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Palluaud

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Palluaud
Palluaud
L'église de Palluaud.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Michel Andreu
2020-2026
Code postal 16390
Code commune 16254
Démographie
Gentilé Palludéens
Population
municipale
216 hab. (2021 en évolution de −7,69 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 20′ 57″ nord, 0° 14′ 57″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 191 m
Superficie 8,57 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Palluaud
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Palluaud
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Palluaud

Palluaud est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

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Localisation et accès

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Palluaud est une commune du Sud Charente, limitrophe du département de la Dordogne, située à 11 km au sud-est de Montmoreau et 34 km au sud d'Angoulême.

Elle est aussi à 9 km à l'ouest de Verteillac, 11 km au nord-est d'Aubeterre, 13 km au nord-ouest de Ribérac, 15 km au sud de Villebois-Lavalette, 18 km au nord-est de Chalais et 42 km de Périgueux[1].

Le bourg est traversé par les routes départementales 17 (Villebois - Aubeterre) qui longe la rive gauche de la Lizonne, limite départementale, et la D 78, perpendiculaire, qui va à Montignac-le-Coq. La D 19 qui va en direction d'Angoulême au nord et Saint-Séverin et Aubeterre au sud, passe en limite de commune et longe la crête à l'ouest[2].

La gare la plus proche est celle de Montmoreau, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits

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La commune compte un petit hameau, la Fresse ; au nord-ouest du bourg, et de nombreuses fermes[2].

Communes limitrophes

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Carte de Palluaud et des communes avoisinantes.

Palluaud est limitrophe de cinq autres communes dont deux dans le département de la Dordogne. Au sud-est, son territoire communal n'est distant que de 25 mètres de celui de Saint-Paul-Lizonne, également en Dordogne.

Géologie et relief

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Le sol est en grande partie constitué d'un calcaire crayeux du Campanien commun à tout le Sud Charente (Crétacé supérieur).

La vallée de la Lizonne à l'Est est occupée par des alluvions récentes du Quaternaire, limon mais aussi tourbe. Ce sont d'anciens marécages assainis par des peupleraies et canaux, et dont la terre est noire[3],[4],[5].

Le bourg est situé à 77 m d'altitude, peu au-dessus de la Lizonne qui est à 62 m d'altitude. Le point culminant de la commune, 191 m, est à l'ouest, au château d'eau de Bel-Air, sur la crête élevée qui sépare la vallée de celle de la Tude. La commune est peu boisée, sauf sur la crête à l'ouest (bois de chênes et châtaigniers) et la vallée de la Lizonne (peupliers).

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin de la Dordogne, au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Lizonne, un bras de la Lizonne, la Pude, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La commune est située dans la vallée de la Lizonne, affluent de la Dronne, et fait face au confluent de la Pude avec la Lizonne.

Gestion des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[8]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Milieux naturels et biodiversité

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La Lizonne en amont du pont de la RD 78 à Palluaud.

À Palluaud, la vallée de la Lizonne fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[10],[11].

Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[10] :

Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[10].

Natura 2000

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Dans leur traversée de la commune, la Lizonne et sa vallée[12] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[13] :

Au , Palluaud est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15] et hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,6 %), zones agricoles hétérogènes (32,1 %), forêts (16,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Palluaud est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Palluaud.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 184 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 184 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].

Les formes anciennes sont Paludibus en 1110[24], Palueu en 1302, Paluello en 1363[25].

L'origine du nom de Palluaud remonte au latin paludellum, c'est-à-dire palus qui signifie « marais » avec suffixe diminutif -ellum[26]. Le mot occitan palud dérive aussi directement du mot latin palus/udis[Note 1].

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[27]. Elle se nomme Palueu en occitan[28].

Palluaud était, dès le Xe siècle, une possession de l'abbaye de Saint-Cybard. Au début du XIIe siècle, l'abbaye construisit une église et fonda un prieuré. En 1215 le comte d'Angoulême Aymar y ajouta de nouveaux domaines et le prieuré devient important.

Le prieur était seigneur de la paroisse : il avait droit de haute, moyenne et basse justice sur tout son territoire. En 1450, les religieux de Brantôme lui ayant disputé ce droit sur certaines parties de la paroisse, il en appela au roi et obtint gain de cause. Plus tard en 1684 des lettres patentes lui confirmèrent ce droit, ainsi que de rétablir les fourches patibulaires.

Le prieuré de Palluaud perdit la conventualité vers 1400, et le prieur cessa d'y résider. Dans la première moitié du XVIe siècle, le prieuré fut mis au régime de la commende[29].

Au XVIe siècle, Palluaud a participé à la révolte des Pitauds contre la gabelle qui a secoué les provinces du Sud-Ouest : Saintonge, Bordelais, Angoumois[30].

