Laval-sur-Doulon
Laval-sur-Doulon | |||||
Église Notre-Dame de l'Assomption. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Brioude | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay | ||||
Maire Mandat |
Jean-Noël Lapeyre 2020-2026 |
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Code postal | 43440 | ||||
Code commune | 43116 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lavallois[1] | ||||
Population municipale |
62 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 5 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 21′ 09″ nord, 3° 33′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 642 m Max. 1 110 m |
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Superficie | 12,28 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Plateau du Haut-Velay granitique | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Laval-sur-Doulon est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Laval-sur-Doulon se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 59 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[2], préfecture du département, à 23 km de Brioude[3], sous-préfecture, et à 37 km de Craponne-sur-Arzon[4], bureau centralisateur du canton du Plateau du Haut-Velay granitique dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Saint-Vert (3,2 km), Champagnac-le-Vieux (4,6 km), Cistrières (5,8 km), Saint-Didier-sur-Doulon (6,0 km), Saint-Alyre-d'Arlanc (6,3 km), Chaniat (7,2 km), Chassignolles (7,4 km), Doranges (7,5 km).
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 820 mm, avec 9,2 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint Didier sur Doulon », sur la commune de Saint-Didier-sur-Doulon à 6 km à vol d'oiseau[8], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 813,8 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Laval-sur-Doulon est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (83,8 %), prairies (16,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 114, alors qu'il était de 113 en 2013 et de 109 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 31,7 % étaient des résidences principales, 57,4 % des résidences secondaires et 10,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,8 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Laval-sur-Doulon en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (57,4 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,8 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Laval-sur-Doulon[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 31,7 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 57,4 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 10,9 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Les Templiers et les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]Chanteduc est un hameau au nord-est de la commune[Note 3]. Ancien membre hospitalier de la commanderie de Courtesserre qui proviendrait de la dévolution des biens de l'ordre du Temple[16]. Courtessere faisait partie du grand prieuré d'Auvergne[17]. Au XVIIe siècle, tous les bâtiments étaient ruinés et il ne restait que « quelques terres de peu de valeur »[18],[19].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Laval-sur-Doulon est membre de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Puy-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[20].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Brioude, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Plateau du Haut-Velay granitique pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[21].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].
En 2021, la commune comptait 62 habitants[Note 4], en évolution de −3,12 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 17,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 50,8 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 34 hommes pour 29 femmes, soit un taux de 53,97 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 3,1 % | 20,6 % | 30,3 % |
Département[I 10] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 33 personnes, parmi lesquelles on compte 72,7 % d'actifs (42,4 % ayant un emploi et 30,3 % de chômeurs) et 27,3 % d'inactifs[Note 5],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 12]. Elle compte 3 emplois en 2018, contre 9 en 2013 et 12 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 14, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 42,1 %[I 13].
Sur ces 14 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 travaillent dans la commune, soit 7 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 92,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et[I 15].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Notre-Dame-de-l'Assomption, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [27] ;
- Château du Viallard ;
- Château de Chantaduc[28].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean-Antoine Dosfant, (, Chassignolles - , Paris), député du tiers aux États généraux, achète en 1792 les châteaux du Viallard et de l’Air
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Christian de Seauve, « Notes sur les châteaux disparus du Viallard et de l’Air à Laval-sur-Doulon », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay, [29],[30]
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- 45° 22′ 41″ N, 3° 34′ 43″ E
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Laval-sur-Doulon ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Laval-sur-Doulon » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Laval-sur-Doulon - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Laval-sur-Doulon - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Laval-sur-Doulon (43116) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Laval-sur-Doulon » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Laval-sur-Doulon » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Haute-Loire », sur habitants.fr (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Laval-sur-Doulon et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Laval-sur-Doulon et Brioude », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Laval-sur-Doulon et Craponne-sur-Arzon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Laval-sur-Doulon », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Laval-sur-Doulon et Saint-Didier-sur-Doulon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint Didier sur Doulon », sur la commune de Saint-Didier-sur-Doulon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint Didier sur Doulon », sur la commune de Saint-Didier-sur-Doulon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Pierre Cubizolles, Le diocèse du Puy-en-Velay des origines à nos jours, , 525 p. (ISBN 978-2-8481-9030-3, présentation en ligne), p. 179.
- Léopold Niepce, Le Grand-Prieuré d'Auvergne : Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, Lyon, Librairie Générale Henri Geors, , XI-352 p. (OCLC 422251418, présentation en ligne), p. 299« Chantadu, paroisse de Laval, à 6 lieues de Vivic, consiste en paturages, près et terres et cens »..
- Cubizolles 2005, p. 179.
- Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte -Langue d'Auvergne , t. I, (lire en ligne), p. 122 (H. 138)1615/16 : Membre de « Chantaduc » : bâtiments ruinés ; prés de « Soubz-la-maison », de Cyba (?), de Fontmargny ; terres du champ du Suet (?), de Dernier la Maison, Soubz le Pré, le Champ del Bost, de la Platta ; rentes. Tous ces lieux-dits semblent avoir disparu mais sur les cartes IGN, on trouve le « bois du Commandeur » au nord de Chanteduc et à proximité de Peymiant, commune de Saint-Vert..
- « communauté d'agglomération du Puy-en-Velay - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Église Notre-Dame de l'Assomption », notice no PA00092927, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maisons et Commanderies de l'Ordre du Temple en France », sur templiers.net (consulté le ).
- Les Contournat, famille connue par ses démêlés avec l’Abbaye de la Chaise-Dieu dès la fin du XIIe siècle, sont les premiers seigneurs château du Viallard à Laval-sur-Doulon, suivent les Mezel et les Bouillé. Par voie successorale le château se transmet des La Salle aux Miremont, Massol de Serville et Ligondès. Jean-Antoine Dosfant, enfant du pays, député de Paris en 1789, achète en 1792 ce château et celui, dans la même commune, de Lair, qui était aux d’Auzolles.
- Histoire locale ; les Cahiers de la Haute-Loire sont parus », par Gérard Adier in Le Progrès, 10 juin 2009 : On y retrouve une palette d'auteurs de renom, des études riches et bien illustrées, agréables à lire et bien documentées (...) Christian de Seauve présente des notes sur les châteaux disparus du Viallard et de l'Air, à Laval sur Doulon.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Haute-Loire
- Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay
- Parc naturel régional Livradois-Forez
Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :