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Attaque de Bourzanga

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Attaque de Bourzanga

Informations générales
Date
Lieu Bourzanga
Issue Victoire franco-burkinabée
Belligérants
Drapeau du Burkina Faso Burkina Faso
Drapeau de la France France
Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans
Forces en présence
Drapeau du Burkina Faso
100 hommes[1]
1 hélicoptère Mi-24[2]

Drapeau de la France
2 avions Mirage 2000[2]

100 à 200 hommes[3],[4]
Pertes
Drapeau du Burkina Faso
5 morts[3]
10 blessés[3]

35 à 45 morts[2],[1]

Insurrection djihadiste au Burkina Faso

Batailles

Coordonnées 13° 40′ 41″ nord, 1° 32′ 46″ ouest
Géolocalisation sur la carte : Burkina Faso
(Voir situation sur carte : Burkina Faso)
Attaque de Bourzanga
Géolocalisation sur la carte : Afrique
(Voir situation sur carte : Afrique)
Attaque de Bourzanga
Géolocalisation sur la carte : Monde
(Voir situation sur carte : Monde)
Attaque de Bourzanga

L'attaque de Bourzanga a lieu le lors de l'insurrection djihadiste au Burkina Faso.

Déroulement

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Le , à 5 heures du matin, les djihadistes lancent une attaque contre un détachement militaire burkinabè à Bourzanga[3]. D'après une source militaire de RFI, les assaillants sont au nombre d'une centaine et appartiennent au Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM)[3]. Cette source indique également que : « L'information d’une attaque contre le détachement était déjà lancée depuis quelques jours. Ce qui a permis aux soldats d’être plus en alerte dans la riposte »[3]. Dans son communiqué, l'armée française évalue quant à elle à 200 le nombre des djihadistes[4]. Le détachement burkinabè compte quant à lui une centaine d'hommes[1].

L'attaque est repoussée grâce à l'arrivée de forces aériennes qui viennent appuyer les troupes au sol[3],[2]. Les burkinabés engagent un hélicoptère Mi-24 et les Français de la force Barkhane une patrouille de chasseurs Mirage 2000, venus de Niamey, au Niger[2],[4].

L'état-major général des armées burkinabè donne initialement un bilan d'« au moins trente terroristes abattus »[3].Le bilan passe ensuite à 35 djihadistes tués[2],[4]. Les corps de dizaines d'assaillants sont diffusés sur la télévision nationale[5]. Un véhicule blindé, une quarantaine de motos, deux pick-up et de nombreuses armes sont également capturés[4].

L'armée française évoque quant à elle de « lourdes pertes aux terroristes »[4]. Le colonel Pascal Ianni, porte-parole des armées, fait état d'au moins 45 djihadistes « neutralisés »[1].

Du côté des forces burkinabè, les pertes sont de cinq tués et dix blessés[3].

Notes et références

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