Arenzano
Arenzano | |
Place en centre-ville. | |
Armoiries |
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Administration | |
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Pays | Italie |
Région | Ligurie |
Ville métropolitaine | Gênes |
Code postal | 16011 |
Code ISTAT | 010001 |
Code cadastral | A388 |
Préfixe tel. | 010 |
Démographie | |
Gentilé | arenzanesi |
Population | 11 094 hab. (31-07-2023[1]) |
Densité | 462 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 24′ 00″ nord, 8° 41′ 00″ est |
Superficie | 2 400 ha = 24 km2 |
Divers | |
Saint patron | Santi Nazario e Celso |
Fête patronale | 28 juillet |
Localisation | |
Localisation dans la province de Gênes. | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
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Arenzano est une commune italienne de la ville métropolitaine de Gênes dans la région Ligurie en Italie.
Géographie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Patrimoine bâti
[modifier | modifier le code]La villa Negrotto-Cambiaso, dite aussi villa Sauli Pallavicino est construite en 1558 pour le marquis Tobias Pallavicino. Vers 1880, la marquise Luisa Sauli Pallavicino transforme l'ancienne maison de campagne, à vocation essentiellement agricole, en petit château néo-médiéval agrémenté d'un parc à l'anglaise que protège un mur d'enceinte. En 1931, le jardin est enrichi d'une serre monumentale par la marquise Mathilde Negrotto Cambiaso. La Municipalité d'Arenzano acquiert en 1981 cette propriété et la villa devient hôtel de ville[2].
Églises
[modifier | modifier le code]Église paroissiale
Parmi les diverses églises présentes sur le territoire de la commune, l'église paroissiale SS Nazario e Celso est dédiée aux saints Nazaire et Celse. Elle remonte dans son expression baroque actuelle à un projet de 1703 dessiné par un architecte ligure, le père Marino dall'Assunta, religieux augustinien né Antonio Maria Ricca. L'église, richement ornée de stucs et décors peints, a gravement souffert d'un bombardement le qui a entraîné de lourdes pertes artistiques. La reconstruction a duré près de cinquante ans, chantier durant lequel on a apporté quelques modifications à l’œuvre originale, notamment lors de la reconstruction de l'immense coupole incendiée, rétablie un peu plus haute que précédemment. Elle était ornée d'un décor peint dû à Francesco Semina (1832-1883), décor qui a été fidèlement reproduit par Ernesto Massiglio (1895-1974). Il illustre l'Ascension de Jésus[3].
Sanctuaire du Bambino Gesù de Prague
Le sanctuaire de l'Enfant-Jésus de Prague est tenu par les Carmes. Ce sanctuaire est original en raison de sa facture moderne et de son titre. La dévotion à l’Enfant Jésus remonte notamment à sainte Thérèse de Jésus († 1582) et saint Jean de la Croix (†1591) qui l’introduisent chez les Carmes. La statuette de l’Enfant Jésus de Prague, donnée aux Carmélites de Prague en 1628 est devenue particulièrement importante parmi les lieux consacrés à cette dévotion. A la même époque en France, au carmel de Beaune, la vénérable Marguerite du Saint-Sacrement développe elle aussi à partir des années 1630 la vénération à l’Entant Jésus et au « Petit Roi de Grâce ». A Arenzano, le culte de l’Enfant Jésus de Prague commence en 1900, grâce à un petit tableau exposé par les carmélites dans leur modeste église. Dès lors se développe un extraordinaire mouvement de dévotion et l’affluence croissante des fidèles nécessite en 1904-1908 la construction du sanctuaire, le premier au monde à être dédié principalement à l’Enfant Jésus[4].
Au cours du XXe siècle, la dévotion à l'Enfant Jésus de Prague a pu se développer encore mieux ici du fait de la fermeture de la moitié orientale de l'Europe pendant l'époque du communisme soviétique. L'affluence des fidèles est importante et régulière, surtout le premier dimanche de septembre pour le grand pèlerinage qui attire des croyants par cars entiers.
Economie
[modifier | modifier le code]Fêtes, foires
[modifier | modifier le code]Administration
[modifier | modifier le code]Terralba, Terrarossa, Campo, Gazo, Cantarena, Comunione Privata della Pineta
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- (it) Popolazione residente e bilancio demografico sur le site de l'ISTAT.
- Source: plaque explicative posé par la commune à l'entrée de la propriété.
- Source:plaque explicative posée dans l'église.
- Source : dépliant offert aux visiteurs de l’église.