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Beaubec-la-Rosière

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Beaubec-la-Rosière
Beaubec-la-Rosière
Vue de l'abbaye de Beaubec en 1750.
Blason de Beaubec-la-Rosière
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes des Quatre Rivières
Maire
Mandat
Roger Décarnelle
2020-2026
Code postal 76440
Code commune 76060
Démographie
Gentilé Beaubécais
Population
municipale
474 hab. (2021 en évolution de −4,44 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 38′ 47″ nord, 1° 31′ 52″ est
Altitude Min. 108 m
Max. 201 m
Superficie 12,97 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Beaubec-la-Rosière
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Beaubec-la-Rosière

Beaubec-la-Rosière est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie

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Description

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Carte de la commune.

Beaubec-la-Rosière est un village rural et boisé normand du Pays de Bray, desservi par l'ancienne route nationale 314 (actuelle RD 1314) qui relie Forges-les-Eaux à Eu. Il est situé à une cinquantaine de kilomètres au nord-ouest de Beauvais, à 45 km au sud-est de Dieppe et de la Manche et à une quarantaine de kilomètres au nord-est de Rouen.

La commune est traversée par l'avenue verte, itinéraire cyclable qui relie Paris à Londres, et emprunte ici l'emprise de l'ancienne ligne de Saint-Denis à Dieppe.

L'avenue verte et l'ancien passage à niveau

Communes limitrophes

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Hydrographie

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Beaubec-la-Rosière est drainé par l'Orson, un sous-affluent du fleuve côtier l'Arques par le Sorson puis la Béthune.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 875 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Forges-les-Eaux à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 860,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Beaubec-la-Rosière est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (63,4 %), forêts (26,9 %), terres arables (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %), zones urbanisées (0,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous la forme Belbech en 1143[13].

Le premier élément Bel- s'explique par l'ancien français bel « bel, beau », le second -bech, par l'ancien normand bec « ruisseau », issu du vieux norrois bekkr de même sens[13]. Le sens global est donc celui de « beau ruisseau ». Ce type de composé avec un adjectif d'origine latine et un appellatif d'origine scandinave est caractéristique de la toponymie normande et reflète l'intégration de nombreux termes d'origine scandinave dans la langue romane vernaculaire (cf. Belbeuf, le Becquet, etc.[14]).

Le déterminant complémentaire la Rosière a été ajouté au moment de la fusion entre les anciennes paroisses de Beaubec-la-Ville et la Rosière[Note 2] en 1823, il signifie vraisemblablement « la roselière »[15], l'ancien français ros signifiant effectivement « roseau », dérivé avec le suffixe locatif -ière.

Fondation en 1127 par Hughes II de Gournay de l'abbaye de Belbech, fille de l'abbaye de Savigny, réunie à l'Ordre cistercien en 1148 et qui devint en un siècle mère de neuf couvents et d'un hospice. Elle abritait les reliques de saint Hélier, martyrisé à Jersey au VIe siècle.

L'abbaye a été détruite par un incendie en 1383 et partiellement reconstruite aux XVe et XVIIIe siècles. L'abbaye a été pillée, vendue et démolie lors de la Révolution française. En dehors de la chapelle Sainte-Ursule, il n'en reste plus que quelques traces de l'infirmerie, de la ferme, du parloir et des dépendances.

À quelques kilomètres de là, on peut encore voir un ensemble rural à Saint-Arnoult, dans le canton de Formerie, connu sous le nom de prieuré, qui fut une dépendance de l'abbaye de Beaubec.

L'abbé de Beaubec possédait des biens considérables dans cette région de l'Oise voisine de la Seine-Maritime. Jusqu'au XVIIIe siècle, l'abbé de Beaubec est seigneur pour partie de Saint-Arnoult.

Cette ancienne dépendance abbatiale se présente sous la forme d'une exploitation agricole dont les bâtiments sont disposés autour d'une grande cour carrée. Un incendie a fait disparaître en 1976 les deux tiers des bâtiments. Le plus ancien a été épargné. C'est un logis en pan de bois de la fin du XVe siècle qui présente deux niveaux d'encorbellements sculptés de motifs parfaitement conservés.

C'est une propriété privée ouverte au public[16].

Au XVIIIe siècle

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Vue de l'abbaye de Beaubec en 1696 (dessin de Louis Boudan).

