Marenla
Marenla | |||||
L'église Saint-Aubin. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des 7 Vallées | ||||
Maire Mandat |
Pascal Pocholle 2020-2026 |
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Code postal | 62990 | ||||
Code commune | 62551 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Marenlois | ||||
Population municipale |
246 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 25 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 26′ 51″ nord, 1° 52′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 6 m Max. 96 m |
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Superficie | 10,04 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auxi-le-Château | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | marenla.fr | ||||
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Marenla est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Marenlois. La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune, située dans la vallée de la Canche entre les communes d'Étaples et d'Hesdin, se trouve à 10 km à l'est de Montreuil-sur-Mer (chef-lieu d'arrondissement).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 10,04 km2 ; son altitude varie de 6 à 96 mètres[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par la Canche, un cours d'eau naturel de 100,22 km, qui prend sa source dans la commune de Gouy-en-Ternois et se jette dans la Manche entre Étaples et Le Touquet-Paris-Plage[3].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 951 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Radinghem à 21 km à vol d'oiseau[6], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 038,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Paysages
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[10]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy…[11].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés et gérés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12].
Dans ce cadre, le territoire de la commune fait partie de trois espaces protégés et gérés (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France :
- la cavité du Flayer d’une superficie de 4,983 ha[13] ;
- le marais de Beaurainchâteau d’une superficie de 62,371 ha[14] ;
- le marais du Planty d’une superficie de 9,542 ha[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 2[Note 3] :
- la basse vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin[16] ;
- les vallées de la Créquoise et de la Planquette, d’une superficie de 15 157 ha et d'une altitude variant de 13 à 181 m. Ces deux vallées se situent aux confins de deux régions naturelles : le Haut Pays d’Artois et le Ternois et constituent un des paysages ruraux traditionnels du Nord-Pas-de-Calais les mieux conservés[17].
Espèces faunistiques et floristiques
[modifier | modifier le code]L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[18].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Marenla est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[20] et hors attraction des villes[21],[22].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,5 %), prairies (29,1 %), forêts (5,1 %), zones urbanisées (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]- Le But de Marles est un hameau de Marenla.
- La Justice,
- les Côtes et les Bois du Bus,
- le fief du Gros Fay et le fief de Machy, tenus de l'abbaye de Sainte-Austreberthe et situés à Marenla, appartenaient au XVIIIe siècle au comte de Lascaris.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Malenchy (1142), Balentiacum lire Malentiacum (1170), Malenchi (1225), Malenla (1295), Meurenla (1520), Merœula (1679), Marenla (1789)[24] ; Maranla en 1793 ; Marenla depuis 1801[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Historique du village[Note 4].
Marenla est mentionnée dans le diplôme d'Erkembode, évêque de Thérouanne en 637. Elle appartint ensuite (à partir du XIIe siècle, en 1170) à l'abbaye de Sainte-Austreberthe qui y établit un bailli chargé d'exercer la justice. Ces fonctions étaient remplies en 1750 par messire Claude Septier, sieur de Verdure.
Le bailliage comprenait les seigneuries de :
- Marenth,
- Marenla,
- Humbergt,
- Saint-Deneu,
- Bouberck,
- Aix-en-Sihart,
- Sainte-Austreberthe-lès-Hesdin.
Les appels relevaient du bailli d'Amiens, tenant ses assises à Montreuil.
En 1311, Robert Cointeriaux tenait de Williaume de Maintenay, le fief de la Canche à Malenla.
Pendant le séjour du roi Henri II, à la chartreuse de Neuville, le , les Écossais de la Garde, s'étant imprudemment écartés, furent maltraités par les Impériaux aux environs de Marenla.
La ferme de Marenla (ferme des Dames qui date de 1651) a été reconstruite en 1761, sous l'administration de l’abbesse de Sainte-Austreberthe, Anne-Marie de Jouanne d'Esgeigny.
