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Puget-Théniers

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Puget-Théniers
Puget-Théniers
Vue aérienne du village.
Blason de Puget-Théniers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Communauté de communes Alpes d'Azur
(siège)
Maire
Mandat
Pierre Corporandy
2020-2026
Code postal 06260
Code commune 06099
Démographie
Gentilé Pugetois
Population
municipale
1 813 hab. (2021 en évolution de −4,48 % par rapport à 2015)
Densité 186 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 57′ 25″ nord, 6° 53′ 39″ est
Altitude Min. 353 m
Max. 1 436 m
Superficie 9,76 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vence
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Puget-Théniers
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Puget-Théniers
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Puget-Théniers

Puget-Théniers (So Puget Tenier dans la variété d'occitan locale[1], Poggetto Tenieri en italien) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Pugetois.

Jusqu'en 1860, le nom officiel en italien était « Poggetto Tenieri ».

Géographie

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Localisation

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Puget-Théniers est une cité méridionale ramassée au confluent de la Roudoule et du Var. Elle est située dans la moyenne vallée du Var, à environ 60 kilomètres de Nice.

Les communes limitrophes sont Entrevaux, Auvare, La Croix-sur-Roudoule, La Penne, Puget-Rostang, Rigaud et Touët-sur-Var.

Géologie et relief

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Le territoire de la commune s'étend entre 320 m et 1 450 m (à la cime du Gourdan).

Commune située dans une zone de sismicité moyenne[2].

Hydrographie et les eaux souterraines

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Cours d'eau traversant la commune :

  • La commune est traversée d'ouest en est par le Var[3].
  • Rivière la Roudoule,
  • 5 ruisseaux.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 978 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 4,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ascros », sur la commune d'Ascros à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 930,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 34,4 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −10,7 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voies de communications et transports

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Voies routières

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Commune desservie par la route nationale 202.

Transports en commun

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Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[13].

Au , Puget-Théniers est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[15]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), zones urbanisées (1,5 %)[18].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Attestée sous la forme Pogit au XIe siècle de pogittum (« petit podium »).
Qualifiée en latin médiéval de Pugetum Tenearum en 1346 , la ville se voit alternativement appelée lo puget de tenias en dialecte local et poggetto en italien, avant de se fixer sous la forme actuelle Puget-Théniers.

Selon Charles Jacquet, les deux éléments du nom désignent[19] :

  • l’un, une petite montagne, sous la forme d’un diminutif de puy : le puget ;
  • l’autre, le fleuve Var : le cours moyen de celui-ci était en effet appelé Tinée, comme son affluent, au Moyen Âge.
  • Selon Charles Jacquet, dans son livre "Puget-Théniers Moult Noble cité et ancienne" (page 2), le nom viendrait de: Podium Tinearum (tertre ou Plateau des Ectini)

Les Ectini étaient le peuple qui vivait en ces lieux, on retrouve ce nom inscrit sur le trophée de la Turbie.

Les territoires au moment de la dédition de Nice à la Savoie en 1388

La position stratégique sur le passage du Var place Puget-Théniers au coeur des affrontements armés entre le royaume de France et le Saint-Empire. Elle lui est aussi bénéfique, puisqu'une foire et un péage y étaient établis[20]. La peste n'a pas épargné pas ce bourg rural, qui perdit un tiers de sa population lors de la première vague de « peste noire » au milieu du XIVe siècle[21].

Guillaume de Puget, viguier d'Avignon (1347-48), vice-sénéchal de Provence (1353) et chevalier, fut co-seigneur de Puget-Théniers[22], seigneur de Figanières, de Bargemon, Flayosc, etc. Il fut conseiller et chambellan[23] de la reine Jeanne, qu'il suivit de Provence à Naples[24]. Il eut au moins deux fils, Guillaume et Honorat, coseigneurs de Figanières[25]. Manuel de Puget (?-av.1384), viguier-capitaine de Nice (1374) puis viguier d'Arles (1374-1384), fut chevalier, co-seigneur de Puget-Théniers et Figanières, seigneur de Bargemon ; il fut conseiller de la reine en 1350. Il fut assassiné avant le 1er août 1384, alors qu'il était viguier d'Arles, par Bertrand Sanneri d'Arles[26]. La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. La communauté soutient les Duras jusqu’en 1386, puis change de camp pour rejoindre les Angevins grâce aux négociations patientes de Marie de Blois, veuve de Louis Ier et régente de leur fils Louis II. La reddition d’Aix a également pu jouer un rôle dans le retournement de la communauté[27].

La baillie de Puget-Théniers avait sous son autorité la vallée de la Tinée et le cours moyen du Var, lui aussi appelé Tinée à cet endroit[19]. Elle est érigée en viguerie en 1379[28] et surnommée viguerie des deux Tinées[19]. Elle fait partie du comté de Provence jusqu'à la dédition de 1388, par laquelle la rive gauche de la vallée se met sous la protection du comte de Savoie. Puget-Théniers fut alors inféodé au puissant Jean Grimaldi, baron de Beuil et instigateur du transfert de suzeraineté. Cette branche de la Maison des Grimaldi, les Grimaldi de Bueil, perdit Puget-Théniers à la suite de l'une de ses nombreuses rébellions contre la Maison de Savoie.

