Puget-Théniers
Puget-Théniers | |||||
Vue aérienne du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Nice | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Alpes d'Azur (siège) |
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Maire Mandat |
Pierre Corporandy 2020-2026 |
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Code postal | 06260 | ||||
Code commune | 06099 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pugetois | ||||
Population municipale |
1 813 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 186 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 57′ 25″ nord, 6° 53′ 39″ est | ||||
Altitude | Min. 353 m Max. 1 436 m |
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Superficie | 9,76 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nice (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vence | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Puget-Théniers (So Puget Tenier dans la variété d'occitan locale[1], Poggetto Tenieri en italien) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Pugetois.
Jusqu'en 1860, le nom officiel en italien était « Poggetto Tenieri ».
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Puget-Théniers est une cité méridionale ramassée au confluent de la Roudoule et du Var. Elle est située dans la moyenne vallée du Var, à environ 60 kilomètres de Nice.
Les communes limitrophes sont Entrevaux, Auvare, La Croix-sur-Roudoule, La Penne, Puget-Rostang, Rigaud et Touët-sur-Var.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune s'étend entre 320 m et 1 450 m (à la cime du Gourdan).
Sismicité
[modifier | modifier le code]Commune située dans une zone de sismicité moyenne[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Cours d'eau traversant la commune :
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 978 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 4,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ascros », sur la commune d'Ascros à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 930,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 34,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10,7 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]-
La route en venant de Nice et la voie de chemin de fer
-
La gare des Chemins de fer de Provence, sur la Ligne de Nice à Digne
-
Le nouveau pont sur le Var
Voies routières
[modifier | modifier le code]Commune desservie par la route nationale 202.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
- Lignes d'Azur, réseau de la Région Sud Provence Alpes Côte d’Azur[11].
- Liaison par la ligne Nice-Digne qui assure 4 navettes par jour.
- Le train des Pignes[Lequel ?] à vapeur[12].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[13].
Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Puget-Théniers est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[15]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), zones urbanisées (1,5 %)[18].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestée sous la forme Pogit au XIe siècle de pogittum (« petit podium »).
Qualifiée en latin médiéval de Pugetum Tenearum en 1346 , la ville se voit alternativement appelée lo puget de tenias en dialecte local et poggetto en italien, avant de se fixer sous la forme actuelle Puget-Théniers.
Selon Charles Jacquet, les deux éléments du nom désignent[19] :
- l’un, une petite montagne, sous la forme d’un diminutif de puy : le puget ;
- l’autre, le fleuve Var : le cours moyen de celui-ci était en effet appelé Tinée, comme son affluent, au Moyen Âge.
- Selon Charles Jacquet, dans son livre "Puget-Théniers Moult Noble cité et ancienne" (page 2), le nom viendrait de: Podium Tinearum (tertre ou Plateau des Ectini)
Les Ectini étaient le peuple qui vivait en ces lieux, on retrouve ce nom inscrit sur le trophée de la Turbie.
Histoire
[modifier | modifier le code]La position stratégique sur le passage du Var place Puget-Théniers au coeur des affrontements armés entre le royaume de France et le Saint-Empire. Elle lui est aussi bénéfique, puisqu'une foire et un péage y étaient établis[20]. La peste n'a pas épargné pas ce bourg rural, qui perdit un tiers de sa population lors de la première vague de « peste noire » au milieu du XIVe siècle[21].
Guillaume de Puget, viguier d'Avignon (1347-48), vice-sénéchal de Provence (1353) et chevalier, fut co-seigneur de Puget-Théniers[22], seigneur de Figanières, de Bargemon, Flayosc, etc. Il fut conseiller et chambellan[23] de la reine Jeanne, qu'il suivit de Provence à Naples[24]. Il eut au moins deux fils, Guillaume et Honorat, coseigneurs de Figanières[25]. Manuel de Puget (?-av.1384), viguier-capitaine de Nice (1374) puis viguier d'Arles (1374-1384), fut chevalier, co-seigneur de Puget-Théniers et Figanières, seigneur de Bargemon ; il fut conseiller de la reine en 1350. Il fut assassiné avant le 1er août 1384, alors qu'il était viguier d'Arles, par Bertrand Sanneri d'Arles[26]. La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. La communauté soutient les Duras jusqu’en 1386, puis change de camp pour rejoindre les Angevins grâce aux négociations patientes de Marie de Blois, veuve de Louis Ier et régente de leur fils Louis II. La reddition d’Aix a également pu jouer un rôle dans le retournement de la communauté[27].