Adrien Fresnaye, ancien élève de l’École centrale (1847) a créé en 1852 la papeterie de Marenla dans un ancien moulin à huile. L'entreprise ferma en 1895, la liquidation amiable n'était pas terminée en 1901. Adrien Fresnaye fut aussi maire de 1870 à 1896[25].
Archéologie
[modifier | modifier le code]Le clocher de l'église fut rebâti en 1675. La fabrique et l'abbaye de Sainte-Austreberthe supportèrent la dépense par moitié.
Une statue de sainte Austreberthe décore le fronton du retable de l'autel.
En 1849, M. Leroy trouva à Marenla, plus de 10 000 pièces d'argent des règnes de Louis XIII et de Louis XIV.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais[26].
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune a fait partie, de 1996 à 2013, de la communauté de communes du val de Canche et d'Authie et, depuis le , elle fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées (7 Vallées comm) dont le siège est basé à Hesdin[26]. La communauté de communes regroupe 69 communes et compte 29 444 habitants en 2021
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie du canton de Campagne-lès-Hesdin, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[1].
Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est maintenant rattachée, ainsi que toutes les communes de l'ancien canton de Campagne-lès-Hesdin, au canton d'Auxi-le-Château qui passe de 26 à 84 communes[26].
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais[27].
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]La commune est labellisée « 1 fleur » au concours des villes et villages fleuris[35].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Marenlois[36].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].
En 2021, la commune comptait 246 habitants[Note 5], en évolution de −2,38 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 115 hommes pour 123 femmes, soit un taux de 51,68 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Aubin, toute en craie.
- Le monument aux morts, surmonté d'une croix latine[42].
-
Autre vue de l'église.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Marie Fresnaye (1856-1936), sculptrice et céroplaste, née et morte dans la commune. On lui doit les bustes et médaillons commémoratifs de plusieurs personnalités de la région.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent à la molette de gueules accompagnée de quatre flanchis du même[43]. |
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Détails | La molette de l'abbaye de Sainte-Austreberthe, imposée par d'Hozier (édit de 1696), tant de fois déclinée, vient aux armes de cette commune, dont l'abbaye était seigneur. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la commune
- Dossier de la commune sur le site de l'Insee[Note 6], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 7]
- « La commune » sur Géoportail.
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- D'après les notes et documents recueillis dans les archives de la ville, des hospices de Montreuil-sur-Mer et dans les divers ouvrages historiques du Pas-de-Calais. Auteur : A. Pontier, ancien secrétaire, en . Cet historique fut classé par M. Beaussart, secrétaire-greffier et sûrement déposé aux Archives départementales d'Arras.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Canche (E54-003-) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Marenla et Radinghem », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR4505938 - Cavité du Flayer », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR4505950 - Marais de Beaurainchâteau », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR4505989 - Marais du Planty », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013699 - La basse Vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013285 - Les vallées de la Créquoise et de la Planquette », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Marenla ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- « Papeterie de Marenla », sur calameo.com (consulté le ).
- « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- Sophie Léger, La papeterie de Marenla, Comité d'histoire du Haut Pays, (lire en ligne)
- Caroline Fauquembert (CLP), « Bilan du maire Pascal Pocholle à Marenla : « Si je me représente ce sera avec le même élan (...) mon mandat n’est pas fini » : Marenla est un village de près de 220 habitants qui se situe entre la Canche et la « falaise » du plateau. Après avoir siégé vingt-quatre ans au conseil municipal, Pascal Pocholle, agriculteur retraité de 69 ans, a été élu maire en 2008. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Marenla : Pascal Pocholle, réélu à l’unanimité : « Je suis très heureux de la confiance que l’on m’a accordée à nouveau », souligne Pascal Pocholle qui commence un deuxième mandat. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21598579
- « label de la commune », sur concours des villes et villages fleuris (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marenla (62551) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le monument aux morts de Marenla », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « 62551 Marenla (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).