Dès lors, Puget-Théniers devint domaine de la Maison de Savoie, avant d'être élevé au rang de comté pour être inféodé au comte Nicolas Grimaldi. Un descendant du rameau des Grimaldi d'Antibes, Nicolas Grimaldi, reçut l'investiture de Puget-Théniers des mains du duc Victor Amédée de Savoie en 1704[29].

Comme la plus grande partie du comté de Nice, Puget-Théniers fut un foyer contre-révolutionnaire jusqu'à la Restauration, qui rétablit le roi de Sardaigne dans ses droits. Les nombreux changements de frontières à travers les âges ont profondément influencé Puget-Théniers et la vallée du Var, tant au plan de l'identité, qu'à celui de l'administration.

Le dernier changement en date fut mené en 1860 par Napoléon III, en compensation de son intervention dans la guerre d'indépendance de l'Italie. Il devait durablement rattacher Puget-Théniers à la France. En dépit d'une résistance initiale des autorités, la révolution industrielle et son chemin de fer pénétrèrent également la vallée. Trente ans plus tard, le « train des Pignes » apportait une nouvelle prospérité.

Puget-Théniers fut une sous-préfecture des Alpes-Maritimes de 1860 à 1926. C'était alors l'une des sous-préfectures les moins peuplées de France. Depuis, si son importance administrative a quelque peu diminué, Puget-Théniers reste un centre commercial assez actif.

À la suite du redécoupage cantonal de 2014, Puget-Théniers n’est plus chef-lieu de canton et a été rattaché au canton de Vence.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1919 1945 François Boyer    
1945 1947 Charles Isnardy    
1947 1977 Jean Bailet    
1977 1995 Gilbert Laugier PS  
1995[30] 2020 Robert Velay UMP-LR Commerçant
Conseiller général du canton de Puget-Théniers (1992-2015)
2020 En cours Pierre Corporandy LR Président de l'Association des maires ruraux des Alpes-Maritimes

Budget et fiscalité 2018

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Hôtel de ville et Maison des services publics.

En 2018, le budget de la commune était constitué ainsi[31] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 873 000 , soit 953  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 1 697 000 , soit 864  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 1 638 000 , soit 834  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 849 000 , soit 432  par habitant ;
  • endettement : 12 000 , soit 6  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 18,09 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 14,35 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 35,19 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 110 [32].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 1 813 habitants[Note 3], en évolution de −4,48 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
8009141 0111 0531 1681 1951 0771 3041 289
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 2221 4031 4261 2151 5711 2241 3371 3831 166
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
1 2521 2611 2791 2711 1051 0891 4151 4881 438
1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021
1 4461 7031 5331 7961 8361 8151 8831 8401 813
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Établissements d'enseignements[37] :

  • École maternelle,
  • École primaire,
  • Collège,
  • Lycée à Valdeblore.
  • Campus connecté

Professionnels et établissements de santé[38] :

  • Médecins, kinésithérapeutes, dentistes
  • Pharmacie
  • Hôpital (EHPAD)

Entreprises et commerces

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Agriculture

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  • Agriculture et sylviculture.
  • Élevages.
  • Commerces de proximité.
  • Un abattoir est présent sur la commune qui le finance à hauteur de 5 %.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Église Notre-Dame-de-l'Assomption

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L'église Notre-Dame-de-l'Assomption a été construite au XIIIe siècle[42]. Elle renferme de nombreuses œuvres d'art dont certaines sont exceptionnelles. À noter en particulier les groupes sculptés en bois verni (XVIe siècle) du premier autel latéral à gauche, qui représente de bas en haut : la Mise au tombeau, la Vierge quittant le calvaire, la Résurrection, attribué à Mathieu d'Anvers. Le retable primitif (1525) visible derrière le maître-autel est attribué à Antoine Ronzen. Les peintures du chœur et de la voûte ont été terminées le par le peintre tessinois L. Adami[43]. Une partie du mobilier provient du couvent des Augustins qui a été supprimé en 1783[44].

Chapelle Sainte-Croix des Pénitents Blancs

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La chapelle Sainte-Croix des Pénitents Blancs date du XVIe siècle[45]. Située à la rue Lucien-Viborel, elle a été restaurée. C'est la seule chapelle subsistante des huit chapelles primitives. Elle possède un tableau représentant la Transfiguration, daté de 1620 et réalisé pour la confrérie du Saint-Sauveur sous le rectorat de Pierre de Millia et de Thomas Raynaud[46],[47].

Autres édifices religieux

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  • Chapelle N-D de La Roudoule[48].
  • Ancien Couvent des Augustins. Il se trouvait à l'emplacement des no 2-4-6 rue Papon.