La baillie de Puget-Théniers avait sous son autorité la vallée de la Tinée et le cours moyen du Var, lui aussi appelé Tinée à cet endroit[19]. Elle est érigée en viguerie en 1379[28] et surnommée viguerie des deux Tinées[19]. Elle fait partie du comté de Provence jusqu'à la dédition de 1388, par laquelle la rive gauche de la vallée se met sous la protection du comte de Savoie. Puget-Théniers fut alors inféodé au puissant Jean Grimaldi, baron de Beuil et instigateur du transfert de suzeraineté. Cette branche de la Maison des Grimaldi, les Grimaldi de Bueil, perdit Puget-Théniers à la suite de l'une de ses nombreuses rébellions contre la Maison de Savoie.
Dès lors, Puget-Théniers devint domaine de la Maison de Savoie, avant d'être élevé au rang de comté pour être inféodé au comte Nicolas Grimaldi. Un descendant du rameau des Grimaldi d'Antibes, Nicolas Grimaldi, reçut l'investiture de Puget-Théniers des mains du duc Victor Amédée de Savoie en 1704[29].
Comme la plus grande partie du comté de Nice, Puget-Théniers fut un foyer contre-révolutionnaire jusqu'à la Restauration, qui rétablit le roi de Sardaigne dans ses droits. Les nombreux changements de frontières à travers les âges ont profondément influencé Puget-Théniers et la vallée du Var, tant au plan de l'identité, qu'à celui de l'administration.
Le dernier changement en date fut mené en 1860 par Napoléon III, en compensation de son intervention dans la guerre d'indépendance de l'Italie. Il devait durablement rattacher Puget-Théniers à la France. En dépit d'une résistance initiale des autorités, la révolution industrielle et son chemin de fer pénétrèrent également la vallée. Trente ans plus tard, le « train des Pignes » apportait une nouvelle prospérité.
Puget-Théniers fut une sous-préfecture des Alpes-Maritimes de 1860 à 1926. C'était alors l'une des sous-préfectures les moins peuplées de France. Depuis, si son importance administrative a quelque peu diminué, Puget-Théniers reste un centre commercial assez actif.
À la suite du redécoupage cantonal de 2014, Puget-Théniers n’est plus chef-lieu de canton et a été rattaché au canton de Vence.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2018
[modifier | modifier le code]En 2018, le budget de la commune était constitué ainsi[31] :
- total des produits de fonctionnement : 1 873 000 €, soit 953 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 1 697 000 €, soit 864 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 1 638 000 €, soit 834 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 849 000 €, soit 432 € par habitant ;
- endettement : 12 000 €, soit 6 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 18,09 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 14,35 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 35,19 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 110 €[32].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].
En 2021, la commune comptait 1 813 habitants[Note 3], en évolution de −4,48 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[37] :
- École maternelle,
- École primaire,
- Collège,
- Lycée à Valdeblore.
- Campus connecté
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[38] :
- Médecins, kinésithérapeutes, dentistes
- Pharmacie
- Hôpital (EHPAD)
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse Notre-Dame du Var[39] Diocèse de Nice.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Agriculture et sylviculture.
- Élevages.
Tourisme
[modifier | modifier le code]Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces de proximité.
- Un abattoir est présent sur la commune qui le finance à hauteur de 5 %.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
La place de l'église
-
Le clocher
-
Vue aérienne du clocher
-
Intérieur de l'église
Église Notre-Dame-de-l'Assomption
[modifier | modifier le code]L'église Notre-Dame-de-l'Assomption a été construite au XIIIe siècle[42]. Elle renferme de nombreuses œuvres d'art dont certaines sont exceptionnelles. À noter en particulier les groupes sculptés en bois verni (XVIe siècle) du premier autel latéral à gauche, qui représente de bas en haut : la Mise au tombeau, la Vierge quittant le calvaire, la Résurrection, attribué à Mathieu d'Anvers. Le retable primitif (1525) visible derrière le maître-autel est attribué à Antoine Ronzen. Les peintures du chœur et de la voûte ont été terminées le par le peintre tessinois L. Adami[43]. Une partie du mobilier provient du couvent des Augustins qui a été supprimé en 1783[44].
