Chimamanda Ngozi Adichie
Naissance |
Enugu, État d'Enugu, Nigeria |
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Nationalité | Nigériane |
Diplôme |
Eastern Connecticut State University (LIC) Johns Hopkins University (MA) Yale University (MA) |
Activité principale | |
Distinctions |
MacArthur Fellowship (2008) Prix international Nonino (2009) Prix PEN Pinter (2018) |
Conjoint |
Ivara Esege (2009-) |
Famille |
Père : James Nwoye Adichie (1932-2020) Mère : Grace Ifeoma (1942-2021) 1 fille (2016-) |
Langue d’écriture | Anglais (Nigeria) |
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Genres |
Œuvres principales
- L'Hibiscus pourpre (2003)
- L'Autre Moitié du soleil (2006)
- Americanah (2013)
- Nous sommes tous des féministes (2012)
- Cher ijeawele (2017)
Chimamanda Ngozi Adichie, née le à Enugu, est une écrivaine nigériane originaire d’Abba dans l’État d'Anambra, au sud-est du Nigeria. Elle a reçu plusieurs prix universitaires et littéraires, et est également connue comme militante féministe et essayiste.
Biographie
[modifier | modifier le code]Études
[modifier | modifier le code]Née dans la ville d’Enugu, elle a grandi dans la ville universitaire de Nsukka au sud-est du Nigeria, où est implantée l’université du Nigeria (UNN, University of Nigeria, Nsukka) depuis 1960. Elle est la cinquième d'une famille igbo de six enfants[1]. Durant son enfance, son père enseignait à l’UNN comme professeur de statistiques, et sa mère était la responsable du bureau de la scolarité de l'UNN[2]. Sa famille est originaire du village Abba, dans l'État d'Anambra[3].
Pendant un an et demi, elle étudie la médecine et la pharmacologie à l'université du Nigeria. À l’âge de 19 ans, elle quitte le Nigeria pour les États-Unis pour étudier la communication et les sciences politiques à l'université Drexel de Philadelphie en Pennsylvanie. Chimamanda Ngozi Adichie opte pour l’Eastern Connecticut State University afin de vivre plus près de sa sœur, qui exerçait la médecine à Coventry (actuellement à Mansfield, Connecticut)[4]. En 2001, elle y obtient son diplôme universitaire avec la mention honorifique summa cum laude[5]. Elle achève ensuite un master en création littéraire à l’université Johns-Hopkins de Baltimore en 2003. Elle obtient un M.A. (maîtrise en arts) d’études africaines à l’université Yale en 2008[6].
La même année, elle intervient comme « écrivaine invitée » à l’université Wesleyenne de Middletown dans le Connecticut, où elle participe à la collection Wesleyan's Distinguished Writers Series.
En 2008, elle est récipiendaire de la bourse MacArthur[6]. Elle reçoit aussi une bourse d'études du Radcliffe Institut for Advanced Studies de l'université Harvard[5]. Elle reçoit en 2017 un doctorat honoris causa en littérature du Haverford College[7] et de l'université d'Édimbourg[8]. Elle reçoit en 2019 un doctorat honoris causa de l'université de Fribourg en Suisse[9].
Carrière
[modifier | modifier le code]Elle publie un recueil de poèmes en 1997 (Decisions) et une pièce de théâtre en 1998 (For Love of Biafra). Elle est nommée pour le prix Caine[10] pour sa nouvelle You in America[11] et sa nouvelle That Harmattan Morning obtient le Prix de la Nouvelle du BBC World Service[12].
Sa carrière en littérature prend son envol avec la publication, en 2003, de L'Hibiscus pourpre (Purple Hibiscus), roman d'initiation où un frère et une sœur finissent par retrouver leur voie. Loué par la critique, ce premier roman est nommé au Baileys Women's Prize for Fiction en 2004[13] et proclamé Meilleur premier livre du prix littéraire Commonwealth Writers' Prize en 2005[14].
