Paysage linguistique
Apparence
Le paysage linguistique d'un territoire est formé par le langage des panneaux de signalisation, des voies publiques, des affiches et autres inscriptions présentes dans les espaces publics[1]. Les langues utilisées véhiculent une signification sociolinguistique, et sont les marqueurs de l'identité d'un territoire[1]. Les langues utilisées par les pouvoirs publics et celles utilisées par la population peuvent donc être en opposition dans le paysage[1].
Utilisée dans le contexte des études linguistiques, l'expression peut également désigner l'état (nombre de locuteurs, utilisation) de différentes langues sur un territoire donné.
Épistémologie
[modifier | modifier le code]Le concept a émergé dans les années 1990 au Québec[1].
Composantes
[modifier | modifier le code]Exemples
[modifier | modifier le code]Articles connexes
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Bibliographie
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- Aitzpea Leizaola et Miren Egaña, « Le paysage linguistique : Un champ d'étude émergeant : la signalètique routière entre Donostia et Baiona », dans collectif, L'Aménagement du territoire en Pays basque (Actes du colloque « L'aménagement du territoire en Pays basque » des 18 et 19 janvier 2007, à Bayonne), Gasteiz, Zarautz Dakit, , 308 p. (ISBN 84-932368-3-7 et 978-84-932368-3-0), partie 2, p. 81-102.