Chapelle Sainte-Croix des Pénitents Blancs
[modifier | modifier le code]La chapelle Sainte-Croix des Pénitents Blancs date du XVIe siècle[45]. Située à la rue Lucien-Viborel, elle a été restaurée. C'est la seule chapelle subsistante des huit chapelles primitives. Elle possède un tableau représentant la Transfiguration, daté de 1620 et réalisé pour la confrérie du Saint-Sauveur sous le rectorat de Pierre de Millia et de Thomas Raynaud[46],[47].
Autres édifices religieux
[modifier | modifier le code]- Chapelle N-D de La Roudoule[48].
- Ancien Couvent des Augustins. Il se trouvait à l'emplacement des no 2-4-6 rue Papon.
Autres lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Fresque de la médiathèque[49].
- Porche de l'ancien couvent de templiers, rue Papon.
- Ruines du château au-dessus de la ville avec la base du donjon XIIe siècle et les vestiges de l'enceinte[50].
- Maisons anciennes à loggias rapportées et pans de bois rue Casimir-Brouchier[51], maisons à granges-auvents, portes médiévales, insignes de maîtrise gravés sur les linteaux rue Papon[52].
- Ancienne sous-préfecture XIXe siècle.
- Maison natale de Louis-Auguste Blanqui.
- Maison natale de Jean-Pierre Papon au no 14 rue Papon.
- Maison Barety, au no 8 rue Papon.
- Maison Renaissance, datée de 1569, à l'angle de la rue Papon et de la rue Centrale.
- Hôtel de l'ancienne sous-préfecture, rue du 4-Septembre[53].
- Ancien tribunal de grande instance, place Casimir-Brouchier[54].
- Buste du XIXe siècle de Jean-Pierre Papon, de 7 m de haut.
- La statue L'Action enchaînée, également appelée La liberté enchaînée de 1908 : œuvre du sculpteur Aristide Maillol, en hommage à Auguste Blanqui[55], célèbre leader socialiste de la fin du XIXe siècle et enfant du pays. Une réplique de cette statue (et non l'inverse) se trouve dans le Jardin des Tuileries à Paris.
- Anneaux qui portaient les chaînes servant à fermer l'ancien ghetto, rue Judaïque.
- Inscriptions XVIe siècle au quartier de la Haute Coste.
- Fontaine, place Adolphe-Conil.
- Four communal
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Alexandre Baréty (1844-1918), médecin, historien et homme politique, né à Puget-Théniers.
- Jean Dominique Blanqui (1757-1832), homme politique, premier sous-préfet de Puget-Théniers en 1800.
- Louis Auguste Blanqui (1805-1881), révolutionnaire anarchiste, né à Puget-Théniers.
- Jean-Pierre Papon (1734-1803), abbé, oratorien et historien, né à Puget-Théniers.
- Auguste Riboty (1816-1892), amiral sarde puis italien, né à Puget-Théniers.
- Aimé Teisseire (1914-2008), officier du Régiment de marche du Tchad, Compagnon de la Libération
Héraldique
[modifier | modifier le code]De gueules à la croix pattée d'argent |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Suchier signale, après Mistral, que la variété d'occitan parlée à Puget-Théniers conserve l'article défini so, sa, sei issu du latin IPSE (au lieu de lo, la, lei issu de ILLE dans la majorité des parlers provençaux), fait rarissime dans les langues romanes et qu'on ne trouve encore vivant que de façon parcellaire dans l'occitan provençal des Alpes-Maritimes, dans les variétés de catalan parlées à Majorque et en sarde (Groebers Grundriss I, p. 759).
- Didacticiel de la réglementation parasismique
- L'eau dans le Bassin Rhône-Méditerranée
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Puget-Théniers et Ascros », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ascros », sur la commune d'Ascros - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ascros », sur la commune d'Ascros - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- Desserte de Puget-Théniers
- Le train des pignes à vapeur
- Plan local d'urbanisme
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nice », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 81..