Au XVIIIe siècle, l'abbaye acquiert le prieuré de Saint-Arnoult, situé sur la commune éponyme[17]. Treize religieux sont recensés à l'abbaye en 1768[18].

Fermeture à la Révolution

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L'abbaye est pillée pendant la Révolution. En 1791, elle est vendue comme bien national et détruite peu après[19].

Carte postale du village vers 1925.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Forges-les-Eaux[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Gournay-en-Bray

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

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Beaubec-la-Rosière était membre de la communauté de communes du canton de Forges-les-Eaux, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001.

Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes des Quatre Rivières dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 10 août 2020)
Roger Décarnelle SE Réélu pour le mandat 2020-2026[21]

Politique de développement durable

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En 2020, une tourbière de 2 hectares sur une propriété privée est réhabilitée grâce à un partenariat entre le pôle d'équilibre territorial et rural (PETR) du Pays de Bray (en tant qu’animateur du site Natura 2000 « Pays de Bray humide  ») et la fédération départementale des chasseurs de Seine-Maritime, permettant le développement de la biodiversité, puisqu'on des observe des amphibiens notamment, des bécassines et beaucoup de passages d’animaux sauvages tout en assurant une fonction de rétention de l'eau[22]

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 474 habitants[Note 3], en évolution de −4,44 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
580615572614602619630637647
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
624585635651663631640620563
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
571576536540572556539560491
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
519466361328312394449479500
2021 - - - - - - - -
474--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La chapelle de l'Abbaye.
  • Chapelle Sainte-Ursule, anciennement abbaye de Beaubec.
  • Chapelle (la Rosière).
  • Église de la Sainte-Trinité (Beaubec-la-Ville).
  • Motte et basse-cour fossoyée de Beaubec-la-Rosière. Elle est située au nord-ouest, dans la forêt, sur la colline dominant le hameau de la Rosière[26].
  • Monument aux morts (1921).

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Armes de Beaubec-la-Rosière

Les armes de la commune de Beaubec-la-Rosière se blasonnent ainsi :

Écartelé : au 1er parti au I d'azur à trois fleurs de lis d’or, au II de gueules à trois léopards d’or, l'un au-dessus de l'autre, armés et lampassés d'azur, au 2e parti au I de sable plain, au II d'argent à trois fasces entées-ondées de gueules, au 3e fascé de gueules et d'argent de huit pièces, au 4e de gueules à trois maisons d'or ; sur le tout, de gueules à la fasce ondée d'argent accompagnée de deux léopards d'or, armés et lampassés d’azur.

Création Roger Decarnelle. Adopté en 2014.

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Attestée sous les formes de Roseria vers 1240 ;de Rosaria en 1246 ; Roseria en 1337 ; La Rosière en 1431.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Beaubec-la-Rosière et Forges-les-Eaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Forges » (commune de Forges-les-Eaux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Forges » (commune de Forges-les-Eaux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Beaubec-la-Rosière ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 38.
  14. Ibid. p. 40
  15. Ibid. p. 130.
  16. Site des propriétaires du prieuré
  17. « Prieuré de Saint-Arnoult », sur prieuredesaintarnoult.net, Prieuré de Saint-Arnoult (consulté le ).
  18. « Abbaye Saint-Laurent de Beaubec. Beaubec-la-Rosière, Seine-Maritime », sur data.bnf.fr, Bibliothèque nationale de France (consulté le ).
  19. « Les abbayes de Seine Maritime »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur gheb.pagesperso-orange.fr, Groupe d'Histoire et d'études de Bihorel (consulté le ).
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Liste des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
  22. Sébastien Aliome, « Beaubec-la-Rosière. Une tourbière de 2 hectares réhabilitée grâce à un partenariat qui porte ses fruits : Quand le Pôle d’équilibre territorial et rural du Pays de Bray et la Fédération départementale des chasseurs de Seine-Maritime œuvrent main dans la main, cela donne de beaux résultats comme la réhabilitation d’une tourbière à Beaubec-la-Rosière », Le Réveil de Neufchâtel, édition Pays de Bray, no 3683,‎ , p. 37.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 28e éd. (1re éd. 1979), 1304 p. (ISBN 2-86535-070-3, OCLC 1078727877), p. 117 (Beaubec-la-Rosière).