1960-1969

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  • « The Satan of Milton », The Hudson Review, vol. 13, no 1,‎ , p. 33-59 (27 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « A Defense of Delilah », The Sewanee Review, vol. 68, no 2,‎ avril - juin 1960, p. 240-255 (16 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Volpone », The Hudson Review, vol. 21, no 4,‎ hiver 1968-1969, p. 651-666 (16 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « The Alchemist », The Hudson Review, vol. 22, no 4,‎ hiver 1969 - 1970, p. 595-608 (14 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),

Années 1970-1984

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  • « Review: The Voice of the Underdog », The Journal of General Education, vol. 26, no 4,‎ , p. 335-341 (7 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Reading the Epic of Gilgamesh », The Journal of General Education, vol. 27, no 4,‎ , p. 241-254 (14 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • « Yeats and Byzantium », Grand Street, vol. 1, no 4,‎ , p. 67-95 (29 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),

Les archives de William Empson sont déposées à la bibliothèque Houghton Library de l'université Harvard[7] à la bibliothèque de l'Université de Sheffield[8].

Références

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  1. a b c d e f g h i j k et l (en-GB) Brian Howard Harrison (dir.), Lawrence Goldman (dir.) et John Haffenden, Oxford Dictionary of National Biography, vol. 18 : Ela-Fancourt, Oxford, Royaume-Uni, Oxford University Press, , 998 p. (ISBN 9780198614111, lire en ligne), p. 428-433
  2. a et b (en) « Sir William Empson | British critic and poet », Encyclopedia Britannica,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. (en) « I.A. Richards | British critic and poet », Encyclopedia Britannica,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. (en-GB) I. A. Richards, « Principles of Literary Criticism », sur archive.org.
  5. (en-US) John Gray, « It’s unfashionable to call someone a “genius” – but William Empson was one » Inscription nécessaire, sur The New Statesman, .
  6. (en-US) « William Empson | poetryarchive.org », sur poetryarchive.org (consulté le ).
  7. « William Empson papers », sur hollisarchives.lib.harvard.edu.
  8. « Empson Documents », sur Université de Sheffield.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Notices dans des encyclopédies et manuels de références

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  • (en-GB) Brian Howard Harrison (dir.), Lawrence Goldman (dir.) et John Haffenden, Oxford Dictionary of National Biography, vol. 18 : Ela-Fancourt, Oxford, Royaume-Uni, Oxford University Press, , 998 p. (ISBN 9780198614111, lire en ligne), p. 428-433. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,

Essais et biographies

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  • (en-US) J.H. Willis, William Empson, New York, Columbia University Press, coll. « Columbia Essays on Modern Writer » (no 39), , 56 p. (ISBN 9780231031318, OCLC 92115, lire en ligne),
  • (en-US) Roger Sale, Modern Heroism : Essays on D.H.Lawrence, William Empson, and J.R.R.Tolkien, Berkeley, Californie, University of California Press (réimpr. 1975, 2021) (1re éd. 1973), 284 p. (ISBN 9780520356580, OCLC 1152487580, lire en ligne),
  • (en-GB) Philip Gardner et Averil Gardner, The God approached : A commentary on the poems of William Empson, Londres, Chatto & Windus, , 232 p. (ISBN 9780701122133, OCLC 4297857, lire en ligne),
  • (en-GB) Christopher Norris, William Empson and the Philosophy of Literary Critics, Londres, Athlone Press (réimpr. 2000, 2014) (1re éd. 1978), 240 p. (ISBN 9781472509703, OCLC 4171603, lire en ligne),
  • (en-US) Paul H. Fry (préf. Christopher Norris), William Empson : Prophet Against Sacrifice, New York et Londres, Routledge, coll. « Critics of the Twentieth Century » (réimpr. 2014) (1re éd. 1991), 208 p. (ISBN 9781138009080, OCLC 23214188, lire en ligne),
  • (en-GB) John Constable, Critical Essays on William Empson, Aldershot, Royaume-Uni et Brookfield, Vermont, Scolar Press et Ashgate, coll. « Critical Thought Series » (no 3), , 584 p. (ISBN 9780859678841, OCLC 28215878, lire en ligne),
  • (en-GB) John Haffenden, William Empson, vol. 1 : Among the Mandarins, Oxford (Royaume-Uni) et New York, Oxford University Press (réimpr. 2009, 2023) (1re éd. 2005), 720 p. (ISBN 9780199276592, OCLC 1264806410),
  • (en-GB) John Haffenden, William Empson, vol. 2 : Against the Christians, Oxford (Royaume-Uni) et New York, Oxford University Press (réimpr. 2009) (1re éd. 2006), 846 p. (ISBN 9780199539925, OCLC 608623371, lire en ligne),

Articles anglophones

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  • Elder Olson, « William Empson, Contemporary Criticism and Poetic Dictio », Modern Philology, vol. 47, no 4,‎ , p. 222-252 (31 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Roger Sale, « The Achievement of William Empson », The Hudson Review, vol. 19, no 3,‎ , p. 369-390 (22 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Veronica Forrest-Thomson, « Rational Artifice: Some Remarks on the Poetry of William Empson », The Yearbook of English Studies, vol. 4,‎ , p. 225-238 (14 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Barbara Hardy, « William Empson and "Seven Types of Ambiguity" », The Sewanee Review, vol. 90, no 3,‎ , p. 430-439 (10 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • M. C. Bradbrook, « Sir William Empson (1906-1984): A Memoir », The Kenyon Review, New Series, vol. 7, no 4,‎ , p. 106-115 (10 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • George Watson, « Prophet against God: William Empson (1906-84) », The Hudson Review, vol. 49, no 1,‎ , p. 75-86 (12 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Clara Claiborne Park, « Ambiguities, Complexities, Puzzles: A Late Encounter with William Empson », The Hudson Review, vol. 59, no 1,‎ , p. 53-65 (13 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Clive James, « William Empson », Poetry, vol. 200, no 1,‎ , p. 64-65 (2 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Bejamin Kohlman, « An Honest Decade: William Empson and the Ambiguities if Writing in the 1930s », ELH, vol. 80, no 1,‎ , p. 221-249 (29 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • (en-US) John Gray, « It’s unfashionable to call someone a “genius” – but William Empson was one » Inscription nécessaire, sur The New Statesman, . Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Michael Gavin, « Vector Semantics, William Empson, and the Study of Ambiguity », Critical Inquiry, vol. 44, no 4,‎ , p. 641-673 (33 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),

Liens externes

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