Son second roman, L'Autre Moitié du soleil (Half of a Yellow Sun), paru en 2006, tire son nom du drapeau de l’éphémère nation du Biafra et se situe avant et pendant la guerre du Biafra, où l'on suit la vie de deux sœurs qui sont séparées par cette guerre. Publié par Knopf/Anchor en 2006 (en France par Gallimard le pour la traduction française), il est couronné par le prix Orange Prize for Fiction en 2007[15] ainsi que le Anisfield-Wolf Book Award[16]. Le roman sera adapté au cinéma en 2014 pour le film Half of a Yellow Sun, réalisé par Biyi Bandele, avec Chiwetel Ejiofor et Thandie Newton pour acteurs principaux[17].
Son troisième ouvrage, le recueil de nouvelles Autour de ton cou (The Thing Around Your Neck), publié en avril 2009, inclut la nouvelle Les Marieuses. En 2010, elle est listée parmi les « 20 auteurs de moins de 40 ans à suivre » du New Yorker[18].
En 2013 paraît son quatrième ouvrage, un roman intitulé Americanah dont le récit suit le parcours d'une jeune femme nigériane, nommée Ifemelu, qui a émigré aux États-Unis, et d'un jeune homme émigré, lui, au Royaume-Uni. Ifemelu est confrontée à la pauvreté, la discrimination, le racisme, jusqu'au moment où elle devient une star de la blogosphère[19],[20]. Elle devient la « première blogueuse en matière de race »[21]. Le titre du roman renvoie à la façon dont les Nigérians appellent les expatriés qui reviennent des États-Unis[22],[23]. Il est sélectionné par le New York Times comme l'un des « 10 meilleurs livres de 2013 »[24].
Lupita Nyong'o achète les droits d'adaptation cinématographiques du roman afin de produire un film dans lequel elle incarnerait le personnage principal aux côtés de Brad Pitt[22].
Chimamanda Ngozi Adichie y décrit avec un humour caustique les problèmes de racisme et de domination[21].
Dans Chère Ijeawele publié en 2017[25], Chimamanda Ngozi Adichie propose une éducation féministe en quinze points qui devrait être donnée dès le plus jeune âge[26],[27]. Ce manuel de quinze points est devenu entre-temps un véritable phénomène et il est traduit dans près de 20 langues. La chanteuse Beyoncé l'a repris dans sa chanson Flawless, et la marque Dior a inscrit le titre sur des tee-shirts[28],[29].
À propos de son engagement féministe, Chimamanda Ngozi Adichie dit dans une interview de 2014 : « Je me pense comme une conteuse d’histoires, mais cela ne me dérangerait pas si quelqu’un venait à me voir comme une écrivaine féministe... Je suis très féministe dans ma façon de regarder le monde, et de quelque manière cette vision sur le monde doit faire partie de mon œuvre »[30].
Le à 18 h, elle est élue à l'Académie américaine des arts et des sciences, l'un des plus grands honneurs intellectuels aux États-Unis[31]. Elle y reçoit un doctorat honoris causa en lettres humaines[32].
La même année, Fortune Magazine l'a nommée parmi les 50 leaders du monde[32]. En 2020, le magazine Jeune Afrique la classe au 51e rang des Africains les plus influents[33].
Le 28 avril 2022, elle a été faite docteure honoris causa de l'université catholique de Louvain-la-Neuve (Belgique)[34].
En 2017, elle vivait entre Lagos et Washington[35].
Engagements
[modifier | modifier le code]Vidéo externe | |
Vidéo du discours We should all be feminist |
La grande reconnaissance littéraire de Chimamanda Ngozi Adichie confère un retentissement important à ses propos engagés concernant des thèmes tels que le féminisme, le sexisme ou le racisme[36].
Elle donne un discours TED mis en ligne en 2009 et intitulé The Danger of a Single Story (« Le danger d'une histoire unique »). Ce texte évoque l'influence qu'ont les histoires et les approches narratives dans les mécanismes de domination culturelle, sociale, raciale, économique et politique, si ces histoires sont univoques ou ne proviennent que d'une seule partie de la société ou du monde, résonnant ainsi comme une « histoire unique ». Mais elle insiste aussi sur le pouvoir qu'ont les histoires, d'autres histoires, venant de toutes sortes d'endroits et de personnes, de contrebalancer cette histoire unique, en nous faisant accéder à une vision du monde plus complète, et plus humaine[37].
