Bouelles
Bouelles | |||||
Le château et le clocher de l'église. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | CC Communauté Bray-Eawy | ||||
Maire Mandat |
Gilles Cobert 2020-2026 |
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Code postal | 76270 | ||||
Code commune | 76130 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bouellais | ||||
Population municipale |
272 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 34 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 42′ 51″ nord, 1° 29′ 47″ est | ||||
Altitude | Min. 89 m Max. 234 m |
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Superficie | 7,99 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Neufchâtel-en-Bray (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Neufchâtel-en-Bray | ||||
Législatives | 6e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Bouelles est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Géographie
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 852 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 838,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,4 | 1,8 | 3,5 | 5,8 | 8,3 | 11,3 | 13,2 | 13,2 | 11,3 | 8,9 | 5,2 | 2,4 | 7,2 |
Température moyenne (°C) | 3,6 | 4,3 | 6,7 | 10,1 | 12,6 | 15,9 | 18 | 17,6 | 15,3 | 11,9 | 7,5 | 4,6 | 10,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,8 | 6,8 | 9,9 | 14,4 | 16,9 | 20,6 | 22,9 | 22 | 19,3 | 14,8 | 9,9 | 6,7 | 14,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−11,2 18.01.13 |
−11,3 12.02.12 |
−6,4 13.03.13 |
−3,3 06.04.21 |
1,2 03.05.21 |
4,2 01.06.06 |
8 03.07.11 |
7,3 21.08.14 |
4,2 30.09.18 |
−0,3 23.10.07 |
−5 29.11.10 |
−7,9 31.12.16 |
−11,3 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
13,8 29.01.13 |
17,6 27.02.19 |
22,6 31.03.21 |
25,6 19.04.18 |
27,1 15.05.22 |
34,6 18.06.22 |
39 25.07.19 |
35,5 09.08.20 |
32,3 09.09.23 |
27,5 01.10.11 |
19,2 07.11.15 |
15,2 30.12.22 |
39 2019 |
Précipitations (mm) | 74,5 | 67,9 | 60,7 | 43,1 | 74,9 | 59,2 | 59,1 | 82,3 | 58 | 80,9 | 81,9 | 95,9 | 838,4 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bouelles est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Neufchâtel-en-Bray, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,7 %), prairies (42,5 %), forêts (7,6 %), zones urbanisées (3,1 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 126, alors qu'il était de 124 en 2014 et de 102 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 87,6 % étaient des résidences principales, 6,6 % des résidences secondaires et 5,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bouelles en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,6 %) supérieure à celle du département (4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,1 % en 2014), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Bouelles[I 2] | Seine-Maritime[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 87,6 | 87,8 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 6,6 | 4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 5,8 | 8,2 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes de Bouellis en 1143 ; Boeles en 1180 ; de Boellis fin du XIIe siècle (Archives départementales de la Seine-Maritime, 14 H) ; Boeules en 1350 (Ordonnance des Rois de France II, 404) ; Bouelles en 1626 (Arch. S.-M., II B 427.) ; Bouelle en 1629 ; Bouesles en 1788 ; Bouelle en 1757 (Cassini), Bouelles en 1953[11],[12].
Il s'agit d’une formation toponymique médiévale qui représente la fixation du nom commun anglo-saxon bothel (bōþl, bōthl) « maison » au féminin pluriel -s (voir les appellatifs anglo-saxons et anglo-scandinaves en -s comme Tôtes, Écalles, Boos, etc.)[12], à moins d'y voir le vieux norrois bœli « ferme, habitation »[13], comme pourrait le laisser penser l'absence d'attestation d’un -t- dans les formes anciennes. Cependant, François de Beaurepaire, René Lepelley et Jean Renaud excluent cette éventualité dans leurs ouvrages respectifs sur la toponymie normande et valident la première hypothèse. En effet, au XIIe siècle date de l'attestation la plus précoce connue, le -t- intervocalique s'était déjà régulièrement amuï en langue d'oïl et [la forêt de] Longboel (Seine-Maritime) contient effectivement cet élément bothel, puisqu'elle est encore mentionnée sous la forme [Consuetudines totius silvae quae] Longum Bothel [dicitur] en 1068 et il existe quelques Longboel dans les environs de Bouelles, dont les formes anciennes, au singulier, sont similaires à celles de cette dernière[11].
Homonymie avec Bothel (Angleterre, Cumbria) basé également sur le vieil anglais bōthl[14].
Histoire
[modifier | modifier le code]On mentionnait en 1852 que subsistait un stativa ou petit camp de forme circulaire datant de l'occupation romaine[15], cependant l'exhaustif Carte archéologique de la Gaule ne mentionne aucun ouvrage particulier sur le territoire de la commune[16].
Lambert de Bouelles a combattu en 1066 à la bataille d’Hastings, aux côtés de Guillaume le Conquérant. Pour le récompenser, il lui a donné des terres en Angleterre[17]. On dénombre plus d'une trentaine de seigneur de Bouelles[17]. Les premiers sont peut-être liés à la motte féodale de l'actuel hameau de Cornemesnil[17].
Bouelles, sous l'Ancien régime, était une paroisse de l'archidiaconé d'Eu, du doyenné, de la vicomté et de l'élection de Neufchâtel-en-Bray[15].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Neufchâtel-en-Bray[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 23 à 70 communes.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la communauté de communes du Pays Neufchâtelois créée au , et qui succédait au SIVOM de Neufchâtel-en-Bray, constitué en 1977.
Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les intercommunalités à fiscalité propre doivent avoir, sauf exception, au moins 15 000 habitants, le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) adopté en octobre 2016[19] prescrit la fusion de la communauté de communes la communauté de communes de Saint-Saëns-Porte de Bray et huit communes issues de la communauté de communes du Bosc d'Eawy pour former au la communauté Bray-Eawy, dont la commune est désormais membre.
Politique locale
[modifier | modifier le code]La commune, ainsi que celles de Graval, Nesle-Hodeng, Neuville-Ferrières et Saint-Saire ont engagé en 2016 une réflexion en vue de se regrouper pour former une commune nouvelle, qui aurait pu voir le jour au [20],[21]. Bouelles, qui avait été initialement intéressée par cette démarche, a décidé de s'en retirer à l'été 2017[22].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].
En 2021, la commune comptait 272 habitants[Note 2], en évolution de −1,45 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Les enfants de la commune sont scolarisés dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal administré par le SIVOS de la Béthune qui regroupe Saint-Saire, Nesle-Hodeng, Bouelles et Neuville-Ferrières. Pour l'année scolaire 2016-2017, le SIVOS assure l'enseignement primaire de 191 élèves de la maternelle au CM2[31].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le château, transformé en bâtiment de ferme, contient un colombier[15] décoré de motifs en frises[32],[33].
- L'église Saint-Martin des XIIe et XVIe siècles, avec une charpente sculptée lambrissée du XVIe siècle[34], contient quatre blasons polychromes des quatre familles qui furent seigneurs de Bouelles ; de Chenevelles, de Pardieu, dont un blason ; d'azur au sautoir de ??? accompagné de quatre aigles d'or. L'édifice a été remanié en 1780, comme l'atteste une pierre visible depuis la rue, sur le mur extérieur de la sacristie, adossée au chevet plat. La porte latérale, sur la façade Sud, est protégée par un auvent, dont la partie haute - sous les tuiles - est aménagée en une sorte de petit grenier dont la fonction reste à déterminer.
L'église comprend une statue de la Vierge à l'Enfant en bois taillé du XIVe siècle[35],[36], de sainte Barbe[37], de sainte Catherine d'Alexandrie[38], de saint Nicolas[39] du XVIe siècle
- L'ancien presbytère date de 1736.
-
Le colombier.
-
Détail du mur extérieur de la sacristie, portant la date de 1780.
-
L'ancien presbytère.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Abbé Marin-Louis Hiard, Histoire de Bouelles (Seine-Inférieure), Hachette Bnf, coll. « Histoire », (1re éd. 1908-1913), 44 p. (ISBN 2329657145).
- Hervé Morisset, Bouelles, 1 000 ans d'histoire, (présentation en ligne).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- « Dossier complet : Commune de Bouelles (76130) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Bouelles »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Bouelles » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Bouelles ».
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Bouelles » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Bouelles - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Bouelles - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Seine-Maritime » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Station Météo-France commune d'Ectot-lès-Baons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France commune d'Bouelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Neufchâtel-en-Bray », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 122-568 [1].