La Lizonne comportait plusieurs moulins qui ont fait partie des premières papeteries de France dès le début du XVIe siècle[31]. Le moulin de Négre-Mure (ou Negremus), moulin à drap (sans doute fait à partir de la laine des moutons), est converti en moulin à papier en 1516. Il dépendait du prieuré de Palluaud[32],[33].

Les maisons prieurales furent détruites par les protestants lors des guerres de religion. En 1652, il n'en reste plus que quelques vestiges, dont une vieille tour, dite tour Prisonnière.

En 1750, avec le consentement de l'abbé de Saint-Cybard, le prieuré de Palluaud fut uni au petit séminaire de Périgueux[29].

Avant la Révolution, Philippe de Clairambeau était comte de Palluaud[34].

Administration

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1970 2014 Marcel Lafaye SE Chef d'entreprise retraité
2014 En cours Michel Andreu    

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

En 2021, la commune comptait 216 habitants[Note 2], en évolution de −7,69 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
761560753726719662664702703
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
688699620622547530518504455
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
455427370352326328319268260
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
264260273283290289289247234
2020 2021 - - - - - - -
217216-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 18 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 42,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 121 hommes pour 103 femmes, soit un taux de 54,02 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,7 
90 ou +
3,0 
16,2 
75-89 ans
14,0 
24,8 
60-74 ans
25,0 
28,2 
45-59 ans
30,0 
10,3 
30-44 ans
11,0 
9,4 
15-29 ans
8,0 
9,4 
0-14 ans
9,0 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Agriculture

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La commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac « Bons Bois »[41] et de l'AOC/AOP Noix du Périgord[42].

Équipements, services et vie locale

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Enseignement

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L'école est un RPI entre Montignac-le-Coq, Palluaud et Salles-Lavalette. Salles-Lavalette accueille l'école maternelle, et Montignac et Palluaud les écoles élémentaires, avec une classe unique chacune. Le secteur du collège est Montmoreau[43].

Lieux et monuments

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  • L'église paroissiale Saint-Cybard. Elle abrite une cloche en bronze datant de 1650, nommée Catherine Loys et pesant 150 kg, dont l'inscription est « HIS MARIA IEVIS A L'EGLISE DE PALLUAUD PESANT 300 LIVRES QUI A ETE BENITE ET NOMMEE CATHERINE LOYS, ETANT PRIEUR SEIGNEUR DU DIT LIEU, ILLUSTISSIME ABBE MESSIRE LOYS DE LA RIVIERE, CONFESSEUR DU ROY EN TOUS SES CONSEIL, CHANCELIER ET COMMANDEUR DE SES ORDRES ET MINISTRE D'ETART. PARRAIN MONSIEUR DELARIVIERE SON FRERE PRIEUR COMMENDATAIRE DES PIERRE DE LA REOLE ET MARRAINE DAME ESTER DE LIVESNE EPOUSE DE MONSIEUR DE MOYAT GENTILHOMME ORDINAIRE DE LA CHAMBRE DU ROY ETANT VICAIRE PERPETUEL MAITRE JEAN PRALLAT, 1650 ». Elle est classée monument historique au titre objet depuis 1944[44].

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Voir aussi Gensac-la-Pallue dans le même département.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Palluaud » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a et b Carte IGN sous Géoportail
  3. Carte du BRGM sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le ).
  6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Palluaud », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. a b et c [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  11. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  12. Carte du site FR7200663, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  13. [PDF] FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  15. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Palluaud », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Palluaud », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  24. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 125
  25. Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426 p. (lire en ligne)
  26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 516.
  27. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  28. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  29. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 267
  30. Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 174
  31. Henri Alibaux, Les premières papeteries françaises, Audin, , 215 p. (lire en ligne), p. 72
  32. Pierre Dubourg-Noves (dir.), Histoire d'Angoulême et de ses alentours, Toulouse, Éditions Privat, coll. « Univers de la France et des pays francophones », , 319 p. (ISBN 2-7089-8246-X, BNF 35072424, présentation en ligne), p. 127
  33. Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 196
  34. Jean-Hippolyte Michon, Vigier de La Pile et François de Corlieu, Histoire de l'Angoumois. Suivie du recueil en forme d'histoire de ce qui se trouve par écrit de la ville et des comtes d'Angoulême., Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), 1576, 1760, 1846, 160 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), xci
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Palluaud (16254) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  41. « AOC Grande Champagne, Grande Fine Champagne, Petite Champagne, Fine Champagne, Borderies, Fins Bois et Bons Bois », sur inao.gouv.fr, (consulté le ).
  42. Bulletin officiel du Ministère de l'Agriculture, « Cahier des charges de l'appellation d'origine « Noix du Périgord » » [PDF], (consulté le )
  43. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  44. « Cloche de l'église paroissiale », notice no PM16000206, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture

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Articles connexes

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Liens externes

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