Elle intervient dans l'album de Beyoncé en 2013 sur le titre Flawless, dans lequel une partie de son discours TED (We Should All Be Feminist) (« Nous devrions tous être des féministes », discours traduit en français sous le titre « Nous sommes tous des féministes »), qui a été prononcé pour une conférence TEDx en , est « samplé »[38].
En 2014, Chimamanda Ngozi Adichie a déclaré dans une interview à la radio publique américaine NPR que « tout ce qui amène les jeunes à parler de féminisme est une très bonne chose »[39]. Elle a plus tard qualifié sa déclaration dans une interview pour le journal néerlandais de Volkskrant : « une autre chose que j’ai détestée était que je lisais partout : maintenant les gens la connaissent enfin grâce à Beyoncé, ou encore : elle doit être bien reconnaissante. J’ai trouvé ça décevant. J’ai pensé : je suis une écrivaine, je le suis depuis un certain temps et je refuse de jouer une mascarade qui est maintenant apparemment attendue de moi : "grâce à Beyoncé, ma vie ne sera plus jamais la même". Voilà pourquoi je n'en ai pas beaucoup parlé »[40].
Elle fut conviée aux remises de diplômes des universités d'Harvard et Yale, respectivement en 2018 et 2019, durant lesquelles elle fit un discours[41].
Elle a également créé le projet « wear Nigerian » sur Instagram, pour inciter les Nigérians à porter des vêtements produits localement[42].
En 2021, à la mort de son père, elle publie « Notes sur le chagrin »[43].
Œuvres
[modifier | modifier le code]Romans
[modifier | modifier le code]- Purple Hibiscus (2003) Publié en français sous le titre L’Hibiscus pourpre, traduit par Mona de Pracontal, Paris, Éditions Anne Carrière, coll. « La vagabonde », 2004, 415 p. (ISBN 2-84337-281-X) ; réédition, Paris, Gallimard, coll. « Folio » no 6113, 2016 (ISBN 978-2-07-046881-2)
- Half of a Yellow Sun (2006) Publié en français sous le titre L'Autre Moitié du soleil, traduit par Mona de Pracontal, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Du monde entier », 2008, 499 p. (ISBN 978-2-07-077610-8) ; réédition, Paris, Gallimard, coll. « Folio » no 5093, 2010 (ISBN 978-2-07-042143-5)
- Americanah (2013)
Recueil de nouvelles
[modifier | modifier le code]- The Thing Around Your Neck (2009) Publié en français sous le titre Autour de ton cou, traduit par Mona de Pracontal, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Du monde entier », 2012, 285 p. (ISBN 978-2-07-012989-8) ; réédition, Paris, Gallimard, coll. « Folio » no 5863, 2014 (ISBN 978-2-07-046231-5)
Nouvelles
[modifier | modifier le code]- Imitation (2015)
- The Arrangements (2016)
- The Shivering (2016)
Essais
[modifier | modifier le code]- For Love of Biafra (1998)
- We Should All Be Feminists (2014) Publié en français sous le titre Nous sommes tous des féministes, suivi de Les Marieuses[44], traduit par Mona de Pracontal et Sylvie Schneiter, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Folio 2 € », 2015, 96 p. (ISBN 978-2-07-046458-6)
- Dear Ijeawele, or A Feminist Manifesto in Fifteen Suggestions (2017) Publié en français sous le titre Chère Ijeawele ou Un manifeste pour une éducation féministe, traduit par Marguerite Capelle, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Hors-série littéraire », 2017, 77 p. (ISBN 978-2-07-272197-7)
- Notes on Grief (2021) Publié en français sous le titre Notes sur le Chagrin, traduit par Mona de Pracontal, Paris, éditions Gallimard, 2021, 98 p. (ISBN 978-2-07-294392-8)[45]
- Nous sommes tous des féministes, traduction de Mona de Pracontal et Sylvie Schneiter, Gallimard, 2023, 80 p. (ISBN 9782073007636)
Prix et distinctions
[modifier | modifier le code]Année | Prix | Œuvres | Résultats |
2002 | Prix Caine pour l'écriture africaine | « You in America » | Nommée |
Compétition de nouvelles du Commonwealth | « The Tree in Grandma's
Garden » |
Nommée | |
Prix de la nouvelle par le BBC World Service | « That Harmattan Morning » | A gagné | |
2002/2003 | Prix David T. Wong International Short Story (PEN Center Award) | « L'Autre Moitié du Soleil » | A gagné |
2003 | Prix O. Henry | « The American Embassy » | A gagné |
2004 | Hurston-Wright Legacy Award (en) | L'Hibiscus pourpre | A gagné |
Prix Orange | Nommée | ||
Prix Booker | Nommée | ||
Prix des meilleurs livres pour jeunes adultes de la Young Adult Library Services Association | Nommée | ||
2004/2005 | Prix John Llewellyn Rhys | Nommée | |
2005 | Prix du meilleur premier roman du Commonwealth (L'Afrique) | A gagné | |
Prix du meilleur premier roman du Commonwealth (Global) | A gagné | ||
2006 | Le National Book Critics Circle | L'Autre Moitié du Soleil | Nommée |
2007 | Prix du livre britannique : Catégorie « Richard & Judy Best Read of the Year ». | Nommée | |
Le prix à la mémoire de James Tait Black | Nommée | ||
Prix du meilleur roman du Commonwealth (L'Afrique) | Nommée | ||
Anisfield-Wolf Book Award: Catégorie fiction | A gagné | ||
PEN Beyond Margins Award | A gagné | ||
Le Women's Prize for Fiction | A gagné | ||
2008 | Prix littéraire international de Dublin | Nommée | |
Reader's Digest : Prix de l'auteur de l'année | A gagné | ||
Prix du Future Award, Nigeria, dans la catégorie « plus jeune personne de l'année » | A gagné | ||
Prix MacArthur | A gagné | ||
2009 | Prix international Nonino | A gagné | |
Prix international de la nouvelle Frank O'Connor | The Thing Around Your Neck | Nommée | |
Prix John Llewellyn Rhys | Nommée | ||
2010 | Prix du meilleur roman du Commonwealth (L'Afrique) | Nommée | |
Prix Dayton Literary Peace | Nommée | ||
2011 | Prix de cette journée : Catégorie « Nouveaux champions pour une culture durable ». | Nommée | |
2013 | Prix Chicago Tribune Heartland : Catégorie fiction | Americanah | A gagné |
Prix du National Book Critics Circle : Catégorie Fiction | A gagné | ||
2014 | Le Women's Prize for Fiction | Nommée | |
Andrew Carnegie Medal for Excellence in Fiction | Nommée | ||
MTV Africa Music Awards 2014: Personnalité de l'année | Nommée | ||
2015 | Prix littéraire international de Dublin | Americanah | Nommée |
Grammy Awards : Album de l'année | Beyoncé (en tant qu'artiste invitée) | Nommée | |
2018 | Prix PEN Pinter | A gagné |
Bibliographie
[modifier | modifier le code]Livres
[modifier | modifier le code]Année | Titre | Maison d'édition | ISBN | Notes |
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1997 | Decisions | Minerva Press (Londres) | (ISBN 9781861064226) | Poésie |
1998 | For Love of Biafra | Spectrum Books (Ibadan) | (ISBN 9789780290320) | Pièce de théâtre |
2003 | L'hibiscus pourpre | 4th Estate (Londres) | (ISBN 9780007189885) | Roman |
2006 | L'autre moitié du soleil | 4th Estate (Londres) | (ISBN 9780007200283) | Roman |
2009 | Autour de ton cou | 4th Estate (Londres) | (ISBN 9780007306213) | Recueil de nouvelles |
2013 | Americanah | Alfred A. Knopf (New York) | (ISBN 9780307271082) | Roman |
2014 | Nous sommes tous des féministes | 4th Estate (Londres) | (ISBN 9780008115272) | Essai |
2017 | Chère Ijeawele, ou un manifeste pour une éducation féministe | 4th Estate (Londres) | (ISBN 9780008275709) | Essai |
2019 | Sierra Leone, 1997 | Black Ballon, une empreinte de Catapult | (ISBN 9781936787791) | Récit dans le livre Eat Joy - Stories & Comfort Food from 31 Celebrated Writers, rassemblé par Natalie Eve Garrett |
2021 | Notes sur le chagrin | 4th Estate (Londres) | (ISBN 9780593320808) | Mémoire |
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Chimamanda Ngozi Adichie » (voir la liste des auteurs).
- (en-US) « In the Footsteps of Achebe: Enter Chimamanda Ngozi Adichie - AfricanWriter.com », AfricanWriter.com, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) « Feminism Is Fashionable For Nigerian Writer Chimamanda Ngozi Adichie », NPR.org, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) « Biographie », sur Chimamanda Ngozi Adichie website (consulté le ).
- (en) Chimamanda Ngozi Adichie, « Why Chimamanda Ngozi Adichie Considers Her Sister a “Firm Cushion” at Her Back », Vanity Fair, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) « Chimamanda Selected as Radcliffe Fellow », Radcliffe Institute for Advanced Study at Harvard University, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) « Recent Alumni | The MacMillan Center Council on African Studies », sur african.macmillan.yale.edu (consulté le ).
- (en) « 2017 Honorary Degrees », sur www.haverford.edu (consulté le ).
- (en) « Acclaimed author receives honorary degree », The University of Edinburgh, (lire en ligne, consulté le ).
- « L'écrivaine nigériane Chimamanda Ngozi Adichie devient docteure honoris causa de l'Université de Fribourg », sur Unifr | News (consulté le ).
- (en) « The Caine Prize for African Writing », sur caineprize.com (consulté le ).
- (en) Discovering Home, Jacana Media, , 240 p. (ISBN 978-1-919931-55-5, lire en ligne).
- (en) « Competition | BBC Wa short story, in English, between 1800 and 2100 words long. orld Service », sur www.bbc.co.uk (consulté le ).
- (en) « Bailey's Woemn Prize for Fiction 2004 » (consulté le ).
- (en) « Prize winning author Chimamanda Ngozi Adichie to speak at Commonwealth Lecture | The Commonwealth », sur thecommonwealth.org (consulté le ).
- (en) Nigel Reynolds, « Nigerian author wins top literary prize », The Daily Telegraph, (lire en ligne).
- (en-US) « Half of a Yellow Sun », Anisfield-Wolf Book Awards, (lire en ligne, consulté le ).
- Biyi Bandele, Thandie Newton et Anika Noni Rose, Half of a Yellow Sun, (lire en ligne).
- (en) Jennifer L. Knox, « Chimamanda Ngozi Adichie », The New Yorker, (ISSN 0028-792X, lire en ligne, consulté le ).
- Catherine Simon, « Critique. Une « Noire non américaine » », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- Tirthankar Chanda, « Americanah, l’irrésistible nouveau roman de Chimamanda Adichie », sur rfi.fr, (consulté le ).
- Catherine Simon, « Chimamanda Ngozi Adichie, impériale », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- (en) Ben Child, « Lupita Nyong'o reunites with Brad Pitt for Americanah », sur Guardian.com, (consulté le ).
- Valérie Marin La Meslée, « Chimamanda Ngozi Adichie enflamme le Quai d'Orsay ! », sur Le Point Afrique, (consulté le ).
- (en-US) « The 10 Best Books of 2013 », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le ).
- « Le Féminisme selon Chimamanda Ngozi Adichie », DIACRITIK, (lire en ligne, consulté le ).
- Cécile Daumas, « Adichie, icône qui compte », Libération.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- « « Chère Ijeawele » : pourquoi faut-il (re)lire le manifeste féministe de Chimamanda Ngozi Adichie en 2018 », sur The Conversation, (consulté le ).
- Valérie Marin la Meslée, « Un féminisme universel et joyeux », Le Point, mai - juin 2018.
- « [Classement] Artistes, intellectuels ou sportifs… Ces Africains qui sont entrés dans l’Histoire (3/3) – Jeune Afrique », sur JeuneAfrique.com, (consulté le ).