- Lucien Stouff, « Ports, routes et foires du XIIIe au XVe siècle », carte 12 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit..
- Abbé Cauvin, Antoine (1810-1902), Mémoires pour servir à l'histoire naturelle, statistique, industrielle, agraire, politique, morale et religieuse de la commune de Contes et du hameau de Sclos : avec des notions sur les villes, bourgs et villages, couvents et sanctuaires de l'ancien comté de Nice, Nice, , 429 p. (ISBN 291363706X et 978-2913637061, lire en ligne), p. 189
- J.-P. Boyer, aux origines, p. 217.
- Cortez, les grands officiers, p. 119.
- Léonard, Histoire, t.II, p. 177.
- AD du 13, série 309E6f105v.
- Musée Arbaud, MQ563, p. 270.
- Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, cartes p. 417-419.
- Édouard Baratier, La démographie provençale du XIIIe au XVIe siècle, avec chiffres de comparaison pour le XVIIIe siècle, Paris : SEVPEN/EHESS, 1961. Collection « Démographie et société », 5. p. 5.
- La maison de Savoie de 1343 à 1946
- Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008.
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Notre-Dame du Var
- Gîtes
- Camping Lou Gourdan
- Église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption
- Puget-Théniers, Notre-Dame-du-Var , ou de l'Assomption, sur dignois.fr/
- Couvent des Augustins
- Chapelle des Pénitents Blancs
- Chapelle des Pénitents Blancs
- Chapelle Sainte-Croix-des-Pénitents-Blancs
- Chapelle N-D de La Roudoule
- Fresque de la médiathèque de l'ancienne mairie
- Puget-Théniers, sur www.departement06.fr/patrimoine-par-commune/
- maison médiévale
- Papon (rue) 16
- Sous-préfecture (ancienne)
- Tribunal d'instance (ancien)
- Monument à Auguste Blanqui
- Alpes d'Azur Vallée d'Azur ouest : Puget-Théniers, Puget-Théniers, vexil.prov.free.fr/
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Nadine Bovis-Aimar, Puget-Théniers à la fin du XIXe siècle d’après les notes du docteur Alexandre Barety, p. 198-213, Nice Historique, année 2000, no 64, [lire en ligne]
- Charles Jacquet, Puget-Théniers, moult noble cité et ancienne, p. 236, Serre éditeur, Nice, réédition 2002 (ISBN 978-2-86410-023-2)
- Luc Thévenon, Les arts dans le canton de Puget-Théniers, p. 168-197, Nice Historique, année 2000, no 271, [lire en ligne]
- Olivier Vernier, Puget-Théniers, les mutations d’une capitale administrative de la montagne à l’époque contemporaine, p. 214-225, Nice-Historique, année 2000, no 296, [lire en ligne]
- Le village de Puget-Théniers
- Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Menton à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Puget-Théniers : pp. 725 à 732 : Puget-Théniers
- Puget Théniers : chemin Puget Gilette 1795, Ghettos du Comté de Nice, jhs avec entrelacement, le Comté de Nice en 1850, mythe des têtes humaines
- Puget Théniers, sur montnice.fr/, par JPB le mer
- sous la direction de Colette Bourrier-Reynaud, La vallée du Var. Route des vignobles d'hier et des vins d'aujourd'hui, Nice, Serre Editeur, , 40 p. (ISBN 2-86410-314-1)Puget-Théniers, p. 26 Syndicat mixte touristique des Alpes d'Azur (SITALPA). Ouvrage collectif coordonné par Colette Bourrier-Reynaud, présidente du SITALPA. L'Ancre Solaire
- Sylviculture. Une déforestation millénaire, Un siècle de reboisement, Le flottage du bois sur le Var
- Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide - Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 2-906035-00-9)Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Puget-Théniers, p. 73
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes des Alpes-Maritimes
- Liste des anciennes communes des Alpes-Maritimes
- Écomusée du pays de la Roudoule
- Ligne de Nice à Digne
- Var (fleuve)
- Huile d'olive de Provence AOC
- Dôme de Barrot
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes