Jacques Veilleux
Jacques Veilleux | |
Fonctions | |
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Député à l'Assemblée nationale du Québec | |
– (6 ans, 6 mois et 17 jours) |
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Élection | 29 avril 1970 |
Réélection | 29 octobre 1973 |
Circonscription | Saint-Jean |
Législature | 29e et 30e |
Groupe politique | Libéral |
Prédécesseur | Jérôme Proulx |
Successeur | Jérôme Proulx |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Saint-Georges de Beauce (Québec, Canada) |
Nationalité | Canadienne |
Parti politique | Parti libéral du Québec |
Diplômé de | Université d'Ottawa Université de Sherbrooke |
Profession | Enseignant |
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Jacques Veilleux, né le à Saint-Georges de Beauce, est un enseignant et homme politique québécois. Il est député à l'Assemblée nationale du Québec de la circonscription de Saint-Jean de 1970 à 1976, sous la bannière du Parti libéral du Québec.
Biographie
[modifier | modifier le code]Jeunesse et formation
[modifier | modifier le code]Né le à Saint-Georges de Beauce, Jacques Veilleux est le fils de Roland Veilleux, industriel, et de Corrine Poulin, et le beau-frère d'Henri Lecours. Il étudie aux universités d'Ottawa, de Sherbrooke et de Montréal[1].
Pendant sa carrière, il enseigne à Saint-Georges, à Victoriaville au Collège des Frères du Sacré-Cœur, à la Commission scolaire Missisquoi et à la Commission scolaire Honoré-Mercier. De 1968 à 1970, il est président de l'Association des enseignants d'Honoré-Mercier, ainsi que membre du conseil provincial de la Centrale de l'enseignement du Québec. Il est rédacteur adjoint du journal L'Éclaireur-Progrès de Saint-Georges de 1961 à 1962, ainsi que président fondateur de la Caisse d'économie des enseignants d'Honoré-Mercier en 1969[1].
Carrière politique
[modifier | modifier le code]En 1970, il devient membre de l'exécutif provincial du Parti libéral du Québec. La même année, il se présente comme candidat libéral dans Saint-Jean, où il est élu député à l'Assemblée nationale du Québec. Il est réélu en 1973. Il devient alors adjoint parlementaire au ministre des Communications du au , puis au ministre du Travail et de la Main-d'œuvre du au . Il est défait en 1976 et en 1981. Il est par la suite employé au Service de recherche du Parti libéral du Québec de 1976 à 1981[1].
Vie après la politique
[modifier | modifier le code]En 1981, il devient directeur de succursale à l'agence de sécurité Sécuribec à Montréal. En , il est nommé régisseur supplémentaire à la Régie des permis d'alcool du Québec. À compter du , il est membre de la Régie des loteries et courses du Québec. Il représente par la suite le Québec en Afrique, en poste à Abidjan (Côte-d'Ivoire) de 1989 à 1994. En 1995, il représente le Canada au Sommet de la francophonie de Cotonou au Bénin. Il occupe le poste de vice-président et directeur résident de G.G.A. Communication à Niamey au Niger de 1998 à 2000. De 2006 à 2007, il est directeur résident du National Democratic Institute de Washington à Nouakchott en Mauritanie[1].
Références
[modifier | modifier le code]- « Jacques Veilleux - Assemblée nationale du Québec », sur www.assnat.qc.ca (consulté le )
Liens externes
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- Ressource relative à la vie publique :