Précilhon
Précilhon | |||||
Le château se reflétant dans l'Escou. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Haut Béarn | ||||
Maire Mandat |
Nicolas Loustau-Chartez 2020-2026 |
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Code postal | 64400 | ||||
Code commune | 64460 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
400 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 63 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 11′ 46″ nord, 0° 34′ 44″ ouest | ||||
Altitude | Min. 235 m Max. 350 m |
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Superficie | 6,39 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Oloron-Sainte-Marie (banlieue) |
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Aire d'attraction | Oloron-Sainte-Marie (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2 | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Précilhon (prononcé [pʁesijɔ̃] ; en béarnais Precilhon ou Precilhoû) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
Le gentilé est Précilhonais[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Précilhon se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 31 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 2,9 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Goès (1,0 km), Oloron-Sainte-Marie (2,1 km), Escout (2,5 km), Bidos (2,8 km), Estos (2,9 km), Estialescq (3,6 km), Escou (3,8 km), Ledeuix (4,0 km).
Sur le plan historique et culturel, Précilhon fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Escout, Estialescq, Goès et Oloron-Sainte-Marie.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par l'Escou, le Laberou, la Grabette, l'Arrigastou, le Gabarn, le ruisseau des Bers, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[8],[Carte 1].
L'Escou, d'une longueur totale de 16,9 km, prend sa source dans la commune de Buzy et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Estos, après avoir traversé 9 communes[9].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 252 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie à 2 km à vol d'oiseau[13], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 491,4 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[18], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[19],[Carte 2].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Précilhon est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Oloron-Sainte-Marie[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant neuf communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[21],[2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6],[2]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,8 %), forêts (29,1 %), zones agricoles hétérogènes (11,8 %), zones urbanisées (5,8 %), prairies (4,5 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Lieux-dits et hameaux
[modifier | modifier le code]- le Bois ;
- Gabar ;
- Village.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Précilhon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Escou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009, 2014 et 2018[27],[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. 45,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[29].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le toponyme Précilhon apparaît[30] sous les formes Precilhon (1267, titres de Monein[31]), Plessilhoo (1368, notaires de Lucq[32]), Pressilhon (1375, contrats de Luntz[33]), Precilhoo (1385, censier de Béarn[34]), Pressilho (1405, notaires de Navarrenx[35]), Sent-Martii de Pressilhoo (1421, notaires de Lucq[32]), Presilhon et Presylho (respectivement 1547 et 1548, réformation de Béarn[36]), Persillon (1776, règlement des États de Béarn[37]) et Précillon (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[30]).
Son nom béarnais est Precilhon[38] ou Precilhoû[39].
Histoire
[modifier | modifier le code]Paul Raymond[30] note qu'en 1385, Précilhon comptait 30 feux et dépendait du bailliage d'Oloron.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de cinq structures intercommunales[40] :
- l'agence publique de gestion locale ;
- la communauté de communes du Haut Béarn ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal pour l'assainissement de l'Escou ;
- le syndicat pour le regroupement scolaire de la vallée de l'Escou.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].
En 2021, la commune comptait 400 habitants[Note 8], en évolution de +0,25 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie.
Économie
[modifier | modifier le code]L'activité est principalement agricole (polyculture, élevage, pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]-
Le village dans son paysage.
-
L'église de Précilhon.
-
Porche et tour de l'église.
Fête communale le dernier dimanche de septembre.
Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]L'édifice mégalithique dénommé Darre la Peyre est une structure funéraire s'apparentant à un dolmen.
Le château de Bazerque autour duquel la municipalité organise de nombreuses manifestations culturelles.
Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Martin[45] date du XVIIe siècle.
Équipements
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une école primaire.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Oloron-Sainte-Marie comprend une ville-centre et huit communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Précilhon » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Précilhon », sur geoportail.gouv.fr.
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Gentilé sur habitants.fr
- Insee, « Métadonnées de la commune de Précilhon ».
- Stephan Georg, « Distance entre Précilhon et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Précilhon et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Précilhon », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Précilhon », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « l'Escou ».
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Précilhon et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Précilhon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Oloron-Sainte-Marie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Précilhon », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- Titres de la commune de Monein - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Notaires de Lucq - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- Collection manuscrite de 140 volumes de délibérations (1606 à 1789) - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF] (consulté le ).
- Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Martin
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Communauté de communes du Piémont oloronais