- (en) Hobson, Janell, « Storyteller », Ms., , pp. 26-29 :
.« I think of myself as a storyteller, but I would not mind at all if someone were to think of me as a feminist writer... I'm very feminist in the way I look at the world, and that world view must somehow be part of my work »
- « Press Releases - American Academy of Arts & Sciences », sur www.amacad.org (consulté le ).
- (en) University Communications, « Stacey Abrams to Kickoff American University’s Commencement 2019 Ceremonies », sur American University, (consulté le ).
- « Les 100 Africains les plus influents », Jeune Afrique, no 3091, , p. 36 (ISSN 1950-1285).
- (en) « Chimamanda to receive 16th Honorary PhD from the Catholic University Of Louvain, Belgium », The Guardian (Nigeria), (lire en ligne, consulté le ).
- « Chimamanda Ngozi Adichie, une femme en colère - Livres - Télérama.fr », sur www.telerama.fr (consulté le ).
- « Dix femmes qui pensent l’Afrique et le monde », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) David Brooks, « The Danger of a Single Story », The New York Times, (lire en ligne).
- (en) Liz Bury, « Beyoncé samples Chimamanda Ngozi Adichie's call to feminism », sur the Guardian (consulté le ).
- (en) « Feminism Is Fashionable For Nigerian Writer Chimamanda Ngozi Adichie », sur NPR.org (consulté le ).
- (nl) Aimée Kiene, « Ngozi Adichie: Beyoncé's feminism isn't my feminism », sur de Volkskrant, (consulté le ).
- (en) « Author Chimamanda Ngozi Adichie ’08 M.A. to speak at Class Day », sur YaleNews, (consulté le ).
- (en-US) « Instagram | Chimamanda Ngozi Adichie | Official Author Website », sur Chimamanda Ngozi Adichie (consulté le ).
- « Chimamanda Ngozi Adichie : « On peut éduquer à travers la littérature » », sur mediapart.fr,
- La nouvelle Les Marieuses a précédemment été publiée dans le recueil Autour de ton cou
- « Notes sur le chagrin | Le deuil d’un père adoré ★★★½ », sur La Presse, (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- « Les 100 personnalités de la diaspora africaine : Chimamanda Ngozi Adichie », in Jeune Afrique, no 2536-2537, du 16 au 29 août 2009, p. 49.
- [portrait] Catherine Simon, « Chimamanda Ngozi Adichie, impériale », Le Monde des livres, (lire en ligne, consulté le ).
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la littérature :
- Ressources relatives à la musique :
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la vie publique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- (en) John Ezard, Debut novel from Nigeria storms Orange shortlist, The Guardian, .
- (en) [site non officiel] The Chimamanda Ngozi Adichie Website
- (en) Senan Murray, The new face of Nigerian literature?, sur BBC News, .
- S. Panata, E. Guitard, L. Assaf, « Chère Ijeawele » : pourquoi faut-il (re)lire le manifeste féministe de Chimamanda Ngozi Adichie en 2018, The Conversation, .
- Sara Panata, Chère Ijeawele : le féminisme de Chimamanda Adichie, Carnets de Terrain, .
- Femme de lettres nigériane
- Nouvelliste nigérian du XXIe siècle
- Romancière du XXIe siècle
- Romancière nigériane
- Essayiste du XXIe siècle
- Écrivain de langue anglaise
- Femme essayiste
- Féministe nigériane
- Artiste féministe
- Militant pour les droits des femmes
- Personnalité igbo
- Docteur honoris causa de l'université Yale
- Docteur honoris causa de l'université catholique de Louvain
- Docteur honoris causa de l'université d'Édimbourg
- Docteur honoris causa de l'université de Fribourg
- Lauréat du prix MacArthur
- Lauréate du prix Orange pour la fiction
- 100 femmes de la BBC
- Étudiant de l'université Yale
- Étudiant de l'université Johns-Hopkins
- Étudiant de l'université Drexel
- Professeur à l'université Wesleyenne
- Naissance en septembre 1977
- Naissance à Enugu