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 50
- Ghislain Gaudefroy, Survivances de l'empreinte norroise dans la partie orientale de la Seine-Maritime (ancien pays du Talou) : L'apport de la micro-hydronymie et de la toponymie, vol. 35-36, coll. « Nouvelle revue d'onomastique », , p. 240.
- (en) A. D. Mills, A Dictionary of British Place Names, Oxford University Press, (ISBN 9780199609086), p. 101.
- N.-R. Potin de La Mairie, Recherches ...sur les possessions des Sires normands de Gournay, le Bray normand et le Bray picard, et sur toutes les communes de l'arrondissement de Neufchâtel, t. 1, Gournay-en-Bray, Letailleur-Andrieux, imprimeur,, , 284 p. (lire en ligne), p. 181-182.
- Isabelle Rogeret, « La Seine-Maritime - 76 » in Carte archéologique de la Gaule. Préinventaire archéologique publié sous la responsabilité de Michel Provost, Fondation Maison des Sciences de l'Homme, Paris, 1997
- « Dans le pays de Bray, il retrace 1 000 ans d’histoire du village de Bouelles », sur Paris-Normandie,
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « La Seine-Maritime adopte sa nouvelle carte des intercommunalités et dit « oui » au futur pôle métropolitain de l’estuaire de la Seine », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- « Nesle-Hodeng : la réfection du centre du village en ligne de mire », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- Laurent Hellier, « Une fusion en commune nouvelle : Graval, Nesle-Hodeng, Neuville-Ferrières, Saint-Saire : les tractations ont commencé pour former une nouvelle commune. les contours du mariage restés longtemps secrets se dévoilent peu à peu », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3513, , p. 10.
- Laurent Hellier, « 100 % du conseil a dit non à la fusion des communes : Bouelles a dit non très tôt à la fusion des communes (avec Nesle-Hodeng, Saint-Saire, Neuville-Ferrières et Graval) », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ) « Ce travail, je l’avais commencé sur ma commune en invitant les habitants à se prononcer sur une fusion. 85 % des participants s’y étaient opposés. Et au conseil municipal, 70 % des élus étaient contre. 10 % y étaient favorables et 20 % étaient indécis » énumère le maire de Bouelles, Gilles Cobert ».
- « Jean, Marie, Charles Thureau-Dangin », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
- « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République », Journal officiel de la République française, , p. 5746.
- Sébastien Aliome, « Le maire d'une petite commune de Seine-Maritime est venu présenter ses fonctions d'élu aux élèves : À l'initiative d'Alexandra, l'enseigne de la classe de CE2 de Bouelles, c'est une belle rencontre qui a eu lieu il y a quelques jours entre les élèves et le maire de la commune », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ) « J'ai aujourd'hui 64 ans et j'ai été élu maire en 2001, après avoir été adjoint depuis 1995 ».
- Laurent Hellier, « Près de Neufchâtel-en-Bray, Gilles Cobert lance un cri d'alarme et annonce la mort des villages ruraux : Gilles Cobert, maire de Bouelles craint que les villages deviennent des cités-dortoirs. Son appel au président du Pole d'équilibre territorial et rural (PETR) est un cri d'alarme », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
- « Réélu maire, Gilles Cobert dévoile ses priorités : Réélu maire, Gilles Cobert repart pour un 4e mandat à Bouelles, commune de 284 habitants », Le Réveil, édition Pays de Bray, no 3663, , p. 15.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Le Sivos de la Béthune fait son carnaval ce jeudi 6 avril 2017 : C'est carnaval aujourd'hui jeudi 6 avril 2017 pour les écoliers du Sivos de la Béthune (Saint-Saire, Nesle-Hodeng, Bouelles et Neuville-Ferrières) », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- « Photographie : [Château de Bouelles] : [détail du colombier : appareil] », Fonds Marcel Maillard, (consulté le ), sur Gallica.
- « Photographie : Château de Bouelles : [colombier] », Fonds Marcel Maillard, (consulté le ), sur Gallica.
- « L'église Saint-Martin », notice no PA76000002, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Statue (grandeur nature) : Vierge à l'Enfant », notice no PM76002737, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Statue (grandeur nature) : Vierge à l'Enfant », notice no PM76000267, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Statue (grandeur nature) : Sainte Barbe », notice no PM76002736, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Statue (grandeur nature) : Sainte Catherine d'Alexandrie », notice no PM76002735, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Statue (grandeur nature) : Saint Nicolas », notice no PM76000268, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.