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Paul Peter Ewald

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Paul Peter Ewald
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 97 ans)
IthacaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Père
Paul Ewald (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Clara Ewald (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Rose Ewald (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Hans Bethe (gendre)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Directeur de thèse
Distinctions
Liste détaillée
Doctorat honoris causa de l'université de Paris ()
Bourse Guggenheim ()
Médaille Max-Planck ()
Prix Gregori-Aminoff ()
Ehrenmitglied der Deutsche Mineralogische Gesellschaft (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Archives conservées par
Niels Bohr Library & Archives (d) (AR134, 3950)[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales

Paul Peter Ewald ( à Berlin - à Ithaca, États-Unis) est un cristallographe et un physicien allemand et américain.

Il est un pionnier des méthodes de diffraction de rayons X. Il est également l'éponyme de la sommation d'Ewald et de la sphère d'Ewald. Il est le beau-père de Hans Bethe.

Paul Peter Ewald reçoit la médaille Max-Planck en 1978.

Ewald écrit plusieurs livres sur la mécanique des solides et des fluides, dont The Physics of Solids and Fluids[2] en collaboration avec les physiciens Th. Pöschl et Ludwig Prandtl (voir également nombre de Prandtl, paramètre adimensionnel important mesurant le rapport entre la diffusion de la quantité de mouvement et celle de la chaleur en mécanique des fluides).

Il est également le premier président de l'union internationale de cristallographie, de 1946 à 1948, et de 1960 à 1963[3].

Bibliographie

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  • Michael Eckert (de): Paul Peter Ewald (1888–1985) im nationalsozialistischen Deutschland: eine Studie über die Hintergründe einer Wissenschaftleremigration. In: Mark Walker und Dieter Hoffmann (Hrsg.): „Fremde“ Wissenschaftler im Dritten Reich. Die Debye-Affäre im Kontext. Göttingen: Wallstein 2011, S. 265–289.
  • Michael Grüttner: Biographisches Lexikon zur nationalsozialistischen Wissenschaftspolitik, Heidelberg 2004, S. 45f.
  • Rainer Würgau: „Ewaldiana“. In: Mitteilungen der Deutschen Gesellschaft für Kristallographie, Heft 44 (2014), S. 71–81. (Volltext des Hefts). Über die Berliner Gelehrtenfamilien Ewald und Philippson. PDF 4,7 MB, abgerufen Juli 2015.
  • Norbert Becker: Paul Peter Ewald. In: Norbert Becker / Katja Nagel: Verfolgung und Entrechtung an der Technischen Hochschule Stuttgart während der NS-Zeit, Stuttgart: Belser 2017, S. 227–232.

Notes et références

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  1. « https://history.aip.org/ead/20090235.html »
  2. Londres, Blackie and Son, 1930
  3. (en) « Previous Executive Committees », sur IUCr (consulté le ).

Liens externes

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