Autres lieux et monuments

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Ruelle en escalier de Puget-Théniers
  • Fresque de la médiathèque[49].
  • Porche de l'ancien couvent de templiers, rue Papon.
  • Ruines du château au-dessus de la ville avec la base du donjon XIIe siècle et les vestiges de l'enceinte[50].
  • Maisons anciennes à loggias rapportées et pans de bois rue Casimir-Brouchier[51], maisons à granges-auvents, portes médiévales, insignes de maîtrise gravés sur les linteaux rue Papon[52].
  • Ancienne sous-préfecture XIXe siècle.
  • Maison natale de Louis-Auguste Blanqui.
  • Maison natale de Jean-Pierre Papon au no 14 rue Papon.
  • Maison Barety, au no 8 rue Papon.
  • Maison Renaissance, datée de 1569, à l'angle de la rue Papon et de la rue Centrale.
  • Hôtel de l'ancienne sous-préfecture, rue du 4-Septembre[53].
  • Ancien tribunal de grande instance, place Casimir-Brouchier[54].
  • Buste du XIXe siècle de Jean-Pierre Papon, de 7 m de haut.
  • La statue L'Action enchaînée, également appelée La liberté enchaînée de 1908 : œuvre du sculpteur Aristide Maillol, en hommage à Auguste Blanqui[55], célèbre leader socialiste de la fin du XIXe siècle et enfant du pays. Une réplique de cette statue (et non l'inverse) se trouve dans le Jardin des Tuileries à Paris.
  • Anneaux qui portaient les chaînes servant à fermer l'ancien ghetto, rue Judaïque.
  • Inscriptions XVIe siècle au quartier de la Haute Coste.
  • Fontaine, place Adolphe-Conil.
  • Four communal

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Puget-Théniers

De gueules à la croix pattée d'argent

À droite : Détail décoratif du palais des ducs de Savoie à Nice, de gauche à droite : armes de Grasse (sous-préfecture), de Nice (préfecture), et de Puget-Théniers (ancienne sous-préfecture) — noter l’émail du fond pour cette dernière ville tel qu’il apparaît aujourd’hui[56].

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Suchier signale, après Mistral, que la variété d'occitan parlée à Puget-Théniers conserve l'article défini so, sa, sei issu du latin IPSE (au lieu de lo, la, lei issu de ILLE dans la majorité des parlers provençaux), fait rarissime dans les langues romanes et qu'on ne trouve encore vivant que de façon parcellaire dans l'occitan provençal des Alpes-Maritimes, dans les variétés de catalan parlées à Majorque et en sarde (Groebers Grundriss I, p. 759).
  2. Didacticiel de la réglementation parasismique
  3. L'eau dans le Bassin Rhône-Méditerranée
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Puget-Théniers et Ascros », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ascros », sur la commune d'Ascros - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Ascros », sur la commune d'Ascros - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. Desserte de Puget-Théniers
  12. Le train des pignes à vapeur
  13. Plan local d'urbanisme
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nice », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b et c Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 81..
  20. Lucien Stouff, « Ports, routes et foires du XIIIe au XVe siècle », carte 12 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit..
  21. Abbé Cauvin, Antoine (1810-1902), Mémoires pour servir à l'histoire naturelle, statistique, industrielle, agraire, politique, morale et religieuse de la commune de Contes et du hameau de Sclos : avec des notions sur les villes, bourgs et villages, couvents et sanctuaires de l'ancien comté de Nice, Nice, , 429 p. (ISBN 291363706X et 978-2913637061, lire en ligne), p. 189
  22. J.-P. Boyer, aux origines, p. 217.
  23. Cortez, les grands officiers, p. 119.
  24. Léonard, Histoire, t.II, p. 177.
  25. AD du 13, série 309E6f105v.
  26. Musée Arbaud, MQ563, p. 270.
  27. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, cartes p. 417-419.
  28. Édouard Baratier, La démographie provençale du XIIIe au XVIe siècle, avec chiffres de comparaison pour le XVIIIe siècle, Paris : SEVPEN/EHESS, 1961. Collection « Démographie et société », 5. p. 5.
  29. La maison de Savoie de 1343 à 1946
  30. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008.
  31. Les comptes de la commune
  32. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Établissements d'enseignements
  38. Professionnels et établissements de santé
  39. Paroisse Notre-Dame du Var
  40. Gîtes
  41. Camping Lou Gourdan
  42. Église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption
  43. Puget-Théniers, Notre-Dame-du-Var , ou de l'Assomption, sur dignois.fr/
  44. Couvent des Augustins
  45. Chapelle des Pénitents Blancs
  46. Chapelle des Pénitents Blancs
  47. Chapelle Sainte-Croix-des-Pénitents-Blancs
  48. Chapelle N-D de La Roudoule
  49. Fresque de la médiathèque de l'ancienne mairie
  50. Puget-Théniers, sur www.departement06.fr/patrimoine-par-commune/
  51. maison médiévale
  52. Papon (rue) 16
  53. Sous-préfecture (ancienne)
  54. Tribunal d'instance (ancien)
  55. Monument à Auguste Blanqui
  56. Alpes d'Azur Vallée d'Azur ouest : Puget-Théniers, Puget-Théniers, vexil.prov.free.fr/

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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